Du plastique pour acheter des titres de transport


Je trouve ce projet intéressant. Recycler des bouteilles de plastique contre de l’argent déposer dans un compte d’une personne via une application et qui permet de prendre le transport en commun. C’est une manière de responsabilisé les gens et de voir les avantages

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Du plastique pour acheter des titres de transport

Les résidants de Rome ont maintenant accès à une nouvelle façon d'acheter des... (PHOTO GREGORIO BORGIA, AP)


PHOTO GREGORIO BORGIA, AP


Associated Press
Rome

Les résidants de Rome ont maintenant accès à une nouvelle façon d’acheter des titres de transports en commun : le recyclage des bouteilles en plastique.

La Ville de Rome a dévoilé cette semaine trois machines expérimentales autour de certaines stations de métro. Les passagers peuvent y déposer une bouteille d’eau en plastique et recevoir en échange cinq centimes d’euros.

Selon l’autorité de transport ATAC de Rome, l’argent est déposé dans le compte des utilisateurs des applications partenaires « MyCicero » ou « Tabnet », qui permettent d’acheter des titres de transport en commun.

Le président de l’ATAC, Paolo Simioni, a affirmé mercredi que dans cette période où les cryptomonnaies font de plus en plus parler d’elles, Rome a maintenant sa « monnaie de plastique ».

« Essentiellement, c’est un système par lequel nous recyclons, nous fidélisons nos clients et nous récompensons le comportement vertueux des citoyens », a-t-il expliqué.

Rome entend mener ce projet pilote pendant un an.

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Elle verse de l’eau de Javel sur les hommes qui prennent trop de place


Une étudiante russe part en guerre contre les hommes qui prennent trop de place dans les transports en commun. Il est vrai que ces hommes auraient vraiment avantage de se serrer les jambes et respecter l’espace des autres. Cependant, jeter de l’eau de javel sur ces hommes me parait vraiment stupide et dangereux. Je crois que c’est vraiment que c’est question d’éducation et qu’il faut rappeler à l’homme un meilleur maintient.
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Elle verse de l’eau de Javel sur les hommes qui prennent trop de place

 

Dans ce pays européen, tous les bus sont gratuits


Tout un pays qui offre le transport en commun gratuitement, pour réduire le combustible fossile, c’est une bonne idée. Il y aurait toujours des voitures, mais plus d’usagers a prendre l’autobus, surtout si les parcours sont bien organisés.
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Dans ce pays européen, tous les bus sont gratuits

Tallinn, Estonie © getty.

L’Estonie est devenue le premier pays européen à offrir le trajet en bus gratuit sur quasiment l’ensemble du territoire, dans l’espoir de limiter l’exode rural et la consommation des combustibles fossiles.

« Il existe bien des villes et des régions en Europe où les transports en commun sont gratuits, mais jusqu’à présent il n’y a pas eu de projet de transport public gratuit à l’échelle nationale », s’est félicité jeudi Kadri Simson, la ministre de l’Économie et des Infrastructures.

Sur (presque) tout le territoire

Courant juillet, onze parmi les 15 comtés estoniens ont déjà lancé le bus gratuit.

« Nous cherchions comment animer les régions rurales, arrêter l’exode vers les villes », a indiqué à l’AFP Mme Simson, soulignant que le programme est le fruit de discussions entre le gouvernement central et les comtés. « Au niveau d’un comté, le transport gratuit par bus vise principalement à créer des possibilités pour la mobilité des habitants des régions rurales, afin de leur garantir l’accès aux services quotidiens », a-t-elle précisé.

Limiter l’usage de carburant fossile

Le Parlement estonien a décidé l’an dernier de limiter la consommation nationale des carburants fossiles, de sorte qu’à l’horizon de 2030 elle reste à son niveau de 2012.

« Cela signifie que nous devons trouver des moyens pour encourager les gens à voyager de manière plus écologique, par exemple en utilisant les transports en commun », a expliqué M. Simson, soulignant que cela pourrait contribuer à limiter le nombre de voitures particulières.

Gratuit à Tallinn depuis cinq ans

Depuis 2013, les bus gratuits sont disponibles à Tallinn. Le maire de la capitale Taavi Aas insiste sur le succès du projet malgré la croissance du nombre de voitures dans la ville. La moitié des utilisateurs des transports publics à Tallinn affirment avoir commencé à prendre les transports en commun plus souvent depuis qu’ils sont gratuits, selon l’enquête annuelle de satisfaction citoyenne, réalisée en 2017.

Mauvais pour le trafic ferroviaire?

Cependant, les critiques s’inquiètent de l’impact potentiellement négatif des bus gratuits sur le trafic ferroviaire. L’opérateur national Elron affiche pourtant son calme et se vante du nombre grandissant de ses passagers, en hausse de 8% cette année.

« La principale question est de savoir si le réseau des bus au niveau des comtés va soutenir ou concurrencer les trains, et cela est valable aussi bien pour les lignes de bus gratuites que payantes », a estimé Ronnie Kongo, le directeur des ventes et du développement d’Elron.

« A plus long terme, le trafic ferroviaire peut croître et se développer aussi dans les régions où le nombre de passagers augmente », a-t-il ajouté à l’AFP.

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Changements climatiques : le pouvoir des villes


Même si le gouvernement d’un pays tarde à diminuer les gaz à effet de serre, l’impact des changements climatiques, les villes peuvent faire des gestes concrets pour agir et faire la différence
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Changements climatiques : le pouvoir des villes

 

Le C40 Cities Climate Leadership Group cherche à... (ARCHIVES AP)

Le C40 Cities Climate Leadership Group cherche à lutter contre les changements climatiques et à réduire les gaz à effet de serre, tout en améliorant la santé, le bien-être et les possibilités économiques des citoyens urbains.

ARCHIVES AP

 

BOB WEBER
La Presse Canadienne
Edmonton

Les villes peuvent jouer un grand rôle à elles seules dans la lutte contre les changements climatiques, même si les autres niveaux de gouvernement ne s’y intéressent pas, a déclaré le maire d’Edmonton à une conférence internationale, lundi.

Don Iveson a rappelé que lorsque le président Donald Trump a annoncé son intention de retirer les États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat, plus de 90 maires américains avaient affirmé que leurs villes travailleraient malgré tout pour l’atteinte de ses cibles.

Depuis ce temps, 400 maires américains ont pris cet engagement, a soutenu M. Iveson à la conférence sur les villes et la science des changements climatiques, à Edmonton.

La rencontre est parrainée par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), qui compile des données internationales sur les impacts du réchauffement climatique.

L’évènement a attiré des centaines de délégués de partout dans le monde.

Don Iveson a souligné que les municipalités canadiennes pouvaient avoir un impact sur plus de la moitié des émissions de gaz à effet de serre générées au Canada.

Et ce ne sont pas juste les villes nord-américaines qui sont impliquées. M. Iveson a indiqué que le C40 Cities Climate Leadership Group comprenait 90 des plus grandes villes du monde, qui abritent 650 millions d’habitants et qui représentent le quart de l’économie mondiale.

Le C40 Cities Climate Leadership Group cherche à lutter contre les changements climatiques et à réduire les gaz à effet de serre, tout en améliorant la santé, le bien-être et les possibilités économiques des citoyens urbains.

La marge de manoeuvre des villes

Jonathan Koehn, directeur du développement durable pour la ville de Boulder, au Colorado, dit qu’il existe des moyens pour travailler dans un contexte où les gouvernements les plus puissants sont réticents à s’attaquer aux changements climatiques.

«L’aspect le plus insidieux est la résignation; l’acceptation indifférente que nous ne pouvons rien changer», a-t-il expliqué.

Plutôt que d’encourager les résidences et les entreprises à consommer moins d’énergie, la Ville de Boulder s’est concentrée à s’assurer que l’électricité fournie n’émettait pas de gaz à effet de serre, a relaté M. Koehn.

L’efficacité énergétique ne suffit pas, a-t-il plaidé. «Nous devons nous pencher sur l’offre.»

La plupart des émissions de gaz à effet de serre proviennent du transport, alors la conception urbaine est très importante dans ce contexte, a-t-il indiqué.

«Historiquement, nous avons traité les piétons comme des citoyens de seconde classe», a-t-il fait remarquer.

Les villes peuvent aussi travailler à rendre leur système de transports en commun plus efficace et plus abordable, selon lui.

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La raison pour laquelle on se réveille au bon arrêt dans les transports en commun


Malgré la fatigue surtout quand je voyageais tous les jours en autobus de la ville, je n’osais pas m’assoupir, mais une dame qui se concentrait à lire racontait que son corps savait quand elle arrivait a destination. Il semble que le cerveau lance un son de cloche pour se réveiller un peu avant la destination
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La raison pour laquelle on se réveille au bon arrêt dans les transports en commun

 

© photo news.

Ce n’est pas une question de chance mais bien un mécanisme scientifique.

Si vous êtes un habitué des transports en commun, alors vous vous êtes déjà sûrement rendus compte que, lorsque vous somnolez, vous vous réveillez toujours quelques minutes avant votre arrêt.

Une question de chance? Pas du tout! Des chercheurs américains ont, en effet, voulu comprendre ce mécanisme. Et selon les résultats publiés dans dans le magazine Science of YS, nos cerveaux sont capables de se repérer dans le temps et dans l’espace et ce même si nous dormons! Lorsque le chauffeur annonce notre arrêt, on va donc se réveiller comme par magie.

Mais il existe également d’autres explications à ce phénomène. Parmi celles-ci, on retrouve notre horloge interne qui fonctionnerait pendant les trajets en transport. Et de la même manière que l’on se réveille quelques minutes avant que notre alarme ne se mette à sonner, on ouvrira les yeux quelques instants avant l’arrivée de notre arrêt.

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New York : des traces d’anthrax et de peste bubonique retrouvées dans le métro


Doit-on être surpris ? Que ce soit à New-York ou ailleurs en métro, en autobus, il n’est pas surprenant qu’il y est autant de microbes, virus, bactéries quoiqu’il est surprenant qu’ils aient trouvé des éléments d’anthrax et de peste bubonique.
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New York : des traces d’anthrax et de peste bubonique retrouvées dans le métro

 

Si des centaines d'espèces de bactéries ont été recensées, elles sont pour la plupart inoffensives.

Si des centaines d’espèces de bactéries ont été recensées, elles sont pour la plupart inoffensives.Photo : JEWEL SAMAD / AFP

ETATS-UNIS – Une étude menée pendant un an et demi par des chercheurs américains a recensé 637 espèces de bactéries dans le métro de New York. Des traces d’anthrax et de peste bubonique ont même été retrouvées.

C’est une étude qui pourrait dégoûter certaines personnes de prendre les transports en commun. Des chercheurs de l’université américaine de Cornell ont publié une carte des microbes trouvés dans les 960 km du métro new-yorkais fréquenté chaque jour par plus de cinq millions de passagers. Pas moins de 637 espèces de bactéries, virus et champignons ont été recensées dans le cadre du projet « PathoMap » lancé en juin 2013. La moitié des séquences d’ADN ne correspondent à aucun organisme connu.

Les chercheurs ont également découvert « des échantillons de bactéries causant des maladies résistantes aux médicaments, et même des fragments d’ADN associés à l’anthrax et à la peste bubonique », a indiqué l’université dans un communiqué.

Deux échantillons contiennent des fragments d’anthrax alors qu’un élément est associé à la peste bubonique.

Des microbes « pour la plupart inoffensifs »

Pas de panique, toutefois. Les traces d’anthrax découvertes restent en effet très modestes, rappelle l’université. Des analyses consécutives n’ont par ailleurs retrouvé aucune trace de vie sur ses bactéries.

« Pas besoin d’éviter le métro, ou de mettre des gants », estime l’université, qui se veut rassurante. « Les microbes qui vivent dans le métro de New York sont pour la plupart inoffensifs », a-t-elle précisé.

Les chercheurs ont par ailleurs eu une autre surprise. Dix espèces de bactéries correspondant à un environnement marin ont été découvertes à la station de métro South Ferry. Une station inondée durant l’ouragan Sandy en novembre 2012.

http://www.metronews.fr/