Le Saviez-Vous ► Qu’est-ce que la nomophobie ?


Avec les smartphone, une nouvelle phobie a fait son apparition et à été nommé en 2018 nomophobie. Cette peur de se retrouver sans téléphone à une époque ultra-connecté. On ne veut rien manqué, on partage tout sur l’Internet. Partout, on voit des gens rivés sur leur téléphone portable que ce soit en autobus, en marchant, en famille, au restaurant, c’est tellement partout qu’on doit interdire le téléphone au volant ou à vélo.
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Qu’est-ce que la nomophobie ?

Symptôme d’une époque ultra-connectée, la nomophobie serait le reflet de nos multiples dépendances numériques. Entre peurs fantasmées et réalités hétéroclites, décryptage d’un phénomène de société difficilement appréhendé.

“Votre temps d’écran était inférieur de 25% la semaine dernière, pour une moyenne de 4h et 12 minutes par jour.”

Comme chaque dimanche, avec une assiduité qui frise la provocation, mon téléphone estime utile de réduire à néant toute mon estime de moi en me rappelant à mon piètre statut de junkie numérique, chiffres et statistiques à l’appui. Le pire, c’est que je ne lui ai rien demandé.

D’autres modèles de smartphones proposent aussi de bloquer l’usage de certaines applis au bout d’un certain temps écoulé ou de passer en mode noir et blanc pour nous inciter à lâcher notre précieux téléphone. L’origine de ces innovations technologiques aux allures de garde-fous électroniques ? La nomophobie ou la peur irraisonnée de se retrouver sans son téléphone portable.

Le “mal du siècle” 

Couronné “mot de l’année” en 2018 par le Cambridge Dictionnary, ce terme résulte de l’ingénieuse contraction de “no mobile phone phobia”, une expression anglo-saxonne découlant du phénomène d’hyper-connectivité ambiant dicté par l’omniprésence d’Internet et des réseaux sociaux. Et pour cause, la nomophobie renvoie à l’ensemble des angoisses plus ou moins envahissantes qui peuvent nous envahir à l’idée d’être privée de notre smartphone adoré, dont 73% des français sont aujourd’hui équipés (source : Baromètre du numérique 2017/ CRÉDOC). Un week-end en rase campagne sans réseau, une soirée avec une batterie à 3% ou pire, une journée entière au bureau avec le portable tombé dans le creux du canapé : autant de situations qui plonge le nomophobe, novice ou avéré, dans un désarroi auréolé de crainte et d’ anxiété.

“Je déteste quand j’oublie mon téléphone chez moi. Je me sens vraiment toute nue quand je ne l’ai pas ! Avec toujours cette sensation désagréable que je vais rater le coup de fil du siècle. Du coup, quand je m’en rend compte dans le métro, dès que j’arrive au bureau, je mets un statut sur Facebook pour prévenir mes contacts. C’est ridicule, je sais, mais je peux pas m’en empêcher”, avoue Sandra, 30 ans.

On reconnaît également le nomophobe à sa capacité à consulter compulsivement son téléphone toutes les 2 minutes ou à scroller inlassablement son écran quand il a le malheur de l’avoir à portée de main.

“Je crois que je suis arrivé à un stade où je ne me rends même plus compte que je suis en train de “checker” mon téléphone. C’est devenu un tic : je regarde l’heure, je vérifie que je n’ai pas de notifications ou j’ouvre compulsivement Instagram, sans même vraiment savoir pourquoi”, confie Tomas, 28 ans.

En 2016, le très en-vue créateur Simon Porte Jacquemus, alors âgé de 26 ans, confiait même dans les colonnes de Stylist avoir frôlé la tendinite du pouce tant il passait du temps sur son smartphone.

Génération nomophobe

Au-delà de l’anecdote, cette confession un brin honteuse du presque trentenaire est symptomatique de ce terrible mal qui ronge sa génération et la suivante, tous sexes et genres confondus. En 2018, une étude OpinonWay/Smerep révélait ainsi que 20% des étudiants passaient plus de 6h par jour sur leur téléphone.

“Bien sûr, les plus vulnérables sont les adolescents et les jeunes adultes chez lesquels se retrouver sans portable signifie risquer de vivre un isolement insupportable.” explique le Dr Anne Marie Lazartigues*, psychiatre et psychothérapeute basée à Paris.

« Quand mon portable a dû partir en réparation, ce qui m’a réellement manqué a été de ne pas pouvoir communiquer avec le monde extérieur. Je voulais prévenir de mon retard ? Pas de téléphone ! Je voulais raconter une anecdote de ma journée ? Pas de téléphone ! Un joli coucher de soleil que j’aurai aimé immortaliser ? Pas de téléphone !” se souvient Katia, 31 ans. “On dit souvent que l’on se coupe du monde lorsque l’on est accro à son téléphone mais, étrangement, je ne m’étais jamais sentie si seule qu’en étant sans. »

Une angoisse de performance qui pousse à vouloir sans cesse être joignable

La nomophobie, un “mal du siècle” qui répondrait à des problématiques sociales, relationnelles mais également professionnelles, 60% des Français consultant leurs mails via leurs smartphones.

“Ayant une angoisse de performance qui les pousse à vouloir sans cesse être joignables, les trentenaires ne peuvent pas non plus se passer d’avoir leur portable en permanence à portée de main”, ajoute la spécialiste.

“J’aimerai bien passer moins de temps sur mon téléphone mais en réalité, je n’ai pas vraiment le choix avec mon travail, je dois vraiment être toujours connecté”, confirme ce responsable en communication politique qui a préféré rester anonyme.

Problème ?

“Cette utilisation compulsive du portable finit par avoir des conséquences néfastes sur la vie sociale, professionnelle ou familiale, ne serait-ce que du fait de son caractère chronophage”, prévient le Dr Lazartigues.

En effet, qui n’a jamais remarqué ses couples qui, en plein dîner en tête-à-tête, bloquent sur leur portable respectif pendant de longues minutes ? Ces réunions d’équipe improductives où tous les participants ont les yeux rivés sur leur écran ? Ces apéros entre amis qui virent aux concours de like et de selfies ?

“Malgré sa dénomination, la nomophobie nous semble entrer davantage dans la catégorie des addictions que dans celle des phobies. D’ailleurs, elle n’est pas reconnue dans les nomenclatures psychiatriques.” précise l’experte.

D’autres spécialistes incitent par ailleurs à la prudence face à ses termes un brin galvaudés qui témoignent des habituelles craintes générées par l’arrivée de nouvelles technologies. Certains soulignent également comment la nomophobie est devenu le parfait alibi d’une foire marketing aux digital detox des plus lucratives.

Dans quels moments utilisez-vous votre téléphone ? Quelle utilité en tirez-vous ? Que se passe-t-il si vous êtes dans l’incapacité de l’utiliser ?

Etre attentif aux difficultés, aux manquements ou encore aux erreurs qui résultent directement de notre usage excessif de téléphone : telle semble être la première façon de désamorcer toute potentielle dérive.

“Il a fallu que je frôle l’accident de voiture parce que je conduisais tout en consultant mon téléphone pour que je commence à me poser des questions. C’est vraiment idiot”, poursuit Tomas.

 Prêtez également attention à votre comportement : dans quels moments utilisez-vous votre téléphone ? Quelle utilité en tirez-vous ? Que se passe-t-il si vous êtes dans l’incapacité de l’utiliser ?

On peut ensuite se fixer progressivement des limites et s’autodiscipliner en se forçant à laisser son doudou numérique dans une autre pièce que celle où l’on dort, à couper les notifications ou à le ranger dans son sac-à-main pendant une réunion de famille.

“C’est bête mais, désormais, j’essaie de faire en sorte que la dernière chose que je regarde avant de m’endormir soit le visage de mon copain à côté de moi et pas une énième story sur Instagram”, rajoute Sandra.

Autre piste de réflexion conseillée par les spécialistes : celle du modèle que l’on souhaite donner à nos charmantes têtes blondes sur les bienfaits d’un usage modéré des nouvelles technologies. Difficile en effet de réprimander votre pré-ado sur son addiction smartphonesque quand vous avez vous-même le nez toujours collé dessus !

À moins que vous ne comptiez sur ce fameux rapport hebdomadaire généré par son téléphone dernier cri qui le rappellera à l’ordre avant même que vous n’ayez eu le temps de le faire. 

*Le Dr Anne Marie Lazartigues, psychiatre, psychotherapeute et sexologue, spécialisée dans les thérapies, reçoit dans son cabinet du 4e arrondissement de Paris.
** Source : Baromètre du numérique 2017/ CRÉDOC

https://www.marieclaire.fr/,

Porter des Crocs au quotidien est mauvais pour la santé des pieds


Les souliers Crocs ont été créés comme chaussures pour la plage ou la piscine. Sauf que les gens les trouvent tellement confortables qu’ils les portent trop souvent,. C’est une mauvaise idée que de travailler avec ce genre de souliers du moins à long terme selon des podologues américains.
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Porter des Crocs au quotidien est mauvais pour la santé des pieds

 

 

90 pays ont succombé à la mode des Crocs, ces sabots aux qualités anti-microbiennes et anti-transpirantes.

90 pays ont succombé à la mode des Crocs, ces sabots aux qualités anti-microbiennes et anti-transpirantes.

© LE FLOCH PASCAL/TRAVERS ERIC/SIP

Par Lise Loumé

Porter quotidiennement des Crocs, ces sabots en plastique de couleur vive, est une mauvaise idée, selon les podologues.

Depuis 2016, aux États-Unis, des podologues alertent régulièrement contre le port quotidien des Crocs, ces sabots aux couleurs vives, qui se sont vendues à plus de 300 millions d’exemplaires dans 90 pays depuis leur lancement en 2002. Ces chaussures entraînent un risque de douleurs articulaires et de déformations au niveau des pieds. Made in USA, les Crocs sont faites en matière plastique (une mousse d’éthylène-acétate de vinyle) et sont originellement conçues pour être portées à la plage ou au bord d’une piscine. Confortables, légères et faciles à laver, elles sont également devenues incontournables dans le milieu hospitalier, surtout auprès des infirmières.

Un risque de tendinite et de déformation d’orteils

Mais selon deux podologues américains, ces chaussures martyrisent nos pieds si elles sont portées quotidiennement, préviennent-ils dans les colonnes duHuffington Post.

« Malheureusement, elles ne sont pas faites pour être portées toute une journée, met en garde le Dr Megan Leahy, podologue basée à Chicago. Elles « ne soutiennent pas assez le talon. Quand celui-ci est instable, les orteils ont tendance à se recroqueviller pour retenir la chaussure, ce qui ce peut provoquer des tendinites (ndlr : ces inflammations des tendons qui surviennent lorsque ceux-ci ont été trop et/ou mal sollicités). À ces problèmes d’articulations s’ajoutent des risques de « déformation d’orteils, de problème d’ongles, des cors ou des callosités, la même chose peut se produire avec le port excessif de tongs », ajoute la spécialiste.

Bien sûr, même s’il ne faut pas les porter 8 à 10 heures par jour, les Crocs ne sont pas déconseillées par les podologues pour un port occasionnel à la plage ou à la piscine.

« Les deux seuls types de patients qui pourraient bénéficier du port quotidien de ces chaussures sont ceux qui ont le voûte plantaire très élevée ou ceux qui souffrent d’œdème excessif de leurs jambes ou leurs chevilles », précise au Huffington Post le Dr Alex Kor, président de l’Académie américaine de podologie.

Plusieurs pays, comme les États-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada, la Suède et l’Autriche, ont interdit depuis 2011 le port de ces chaussures des hôpitaux non pas pour des raisons de santé du pied, mais de sécurité : les Crocs ne seraient pas assez solides pour protéger le pied d’instruments pointus comme les seringues ou les aiguilles qui pourraient traîner par terre…

https://www.sciencesetavenir.fr

Porter des Crocs au quotidien est mauvais pour la santé des pieds


Les souliers Crocs qui sont devenus des chaussures que l’on met partout et porter pendant plusieurs heures. Il semble que ces souliers risquent bien des maux de pieds
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Porter des Crocs au quotidien est mauvais pour la santé des pieds

 

90 pays ont succombé à la mode des Crocs, ces sabots aux qualités anti-microbiennes et anti-transpirantes. © LE FLOCH PASCAL/TRAVERS ERIC/SIP

90 pays ont succombé à la mode des Crocs, ces sabots aux qualités anti-microbiennes et anti-transpirantes. © LE FLOCH PASCAL/TRAVERS ERIC/SIP

Par Lise Loumé

La Journée nationale de la santé du pied, le 9 juin, est l’occasion pour les podologues de rappeler que porter quotidiennement des Crocs, ces sabots en plastique de couleur vive, est une mauvaise idée.

Le 9 juin 2016, l’Union Française pour la Santé du Pied organise une journée de sensibilisation et de prévention destinée au grand public : des podologues prodiguent des conseils et des diagnostics gratuits dans de nombreux sites publics, partout en France. Simultanément, aux États-Unis, des podologues lancent une alerte contre le port quotidien des Crocs, ces sabots aux couleurs vives, qui se sont vendues à plus de 300 millions d’exemplaires dans 90 pays depuis leur lancement en 2002. Ces chaussures entraînent un risque de douleurs articulaires et de déformations au niveau des pieds.

Un risque de tendinite et de déformation d’orteils

Made in USA, les Crocs sont faites en matière plastique (une mousse d’éthylène-acétate de vinyle) et sont originellement conçues pour être portées à la plage ou au bord d’une piscine. Confortables, légères et faciles à laver, elles sont également devenues incontournables dans le milieu hospitalier, surtout auprès des infirmières.

Mais selon deux podologues américains, ces chaussures martyrisent nos pieds si elles sont portées quotidiennement, préviennent-ils dans les colonnes du Huffington Post.

« Malheureusement, elles ne sont pas faites pour être portées toute une journée, met en garde le Dr Megan Leahy, podologue basée à Chicago. Elles « ne soutiennent pas assez le talon. Quand celui-ci est instable, les orteils ont tendance à se recroqueviller pour retenir la chaussure, ce qui ce peut provoquer des tendinites (ndlr : ces inflammations des tendons qui surviennent lorsque ceux-ci ont été trop et/ou mal sollicités). À ces problèmes d’articulations s’ajoutent des risques de « déformation d’orteils, de problème d’ongles, des cors ou des callosités, la même chose peut se produire avec le port excessif de tongs », ajoute la spécialiste.

Bien sûr, même s’il ne faut pas les porter 8 à 10 heures par jour, les Crocs ne sont pas déconseillées par les podologues pour un port occasionnel à la plage ou à la piscine.

« Les deux seuls types de patients qui pourraient bénéficier du port quotidien de ces chaussures sont ceux qui ont le voûte plantaire très élevée ou ceux qui souffrent d’œdème excessif de leurs jambes ou leurs chevilles », précise au Huffington Post le Dr Alex Kor, président de l’Académie américaine de podologie.

Plusieurs pays, comme les États-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada, la Suède et l’Autriche, ont interdit depuis 2011 le port de ces chaussures des hôpitaux non pas pour des raisons de santé du pied, mais de sécurité : les Crocs ne seraient pas assez solides pour protéger le pied d’instruments pointus comme les seringues ou les aiguilles qui pourraient traîner par terre…

http://www.sciencesetavenir.fr/

7 réflexes pour prévenir la tendinite


Une tendinite, c’est douloureux, et tout le monde peut en faire un jour l’expérience. On peut toujours essayer de la prévenir, mais si cela échoue mieux vaut consulté
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7 réflexes pour prévenir la tendinite

 

Auteur:  Elena Bizzotto

    Douloureuses et handicapantes, les tendinites sont difficiles à soigner. La meilleure arme pour en venir à bout reste la prévention.

    Même si elles concernent principalement les sportifs, les tendinites peuvent toucher n’importe qui. Il suffit d’une mauvaise posture de travail ou de la répétition d’un mauvais geste pour provoquer des lésions douloureuses au niveau des tendons.

    « Constitué pour l’essentiel de fibres de collagène produites par des cellules spécialisées, le tendon est peu vascularisé, se régénère mal et vieillit assez vite. Des microtraumatismes ou des lésions plus étendues peuvent survenir s’il est trop sollicité. Sa cicatrisation lente – au moins trois mois – est perturbée par la répétition de lésions dont le cumul le fragilise », explique le docteur Hervé Bard, cité parLe Figaro.

    Le principal facteur de risque est l’âge, mais également le surpoids et certains médicaments. La bonne nouvelle est que certains gestes préventifs peuvent aider à anticiper et à limiter la douleur.

    Les habitudes au quotidien

  • Boire de l’eau tout au long de la journée pour limiter les risques de déshydratation ;

  • Veiller à son hygiène bucco-dentaire car les dents sont reliées au système nerveux et aux tendons et certaines infections peuvent provoquer des tendinites ;

  • Maintenir une bonne posture au travail, le dos droit et les pieds à plat, et utiliser éventuellement un appui-bras ergonomique pour soulager le poignet lorsqu’on travaille devant un ordinateur.

    La prévention pendant le sport

  • S’échauffer avant l’entraînement et s’étirer après ;

  • Prévoir le bon équipement : des chaussures adaptées pour les coureurs et un bon cordage pour les raquettes au tennis ;

  • Adapter l’intensité de l’effort, qui doit être progressif, et prévoir des temps de pause ;

  • En cas de douleur, s’arrêter immédiatement et se reposer pour éviter les blessures graves. Si la douleur ne passe pas, consulter un médecin avant de reprendre le sport

http://www.santemagazine.fr/

TENDINITE: QUELLES CAUSES, COMMENT S’EN DÉBARRASSER?


Une tendinite est douloureux et très dérangeant … Étant donné que certains mouvements répétitifs peuvent causer une tendinite, la prévention demeure le meilleurs moyens pour les éviter
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TENDINITE: QUELLES CAUSES, COMMENT S’EN DÉBARRASSER?

 

Coraline Burre, journaliste santé

La tendinite commence comme une légère courbature.

Puis la douleur s’installe et devient gênante.

C’est pourquoi il est important de prévenir les tendinites en appliquant quelques conseils simples au boulot et dans vos loisirs. Vous éviterez ainsi le repos forcé, qui sera de mise si la tendinite est là…

La tendinite, c’est quoi?

La tendinite est une inflammation musculo-squelettique.

Sa cible? Le tendon: un ensemble de fibres élastiques qui rattachent le muscle à l’os.

Ce mal, assez fréquent, touche généralement la population active. Et pas seulement les sportifs, professionnels ou du dimanche.

La tendinite est aussi un mal courant en médecine du travail. Bon nombre de postes exigent un effort répétitif, source de douleurs.

Le poignet, le coude, l’épaule, le genou et le talon d’Achille sont les principales victimes de la tendinite.

Quelles sont les causes de la tendinite?

Pour une personne active, quoi de pire que d’être immobilisée pour soigner une tendinite. Ce mal n’est pourtant pas une fatalité.

En adoptant de bonnes habitudes, vous pouvez éviter une sollicitation excessive de vos tendons.

Les tendinites apparaissent quand vous faites une effort excessif (trop intense ou trop fréquent), que vous persistez alors que votre corps vous signale sa limite.

En bricolant à la maison, lors de votre jogging ou derrière votre bureau, prenez le temps de réfléchir à vos mouvements, votre position et au matériel utilisé.

Tendinite: préparez-bien votre séance de sport!

Même si vous faites régulièrement une activité physique une séance d’étirements est indispensable pour éviter la tendinite. Avant l’effort pour chauffer les muscles et après l’effort pour les relâcher.

Et si vous vous remettez au sport après une longue trêve, augmentez la durée et l’intensité de l’effort au fil des séances.

Et surtout, dites non aux chaussures trop grandes ou au guidon trop bas! Un matériel inadapté est souvent cause de blessures

Tendinite : fréquente au travail

Certains métiers sollicitent toujours les mêmes muscles. Le peintre en bâtiment peut souffrir de l’épaule ou de la nuque, la caissière du poignet, le jardinier du genou…

Ne raillez pas votre collègue en arrêt maladie… à cause de sa souris d’ordinateur. Cela peut aussi vous arriver.

Des pauses régulières, une variation de la position et un matériel approprié évitent les tendinites au travail.

Parlez-en à votre médecin du travail.

Tendinite: de bonnes habitudes à la maison

Vous allez peindre le rez-de-chaussée? Votre poignet et votre épaule vont être mis à rude épreuve pendant quelques jours. Optez pour un manche télescopique. Vous irez plus vite en besogne et vous ménagerez vos tendons.

Si vous déménagez, alternez les postes. Histoire que ce ne soit pas toujours le même qui sorte les caisses du camion ou qui monte les meubles dans les escaliers. Ayez toujours le dosbien droit et répartissez la charge sur l’ensemble du corps.

Que faire en cas de tendinite?

En cas de tendinite, il est primordial de laisser le tendon au repos pendant plusieurs jours pour qu’il puisse récupérer.

Pour soulager la zone lésée, appliquez-y de la glace recouverte d’un tissu. Une attelle, immobilisant le membre, est souvent conseillée.

Si la douleur vous gêne dans vos tâches quotidiennes, c’est qu’il est grand temps de consulter. Votre généraliste vous prescrira repos et anti-inflammatoires. Dans certains cas, il pourra aussi vous prescrire des infiltrations.

Votre médecin peut aussi vous orienter vers un kinésithérapeute ou les médecines douces (physiothérapie, ostéopathie, acupuncture…).

Si aucune amélioration n’est constatée après plusieurs mois, la chirurgie est à envisager.

Attention: il est important de bien soigner une tendinite. Mal soignée, les fibres du tendon peuvent mettre beaucoup de temps à se réparer, perdre en souplesse et en élasticité. La tendinite peut alors se rappeler à vous pendant des années!

 

Sources : http://www.tendinite.org/

http://www.e-sante.be

Douleurs au dos et aux pieds. Attention aux gougounes!


Si vous êtes comme moi, l’été a la saison chaude, j’aime bien avoir les pieds a l’air .. et comme je marche beaucoup, les gougounes ou sandales semblable ne sont vraiment pas adapter pour faire de longues promenades. Voici quelques conseils qui peut-être pour les adeptes des tongs, vont comprendre d’ou viennent certains malaises aux pieds et aussi le reste du corps
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Douleurs au dos et aux pieds. Attention aux gougounes!

 

 

attention gougounes

© iStockphoto

Les gougounes semblent inoffensives, mais elles ont un effet nocif sur les articulations, les muscles et les tendons.

Par Dre Geneviève Fournier , chiropraticienne, B.Sc, M.Sc, D.C. , Lavaltrie, Canada

Les gougounes, ou tongs, qu’on s’empresse de sortir dès que le soleil pointe son nez, peuvent être aussi dommageables pour les pieds et le dos que les souliers à talons hauts.

Quelles chaussures sont aussi dommageables pour les pieds et le dos que celles à talons hauts? Les gougounes, ou tongs! À première vue, elles semblent inoffensives, mais elles ont un effet nocif sur la santé musculosquelettique, c’est-à-dire les articulations, les muscles, les tendons et les ligaments. Il ne faudrait donc pas porter ce type de sandales toutes les journées ensoleillées, au risque de voir notre dos et nos pieds en souffrir.

Problème de pieds… c’est le talon qui souffre!

Les gougounes et les talons hauts entraînent le même type de problème, mais celui-ci touche des parties différentes du pied. La hauteur du talon fait en sorte que les orteils supportent le poids du corps. À l’inverse, la semelle trop plate et trop basse de la gougoune occasionne des souffrances au talon.

Lorsqu’on marche, le pied se dépose au sol par l’entremise du talon, qui encaisse la plus grande part des chocs. Il est donc important de le protéger au moyen d’une bonne semelle, certes assez plate, mais aussi suffisamment coussinée. Ce qu’on retrouve rarement sur les gougounes! De plus, celles-ci n’offrent aucun soutien au pied et à la cheville. Quand on les porte, les ligaments (petites cordes qui relient les os ensemble) de la cambrure du pied subissent une tension constante, ce qui peut provoquer des tendinites (inflammation du tendon), de même que des douleurs au bas du dos, aux hanches, aux genoux et aux chevilles.

Les personnes qui marchent trop souvent avec des tongs risquent de se retrouver avec des douleurs chroniques au talon et même des problèmes plus graves, comme la fasciite plantaire ou l’épine de Lenoir

La fasciite plantaire est une inflammation du fascia de la plante du pied (couche de tissu en soutenant la cambrure) qui peut occasionner des d’importantes douleurs à la cambrure ou au talon. Quant à l’épine de Lenoir, indolore en soi, elle survient souvent en présence d’une fasciite plantaire chronique. Il s’agit d’une excroissance osseuse qui apparaît à l’intérieur du pied au niveau du talon. Malgré les multiples possibilités thérapeutiques pour traiter la fasciite plantaire, les personnes qui en ont souffert risquent de connaître des récidives. Surtout si elles ne changent pas leurs habitudes de vie nuisibles pour la santé des pieds comme le port de chaussures inadéquates.

 

L’orteil en marteau, un problème… d’orteil!

Étant donné que les gougounes offrent un support inadéquat aux pieds, ceux-ci et les jambes doivent compenser. Les orteils se contractent, ce qui force les muscles du devant de la jambe à travailler alors qu’ils devraient être au repos. Ce mouvement trop souvent répété peut causer la formation d’orteils en marteau. Il s’agit d’une déformation du deuxième, troisième ou quatrième orteil qui se recourbe au niveau de l’articulation vers l’intérieur du pied, ce qui lui donne l’apparence de l’outil duquel il tient son nom.

Risque de blessures en tout genre

L’absence de support au pied et à la cheville peut également avoir une incidence plus élevée quant au risque d’entorses, de foulures et de fractures. C’est pourquoi il est déconseillé de faire du sport en gougounes.

Problèmes de dos

Le port de tongs entraîne de mauvaises postures et peut être à l’origine de divers problèmes de dos. Lorsqu’on marche avec ce type de chaussures, toute la démarche est modifiée, puisque les orteils sont la plupart du temps recroquevillés pour empêcher les pieds de sortir. De plus, on a tendance à faire de plus petits pas, ce qui a pour effet de changer l’angle de la cheville lors de l’attaque du talon au sol. Les risques de se retrouver avec des problèmes aux hanches ou au dos sont alors considérablement accrus.

Que faire pour réduire les risques?

Malgré ces mises en garde, les gougounes restent une chaussure de choix pour les chaudes journées d’été. Heureusement, on n’est pas obligé de s’en passer complètement. Il est toutefois important d’alterner le port de tongs avec celui d’autres chaussures mieux adaptées à notre corps. On fait cependant attention aux ballerines, qui possèdent plusieurs lacunes similaires à celles des gougounes, comme le manque de support et une semelle trop mince. Il est préférable d’opter pour un soulier de sport ou de marche.

Impensable pour vous de laisser les gougounes dans la garde-robe? Voici quelques conseils pour vous aider à trouver les sandales qui seront les moins dommageables possible pour vos pieds!

Une semelle légère qui procure du support

L’avant de la sandale doit être relevé et plus souple que le reste de la chaussure. De plus, la semelle devrait être légère et offrir un bon soutien, ce qui permet d’absorber les chocs occasionnés par la pose du pied au sol.

Une semelle pas trop flexible

Si l’avant de la semelle est relevé, les deux tiers arrière doivent être rigides. Le pied bénéficie d’un meilleur support lorsque la surface sur laquelle il repose n’est pas trop flexible, car la torsion est alors contrôlée.

Un intérieur coussiné

Une doublure spongieuse permet d’éviter que les pieds soient stressés, puisqu’une infime fraction des chocs est transmise au talon.

Un effet antipronation

Des sandales antipronation (dotées de renforts pour limiter la pronation excessive, le mouvement qui permet d’atténuer le choc du contact entre le pied et le sol) corrigeront l’effondrement du pied. Une bosse au centre de la semelle intérieure permet d’en supporter la cambrure.

Un petit talon

De quelle hauteur doit-il être? Celle qu’on recommande est de deux à quatre centimètres. Et on choisit un modèle pourvu d’un support autour du talon afin de réduire le risque de foulure.

Des sandales bien attachées

On essaie de trouver des chaussures qui ont des attaches robustes. On opte pour des modèles à bande velcro ou, dans le cas des sandales de sport, pour un système de fermeture à lacets qui contribue à bien maintenir le pied.

http://www.servicevie.com

Text neck» Muscles et tendons trinquent


Il n’y pas tellement d’année on remarquait des problèmes de dos causé par les ordinateur de bureau. Avec l’ère des téléphones intelligentes, des textos et toutes la panoplies technologiques d’autres problèmes physiques apparaissent .. Savoir prendre des pauses, bouger, s’étirer demeure le meilleur moyens d’éviter les aléas d’utiliser les outils techno
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«Text neck»
Muscles et tendons trinquent

«Text neck» - Muscles et tendons trinquent

© AFP PHOTO / Karen BLEIER

Les Britanniques ont déjà trouvé un nom pour cette nouvelle épidémie: «text neck», ou douleur du cou liée aux textos, et «text thumb injury», pour le pouce: l’utilisation intensive des portables et tablettes numériques cause des douleurs qui peuvent devenir invalidantes.

«J’ai eu une patiente qui souffrait d’une inflammation des tendons du pouce, du fait de l’usage des touches du téléphone, au point de ne plus pouvoir utiliser sa main pendant des semaines», témoigne Tim Hutchful, de l’Association britannique des chiropracteurs, commanditaire d’un sondage sur le sujet.

L’usage des téléphones intelligents, permettant de texter, naviguer sur le net, twitter etc., est en plein essor: 44% des Britanniques utilisent leur téléphone pour d’autres usages que la parole pendant une demi-heure à deux heures par jour, selon un sondage You Gov (2 034 adultes britanniques interrogés du 19 au 21 septembre).

Or, «notre corps n’est pas fait pour fonctionner comme cela», constate Sammy Margo, membre de la Fédération britannique des kinésithérapeutes. Elle incrimine notamment «des touches trop petites, qui contraignent nos doigts à des efforts trop soutenus».

«Un de mes patients a dû arrêter du fait des douleurs, et s’est équipé d’un logiciel de reconnaissance vocale», témoigne-t-elle.

Outre le problème des touches, l’écran est à l’origine de mauvaises postures.

«Le poids moyen de la tête est de 4,5 à 5,5 kg», remarque Tim Hutchful.

Dans la posture idéale, où on peut tracer une ligne droite entre l’oreille, l’épaule, la hanche, le genou et la cheville, ce poids est réparti sur l’ensemble du corps.

Mais lorsque nous regardons un écran, notre tête se désaxe vers l’avant et «nous ressentons son poids jusqu’à quatre fois plus», souligne M. Hutchful.

Or l’usage des tablettes numériques et des liseuses se répand comme une traînée de poudre. Et 18% des utilisateurs déclarent y passer 2 à 4 heures par jour. Leur usage s’ajoute à celui de l’ordinateur, désormais l’outil de travail le plus répandu.

Emmanuelle Rivoal, ostéopathe à Paris, voit elle aussi de plus en plus de patients paralysés de douleurs

«parce qu’ils passent plus de 5 heures par jour devant un écran».

«Pour moi, l’inconvénient majeur c’est la convergence visuelle», dit-elle: «le téléphone, la tablette, l’ordinateur impliquent la mobilisation des muscles de la vision».

«Le problème c’est qu’un muscle mobilisé en permanence appelle les autres muscles pour l’aider: muscles de la mâchoire, du cou, des épaules etc.».

De muscle en muscle, le patient peut se retrouver avec des fourmillements dans les doigts, une tendinite, des douleurs de la nuque, du dos etc.

Ces «troubles musculo-squelettiques» (TMS) sont devenus une épidémie: en France, c’est la première cause de maladie professionnelle, avec 9,7 millions de journées de travail perdues en 2010. Au Royaume-Uni, un travailleur sur 50 souffre de ces troubles.

Tim Hutchful, sans «diaboliser les smartphones», recommande d’en limiter l’usage à moins de 40 minutes, de faire des pauses, d’aligner la tête sur les épaules.

Emmanuelle Rivoal conseille de porter le regard au loin à intervalles réguliers, de bailler, ce qui relâche les muscles, de s’étirer comme un chat.

«De cette manière, on fait un "reset" des cellules, qui retrouvent leur vigilance», explique-t-elle.

«Sinon les capteurs de vigilance s’endorment et les muscles commencent à se crisper».

Sammy Margo s’inquiète particulièrement pour les enfants et adolescents, grands utilisateurs de messageries.

«Je connais des familles où on communique par texto d’une pièce à l’autre», déplore-t-elle: «Parlons-nous!».

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7 symptômes à prendre au sérieux


Des petits désagréments qui pourraient être anodins mais si par contre les bobos persistent il ne faut pas négliger d’en parler au médecin
Nuage

 

7 symptômes à prendre au sérieux

 

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Par Patricia Liard

Fièvre, fatigue, ganglions enflés… notre corps nous envoie des signaux. Quand faut-il consulter un médecin? Voici quelques conseils utiles.

 

1. Une fièvre persistante

La plupart du temps, il s’agit d’une infection bactérienne ou virale, comme la grippe. Mais une fièvre qui persiste peut signaler d’innombrables maladies, telles que les maladies inflammatoires, l’anémie, la déshydratation et même l’anxiété.

► Quand consulter:

 

«La fièvre, accompagnée de fatigue et de ganglions au cou, peut avoir comme cause une mononucléose. Mais cette maladie, présente surtout chez les adolescents de 15 à 18 ans, est plutôt rare chez l’adulte», explique la Dre Johanne Blais, médecin généraliste à Hôpital St-François-d’Assise, à Québec.

Lorsqu’on est en présence d’une fièvre, soit une température corporelle au-dessus des 37 degrés Celsius, qu’elle persiste au-delà de plusieurs jours et qu’elle ne diminue pas, une consultation médicale est requise.

2. Une fatigue inexpliquée

Tout comme la fièvre, la fatigue peut avoir pour origine une infection virale ou bactérienne, mais peut aussi être liée à maintes maladies physiques ou mentales.

► Quand consulter:

Selon André Beaulieu, porte-parole et conseiller principal de la Société canadienne du cancer, on devrait consulter un médecin si on ressent une fatigue hors du commun, qui persiste depuis plusieurs semaines et qui est accompagnée de fièvre ou d’une perte de poids importante. En cas de fatigue accompagnée d’humeur intolérante, de perte ou de gain de poids et de perte de mémoire, il ne faut pas hésiter à prendre un rendez-vous.

 

«Il pourrait s’agir d’une maladie mentale comme l’épuisement professionnel ou la dépression, des maux de plus en plus courants chez les femmes de 30 à 40 ans», poursuit la Dre Johanne Blais.

3. Ganglions enflés

C’est une réaction immunitaire du système contre une agression. Les ganglions enflés sont l’indice que notre corps se bat contre quelque chose, la plupart du temps contre une infection.

► Quand consulter:

 

«Des ganglions enflés peuvent être un signe autant bénin que malin. Au niveau du cou, il pourrait s’agir tout autant d’une pharyngite que d’un lymphome ou d’un cancer. Un ganglion enflé à l’aine peut être le symptôme de l’herpès génital», affirme la Dre Blais

S’ils durcissent, s’ils sont indolores et que leur taille ne régresse pas au bout de quelques semaines et même, au contraire, qu’elle augmente, il faut consulter.

4. Une envie fréquente d’uriner

La couleur, la fréquence, le volume et l’odeur de nos urines donnent des bons indices sur notre état de santé. Une augmentation des urines, autant en volume qu’en fréquence, s’accompagnant d’une soif intense, peut être causée par un taux élevé de glycémie.

► Quand consulter:

Diététiste-nutritionniste au service InfoDiabète de Diabète Québec, Julie St-Jean, conseille de consulter lorsque que ces symptômes apparaissent, surtout si les facteurs de risque suivants sont présents: un surplus de poids (notamment s’il est concentré au niveau de l’abdomen), de l’hypertension, si on est âgée de plus de 40 ans et s’il existe de cas de diabète dans notre famille. Le diabète est en constante progression au Québec, surtout chez les femmes, et se diagnostique chez des patients de plus en plus jeunes.

5. Des douleurs articulaires

Causées par la répétition de mouvements peu naturels pour nos articulations, les tendinites et bursites sont des maladies professionnelles fréquentes. Des raideurs au réveil? Il s’agit probablement de douleurs arthrosiques.

► Quand consulter:

Une consultation est recommandée lorsque des douleurs articulaires handicapent les mouvements. On consulte également si des douleurs persistantes apparaissent sans raison apparente, si on ressent une raideur après une période d’inactivité -souvent ressentie le matin-, si on remarque un gonflement au niveau des articulations, des rougeurs ou une chaleur et que les médicaments en vente libre ne soulagent pas ces symptômes.

6. Des douleurs pelviennes

Ressenties au niveau du bas-ventre, les douleurs pelviennes peuvent avoir plusieurs causes: gynécologiques, urinaires, digestives, circulatoires ou nerveuses. Selon la Dre Johanne Blais, le syndrome prémenstruel est une des principales raisons de consultation, de même que les maladies transmissibles sexuellement.

► Quand consulter:

L’âge, étant un facteur de risque, il ne faut pas tarder à consulter si on souffre de douleurs pelviennes à partir de la cinquantaine.

 

«Il faut penser à consulter à partir du moment qu’on s’inquiète, que les douleurs sont accompagnées d’autres symptômes qui semblent anormaux et si la fréquence est inhabituelle»,conseille la Dre Blais.

7. Un grain de beauté qui change de couleur ou de forme

 

Avec l’arrivée de l’hiver, les amateurs du teint doré se rabattent sur les salons de bronzage mais, selon la Société canadienne du cancer, croire qu’une peau hâlée est signe de santé est une erreur.

 

«La peau bronzée est une peau agressée. Elle change de couleur pour se protéger, assure André Beaulieu. Davantage de jeunes dans la vingtaine souffrent de mélanomes de la peau, un diagnostic qui augmente de 1 à 2 % par année.»

► Quand consulter:

Selon le porte-parole: «il ne faut pas tarder à consulter si un remarque qu’un de nos grains de beauté a changé de forme, de couleur ou qu’il y a présence d’un écoulement. Chez les femmes, ce symptôme s’observe souvent en arrière du genou et chez les hommes dans le dos ou le cou, des zones qu’on oublie de crémer».

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La Dre Johanne Blais est l’auteur des livres Être femme à 40 ans et Être femme à 50 ans, publiés aux Éditions des Intouchables. On peut également suivre son blogue.

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