Les archéologues révèlent un nouveau trésor dans les ruines de Pompéi


    Pompéi est encore un endroit plein de mystère et dévoile encore ses secrets avec d’autres questions à chaque découverte. Une boite de bois en mauvais état a pu quand même conserver un trésor qui aurait probablement appartenu a une servante ou une esclave
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    Les archéologues révèlent un nouveau trésor dans les ruines de Pompéi

  • Les archéologues révèlent un nouveau trésor dans les ruines de PompéiDans une maison de la Regio V, les archéologues ont découvert les restes d’une boite en bois contenant de nombreux objets.© Parco Archeologico di Pompei

      Par Emeline Férard –

      Les archéologues révèlent un nouveau trésor dans les ruines de Pompéi

        Les archéologues qui mènent des fouilles dans les ruines de Pompéi ont fait une nouvelle découverte. Dans la zone appelée Regio V, ils ont mis au jour une vaste collection d’objets, incluant des bijoux et des amulettes, qui pourraient faire partie d’un « trésor de sorcière ».

        Les fouilles se poursuivent et les découvertes s’enchainent à Pompéi. Après avoir dévoilé une fresque de Narcisse et les ruines d’un « fast-food » vieux de 2.000 ans, c’est un nouveau trésor que les archéologues ont mis au jour dans l’antique cité. Une vaste collection d’objets qui pourraient, selon Massimo Osanna, directeur général du Parc archéologique de Pompéi, faire partie d’un « trésor de sorcière ».

        La découverte a eu lieu dans la zone appelée Regio V, étendue sur 21 hectares, où de nouvelles recherches ont démarré depuis plusieurs mois. Les objets sont apparus dans l’une des pièces d’une maison appelée Casa del Giardino. C’est dans ce même bâtiment qu’en octobre dernier, les archéologues ont révélé une inscription remettant en cause la date de l’éruption du Vésuve qui a dévasté Pompéi.

        Des miroirs, des pierres précieuses et des amulettes

        Le « trésor » en question se trouvait dans les restes d’une boite en bois. Le matériau s’étant complètement décomposé, il n’en demeurait plus que les charnières en bronze, préservées au fil des siècles par les cendres volcaniques. Mais son contenu a été retrouvé dans un remarquable état. Parmi les nombreux objets, les archéologues ont identifié deux miroirs, des pièces d’un collier ainsi que des éléments en faïence.

        Ils ont également trouvé plusieurs pierres précieuses, notamment une améthyste et une cornaline gravées, de l’ambre, des fragments d’os, une petite figurine humaine ainsi que des amulettes de forme phallique et en forme de scarabée. Autre élément de la collection : un disque de verre affichant ce que les spécialistes pensent être une figure gravée de Dionysos, le dieu romain de la vigne, de la fertilité et de la folie.

        Ce fragment de verre porte une gravure qui représenterait un satyre dansant ou peut-être Dionysos, le dieu romain de la vigne, de la fertilité et de la folie. – Parco Archeologico di Pompei

        D’après les archéologues, la qualité de l’ambre et des fragments de verre découverts confirme que la maison devait abriter un individu de haut rang. Toutefois, l’absence d’or – un matériau très apprécié à l’époque des riches habitants de Pompéi – suggère que le trésor pourrait ne pas appartenir au propriétaire mais plutôt à une servante ou une esclave, a expliqué Massimo Osanna à l’agence italienne ANSA.

        Plus intéressant encore, la fonction des objets n’était peut-être pas ornementale. Les archéologues ont en effet relevé que plusieurs des artéfacts pouvaient être vus comme des porte-bonheur tandis que d’autres pourraient avoir servi à se protéger de la malchance.

        Les colliers par exemple, pourraient ainsi « avoir été portés durant des rituels plutôt que dans le but d’avoir l’air élégant », a précisé le directeur.

        Outre la protection contre la malchance, il s’agissait peut-être de rituels de fertilité, de séduction ou encore de rituels visant à attirer de bons présages pour une future grossesse ou naissance. Le « trésor de sorcière » n’est cependant qu’une hypothèse émise par les archéologues. Une théorie qui reste pour le moment difficile à confirmer.

        Dix victimes découvertes

        Une seconde découverte réalisée dans la Casa del Giardino pourrait néanmoins aider à en savoir plus sur la mystérieuse collection. Dans la même maison, l’équipe de fouilles a en effet révélé une pièce contenant dix victimes parmi lesquelles des femmes et des enfants figés par les cendres.

        « Peut-être que la précieuse boite appartenait à l’une de ces victimes », a avancé Massimo Osanna dans un communiqué.

        Là encore, difficile de le déterminer alors qu’on ignore tout de l’identité des individus. Des analyses ADN vont être menées pour en savoir plus et notamment pour établir s’il existait des liens de parenté entre les différentes victimes. Parallèlement, les spécialistes ont également commencé à étudier les symboles et les iconographies associés aux objets afin de mieux comprendre leur signification et leur fonction.

        La collection d’objets contenait également un petit crane sculpté et des amulettes de scarabée. – Parco Archeologico di Pompei

        Bien que ses secrets restent à élucider, cette collection livre d’ors et déjà un aperçu précieux sur le passé de Pompéi et surtout sur la catastrophe qui a frappé ses habitants en l’an 79.

        « Ce sont des objets du quotidien de l’univers féminin et ils sont extraordinaires parce qu’ils racontent des micro-histoires, des biographies des habitants de cette ville qui ont essayé d’échapper à l’éruption », a commenté le directeur.

        Les bijoux retrouvés dans la Casa del Giardino seront prochainement présentés, aux côtés d’autres artéfacts pompéiens similaires, dans une exposition intitulée « Vanity » consacrée aux bijoux des Cyclades, de Pompéi et d’autres sites italiens.

        https://www.geo.fr/

    En Russie, un trésor perdu pendant près d’un siècle refait surface


    À l’époque des tsars la famille Narychkine a fui la Russie en cachant leur trésor dans une pièce secret dans l’un des manoirs qui leur appartenaient et ce n’est qu’en 2012 que ce trésor a été découvert par des ouvriers lors des réparations.
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    En Russie, un trésor perdu pendant près d’un siècle refait surface

     

    © epa.

    Plus de 2.000 objets en argent pesant au total 400 kilos: depuis la révolution bolchévique il y a un siècle, le trésor de la famille Narychkine était considéré comme perdu. Découvert par hasard par des ouvriers, il s’expose désormais à Saint-Pétersbourg.

    Grande famille noble de l’époque tsariste, les Narychkine ont fui la Russie après la révolution bolchévique de 1917. C’est dans l’un des manoirs leur ayant appartenu dans la deuxième ville du pays qu’a été découvert ce trésor estimé à environ 2,6 millions d’euros.

    « Une trouvaille de la sorte est extrêmement rare: un trésor dans son intégrité, ayant appartenu à une même famille et très bien conservé. C’est unique », s’est félicitée mardi Olga Taratynova, directrice du musée du palais de Tsarskoïé Selo, à qui est revenue la collection.

    Le trésor a été découvert en 2012 lors de travaux de réparation dans un bâtiment situé en plein centre de l’ancienne capitale impériale. Les ouvriers y ont découvert par hasard, après avoir cassé une maçonnerie en briques, une petite salle secrète renfermant des caisses remplies d’objets en métal précieux.

    Les ouvriers qui ont découvert le trésor ont tenté de le dérober 

    Selon la presse locale, les ouvriers ont alors tenté de dérober le trésor avant d’être pris en flagrant délit.

    Les objets ont été offerts en 2018 par l’Etat au musée de Tsarskoïé Selo, situé dans un ancien palais impérial près de Saint-Pétersbourg.

    Il s’agit d’objets du quotidien tels que des services de table réalisés par les meilleurs joailliers russes, principalement en argent, des miroirs, encensoirs, médailles et divers objets décoratifs. Le tout était soigneusement emballé dans des journaux et des tissus imbibés d’acide acétique, ce qui a permis leur bonne conservation.

    L’une des familles les plus riches de la Russie impériale

    « A l’époque, tout cela faisait partie d’objets du quotidien de l’une des familles les plus riches de Russie », a souligné Mme Taratynova, relevant une « valeur artistique énorme », par exemple avec un service de table exécuté par le joaillier de la cour impériale.

    https://www.7sur7.be/

    Ces explo­ra­teurs pensent avoir loca­lisé le mythique trésor de la flotte espa­gnole de 1715


    Il y a de quoi de saliver devant un possible trésor de 4 milliards de dollars US. Enfin, pour le moment, les archéologues marins supposent savoir l’emplacement, il reste maintenant à le vérifier.
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    Ces explo­ra­teurs pensent avoir loca­lisé le mythique trésor de la flotte espa­gnole de 1715

     

    par  Ulyces

    Dans un endroit tenu confi­den­tiel au large de la Floride, des explo­ra­teurs pensent se rappro­cher de ce qui pour­rait être l’un des plus gros magots archéo­lo­giques de notre époque.

    En effet, les chas­seurs de trésor ont remonté un ancien masque funé­raire de l’époque préco­lom­bienne au large de la plage de Melbourne Beach. Et ils ont quelques raisons de penser qu’il fait partie d’un trésor englouti d’une valeur de quatre milliards de dollars, rappor­tait le jour­nal local Florida Today le 22 janvier 2019.

    Selon les cher­cheurs de la Seafa­rer Explo­ra­tion Corpo­ra­tion, ce fabu­leux trésor aurait coulé avec un navire espa­gnol en 1715 lors d’un oura­gan, alors qu’il se diri­geait vers l’Es­pagne depuis Cuba. Le Dr Mike Torres, profes­seur au Massa­chu­setts Insti­tute of Tech­no­logy (MIT), est à sa recherche depuis 11 ans. Selon lui, le masque funé­raire aurait été dérobé par les colons espa­gnols dans un tombeau au Pérou.

    Crédits: Click Orlando

    Si le reste du trésor venait à être décou­vert, la légis­la­tion améri­caine prévoit que Torres et la Seafa­rer Explo­ra­tion Corpo­ra­tion pour­raient en conser­ver 80 %. Mais Torres, qui se veut rassu­rant, a déclaré que le trésor serait conservé dans une collec­tion qui pourra être visi­tée par le public. L’état de Floride garde­rait le reste de la décou­verte.

    Source : Florida Today

    https://www.ulyces.co/

    Un trésor du XVIIIe siècle retrouvé dans le Danube


    Le Danube a connu une grande sécheresse que son niveau d’eau est très bas, ce qui a causé des problèmes de navigations. Cependant, ils ont découvert un trésor dans une épave, ils se dépêchent à remonter le tout avant une montée des eaux prévus.
    Nuage

     

    Un trésor du XVIIIe siècle retrouvé dans le Danube

    © afp.

    Des archéologues ont découvert un trésor de quelque 2.000 pièces d’or et d’argent à bord d’une épave gisant au fond du Danube depuis le 18e siècle et révélée par le niveau exceptionnellement bas des eaux du fleuve, ont-ils annoncé jeudi.

    « Environ 2.000 pièces de monnaie ont été trouvées, ainsi que des armes, piques, boulets de canon, épées et autres sabres », a confié à l’agence MTI Katalin Kovacs, archéologue au Centre du musée Ferenczy de Szentendre, près de Budapest.

    Les archéologues sur place

    La découverte s’est produite cette semaine à Erd, au sud de Budapest, où les archéologues travaillaient jeudi d’arrache-pied pour extraire un maximum d’éléments avant une imminente remontée des eaux, a constaté un photographe de l’AFP.

    Sécheresse

    Comme plusieurs autres cours d’eau d’Europe, le Danube est au plus bas après un long épisode de sécheresse. Son niveau est tombé à 38 cm à Budapest, un record historique qui affecte la navigation fluviale.

    Pièces d’or et d’argent

    Le trésor d’Erd a été trouvé à bord de l’épave d’un navire commercial dont la nationalité doit encore être déterminée, on indiqué les archéologues. Il comprend des pièces d’or et d’argent, dont des ducas et des pennies.

    Pièces étrangères

    « Les pièces sont à 90% étrangères et datent de 1630 à 1743 », a précisé l’archéologue Balazs Nagy à la radio privée Klub, soulignant qu’elles avaient été frappées aux « Pays-Bas, en France, à Zurich, ou encore au Vatican ».

    Remontée des eaux

    Les archéologues sont assistés dans leur travail par des plongeurs et des drones afin d’extraire le plus de matériaux possible alors qu’une forte remontée du niveau des eaux est attendue à partir de samedi.

    Pont François-Joseph

    Le niveau bas du fleuve a déjà mené à la mise au jour de débris de l’ancien pont François-Joseph de Budapest, détruit pendant la Seconde guerre mondiale, ainsi que d’une bombe américaine de la même époque.

    https://www.7sur7.be/

    Le Saviez-Vous ► 10 découverte faires par pur hasard


    Hasard ou bien opportunité ? Qu’il s’agisse d’une erreur, d’une recherche ou même d’une découverte en jouant, des gens ont eu cette opportunité d’être là au bon moment, et cela a changer leur vie
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    10 découverte faires par pur hasard

    Une pierre en or

    image: Rob Lavinsky, iRocks.com/Wikimedia

    Un fermier australien marchait dans ses champs avec un détecteur de métaux à la recherche d’une pièce de métal qu’il avait perdue : soudain, l’appareil a donné un certain signal, le fermier a découvert que c’était celui pour les petites pépites d’or. Il a continué à creuser plus profondément et a fini par trouver un agglomérat d’or de 5,5 kg, d’une valeur de plus de 300 000 $.

    La super glue

    image: Glsysrp/Wikimedia

    La colle a été découverte par hasard par un chimiste américain en 1942 : son équipe travaillait sur un plastique qui devait servir comme viseur pour les armes utilisées pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque l’homme a accidentellement synthétisé un matériau à haut pouvoir d’étanchéité. La colle est devenue célèbre de nombreuses années plus tard, en 1985, et a généré un commerce de plusieurs milliards de dollars.

    Le trésor caché pendant 14 ans

    image: Dpulitzer/Wikimedia

    Un homme avait ramassé des pierres lors d’une de ses nombreuses promenades : dans le seau qu’il transportait, il y en avait une particulièrement brillante dont il est tombé amoureux instantanément.

    C’est seulement 14 ans plus tard, qu’il décida de faire expertiser cette pierre par un expert, c’est ainsi qu’il a découvert qu’il s’agissait d’une opale noire rare d’une valeur de 3 millions de dollars : la pierre reçut le nom d’« Opale royale ».

    Le mur de monnaies

    image: pexels.com

    Un groupe d’enfants avait découvert une maison abandonnée dans laquelle ils allaient jouer : un jour ils ont trouvé des pièces de monnaie près d’un mur qu’ils ont fait voir à leurs parents. Ces derniers, intrigués, sont arrivés sur place et ont abattu le mur pour découvrir un trou rempli de pièces de monnaie, certaines étaient si rares qu’elles valaient 200 millions de dollars.

    La Pyura Chilensis

    image: Melitza Espinoza Pizarro/Facebook

    Si vous êtes au Chili et au Pérou, gardez les yeux grands ouverts : si vous trouvez quelque chose de semblable, vous serez en face d’une rareté. C’est un invertébré marin très apprécié dans la cuisine du monde entier, qui se trouve exclusivement sur une partie de la côte entre le Chili et le Pérou.

    Les esquimaux

    image: Abi Porter/Flickr

    Les glaçons sont nés en 1905, lorsqu’un enfant a laissé dans le jardin un verre d’eau avec un bâton à l’intérieur. D’où l’idée de créer quelque chose de savoureux en ajoutant des sirops de fruits à l’eau.

    L’invention du four à micro-ondes

    image: Unknown/Imgur

    Il semblerait que même le four à micro-ondes ait été inventé de manière totalement aléatoire : la découverte est attribuée à Percy Spencer, un employé d’une société américaine de défense nationale, qui a découvert que le magnétron d’un radar avait été capable de faire fondre sa barre de chocolat.

    La découverte qui a changé le monde

    image: CalibuonWikimedia

    Nous savons que la pénicilline a été découverte en 1928 par Alexander Fleming, mais les moyens qu’il a utilisés sont moins connus : il semblerait que le médecin soit retourné chez lui après quelques jours de vacances et qu’il ait trouvé les plats dans lesquels il avait mangé avant de partir couvert de moisissure. En analysant la substance, il a découvert que les moisissures avaient tué la bactérie. Aujourd’hui, nous pouvons avoir cet antibiotique puissant parce que Fleming a oublié de laver la vaisselle.

    Immagine: Dr Graham Beards/Wikimedia

    Le Coca Cola

    image: pixabay.com

    John Pemberton a créé la fameuse boisson pour soigner les maux de tête. L’un de ses assistants, cependant, a fait de la confusion et a mélangé les feuilles et les drupes de coca avec de l’eau gazeuse, et une boisson au goût pétillant en est sortie.

    Millionnaires à l’improviste

    image: Mike Peel/Wikimedia

    Deux fermiers anglais partirent à la recherche d’un marteau perdu par l’un d’entre eux avec un détecteur de métaux : au lieu de l’outil de travail, ils trouverent un coffret en bois avec des clous métalliques. A l’intérieur il y avait un trésor de 15 millions de dollars : ils ont tous les deux donné leur butin au British Museum et ils ont reçu une récompense de 2,3 millions de dollars, qu’ils se sont partagés entre eux.

    http://www.regardecettevideo.fr

    Le «Saint-Graal des épaves de navires» retrouvé dans les Caraïbes


    Je comprends pourquoi  la découverte du galion espagnol qui a coulé en juin 1708, amène des querelles juridiques en plusieurs pays et des compagnies privées .. Juste son trésor équivaut à environs 17 milliards $ US.
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    Le «Saint-Graal des épaves de navires» retrouvé dans les Caraïbes

     

    L'emplacement exact du San Jose, que l'on considère depuis... (Photo Associated Press)

    L’emplacement exact du San Jose, que l’on considère depuis longtemps comme le «Saint-Graal des épaves de navires», était l’un des plus vieux mystères maritimes.

    PHOTO ASSOCIATED PRESS

     

    Associated Press
    Boston

    L’épave d’un galion espagnol chargé d’or et de pierres précieuses qui a coulé il a plus de 300 ans a été retrouvée au fond de la mer des Caraïbes, au large des côtes de la Colombie.

    L’épave du San Jose a dans les faits été repérée il y a trois ans par un véhicule sous-marin autonome d’une organisation américaine privée, le Woods Hole Oceanographic Institution (WHOI), mais ce n’est que lundi que les détails de la découverte ont été rendus publics.

    L’emplacement exact du San Jose, que l’on considère depuis longtemps comme le «Saint-Graal des épaves de navires», était l’un des plus vieux mystères maritimes.

    Le galion de trois mats et 62 canons a été coulé le 8 juin 1708 lors d’un affrontement avec des navires britanniques. Il avait à son bord non seulement quelque 600 membres d’équipage, mais aussi un trésor d’or, d’argent et de pierres précieuses dont la valeur pourrait aujourd’hui atteindre 17 milliards $ US.

    C’est une sonde REMUS 6000 du WHOI qui a pris en novembre 2015 les images sonar latérales qui ont permis de repérer le San Jose par plus de 2000 mètres de fond.

    La sonde est passée à seulement 30 mètres au-dessus de l’épave. Plusieurs photos, dont celles qui montrent des dauphins gravés sur les canons, ont permis d’identifier positivement l’épave.

    L’agence culturelle des Nations unies, l’UNESCO, demande depuis longtemps à la Colombie de ne pas exploiter commercialement l’épave du San Jose, dont l’emplacement exact est un secret d’État.

    Le trésor fait l’objet de plusieurs querelles juridiques entre plusieurs pays et plusieurs compagnies privées. Il demeure pour le moment au fond de l’eau.

     

    http://www.lapresse.ca/

    Le Saviez-Vous ► 10 découvertes faites par hasard


     

    Il y a des découvertes qui ne sont vraiment pas anodines, bon, il y a ceux qui ont fait avancer la science, alors que d’autres ont fait gonfler leur portefeuille.
    Nuage

     

    10 découvertes faites par hasard

    Savez-vous que, selon un expert, chacun d’entre nous peut faire augmenter sa chance ? Il suffit de suivre quelques règles, c’est-à-dire : 1) faire de nouvelles connaissances, être détendu et ouvert à de nouvelles opportunités, 2) écouter son sixième sens, 3) s’attendre à avoir de la chance, 4) essayer de réévaluer les événements que l’on considère comme malheureux. Ces gens ont probablement suivi ces recommandations à la lettre, et avec un coup de chance ils sont devenus les personnes les plus riches de la Terre !

    Une pierre en or

    image: Rob Lavinsky, iRocks.com/Wikimedia

    Un fermier australien marchait dans ses champs avec un détecteur de métaux à la recherche d’une pièce de métal qu’il avait perdue : soudain, l’appareil a donné un certain signal, le fermier a découvert que c’était celui pour les petites pépites d’or. Il a continué à creuser plus profondément et a fini par trouver un agglomérat d’or de 5,5 kg, d’une valeur de plus de 300 000 $.

    La super glue

    image: Glsysrp/Wikimedia

    La colle a été découverte par hasard par un chimiste américain en 1942 : son équipe travaillait sur un plastique qui devait servir comme viseur pour les armes utilisées pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque l’homme a accidentellement synthétisé un matériau à haut pouvoir d’étanchéité. La colle est devenue célèbre de nombreuses années plus tard, en 1985, et a généré un commerce de plusieurs milliards de dollars.

    Le trésor caché pendant 14 ans

    image: Dpulitzer/Wikimedia

    Un homme avait ramassé des pierres lors d’une de ses nombreuses promenades : dans le seau qu’il transportait, il y en avait une particulièrement brillante dont il est tombé amoureux instantanément.

    C’est seulement 14 ans plus tard, qu’il décida de faire expertiser cette pierre par un expert, c’est ainsi qu’il a découvert qu’il s’agissait d’une opale noire rare d’une valeur de 3 millions de dollars : la pierre reçut le nom d’« Opale royale ».

    Le mur de monnaies

    image: pexels.com

    Un groupe d’enfants avait découvert une maison abandonnée dans laquelle ils allaient jouer : un jour ils ont trouvé des pièces de monnaie près d’un mur qu’ils ont fait voir à leurs parents. Ces derniers, intrigués, sont arrivés sur place et ont abattu le mur pour découvrir un trou rempli de pièces de monnaie, certaines étaient si rares qu’elles valaient 200 millions de dollars.

    La Pyura Chilensis

    image: Melitza Espinoza Pizarro/Facebook

    Si vous êtes au Chili et au Pérou, gardez les yeux grands ouverts : si vous trouvez quelque chose de semblable, vous serez en face d’une rareté. C’est un invertébré marin très apprécié dans la cuisine du monde entier, qui se trouve exclusivement sur une partie de la côte entre le Chili et le Pérou.

    Les esquimaux

    image: Abi Porter/Flickr

    Les glaçons sont nés en 1905, lorsqu’un enfant a laissé dans le jardin un verre d’eau avec un bâton à l’intérieur. D’où l’idée de créer quelque chose de savoureux en ajoutant des sirops de fruits à l’eau.

    L’invention du four à micro-ondes

    image: Unknown/Imgur

    Il semblerait que même le four à micro-ondes ait été inventé de manière totalement aléatoire : la découverte est attribuée à Percy Spencer, un employé d’une société américaine de défense nationale, qui a découvert que le magnétron d’un radar avait été capable de faire fondre sa barre de chocolat.

    La découverte qui a changé le monde

    image: CalibuonWikimedia

    Nous savons que la pénicilline a été découverte en 1928 par Alexander Fleming, mais les moyens qu’il a utilisés sont moins connus : il semblerait que le médecin soit retourné chez lui après quelques jours de vacances et qu’il ait trouvé les plats dans lesquels il avait mangé avant de partir couvert de moisissure. En analysant la substance, il a découvert que les moisissures avaient tué la bactérie. Aujourd’hui, nous pouvons avoir cet antibiotique puissant parce que Fleming a oublié de laver la vaisselle.

    Immagine: Dr Graham Beards/Wikimedia

    Le Coca Cola

    image: pixabay.com

    John Pemberton a créé la fameuse boisson pour soigner les maux de tête. L’un de ses assistants, cependant, a fait de la confusion et a mélangé les feuilles et les drupes de coca avec de l’eau gazeuse, et une boisson au goût pétillant en est sortie.

    Millionnaires à l’improviste

    image: Mike Peel/Wikimedia

    Deux fermiers anglais partirent à la recherche d’un marteau perdu par l’un d’entre eux avec un détecteur de métaux : au lieu de l’outil de travail, ils trouverent un coffret en bois avec des clous métalliques. A l’intérieur il y avait un trésor de 15 millions de dollars : ils ont tous les deux donné leur butin au British Museum et ils ont reçu une récompense de 2,3 millions de dollars, qu’ils se sont partagés entre eux.

    http://www.regardecettevideo.fr/

    Allemagne : un enfant découvre un trésor d’un célèbre roi danois du Xe siècle


    Pour un garçon de 13 ans, c’est une expérience unique. Avec l’aide d’un archéologue amateur, ils ont réussi à trouver un trésor du Xe siècle qui aurait probablement appartenue au roi Danois, le roi Harald à la Dent bleue.
    Nuage

     

    Allemagne : un enfant découvre un trésor d’un célèbre roi danois du Xe siècle

     

     

    Aidé d’un archéologue amateur, un écolier de 13 ans a mis au jour un «trésor unique» composé de centaines de pièces, de perles ou encore d’un marteau de Thor sur l’île allemande de Rügen.

    Un enfant de 13 ans et un archéologue amateur ont découvert sur l’île allemande de Rügen un trésor «unique» ayant pu appartenir au roi Harald à la Dent bleue qui a introduit le christianisme au Danemark. Le trésor est composé de centaines de pièces, de perles, d’un marteau de Thor, de broches et d’anneaux brisés, rapporte l’agence allemande Dpa ce lundi, citant l’archéologue amateur René Schön et l’office archéologique régional.

    Une pièce datant du Xe siècle.

    René Schön et l’écolier, Luca Malaschnitschenko, ont fait la découverte d’une pièce en janvier à l’aide d’un détecteur de métal dans un champ près de la localité de Schaprode sur cette île de Rügen en mer Baltique. Et les autorités locales ont procédé à l’excavation du trésor les 14 et 15 avril. Une centaine de pièces semblent dater du royaume de Harald 1er (910-987), roi unificateur qui a rejeté les croyances viking et lancé la christianisation du Danemark. Des pièces plus anciennes et provenant de contrées très éloignées ont aussi été retrouvées, notamment un Dirham de Damas transformé en bijou et datant de 714.

    Les pièces les plus récentes datent des années 980, ce qui laisse croire que ce trésor a pu être caché par l’entourage de Harald Ier qui, après avoir perdu une bataille contre son propre fils en 986, avait fui vers la Poméranie où il est mort un an plus tard, selon la littérature du Xe siècle, explique Dpa.

    Une découverte «unique en son genre»

     

    «Nous avons ici un cas rare, lorsqu’une découverte a l’air d’être en lien avec des sources historiques», explique l’archéologue en chef de la région allemande du Mecklembourg-Poméranie orientale, Detlef Jantzen, «le trésor de Schaprode est une découverte unique en son genre».

    Des bijoux datant de la même époque avaient déjà été découverts non loin de là, sur l’île de Hiddensee à la fin du XIXe siècle. Les historiens de la région considèrent aussi que ces objets précieux ont pu être cachés lors de la fuite du roi.

    Harald à la Dent bleue est une figure historique importante dans l’espace nordique. C’est en son honneur que la technologie de communication sans fil Bluetooth a été baptisée. Le symbole du Bluetooth est d’ailleurs un mélange de deux lettres d’alphabets runiques représentant les initiales du roi Harald.

    http://www.lefigaro.fr/

    Il a trouvé une corde étrange dans le mur de son grenier.


    Dans des conflits, des guerres, des gens vont fuir ou être expulsé et laissent derrière eux toutes leurs affaires. C’est ce qu’il est arrivé a une famille allemande en Tchécoslovaquie. Un  homme de 80 ans a eu la permission de revenir dans sa maison d’enfance et a trouver ce que la famille avaient caché dans le cas qu’ils auraient revenir à la maison. L’homme ne peut garder ces objets, l’État conserve tout les avoirs pour leurs valeurs historiques
    Nuage

     

    Il a trouvé une corde étrange dans le mur de son grenier.

     

    Daily Mail

    Il y a eu beaucoup d’histoires de secrets ou de possessions dissimulés pendant les années de guerre ou de crise.

    Même s’ils sont restés au même endroit et invisibles pendant des décennies, leur découverte est toujours un moment de suspense.

    Un homme est « retourné » chez lui pour chercher des biens familiaux que son père avait cachés avant qu’ils ne soient obligés d’évacuer le pays.

    Ce dernier lui avait appris un moyen spécial pour trouver les objets cachés, mais ce n’était pas facile de les retrouver. Sept décennies après les avoir vus pour la dernière fois, il était difficile de dire si les objets avaient survécu aux affres du temps.

    Heureusement, les objets, qui n’avaient pas été touchés depuis les années ayant suivi la Seconde Guerre mondiale, ont été retrouvés intacts. Le Daily Mail a interrogé certaines des personnes impliquées dans la découverte.

    Juste après la Seconde Guerre mondiale, Rudi Schlattner et sa famille ont quitté leur domicile de Tchécoslovaquie. Ils ont été obligés d’évacuer leur maison à cause de l’expulsion de masse par le gouvernement tchèque des populations originaires d’Allemagne.

    M. Schlattner, qui a maintenant 80 ans, souhaitait retrouver sa maison d’enfance. Il a contacté les autorités gouvernementales de Libouch, un village du nord-ouest de la République tchèque, où se trouvait la maison qui était la sienne quand il était enfant.

    Une fois dans sa maison d’enfance, M. Schlattner dévoila quelque chose d’absolument incroyable. Une fois dans le grenier, il a regardé un petit morceau de corde qui pendait de l’un des panneaux en bois. Après l’avoir tiré, un ensemble d’étagères est apparu.

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    Ces étagères secrètes abritaient une collection entière d’objets vieux de plusieurs dizaines d’années.

    Il s’agissait des trésors cachés par le père de M. Schlattner avant leur expulsion. Avec les années, M. Schlattener craignait la destruction et la découverte de ces biens, car le toit de la maison avait subi de nombreuses réparations.

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    Le père de M. Schlattener a caché un total de 70 paquets dans le grenier, et il les a très bien dissimulés. Selon Tomas Okura, un directeur de musée présent lors de la découverte, M. Schlattner a frappé les panneaux à l’aide d’un marteau pour localiser les biens cachés.

    « Ils faisaient tous le même son », a-t-il confié au journal tchèque Blesk. Puis, il a essayé de trouver une corde censée détacher les panneaux, un système mis en place par son père. »

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    Certains des paquets, qui n’avaient pas été touchés depuis 70 ans, étaient enveloppés de papier kraft. D’autres objets n’étaient pas emballés, comme des chapeaux, des cintres, des journaux, des peintures et même des skis.

    Les paquets semblaient contenir des parapluies, des presse-papiers, des stylos, des tables d’école, des cigarettes, des badges, des livres, des chaussettes, et des kits de couture. Tout semblait en bon état.

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    Le père de M. Schlattner a construit la maison entre 1928 et 1929. Après avoir quitté la maison, il a toujours souhaité y revenir un jour et retrouver ses biens.

    Les trésors seront conservés dans un musée de la vile Tchèque d’Ustí nad Labem. L’État peut légalement conserver tous les biens laissés derrière eux par les membres de la population allemande durant les années ayant suivi la guerre.

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    Pour le moment, tous les paquets ont été transférés au musée, pour y être examinés et répertoriés.

    Considérant les circonstances dans lesquelles ces objets ont été trouvés, on leur a conféré une haute valeur historique.

    « Les paquets étaient dissimulés avec beaucoup de soin dans une lucarne », a ajouté Tomas Okura.

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    « C’était incroyable de voir autant de choses tenir dans un si petit espace. Il a fallu plus d’une heure pour tout sortir. »

    Selon le directeur du musée ayant examiné les trésors, une telle découverte de « biens allemands » cachés est très rare dans la région.

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    Le musée qui recevra les artéfacts n’a pas encore été déterminé, mais M. Schlattner a accepté le fait qu’il ne pourrait pas les garder.

    Malgré sa santé fragile, il a accepté d’aider à identifier les biens.

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    Durant l’expulsion des personnes d’origine allemande après la guerre, plus d’un million de civils ont été arrachés à leurs domiciles. La majorité de ces évacués se sont finalement installés dans la zone américaine d’Allemagne de l’Ouest. Environ 800 000 personnes ont été expulsées de la zone soviétique après la guerre.

    M. Schlattner et sa famille se sont installés en Allemagne. Ils ont juste eu le temps de cacher leurs biens avant leur départ.

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    « Nous pensions revenir un jour et trouver une propriété ici », a déclaré M. Schlattner.

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    Trésor du Mont-Blanc: le mystère n’est pas encore résolu


    Un trésor trouvé en Europe sur le Mont Blanc sans savoir a qui il appartient. Il serait probablement atterri lors d’un des crashs d’Air India. L’un il y a 50 ans et l’autre il y a 16 ans. Bref, un alpiniste a trouvé ce trésor, et a préférer l’amener à la police, en 2013, sauf qu’il n’a pas eu d’écho de l’enquête. S’ils ne trouvaient pas le propriétaire en 2 ans, une moitié de ce trésor devait lui revenir
    Nuage

     

    Trésor du Mont-Blanc: le mystère n’est pas encore résolu

     

    Christophe Da Silva

      Source: Le Dauphiné

     Un jeune alpiniste, qui avait découvert en 2013 une centaine de pierres précieuses dans le massif du Mont-Blanc, attend toujours de savoir si les gendarmes ont mis la main sur un éventuel propriétaire. La loi prévoit que le pactole, estimé entre 130.000 et 246.000 euros. pourrait bien lui revenir.

    Petit rappel des faits. En septembre 2013, un jeune alpiniste avait découvert un trésor de pierres précieuses sur un glacier du Mont-Blanc, provenant probablement du crash d’un avion indien vieux d’un demi-siècle.

    Le jeune Savoyard, qui a souhaité garder l’anonymat, a fait cette découverte cet été alors qu’il évoluait sur le glacier des Bossons, une énorme langue de glace qui s’écoule depuis le sommet du toit de l’Europe occidentale.

    Émeraudes, saphirs et rubis

    « Il aurait pu garder ça pour lui mais a préféré les amener à la gendarmerie de Bourg-Saint-Maurice (Savoie), près de son lieu de résidence, le 9 septembre, a expliqué à l’AFP le chef d’escadron Sylvain Merly, commandant de la compagnie de gendarmerie d’Albertville.

    Les pierres précieuses, des émeraudes, saphirs et rubis, ont été placées sous scellés, puis leur valeur a été évaluée par un joaillier local: entre 130.000 et 246.000 euros.

    Deux accidents d’avion

    Ce trésor provient très vraisemblablement d’un avion indien qui s’était écrasé dans le massif il y a plus de cinquante ans, deux crashs ayant eu lieu à 16 ans d’intervalle.

    Le Malabar Princess, un avion d’Air India, s’était écrasé le 3 novembre 1950 à 4.700 mètres d’altitude, faisant 48 morts. La rumeur avait alors couru qu’il contenait des lingots d’or, sans qu’on n’en retrouve cependant la moindre trace.

    Qui a hérité du précieux magot?

    Le 24 janvier 1966, c’était au tour du « Kangchenjunga », un Boeing 707 lui aussi de la compagnie Air India, qui effectuait la liaison Bombay-New York. Il s’était écrasé sur le même glacier avec 117 passagers à bord à environ 4.750 mètres d’altitude. Aucun passager n’avait survécu à l’accident.

    Mais, cinq ans après la découverte de ce trésor, une question subsiste: qui a hérité du précieux magot? (continuez à lire sous la vidéo)

    Aujourd’hui, le jeune Savoyard s’est fait entendre dans les colonnes du Dauphiné.

    « Je ne pensais pas trouver un trésor », rembobine-t-il.

    Il ajoute: Les gendarmes m’ont dit qu’ils me donneraient des nouvelles au fil de l’enquête… Je n’en ai jamais eu ».

    50-50?

    L’alpiniste s’inquiète également du fait qu’il n’a pas reçu une copie de sa déposition, ni d’inventaire précis des 49 sachets mis sous scellés. Ils dorment aujourd’hui dans le coffre d’une banque.

    En 2013, le procureur avait indiqué que la moitié du butin reviendrait au jeune alpiniste si aucun propriétaire n’était retrouvé dans un délai de deux ans. L’autre moitié appartiendrait dès lors au propriétaire du glacier des Bossons, c’est-à-dire à la commune de Chamonix.

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