Ce qu’il se passerait si tous les GPS cessaient de fonctionner


La technologie a pris beaucoup d’espace dans nos vies. Quand il y a une panne, c’est le monde au ralenti. Pas de GPS, pas transaction, pas de localisation, pas d’approvisionnement et point de vue sécurité, c’est aussi un risque très grand. J’ai toujours cette impression qu’on est en train de tout mettre dans le même panier et qu’un jour, nous aurons à revivre comme avant tout cela …
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Ce qu’il se passerait si tous les GPS cessaient de fonctionner

La question sécuritaire serait l'un des enjeux majeurs en cas de panne GPS. | Ingo Joseph via Pexels

La question sécuritaire serait l’un des enjeux majeurs en cas de panne GPS. | Ingo Joseph via Pexels

Repéré par Robin Tutenges

Repéré sur BBC

Les transports ne seraient pas le seul secteur perturbé.

En janvier 2016, alors que l’US Air Force mettait hors de service l’un de ses satellites GPS, la manœuvre a provoqué un dérèglement des autres satellites en service: leur horloge a affiché un décalage de 13 millionièmes de seconde. Une erreur a priori minuscule, mais qui a entraîné un dysfonctionnement du matériel radio de la police et des pompiers des États-Unis et du Canada pendant plus de douze heures.

Il semblerait que notre dépendance à l’égard du système de positionnement global (GPS) soit bien plus profonde que nous le pensons. Une perturbation prolongée de ces signaux pourrait avoir de graves répercussions, comme le relève un article de la BBC, qui s’est laissée aller à imaginer les conséquences d’un pareil scénario.

Un monde au ralenti

En cas de défaillance du GPS, les routes seraient sans cesse obstruées par des automobilistes perdu·es, obligé·es de ralentir pour regarder les panneaux de signalisation ou leur position sur une carte. Et ne comptez pas sur Uber pour vous dépanner, l’application ne fonctionnerait tout simplement plus.

Impossible également pour les opérateurs de localiser des personnes en détresse à partir de leur signal téléphonique ou même d’identifier l’ambulance ou la voiture de police la plus proche.

Les ports de marchandises seraient paralysés (les grues à conteneurs fonctionnent avec un GPS), l’approvisionnement des supermarchés tournerait au ralenti et certains navires en mer se retrouveraient coupés du reste du monde.

La question sécuritaire serait aussi l’un des enjeux majeurs en cas de panne. À titre d’exemple, près de 70% des systèmes de combat de l’armée de terre américaine dépendent aujourd’hui de signaux transmis par le réseau GPS.

«Personne ne sait exactement ce qui se passera», indique Mike Lombardi, métrologue au National Institute of Standards and Technology, une agence du département du Commerce des États-Unis.

Une dépendance risquée

Le GPS est plus qu’un simple outil de géolocalisation: grâce aux horloges atomiques embarquées dans les satellites, qui fournissent l’heure de façon extrêmement précise, il peut également servir de référence de temps dans plusieurs domaines de la vie courante.

Le secteur financier et les marchés boursiers utilisent par exemple les données GPS pour dater les transactions; de nombreux réseaux électriques utilisent ces horloges pour ajuster le flux de courant; la télévision numérique mais aussi le cloud sont reliés à la synchronisation GPS. Privé de ce système, difficile d’imaginer ce qu’il pourrait réellement advenir.

Pour se protéger, de nombreux États cherchent à assurer leur indépendance face à cette technologie américaine. À l’instar des systèmes russes Glonass et chinois Beidou, l’Union européenne dispose de son propre système de navigation par satellite, baptisé Galileo. Mais ce dernier ne devrait être entièrement opérationnel qu’à partir de 2020, et il est déjà tombé en panne pendant sept jours en juillet 2019.

http://www.slate.fr/

Le Saviez-Vous ► Le premier humain dont on connait le nom


Le plus vieux nom du monde écrit sur une tablette à été trouvé il y a plus de 5 000 ans, n’est pas celle d’un personnage roi ou autre dignitaire, mais d’un commerçant
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Le premier humain dont on connait le nom

 

Intuitivement quand on se demande qui était le premier humain dont le nom nous est parvenu on se dit que ça devait être un roi ou un membre d’une famille riche, mais non

La plus vieille référence à un nom que l’on connait se trouve sur une tablette vieille de plus de 5000 ans provenant de Mésopotamie et qui a été trouvée en Iraq.

Dessus on trouve tout simplement écrit « 29 086 mesures orge 37 mois Kushim », ce qui veut probablement dire « Un total de 29 086 mesures d’orges ont été reçues en 37 mois. Signé Kushim ».

On trouve aussi son nom sur 18 autres tablettes datant de la même période et qui ont des écritures similaires.

Le plus vieux nom d’un humain que l’on connaisse se trouve donc sur un simple récépissé d’une transaction commerciale et appartenait à un ou une comptable qui se nommait Kushim.

http://www.laboiteverte.fr/

Le Saviez-vous ►13 CHOSES QUE VOTRE BANQUE NE VOUS DIRA PAS


Les banques, caisses populaires ont des politiques que nous ne sommes pas toujours au courant .. mieux vaut s’informer tout en prenant soin de faire des vérifications de nos comptes
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13 CHOSES QUE VOTRE BANQUE NE VOUS DIRA PAS

 

Par Neena Samuel avec des ajouts d’Ariane Jacob

1. Impossible de retirer immédiatement l’argent du chèque que vous venez de déposer dans votre compte.

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Nous retenons les fonds entre une journée et une semaine afin de nous assurer qu’il ne s’agit pas d’une transaction frauduleuse.

2. Armez-vous de patience!

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Oui, il y a une file d’attente et seulement une caissière. L’employé dans le bureau ne peut pas venir vous aider. Il n’est pas autorisé à faire le travail de la caissière.

3. Pour certaines requêtes, il est préférable de se rendre directement à votre succursale.

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Envoyer un message par internet pour régler un problème dans votre compte risque de retarder le traitement. Rendez-vous directement à votre succursale ou appelez.

4. Pas besoin de relever le numéro de confirmation des transactions faites en ligne.

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Avec le montant transféré et la date, nous retrouverons toutes les opérations. Le numéro sert à confirmer qu’elles ont été bien effectuées.

5. Même si vous insistez, nous ne dévoilerons pas le nom du commerce où vous avez été victime de fraude bancaire

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Cela évite de gêner l’enquête policière et il serait illégal de nuire à la réputation de l’établissement.

6. Ne vous en prenez pas à nous si vous n’arrivez pas à limiter vos dépenses!

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La banque ne vous a pas forcé à utiliser une carte de crédit et à signer un chèque sans provision.

7. Postdater un chèque fonctionne rarement.

Crédit photo: iStockphoto/Nadya Lukic

Sur nos bordereaux de dépôt, nous vérifions les noms, pas les dates. Si le chèque est sans provision, nous n’y sommes pour rien.

8. Nous ne roulons pas les pièces de monnaie que vous souhaitez déposer.

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Mais certaines succursales mettent à votre disposition des compteurs de pièces.

9. Pensez à déposer vos billets dans une enveloppe

De grâce, ne déposez pas d’argent au guichet automatique sans d’abord l’insérer dans une enveloppe.

10. Faites le suivi de vos achats

Crédit photo: iStockphoto

Vérifiez sans tarder vos relevés mensuels, en particulier les achats faits sur internet.

11. Faites vos devoirs!

Pour déterminer les comptes et forfaits bancaires qui vous conviennent le mieux, consultez l’outil du gouvernement fédéral. www.fcac-acfc.gc.ca

12. Vérifiez le contrat que vous avez signé en acceptant votre carte de crédit.

Votre institution bancaire a peut-être le droit de débiter de l’argent d’un de vos comptes pour payer le solde en souffrance de votre carte.

13. Pour faire des transactions à partir de votre cellulaire, utilisez des applications autorisées.

Notez que le système d’exploitation du cellulaire ne doit pas être altéré: ni «débloqué», ni «rooté», ni piraté.

http://selection.readersdigest.ca

Votre carte de crédit est peut-être trop bavarde


Cartes de crédit, cartes de débit sont susceptibles de dévoilées des informations qui pourraient aider les fraudeurs a des vols d’identités avec un téléphone intelligent
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Votre carte de crédit est peut-être trop bavarde

 

Sécurité - Votre carte de crédit est peut-être trop bavarde

Photo AA+W / Fotolia

MONTRÉAL – Sans le savoir, vous avez peut-être dans votre porte-monnaie des cartes de débit et de crédit très bavardes, qui demandent seulement qu’on les interroge pour qu’elles racontent tout ce qu’elles savent. L’émission J.E. de vendredi en fait l’inquiétante démonstration.

Depuis au moins cinq ans, les institutions financières canadiennes émettent des cartes munies d’antennes d’identification par radiofréquence (RFID) – c’est-à-dire munies de petites puces –, ne requérant pas l’utilisation d’un NIP.

Ces cartes servent normalement à régler des transactions de moins de 100$.

Les cartes disposant de cette technologie émettent vos informations lorsqu’elles effleurent un terminal de solution de paiement sans contact («paypass»).

Le hic, c’est qu’un téléphone intelligent peut facilement lire les radiofréquences et recevoir les mêmes informations que le terminal.

Mark-Oliver Hassoun, cofondateur de la compagnie Identity Block, s’est déjà fait voler son identité sur internet. Ces questions intéressent sa compagnie, qui se spécialise dans la protection du vol d’identité par radiofréquence.

Il a démontré à l’équipe de J.E. avec quelle facilité les propriétaires de téléphones intelligents de marque Androïd ou BlackBerry peuvent télécharger une application qui lit les RFID.

«On peut aller chercher toutes les informations personnelles de la personne: son nom, son numéro de carte», a-t-il dit.

L’application transforme le téléphone en terminal dès qu’on l’approche à moins d’un centimètre d’une carte.

Les informations ainsi transmises au téléphone n’incluent toutefois pas les trois chiffres de sécurité se trouvant à l’endos de la carte.

Malgré tout, c’est suffisant pour ouvrir la voie à toutes sortes d’actes frauduleux, selon José Fernandez, professeur en génie informatique et génie logiciel de l’École polytechnique de Montréal.

Ce dernier a indiqué que les informations recueillies peuvent servir à faire des achats sur internet, à fabriquer une fausse carte ou encore à effectuer des transactions à partir d’un téléphone.

Lorsque questionnés à ce sujet, le groupe Desjardins et l’Association des banquiers canadiens ont préféré référer à MasterCard et Visa, qui ont développé la technologie.

En guise de réponse, l’entreprise Visa a publié un communiqué dans lequel elle admet «un faible risque que les données soient interceptées».

L’entreprise a cependant ajouté avoir «élaboré de multiples niveaux de sécurité pour chaque transaction».

Pour sa part, MasterCard n’a toujours pas répondu.

Il y a heureusement une façon simple d’éloigner les malfaiteurs de vos cartes, selon Mark-Oliver Hassoun d’Identity Block.

«Tout ce qu’il faut, c’est une enveloppe de métal conducteur qui va envelopper la carte et arrêter la transmission», a-t-il expliqué.

Sa compagnie a développé une série de produits pour protéger tous les types de documents disposant du RFID, tels que les permis de conduire Plus ou même les futurs passeports canadiens, qui en seront dotés.

http://fr.canoe.ca

Budget fédéral ►Finis les sous noirs


L’ère des sous noirs tire à sa fin, mais ne vous pressez pas pour vous débarrassez de vos sous noirs qui trainent dans le fond de vos tiroirs, dans les tirelires, ou les vides poches, car même après la fin de la distributions des sous noirs dans les banques ils pourront encore être changé
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Budget fédéral ►Finis les sous noirs

 

Finis les sous noirs

Crédit photo : Agence QMI

Les sous noirs seront éliminés

Par Taïeb Moalla | Agence QMI

Ottawa a invoqué dans son budget déposé jeudi des arguments économiques et écologiques pour justifier sa décision de retirer progressivement de la circulation la bonne vieille pièce, dont le coût de production s’élève à 1,6 cent.

Dès le mois prochain, la Monnaie royale canadienne cessera de produire les pièces d’un cent et, dès l’automne, elle arrêtera de les distribuer aux institutions financières. Cela ne signifiera cependant pas la mort automatique du sou noir, puisqu’on pourra malgré tout continuer à l’utiliser «indéfiniment».

«Les pièces d’un cent prennent trop de place sur la commode. Les entreprises qui cherchent à prendre de l’expansion et à créer des emplois y consacrent bien trop de temps», a affirmé le ministre des Finances, James Flaherty, dans son discours du budget.

Pas de hausse des prix

Citant l’exemple de plusieurs pays comme l’Australie et le Brésil, le gouvernement fédéral jure que la disparition de la «pièce de monnaie ayant la plus petite valeur nominale » ne se traduira pas par une hausse des prix à la consommation. «L’effet inflationniste de l’élimination de la pièce d’un cent serait modeste, voire nul», assure-t-on dans les documents budgétaires.

Voulant éviter de légiférer, le gouvernement dit compter sur la bonne foi des commerçants et sur la vigilance des consommateurs.

«On s’attend à ce que les entreprises arrondissent les prix de manière équitable, uniforme et transparente», espère-t-on.

Pour justifier sa mesure, le gouvernement fédéral soutient que la disparition des sous noirs réduira l’utilisation des ressources naturelles et permettra le recyclage du métal contenu dans les pièces existantes.

Ottawa voit également une occasion pour les organismes de bienfaisance de récolter des fonds en organisant des collectes de pièces d’un cent.

Le sou noir en quelques données

– Après la disparition des sous, le prix de vente – après calcul de la taxe fédérale et provinciale – devra être arrondi. Un bien qui vaut 1,02 $ sera payé 1 $. Un autre article, qui coûte 1,03 $, sera réglé à hauteur de 1,05 $.

– Chaque année, le gouvernement fédéral perd 11 millions $ à cause de la mise en circulation des pièces d’un cent. Pour les institutions financières, le coût économique, direct et indirect du maintien de cents était de 150 millions $, en 2006, selon une étude privée.

– Pour les transactions par chèque, carte de débit ou de crédit, il n’y aura aucun changement. La transaction sera réglée au cent près.

– Il sera toujours possible pour les consommateurs de regrouper les pièces d’un cent dans des rouleaux et de les faire échanger dans leurs institutions financières.

– Chaque année, la Monnaie Royale canadienne produit et distribue quelque 7000 tonnes de pièces d’un cent.

http://tvanouvelles.ca