Indonésie : des crocodiles pour surveiller sur les trafiquants de drogue en prison


Sans pour autant discuter de la justice en Indonésie, l’idée de crocodiles n’est peut-être pas si bête. Ils ne peuvent pas être corrompus et ils sont aux aguets contre tout mouvement à leur porter.
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Indonésie : des crocodiles pour surveiller sur les trafiquants de drogue en prison

Selon un responsable indonésien, les crocodiles  seraient meilleurs   que les gardiens pour prévenir les évasions de détenus pour trafic de drogue.

Selon un responsable indonésien, les crocodiles  seraient meilleurs  que les gardiens pour prévenir les évasions de détenus pour trafic de drogue.

Photo: ORLANDO SIERRA / AFP

RADICAL – Le chef de l’agence indonésienne de lutte contre les produits stupéfiants (BNN) propose de construire une prison de haute sécurité sur une île gardée par des crocodiles pour y enfermer les trafiquants de drogue condamnés à mort.

Pour lutter contre les narcos, l’Indonésie fait appel aux crocos. Pour veiller sur les trafiquants de drogue condamnés à mort, l’agence indonésienne de lutte contre les produits stupéfiants (BNN) a en effet envisagé de recourir à une solution radicale : enfermer les prisonniers sur une île, qui serait gardée par des crocodiles.

Le chef de la BNN, Budi Waseso, a même dit qu’il se rendrait personnellement dans plusieurs régions de l’archipel pour rechercher les crocodiles les plus féroces afin de garder l’établissement qu’il appelle de ses voeux.

« Nous allons mettre là-bas autant de crocodiles que possible », a-t-il précisé.

Des dizaines de condamnés pour trafic de drogue

Selon Budi Waseso, ces bêtes seraient meilleures que les gardiens pour prévenir les évasions de détenus pour trafic de drogue. Et ce, pour une raison simple : contrairement aux gardiens, ils ne cèdent pas aux tentatives de corruption.

« On ne peut pas soudoyer des crocodiles. On ne peut les convaincre de laisser s’évader des détenus. »

Si ce projet de prison gardée par des reptiles est encore au stade initial, ni le lieu ni la date d’ouverture potentielle n’ayant été décidé, il illustre les besoins en la matière de l’Indonésie : des dizaines de condamnés à la peine capitale pour trafic de drogue, parmi lesquels le Français Serge Atlaoui, sont en effet dans le couloir de la mort. Un trafic qui touche aussi les prisons. Car en dépit des lois antidrogue de l’Indonésie – parmi les plus sévères au monde – les substances illicites circulent largement en cellule. Des détenus, gardiens et policiers sont régulièrement interpellés pour des infractions, notamment de corruption.

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Le Pékan, nouvelle victime des trafiquants de marijuana


L’étude porte sur les pékans aux USA, mais il y a aussi des populations de pékan au Canada et je pense qu’eux aussi sont victimes d’empoisonnement volontaire par ceux qui cultivent de la marijuana. Si la production de cette drogue augmente, les animaux sont-ils plus en danger ? Tout cela pour faire un « trip’ !
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Le Pékan, nouvelle victime des trafiquants de marijuana

 

 

Ce Pékan présente de graves troubles neurologiques après l'ingestion d'un rodenticide. © IERC ECOLOGY / Youtube

Ce Pékan présente de graves troubles neurologiques après l’ingestion d’un rodenticide. © IERC ECOLOGY / Youtube

Les trafiquants de drogue empoisonnent les pékans, une petite espèce de mammifère carnivore d’Amérique du Nord, pour protéger leurs cultures de marijuana.

DROGUE. Le Pékan (Pekania pennanti) est un petit mammifère carnivore d’Amérique du Nord dont la population diminue de manière préoccupante ces dernières années. Dans une étude publiée sur PlosONE en novembre 2015, des chercheurs ont donc voulu identifier les principales causes de mortalité de cet animal en Californie (États-Unis). Pour cela, ils ont étudié entre 2012 et 2014 les cadavres de 167 Pékans provenant de deux populations distinctes géographiquement et génétiquement. Ils ont ainsi pu établir que dans 70 % des cas, les animaux meurent de la prédation et que la mort naturelle représente 16 % des causes de mortalité. Mais 10 % de ces petits mammifères périssent à la suite d’un empoisonnement. Un chiffre loin d’être insignifiant. D’autant plus que, ces trois dernières années, la mortalité causée par l’ingestion de produits nocifs a augmenté de 57 %. En cause, les trafiquants de marijuana : ces derniers dispersent des rodenticides tout autour de leurs cultures de drogue… établies sur l’habitat naturel du Pékan. Leur but est donc de faire disparaître l’occupant.

Hémorragies et troubles neurologiques

Afin d’être sûrs d’attirer un maximum d’animaux, ils déposent également des morceaux de nourriture dans les alentours, comme du poisson ou du bacon. L’un des poisons les plus efficaces contre les Pékans est l’anticoagulant rodenticide (ARs) qui entraîne une déficience en vitamine K, essentielle à la coagulation sanguine. L’ingestion de cette substance provoque dès lors de sévères hémorragies chez ce petit mustélidé (même famille que les belettes ou les furets). Dans l’un des cadavres étudiés, les chercheurs ont dénombré pas moins de six rodenticides différents ! Un mâle a été découvert vivant mais présentant d’importants troubles neurologiques (voir vidéo ci-dessous). Il était complètement léthargique et présentait une ataxie : l’animal était incapable de se déplacer correctement à cause du manque de coordination de ses mouvements. Il a finalement été euthanasié. Les chercheurs recommandent de nettoyer complètement les sites où des cultures de marijuana ont été établi par le passé. En 2015, la population californienne de Pékan, qui dénombre environ 250 spécimens, a été considérée comme menacée par le California Endangered Species Act. Les chercheurs ont tenu à préciser que si l’étude porte sur une seule espèce, d’autres sont également touchées par ces pratiques des trafiquants comme les renards roux de Sierra Nevada.

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Des satellites découvrent cinq villages indigènes cachés dans la forêt d’Amazonie


Je ne sais pas, si rechercher des peuples indigènes de l’Amazonie qui vivent à l’écart de la modernité peut vraiment les protéger Peut-être pour un temps contre la déforestation, mais des trafiquants, ils sont partout et tenaces
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Des satellites découvrent cinq villages indigènes cachés dans la forêt d’Amazonie

 

village indigène forêt amazonie

Crédits : DigitalGlobe

En utilisant les images acquises par plusieurs satellites, des chercheurs américains ont réussi à localiser et à étudier cinq villages indigènes cachés dans la forêt amazonnienne. L’existence de ces villages, totalement coupés du monde extérieur, n’avait jusqu’ici jamais pu être confirmée.

La forêt amazonienne abrite une douzaine de tribus indiennes, vivant totalement isolées du reste du monde. Des populations menacées tout à la fois par les trafiquants de drogue qui y trouvent également refuge, la déforestation sauvage et les constructions d’autoroutes.

Or, pour améliorer la protection de ces populations, la priorité est d’abord d’être capable… de les localiser. Si jusqu’ici, les lieux d’habitation de ces populations étaient détectés par de laborieux survols d’avions, un nouveau procédé vient de faire ses preuves : le survol et la détection par satellite.

En effet, dans une étude publiée le 4 novembre dans la revue Royal Society Open Science sous le titre « Remote sensing and conservation of isolated indigenous villages in Amazonia », des chercheurs annoncent avoir utilisé les images receuillies par les satellites WorldView et GeoEye pour confirmer la localisation de cinq village indiens situés près de la frontière entre le Brésil et le Pérou, lesquels avaient été précédémment aperçus lors de survols d’avions.

En analysant les images receuillies par ces satellites entre 2006 et 2013, les chercheurs ont également pu étudier la croissance démographique récente de ces villages. Ils ont notamment constaté que la densité de population dans ces villages isolés était 10 fois supérieure à celle observée dans les autres villages indigènes de la région qui sont en relation avec le monde extérieur.

Pour quelle raison ? Selon les auteurs de l’étude, cela pourrait s’expliquer par le fait que ces populations isolées ne disposent pas des outils nécessaires pour défricher efficacement la forêt (machettes, etc), ce qui les conduirait à habiter sur des lieux de vie à faible superficie. Cette forte concentration de population pourrait également être justifiée par le besoin de vivre proche les uns des autres, afin de pouvoir se défendre en cas d’attaques extérieures.

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Des éléphants accros à l’héro sortent de rehab


Comment peut-on traiter des animaux de la sorte pour de l’argent et revendre des drogues et abêtir des consommateurs accros. Ces éléphants ont dû passer des moments atroces pour se sevrer de l’héroïne, mais heureusement, ils vivre dans une zone protéger auprès de leurs semblables
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Des éléphants accros à l’héro sortent de rehab

 

INSOLITE – Quatre éléphants utilisés par des trafiquants de drogue pour passer des chargements d’héroïne entre la Birmanie et la Chine ont dû subir une cure de désintoxication.Les animaux aussi peuvent être accros. Capturés en 2005 par des trafiquants de drogue de la province du Yunnan en Chine, les quatre pachydermes étaient utilisés pour porter d’importantes cargaisons de drogue sur leur dos et passer la frontière avec la Birmanie.

Sauf que ces éléphants maltraités ne faisaient pas que les porter. Ils en consommaient régulièrement. Les dealers leur donnaient des bananes remplies d’héroïne pour les rendre plus placides et dociles, rapporte le quotidien britannique The Daily Mail.

Une cure d’un an

Les éléphants ont été pris en charge par une équipe de la réserve Wild Elephant Valley, installée dans le Yunnan lorsque les trafiquants ont été arrêtés. Après toute une série d’examens, certains étant agités et agressifs, les soigneurs se sont rendus compte que les pachydermes étaient « accros à l’héroïne ».

Ils sont donc été placés sous méthadone, un traitement substitutif classique à l’héroïne, utilisé pour l’homme. Mais les doses ont été cinq fois plus élevées que celles administrées à un humain. La cure a duré un an. Désormais « clean » les animaux ont réappris à vivre en liberté et vivent dans les forêts de la province du Yunnan, une zone protégée qui accueille 250 éléphants sauvages. De quoi leur faire oublier leur triste épopée hautement pharmacopée.

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