New York : des traces d’anthrax et de peste bubonique retrouvées dans le métro


Doit-on être surpris ? Que ce soit à New-York ou ailleurs en métro, en autobus, il n’est pas surprenant qu’il y est autant de microbes, virus, bactéries quoiqu’il est surprenant qu’ils aient trouvé des éléments d’anthrax et de peste bubonique.
Nuage

 

New York : des traces d’anthrax et de peste bubonique retrouvées dans le métro

 

Si des centaines d'espèces de bactéries ont été recensées, elles sont pour la plupart inoffensives.

Si des centaines d’espèces de bactéries ont été recensées, elles sont pour la plupart inoffensives.Photo : JEWEL SAMAD / AFP

ETATS-UNIS – Une étude menée pendant un an et demi par des chercheurs américains a recensé 637 espèces de bactéries dans le métro de New York. Des traces d’anthrax et de peste bubonique ont même été retrouvées.

C’est une étude qui pourrait dégoûter certaines personnes de prendre les transports en commun. Des chercheurs de l’université américaine de Cornell ont publié une carte des microbes trouvés dans les 960 km du métro new-yorkais fréquenté chaque jour par plus de cinq millions de passagers. Pas moins de 637 espèces de bactéries, virus et champignons ont été recensées dans le cadre du projet « PathoMap » lancé en juin 2013. La moitié des séquences d’ADN ne correspondent à aucun organisme connu.

Les chercheurs ont également découvert « des échantillons de bactéries causant des maladies résistantes aux médicaments, et même des fragments d’ADN associés à l’anthrax et à la peste bubonique », a indiqué l’université dans un communiqué.

Deux échantillons contiennent des fragments d’anthrax alors qu’un élément est associé à la peste bubonique.

Des microbes « pour la plupart inoffensifs »

Pas de panique, toutefois. Les traces d’anthrax découvertes restent en effet très modestes, rappelle l’université. Des analyses consécutives n’ont par ailleurs retrouvé aucune trace de vie sur ses bactéries.

« Pas besoin d’éviter le métro, ou de mettre des gants », estime l’université, qui se veut rassurante. « Les microbes qui vivent dans le métro de New York sont pour la plupart inoffensifs », a-t-elle précisé.

Les chercheurs ont par ailleurs eu une autre surprise. Dix espèces de bactéries correspondant à un environnement marin ont été découvertes à la station de métro South Ferry. Une station inondée durant l’ouragan Sandy en novembre 2012.

http://www.metronews.fr/

Accident ferroviaire à Ottawa: au moins six morts


Un accident qui n’aurait pas dû avoir lieu d’après certains témoignages. Il semblerait que tout était en ordre, les feux de signalisation et les barrières lors d’un passage d’un train … C’est l’autobus, mais pourquoi ?? Un malaise du chauffeur ?
Nuage

Accident ferroviaire à Ottawa: au moins six morts

 

  •  

    PHOTO LA PRESSE CANADIENNE

OTTAWA –Au moins six personnes se trouvant dans un autobus ont perdu la vie lorsque le véhicule est violemment entré en collision avec un train de la compagnie Via Rail, mercredi matin, à Ottawa. Dix autres personnes étaient dans un état critique à l’hôpital.

L’avant d’un autobus à double étage de la société de transport public OC Transpo a été anéanti par le train vers 8h48 à un passage à niveau, près de l’intersection de l’avenue Wodroffe et de la route Fallowfield. L’impact a freiné l’autobus qui n’a pas traversé les voies. Des débris du véhicule se trouvaient sur les rails.

Cinq personnes sont mortes sur place, tandis qu’une autre est décédée à l’hôpital. Le chauffeur serait parmi les victimes, puisque le syndicat des chauffeurs d’autobus a affirmé dans une déclaration avoir « perdu un des leurs». Au total, 31 blessés ont été transportés à l’hôpital.

Barrières abaissées

Selon des témoins de la tragédie, les barrières de sécurité du passage à niveau étaient abaissées.

«Tout était en bas. Tout le monde attendait. Mais l’autobus a traversé la barrière», a dit Mark Cogan qui était dans son auto, environ quatre véhicules derrière le chemin de fer.

Selon lui, l’autobus a percuté le deuxième ou le troisième wagon du train.

Gregory Mech, qui était dans l’autobus, a confirmé que les barrières étaient abaissées et que les feux prévenant les automobilistes du passage du train étaient allumés.

«Les passagers ont crié pour que le chauffeur s’arrête…», a-t-il dit.

Le conducteur de l’autobus aurait donc peut-être été victime d’un malaise. Il ne s’agit toutefois que d’une hypothèse.

Déraillement

De son côté, Via Rail a précisé sur son compte Twitter que personne à bord du train n’avait été blessé. Les passagers ont quitté la scène à pied après avoir eu une bonne frousse.

«C’était vraiment épeurant. C’était un accident terrible», a dit Vishnu Komenduri passager du train qui se rendait à Toronto.

La locomotive, qui s’est arrêtée une centaine de mètres plus loin, a déraillé à la suite de l’impact. La compagnie ferroviaire a mentionné que le service entre Ottawa et Toronto serait annulé mercredi.

Services d’urgence

Plusieurs services d’urgence ont été dépêchés sur les lieux. Les ambulanciers étaient sur place pour soigner les blessés et transporter rapidement les plus mal en point.

«Le centre d’urgence de la Ville a été mis en état d’alerte et toutes les ressources ont été déployées pour s’assurer que les personnes touchées soient traitées», a affirmé le maire d’Ottawa, Jim Watson.

Plusieurs personnes inquiètes pour des membres de leur famille ont aussi accouru sur place. Par la suite, les autorités ont mis sur pied un centre d’information pour ces familles au complexe récréatif de Nepean.

«J’espère avoir des informations pour savoir s’il est OK. Mais, on m’a dit qu’il fallait attendre [avant d’avoir des nouvelles]», a dit une femme inquiète pour le sort du père de son fils à l’extérieur de ce centre d’accueil.

L’accident, qui s’est produit en pleine heure de pointe, a causé d’importants problèmes de circulation dans le secteur.

Enquête

Des enquêteurs du Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST) étaient également sur place pour commencer leur travail. Ils ont mentionné qu’ils allaient examiner le consignateur d’événements de la locomotive (la «boîte noire») pour déterminer à quelle vitesse roulait le train. Le fonctionnement du passage à niveau, ainsi que les freins et la mécanique de l’autobus seront aussi analysés.

«Je n’ai pas toutes les informations, si on a appliqué les freins sur l’autobus. Nous allons commencer par là et continuer [l’enquête]», a précisé Glen Pilon du BST.

«Il y aura des comparaisons entre l’autobus accidenté et d’autres autobus», a ajouté l’enquêteur.

«Je ne peux pas commenter si c’est le train qui a frappé l’autobus ou l’inverse», a prudemment mentionné M. Pilon.

Risques

La vitesse des trains dans le secteur a déjà fait l’objet de discussions à l’hôtel de ville d’Ottawa par le passé.

Via Rail évaluait les risques associés à faire rouler des trains à haute vitesse dans ce secteur. En avril, la compagnie ferroviaire a mentionné que ses trains roulaient, en moyenne, de 60 à 70 km/h.

Toutefois, la conseillère municipale de Barrhaven, Jan Harder, a affirmé en conférence de presse que les trains roulent à moins de 10 km/h dans le secteur où a eu lieu la collision.

«Nous estimons que tous nos passages à niveau sont sécuritaires», a précisé la présidente de la commission du transport en commun de la région d’Ottawa, Diane Deans.

http://fr.canoe.ca

http://www.lapresse.ca

Des jardins en mouvement


Cela me semble une bonne idée en autant que cela ne fasse accélérer la rouille des autobus. C’est assez original comme idée. Mais rien ne pourra remplacer des espaces verts auxquels nous pouvons circuler
Nuage

 

Des jardins en mouvement

 

Dans certaines villes, comme New York, la mode est aux jardins sur les toits. Ou encore aux ruches, produisant leur propre miel. Et si les jardins choisissaient désormais comme terrain de jeu les transports publics, et pouvaient ainsi se déplacer?

Un paysagiste espagnol, dénommé Marc Granen et installé dans la région de Bescano, semble avoir trouvé la solution. Il s’agit d’installer sur les toits des bus des jardins. Un prototype, actuellement en fonctionnement à Girona, une station balnéaire située au Nord Est du pays, transporte des touristes, apparemment conquis par cette idée pour le moins originale. Des discussions sont en cours pour rééditer l’expérience dans une ville encore plus touristique, Barcelone.

La technologie, Phyto Kinetic, s’appuie sur une mousse hydroponique beaucoup plus légère que de la terre, ce qui permet de ne pas trop alourdir le toit. En été, l’eau issue de la condensation de l’air conditionné permet d’arroser automatiquement le jardin. En hiver, en l’absence d’air conditionné, il est toujours possible de le faire manuellement. Cette idée pourrait permettre de mettre du vert dans des villes qui ont peu de jardins publics, ou peu d’espace pour en construire. A titre d’exemple, dans une ville comme New york qui compte plusieurs milliers de bus, la mise en place de cette technologie pourrait permettre d’obtenir 100.000 mètre carrés d’espaces verts supplémentaires, purifiant ainsi l’air pollué de la ville…

http://www.zegreenweb.com