«More to me»: cette série de photos sur la trisomie 21 brise les mythes


Il fut un temps que les enfants atteints de syndrome de Down étaient plus cachés, aujourd’hui, on peut les voir un peu partout, car eux aussi peuvent aller à l’école, travailler, tomber en amour. Ils vivent les mêmes émotions que les autres. Ces photos veulent abolir les stéréotypes face à la trisomie 21
Nuage


«More to me»: cette série de photos sur la trisomie 21 brise les mythes

«More to me»: cette série de photos sur la trisomie 21 brise les

HILARY GAULD-CAMILLERI/ONE FOR THE WALL PHOTOGRAPHY

Un projet canadien met en lumière l’éventail des émotions ressenties par les personnes atteintes du syndrome de Down.

  • Par Connor Garel, HuffPost Canada

«En général, quand les gens voient quelqu’un qui a le syndrome de Down, c’est la première chose qu’ils remarquent», déclare Vanessa Richard, mère et coordonnatrice des médias sociaux à la Waterloo Regional Down Syndrome Society (WRDSS) en Ontario, à HuffPost Canada. «Souvent, c’est la seule chose qu’ils voient. Ils ne voient même pas la personne [en tant que telle].»

Il y a deux ans, le fils de Richard, Jamie, est né avec le syndrome de Down. Depuis, elle a été témoin de la facilité avec laquelle les gens se laissent piéger par les idées préconçues qui abondent au sujet du trouble du développement.

Elle a appris que les gens avaient une fausse perception de l’ampleur avec laquelle le syndrome affecte le potentiel et la vie d’une personne.

«Vraiment, c’est juste une partie d’eux-mêmes», a déclaré Richard au téléphone. «Ce n’est pas ce qu’ils sont (en tant que tels). Il y a tellement plus (que ça) dans leur vie.»

«More to me»: cette série de photos sur la trisomie 21 brise les

HILARY GAULD-CAMILLERI/ONE FOR THE WALL PHOTOGRAPHY

Ce problème de longue date – le refus ou l’incapacité de considérer une personne au-delà de son handicap – fait l’objet d’une nouvelle série de clichés de la photographe de Waterloo Hilary Gauld-Camilleri, propriétaire de One for the Wall Photography. Sa nouvelle campagne, «More to Me», vise à changer la façon avec laquelle les gens perçoivent le syndrome de Down.

La trisomie 21, ou syndrome de Down, est un trouble du développement généralement associé à des retards de croissance, à une déficience cognitive – de légère à modérée – et à des traits faciaux caractéristiques, comme un visage plus plat, par exemple. Il affecte une naissance sur 781 au Canada, rapporte la Canadian Down Syndrome Society (Société canadienne du syndrome de Down). La Semaine canadienne de la trisomie 21 se déroule du 1er au 7 novembre.

«L’idée, c’est de vous inciter à y regarder à deux fois et à voir au-delà des apparences», a déclaré Gauld-Camilleri à HuffPost Canada par téléphone. «Ils sont tellement plus que ce que vous voyez à la surface.»

«More to me»: cette série de photos sur la trisomie 21 brise les

HILARY GAULD-CAMILLERI/ONE FOR THE WALL PHOTOGRAPHY

Les images de Gauld-Camilleri peuvent sembler visuellement familières. Chaque photo de la série, qui accompagne la Semaine canadienne de la trisomie 21, évoque la manière avec laquelle un photographe peut prendre en photo une célébrité pour la couverture d’un magazine.

L’éclairage est nuancé, les expressions faciales sont variées et les poses, dynamiques – ce qu’on voit rarement dans l’imagerie associée habituellement aux personnes handicapées.

«Les enfants et les adultes atteints du syndrome de Down sont généralement photographiés dans un environnement lumineux et joyeux», a déclaré Gauld-Camilleri. «Il s’agissait ici de les au les montrer sous un jour que nous n’avons pas l’habitude de voir.»

«More to me»: cette série de photos sur la trisomie 21 brise les

HILARY GAULD-CAMILLERI/ONE FOR THE WALL PHOTOGRAPHY

«More to me»: cette série de photos sur la trisomie 21 brise les

HILARY GAULD-CAMILLERI/ONE FOR THE WALL PHOTOGRAPHY

À chaque nouvelle photo, Gauld-Camilleri a demandé aux familles de lui fournir un stéréotype qui, selon elles, existe toujours à propos des personnes atteintes du syndrome de Down. Plusieurs familles ont rapporté le même mythe: les personnes atteintes du syndrome de Down sont toujours heureuses.

En clair: elles ne le sont pas.

«Il est important pour nous de faire comprendre que les personnes atteintes du syndrome de Down ont toute une gamme d’émotions», a déclaré Gauld-Camilleri.

À travers ses clichés, elle voulait démontrer qu’elles ont aussi la capacité «de ressentir de la colère, de la tristesse, de la joie et de la peur, de la même manière que tout le monde».

Bien qu’aucun membre de la famille de la photographe ne soit atteint du syndrome de Down, elle contribue à dissiper les mythes et les stéréotypes pour les mères comme Richard.

«More to me»: cette série de photos sur la trisomie 21 brise les

HILARY GAULD-CAMILLERI/ONE FOR THE WALL PHOTOGRAPHY

«More to me»: cette série de photos sur la trisomie 21 brise les

HILARY GAULD-CAMILLERI/ONE FOR THE WALL PHOTOGRAPHY

Lorsque Jamie a eu son diagnostic, Richard a immédiatement commencé à chercher des ressources qui pourraient l’aider. Elle voulait en savoir plus sur ce que signifiait le diagnostic et fut finalement dirigée vers Gauld-Camilleri. Celle-ci avait produit, quelques années auparavant, un calendrier complet qui présentait des portraits plein d’humanité de membres du WRDSS.

Quelque chose a changé pour Richard lorsqu’elle a vu les images du calendrier pour la première fois.

«C’est grâce à ce calendrier que j’ai vraiment pu voir de quoi avait véritablement l’air le syndrome de Down: tout à fait normal», a déclaré Richard.

«En tant que nouveau parent, c’était merveilleux de voir ça. Il y avait des photos d’enfants s’amusant dans la cour arrière avec leur famille, sur des balançoires, ou jouant au hockey dans la rue. On les voyait de plus près et ce n’était pas effrayant.»

«More to me»: cette série de photos sur la trisomie 21 brise les

HILARY GAULD-CAMILLERI/ONE FOR THE WALL PHOTOGRAPHY

Depuis, le projet de Gauld-Camilleri est devenu une puissante campagne de revendication. Chaque année, elle répond aux préoccupations des familles afin de faire avancer ce mouvement, qui vise à montrer les personnes atteintes du syndrome de Down dans toute leur complexité.

«Les personnes atteintes du syndrome de Down peuvent tout de même contribuer de manière fantastique à nos communautés. Elles peuvent aller à l’école, occuper des emplois à long terme, se marier, à l’université », a déclaré Richard. «Ils ne sont pas que leur trouble de développement. Cela ne prend pas le dessus sur tout. Nous voulons abolir cette fausse idée.»

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Un employé trisomique se fait intimider par des clients.


Peter est trisomique, il est victime de certains clients qui trouve qu’il ne devrait pas travailler comme emballeurs dans une épicerie. En fait, c’est une expérience sociale pour voir les réactions des clients face à une personne intolérante.
Nuage

 

Un employé trisomique se fait intimider par des clients.

 

Des parents de bébés trisomiques ne veulent pas que l’on soit «désolés» pour eux


C’est une très bonne idée de lancer cette campagne de sensibilisation pour changer les comportements des gens face aux parents qui ont un enfant trisomique. Aujourd’hui, ces enfants sont plus actifs en milieu social et peuvent mieux s’épanouir en société, Ce sont des encouragements que les parents ont besoin, et non un air défaitiste
Nuage

 

Des parents de bébés trisomiques ne veulent pas que l’on soit «désolés» pour eux

 

AMELIE-BENOIST /BSIP VIA GETTY IMAGES

Une campagne a été lancé au Canada anglais.

La Société canadienne de la trisomie 21 souhaite donner un ou deux cours de bienséance à ceux qui apprennent qu’un proche vient d’avoir un enfant trisomique — et surtout éviter le malheureux «désolé…».

L’organisme lance au Canada anglais une campagne pour aider les gens à trouver le bon mot face à une telle situation. Dans une vidéo publiée en anglais sur YouTube, des trisomiques répondent eux-mêmes à la question: «Que dire à des parents qui viennent d’avoir un bébé trisomique?» Beaucoup de choses, en fait, sauf: «Oh! Je suis désolé.»

La vidéo permet aussi aux participants de démontrer leur personnalité et de faire preuve d’humour.

 

Le directeur national de l’organisme, Kirk Crowther, explique que la campagne vise à encourager les Canadiens à accueillir la naissance d’un bébé trisomique comme celle de tout autre enfant: dans la joie, avec des félicitations.

Ed Casagrande, père de la petite Emma, quatre ans, espère que cette campagne amènera les gens à ne plus être désolés par cette condition congénitale. Le père rappelle que les trisomiques mènent une existence épanouissante, pleine d’accomplissements, et qu’il ne faut pas du tout s’attrister de leur sort ou de celui de leurs parents.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Trisomique, John a crée son entreprise de vente de chaussettes


 

Dire qu’il n’y a pas si longtemps, les trisomiques étaient considérer par plusieurs comme inutile. Il a fallu que les parents relèvent les manches et croient en leur enfant atteint de trisomie. L’autre jour, j’avais un billet sur une jeune fille atteint de trisomie qui a lancé sa propre affaire de boulangerie  avec sa mère, et voilà un jeune homme qui est chef de sa propre entreprise de chaussettes fantaisiste, grâce à son père … C’est un grand pas pour eux. Ils sont capables de participer à l’économie et ils ont tant à donner
Nuage

Trisomique, John a crée son entreprise de vente de chaussettes

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Atteint de trisomie 21, ce jeune homme est connu pour son amour des chaussettes colorées, rigolotes ou fantaisistes qu’il prend soin d’accorder chaque jour à son humeur matinale. Aidé de son père, il a fait de cette passion une petite entreprise : Les chaussettes folles de John, un magasin de chaussettes en ligne. Et ce qu’il propose, c’est de trouver chaussette à votre pied !

John Lee Cronin a toujours voulu faire affaire avec son père. Et s’il ne savait pas précisément dans quel domaine, une simple discussion autour de sa passion pour les chaussettes sera finalement une révélation.

Pour faire de son rêve d’entreprise une réalité, John, 21 ans, s’est associé à son père. Pendant que Mark Cronin l’aide à construire le site Internet, John travaille sur le design des produits. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a une imagination débordante !

Les 500 modèles de chaussettes que propose le duo père-fils ont tous des motifs originaux, reflets d’une multitude de personnalités différentes. Des partitions de musique aux cochons volants en passant par les spéciales mariage… tous les goûts sont dans les chaussettes de John !

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Jeune chef d’entreprise engagé, John verse un pourcentage de ses ventes à des causes nobles comme le cancer du sein, la trisomie 21 ou l’autisme. Avec lui, chaque cause qui le touche a sa paire.

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Il verse aussi 5% de son chiffre d’affaire aux Jeux Olympiques spéciaux.

En effet, John est un athlète olympique spécial. Il n’y a qu’à voir la liste de sports dans lesquels John a concouru : raquette, basket-ball, soccer, hockey, bowling… Des expériences qui lui ont permis de devenir l’homme qu’il est aujourd’hui.

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Toutes les commandes passées sont chouchoutées. John assure la livraison des commandes locales et prépare les petits paquets en prenant soin de glisser une note manuscrite à l’attention de ses clients. Et il n’est pas rare de trouver quelques sucreries à l’intérieur…

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Crédit photo : John’s Crazy Socks

Comme tout chef d’entreprise, John a des responsabilités et travaille dur chaque jour. Il participe à des événements commerciaux, assure des rendez-vous avec des fournisseurs et crée même des vidéos de promotion sur le compte Facebook de son entreprise.

Les chaussettes de John rencontrent un vrai succès. La preuve : de 50 commandes par jour en février, l’entreprise a depuis passé la barre des 1 000 commandes par jour !

Envie de vous faire plaisir et de faire plaisir ? Pour acheter les chaussettes hautes en couleurs de John, ça se passe ici !

http://positivr.fr

Une jeune trisomique va présenter la météo à la télévision en France


Les choses changent parfois pour le mieux. Une jeune française trisomique a fait un voeu sur Facebook qu’elle aimerait présenter la météo. Grâce à la popularité de son souhait, elle pourra vers la fin mars réalisé son rêve à la télévision française
Nuage

 

Une jeune trisomique va présenter la météo à la télévision en France

 

Une jeune trisomique va présenter la météo à la télévision en France

Mélanie, 21 ans.Photo Facebook Mélanie peut le faire

Une jeune femme atteinte de trisomie et âgée de 21 ans, Mélanie Ségard, va faire ses premiers pas à la télévision le 27 mars prochain pour présenter la météo sur France 2 et BFM TV.

La jeune femme, atteinte de trisomie 21, avait posté il y a deux jours sur sa page Facebook une vidéo exprimant son souhait de devenir Miss Météo depuis toujours.

120 000 clics plus tard, son rêve est devenu réalité: France 2 et BFM TV ont accepté de confier la présentation de la météo à Mélanie Ségard.

«Nous sommes très heureux de t’accueillir», a tweeté la présentatrice météo de France 2, Chloé Nabédian.

Voir l'image sur Twitter

 

Dans une interview donnée ce jeudi à Europe 1, la jeune femme a déclaré être «très contente de passer devant les gens» et touchée de ce qui lui arrive.

Mélanie Ségard présentera ses premiers bulletins dès le 27 mars.

http://fr.canoe.ca/

Un chien héroïque sauve la vie d’un enfant trisomique coincé dans un sèche-linge


Je crois que ces chiens qui ne sont pas élevés pour sauver ses maîtres, mais on le sens de l’urgence cela arrive une fois dans la vie
Nuage

 

Un chien héroïque sauve la vie d’un enfant trisomique coincé dans un sèche-linge

 

chien sauve enfant trisomie sèche-linge

Par Elisa Gorins

Crédits photo : Aaron Duffy

Pris au piège dans un sèche-linge, un petit garçon atteint de trisomie 21 aurait pu mourir si son chien n’était pas intervenu.

Il s’appelle Teddy et c’est un héros. Un héros à quatre pattes puisque ce croisé Cocker-Caniche a volé au secours de son petit maître, pris au piège dans un sèche-linge en marche. Lorsque l’accident s’est produit, la mère du garçon se trouvait à l’étage de la maison. C’est Teddy qui est venu la chercher en aboyant avec instance et l’a conduite devant le sèche-linge. A l’intérieur, Riley, l’enfant, était coincé.

Le chien alerte en cas de danger

Immédiatement, la femme a arrêté la machine et mis son fils sous l’eau froide avant de l’emmener à l’hôpital. L’enfant s’en sort avec des brûlures et des ecchymoses, mais il s’en tire bien. Les conséquences auraient pu être bien plus tragiques si Teddy n’était pas intervenu.

D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que ce chien donne l’alerte avant qu’un drame ne se produise : il avait déjà prévenu ses maîtres, en aboyant furieusement, qu’un chargeur de téléphone portable prenait feu. Un vrai sauveteur dans l’âme !

http://wamiz.com/

Cette enseignante invite ses élèves trisomiques à son mariage


Je pense que cette enseignante est vraiment dans son domaine. C’est vraiment prendre ces élèves pour des personnes importantes dans sa vie
Nuage

 

Cette enseignante invite ses élèves trisomiques à son mariage

 

Kinsey French, une enseignante spécialisée aux États-Unis, a invité ses élèves atteints de trisomie 21 à sa cérémonie de mariage.

Tous ses élèves de la Rock Creek Academy, un établissement spécialisé qui offre des cours à des jeunes atteints d’un handicap, sont devenus filles et garçons d’honneur.

«Ces enfants sont comme une famille pour moi» a raconté Kinsey French à WKLY.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Un composé de thé vert pourrait améliorer l’état de certains trisomiques


Le thé vert contient un composé qui stimule la capacité intellectuelle de ceux atteints de la trisomie 21. La recherche semble prometteuse, des études sont encore à venir
Nuage

 

Un composé de thé vert pourrait améliorer l’état de certains trisomiques

 

Un composé de thé vert associé à une stimulation spécifique ont permis... (ARCHIVES AFP)

ARCHIVES AFP

Un composé de thé vert associé à une stimulation spécifique ont permis d’améliorer certaines capacités intellectuelles de patients trisomiques, selon les résultats d’un essai clinique préliminaire publiés mardi dans la revue médicale britanniqueThe Lancet Neurology.

«Bien qu’il ne s’agisse pas d’un traitement curatif, c’est la première fois qu’un traitement montre quelque efficacité dans ce syndrome» souligne une équipe de chercheurs de Barcelone qui a réalisé l’essai sur 84 trisomiques âgés de 16 à 34 ans.

La trisomie 21 ou syndrome de Down est une anomalie chromosomique qui entraîne notamment des déficiences intellectuelles variables chez les personnes atteintes, environ une sur 1000 dans le monde. Aucun traitement curatif n’existe à l’heure actuelle.

Mais grâce à un suivi médical adapté, l’espérance de vie médiane des trisomiques dépasse aujourd’hui 50 ans dans les pays développés.

Les chercheurs ont utilisé un des anti-oxydants du thé vert, l’épigallocatéchine gallate (EGCG), en raison de sa capacité potentielle à inhiber la surexpression d’un des gènes présents dans le chromosome 21 (DYRK1A).

Ce gène est lié à la plasticité cérébrale (capacité d’adaptation cérébrale) et à certaines capacités intellectuelles.

Selon le Dr Rafael de la Torre, les patients traités pendant 12 mois avec l’épigallocatéchine gallate combiné à une stimulation cognitive ont vu certaines de leurs capacités intellectuelles (notamment la mémoire de reconnaissance visuelle) améliorées par rapport à ceux qui n’avaient reçu qu’un placebo.

L’effet persistait encore six mois après le traitement.  Les chercheurs espèrent confirmer leurs résultats en testant la molécule sur des enfants dont la plasticité cérébrale est plus grande.

Plusieurs spécialistes ont pour leur part salué l’intérêt de l’étude tout en restant prudents, soulignant notamment les difficultés à mesurer les bénéfices intellectuels chez les patients.

Le Dr Marie-Claude Potier, de l’institut du Cerveau et de la moelle (ICM) à Paris, a pour sa part mis en garde contre «toute automédication avec du thé vert car les différentes variétés contiennent des quantités différentes de la substance clé».

Elle insiste également sur la nécessité de faire des études de toxicité avant de poursuivre les recherches sur ces produits.

http://www.lapresse.ca/

Première compétition dans dix jours Trisomique, il s’entraîne pour être culturiste


Je ne suis vraiment pas une adepte du culturisme, mais de voir que de plus en plus des personnes atteintes de trisomie peuvent de plus en plus aller au bout de leur rêve est vraiment encourageant, car tranquillement, les mentalités changent
Nuage

 

Première compétition dans dix jours

Trisomique, il s’entraîne pour être culturiste

 

(Capture d’écran, CNN)

S’entraîner pour les compétitions de culturisme n’est pas de tout repos, mais pour Collin Clark il s’agit d’un défi personnel.

L’Américain de 22 ans s’est imposé une routine extrême d’entraînement avec une diète stricte dans les derniers mois. Le résultat: il a perdu 60 livres.

Mais Collin Clark est atteint de trisomie 21. Pour l’encourager, il s’entraîne avec un culturiste de renom dans la région afin de participer à sa première compétition le 14 novembre.

«Je me sens tellement bien», dit Collin à une chaîne locale. Le culturisme fait partie de mon identité. J’ai toujours rêvé de le faire puisque je regardais les plus grands à la télévision lorsque j’étais enfant».

Lors de sa compétition, il aura une minute pour impressionner les juges, mais Collin n’est pas nerveux.

«Je ne vais jamais abandonner. Il faut toujours pousser ses limites et donner tout ce qu’on a», dit-il.

http://tvanouvelles.ca/

 

Je suis trisomique et « trois fois plus joyeux que vous »


Nous ne sommes plus au temps qu’on enfermait ou cachait ceux atteints de la trisomie 21, Aujourd’hui, ces personnes peuvent faire une différence dans une société. Puis pourquoi vouloir les exclure alors qu’ils ont des sourires et de l’amour à partager a profusion ?
Nuage

 

Je suis trisomique et « trois fois plus joyeux que vous »

 

Les propos d’une participante à l’endroit des personnes handicapées à Un souper presque parfait continuent de faire réagir. La chaîne V et l’équipe de production ont depuis offert leurs excuses, mais à Trois-Rivières, un professeur de l’UQTR croit que l’occasion est parfaite pour présenter un jeune trisomique qui contribue à la société québécoise, contrairement à ce qu’avait laissé entendre la participante.

Robin Sevette a 24 ans. Il est atteint de la trisomie 21. Ça ne l’a pas empêché de quitter seul sa France natale pour venir faire un stage de six semaines dans un laboratoire de recherche de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR).

Il rêvait de voir le Canada et de voyager seul.

« Mon plus gros défi depuis mon arrivée ici, c’est l’accent », rapporte-t-il à la blague.

« « Tri » veut dire « trois ». Je suis trois. Trois fois plus joyeux que vous. » — Robin Sevette

À l’UQTR, Robin Sevette participe à la création d’un site Web destiné, entre autres, aux personnes avec une déficience intellectuelle. Le jeune homme prononce aussi des conférences pour démystifier la trisomie 21.

« Robin est trisomique. Il a une déficience intellectuelle, mais il a pleinement sa place dans la société. Il contribue à la société. » Martin Caouette, professeur au département de psychoéducation de l’UQTR

En France, Robin Sevette vit seul dans un appartement supervisé. Il s’implique dans divers projets, comme cette publicité, pour contrer les préjugés à l’égard des trisomiques.

 

Robin Sevette retournera en France dans quatre semaines. Grâce à cette expérience de travail, il espère y trouver un emploi.

Avec les informations de Marie-Ève Cousineau.

http://ici.radio-canada.ca/