Le Saviez-Vous ► Le syndrome des étudiants en médecine


Je crois que ce n’est pas juste des étudiants en médecine qui ont ce gendre de syndrome, mais aussi dans d’autres domaines médicaux
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Le syndrome des étudiants en médecine

 

Le syndrome des étudiants en médecine (SEM) traduit la fausse certitude d’être atteint d’un cancer, d’une embolie pulmonaire ou de schizophrénie à la simple évocation de leurs symptômes. Ces inquiétudes rongeraient près du tiers des étudiants de cursus médicaux.

Une étude menée par des chercheurs de l’université de Maastricht aurait identifié deux facteurs de prédisposition aux SEM : la propension aux fantasmes et le réflexe d’occultation de la pensée. Dans le premier, une imagination fertile ferait naître des sensations physiques en rapport avec le scénario morbide inventé. Dans le second, c’est le déni de pensées désagréables qui, par contrecoup, rendrait l’individu plus réceptif aux symptômes redoutés. Existe-t-il un remède contre le savoir médical ?

REFERENCES

Ingrid Candel et Harald Merckelbach, « Medical student syndrome », Personality and Individual Differences, vol. XXXV, novembre 2003.

© Sciences Humaines

http://m.scienceshumaines.com/

Un symptôme ? Google proposera des diagnostics potentiels


Présentement, mieux vaut consulter quand on doute des symptômes, néanmoins Google test aux États-Unis, son moteur de recherches pour les symptômes, proposant l’automédication ou une suggestion de consulter un médecin. Enfin, il faut quand aussi se fier à notre jugement et ne jamais oublier qu’Internet n’aura pas le dernier mot, en fait d’analyse fait par un rendez-vous chez le médecin
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Un symptôme ? Google proposera des diagnostics potentiels

 

Google a annoncé, le 20 juin, le lancement d’une nouvelle fonctionnalité facilitant la recherche d’informations médicales en ligne.

Le moteur de recherche, sur lequel près de 1 % des requêtes sont liées à des symptômes médicaux, proposera prochainement des fiches d’informations « fiables » sur les diagnostics potentiels liés aux symptômes.

Ces fiches, qui comportent notamment des suggestions de traitements en automédication et des signes qui devraient inciter à consulter un médecin, ont été conçues en collaboration avec des médecins de la Havard Medical School et de la Mayo Clinic.

La liste de symptômes a été créée à partir des conditions de santé mentionnées dans les résultats de recherche qui ont été vérifiées au moyen des informations médicales « de haute qualité » recueillies auprès de médecins pour le Google « Knowledge Graph » qui est une base de connaissances, ajoutée au moteur en 2012, pour améliorer les résultats de recherche au moyen d’informations sémantiques.

La fonctionnalité sera d’abord testée en anglais sur l’application de recherche pour smartphones (iOs et Android) aux États-Unis.

Psychomédia avec source : Google Official Blog.

http://www.psychomedia.qc.ca/

Est-ce de l’asthme?


Certains ont des symptômes de l’asthme sans en être concient, quelques informations pour vérifier pour savoir reconnaitre les symptômes mais devrait être confirmer par un médecin
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Est-ce de l’asthme?

 

coup de pouce.com

Certains symptômes, comme une toux persistante, soulèvent le doute: s’agit-il d’asthme? Est-il possible de faire de l’asthme alors qu’on n’en a jamais fait enfant?

On pourrait croire que l’asthme apparaît surtout durant l’enfance, mais cela peut aussi se produire à l’âge adulte sans qu’il y ait eu de symptômes auparavant.

 «Notre prédisposition à l’asthme dépend de nos antécédents familiaux, mais il peut aussi être déclenché par notre exposition à certains facteurs environnementaux, comme la fumée secondaire ou certains allergènes à l’intérieur ou à l’extérieur de notre maison», explique Patricia Côté, infirmière et directrice exécutive du Réseau québécois de l’asthme et de la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique).

Qu’on le développe à 3 ou à 35 ans, l’asthme reste le même, soit une maladie inflammatoire chronique.

 «Par contre, celui qui apparaît à l’âge adulte a tendance à être plus sévère que celui de l’enfance et à nécessiter plus de médicaments pour en maîtriser les symptômes», souligne l’infirmière.

À l’âge adulte, on doit consulter notre médecin de famille si on ressent les symptômes suivants.

  • On tousse beaucoup, sans être enrhumée ou grippée.
  • On s’essouffle plus rapidement lors d’exercices physiques.
  • On a des sécrétions provenant des voies respiratoires.
  • On produit des bruits rauques ou des «silements » en respirant.
  • On ressent une pression au niveau du thorax.

Il est possible de réduire les symptômes et la fréquence des crises en évitant les facteurs déclencheurs, comme les allergènes, et en se soumettant à un traitement pharmacologique et à un suivi médical. Pour plus d’informations à la suite d’un diagnostic, on consulte le site de l’ Association pulmonaire du Québec .

http://styledevie.ca.msn.com

Dans l’enfer de Cushing: la maladie qui fait engraisser


Une maladie rare qui heureusement se soigne a la condition toute fois, d’être déceler, car semble t’il, mettre le doigt sur cette maladie est très difficile d’ou l’importance d’être tenace parfois aide a trouver des réponses
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Dans l’enfer de Cushing: la maladie qui fait engraisser

 

Dans l'enfer de Cushing: la maladie qui fait engraisser

Marie-Michèle Rondeau est guérie de la maladie de Cushing. | ©Courtoisie et Étienne Laberge / Agence QMI

Lorsque Marie-Michelle Rondeau et Nicole Michaud ont reçu le diagnostic de la maladie de Cushing, elles ont enfin mis un nom sur une série de symptômes qui transformaient leur quotidien en cauchemar.

 

Important gain de poids, soudaine pilosité dans le dos et perte des menstruations, Mme Michaud connaît bien ces symptômes. En à peine deux ans, elle a pris 13,5 kilos (30 lb) au ventre et au cou.

C’est en 2009 qu’elle notait des signes évidents que quelque chose n’allait pas. Puis des boutons sont ensuite apparus sur son visage et elle était toujours fatiguée.

Ultimement, la maladie s’est attaquée à l’estime qu’elle avait d’elle-même.

«J’avais honte, a expliqué quant à elle Mme Rondeau, qui avait pris 21 kilos (47 lb). J’étais déformée, gonflée, j’avais beaucoup de poils. C’était dur. En plus, j’avais mal aux os et je ne pouvais plus tenir ma maison.» Son couple est passé à un cheveu d’exploser.

Dermatologue, médecin de famille, ostéopathe: les gens atteints de la maladie de Cushing consultent plusieurs spécialistes avant que l’un d’eux en cerne la cause.

«Tout le monde te passe le commentaire « mon Dieu, t’as bien engraissé ». Il faut que tu manges mieux», a expliqué Mme Michaud, assurant qu’elle mangeait bien, faisait de l’exercice, mais que rien n’y faisait.

Une tumeur dure à détecter

La grande responsable de cette maladie rare qui touche environ 500 Québécois est en fait une tumeur logée sur la glande hypophyse.

Celle-ci produit alors une quantité anormalement élevée de cortisone par les glandes surrénales.

«C’est difficile à détecter avec certitude puisqu’il est souvent impossible de la voir avec des radiographies», a indiqué le Dr André Lacroix, endocrinologue au Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM).

Le docteur a d’ailleurs dévoilé les résultats d’une étude internationale à laquelle le CHUM a participé avec 18 pays.

Ceci a mené à un traitement sous-cutané qui, jumelé à d’autres médicaments, a réussi à ramener l’équilibre biochimique du corps dans 93% des cas.

La chirurgie au niveau de la tumeur n’est donc plus la seule option possible.

Marie-Michelle Rondeau et Nicole Michaud sont guéries depuis un peu plus d’un an aujourd’hui. Elles ont retrouvé leur poids santé, mais doivent subir un suivi médical serré, car les risques de récidive de la tumeur sont réels.

http://fr.canoe.ca

En manque de mobile ► Une nouvelle maladie affecte les technophiles


Si ca continu comme ça, il vont finir par nous greffer sur un bras, un téléphone intelligent pour éviter de tomber malade et subir un manque en cas d’oubli …  Rendu a ce point là, il faudrait vraiment penser a faire des séances de silence cellulaire
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En manque de mobile  ► Une nouvelle maladie affecte les technophiles

 

En manque de mobile - Une nouvelle maladie affecte les technophiles

Sur un millier de personnes interrogées, les deux tiers ont peur de se retrouver sans téléphone cellulaire.

© Shutterstock

Si vous paniquez lorsque vous vous retrouvez sans téléphone portable, vous n’êtes pas seul(e). D’après un sondage britannique publié il y a deux semaines par l’entreprise SecureEnvoy, deux tiers du millier de personnes interrogées ont peur de se retrouver sans téléphone, alors que cette proportion n’était que de 53 % il y a quatre ans.

Les personnes âgées de 18 à 24 sont les plus touchées par cette nouvelle phobie (77 %), suivies de la tranche d’âge 25 à 34 ans (68 %). Avec des différences selon le sexe: 70 % des femmes ont peur de perdre leur téléphone, contre 61 % des hommes, mais cela s’explique peut-être par le fait que les hommes possèdent souvent un téléphone portable de secours, d’après les chercheurs.

Les symptômes de cette nouvelle phobie, baptisée en anglais «nomophobia» («no mobile phone phobia») peuvent se manifester sous forme de tremblements, de sueurs et de nausées lorsque le téléphone est hors de portée, d’après AllAboutCounseling.com.

Si vous cherchez votre téléphone de manière obsessionnelle ou que vous vous demandez constamment s’il est en lieu sûr, il est possible que vous soufriez également de ce problème.

Parmi les traitements conseillés, il est recommandé de sortir sans téléphone pendant une période donnée, d’éviter les pensées négatives, et de se mettre à pratiquer des exercices de respiration ou de yoga. Si après cela vous vous sentez toujours autant déconnecté, le site recommande de consulter un professionnel de la santé.

Docteurs et chiropraticiens s’inquiètent du temps que l’on passe penchés sur nos écrans de téléphones portables, ce qui peut entraîner divers symptômes comme les torticolis, les maux de têtes, des douleurs aux épaules, et même dans les bras et les mains.

Si vous êtes un inconditionnel des textos, assurez-vous de faire des pauses fréquentes et de vous étirer (surtout la tête, le cou et le dos).

http://fr.canoe.ca/

Comment aider son médecin


Qui n’a pas de médecin de famille, se trouve dans une situation bien facheuse. Mais ceux qui ont un médecin mieux vaut se préparer avant chaque consultation pour un résultat plus positif des rencontres médicales … L’idée de tenir un journal entre temps sur nos symptômes, nos états d’âme, nos questions me semble une bonne idée
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Comment aider son médecin

Comment aider son médecin

Photos.com

 

Sophie Allard
La Presse

Un Québécois sur quatre n’a pas de médecin de famille. Obtenir une consultation médicale ressemble parfois à un sport extrême. Même quand on a accès à un médecin de famille, profite-t-on assez de la rencontre tant attendue? Non, estiment le Dr Serge Goulet et le psychologue Bruno Fortin, auteurs de Comment améliorer mon médecin? Le patient efficace, en librairie depuis vendredi.

Une consultation médicale, c’est sérieux, disent les deux collègues de l’unité de médecine familiale de l’hôpital Charles-Lemoyne. Le patient devrait être préparé, et ce, bien avant de franchir la porte du cabinet. Souvent, ce n’est pas le cas.

«Les patients oublient d’amener l’information pertinente, comme les résultats de glycémie, la liste des médicaments qu’ils consomment, leurs antécédents familiaux. Ça crée une perte de temps qui n’est pas à leur avantage. La rencontre devient inefficace», note Bruno Fortin.

Pourquoi est-on si consciencieux quand on consulte un médecin pour ses enfants et pas pour nous? se demande-t-il.

Le patient devrait avoir couché sur papier une liste de questions et d’inquiétudes qu’il souhaite partager avec son médecin. Il devrait aussi avoir noté les informations pertinentes quant aux symptômes qui l’inquiètent:

«Où sont-ils logés? Sont-ils fréquents? À quel moment ont-ils commencé? Quand surviennent-ils? Sont-ils accompagnés d’autres signes?»

«La principale erreur du patient est de penser que le médecin connaît tout, devine tout. Il ne donne pas assez d’informations», souligne le Dr Serge Goulet.

Pire, des patients mentent à leur médecin.

«Les patients ne suivent pas le traitement comme prescrit dans une proportion de 20% à 40% pour les maladies aiguës, de 30% à 60% pour les maladies chroniques et de 50% à 80% quand il s’agit de prévention», écrivent les auteurs. Le médecin en est bien conscient, alors rien ne sert de lui cacher la vérité!

«Raconter l’histoire dont on est le héros, c’est amusant à la taverne, mais ce n’est pas indiqué chez le médecin, indique Bruno Fortin. Si on a eu une aventure extraconjugale qui fait qu’on est à risque d’avoir une infection transmise sexuellement, il est important de le faire savoir au médecin pour être traité s’il y a lieu. Ça peut être une occasion de réfléchir à la façon dont on en parlera à sa conjointe. Le médecin n’est pas là pour juger.»

Le Dr Serge Goulet croit que la relation de confiance entre médecin et patient s’est beaucoup améliorée depuis le début de sa pratique, il y a 30 ans.

 «Il reste encore du travail à faire, de part et d’autre. Mais nos jeunes médecins apprennent beaucoup à explorer les attentes des patients et leur vécu, tandis que les patients sont plus ouverts et osent davantage parler de sujets délicats. Ils sont plus à l’aise, surtout si on leur donne la chance de s’exprimer.»

Mais 15 minutes, c’est vite passé.

«Dans un contexte de travail rapide et urgent, c’est un art d’aller chercher en quelques secondes les bonnes informations. Il faut bien cibler et écouter, étudier le langage verbal et non verbal du patient, comme un visage blême, les traits tirés», dit le Dr Serge Goulet.

Pour ne pas perdre une seconde de ce bref entretien, on ne devrait pas tenter de former son médecin avec le dernier article du Reader’s Digest, selon les auteurs, ni tenter d’en faire un ostéopathe ou un homéopathe.

«Le médecin vous dira d’être prudent, surtout avec les produits naturels. Mais ce n’est pas son job», souligne M. Fortin.

Les patients sont très informés aujourd’hui et, si cela s’avère parfois embêtant pour le médecin, le Dr Goulet y voit surtout un avantage.

«Les patients sont proactifs. Quand ils me demandent de vérifier une information entendue dans les médias, c’est parce qu’ils doutent et qu’ils ont confiance en moi. C’est un devoir pour moi de leur donner l’information juste. En même temps, j’apprends sans cesse, mes patients me rendent meilleur. C’est ce qui me garde allumé, passionné.»

«Quand on a un bon médecin de famille, c’est pour la vie, dit Bruno Fortin. C’est donc une longue suite de 15 minutes qu’il faut optimiser. Ça vaut la peine de collaborer en tant que patient pour le garder longtemps.»

Comment améliorer mon médecin? Le patient efficace, Bruno Fortin et Serge Goulet, Éd. Fides, 248 p., 19,95$

Quelques trucs

Avant

-Clarifier le but de la visite.

-Noter sur papier les inquiétudes et les questions (ne pas oublier le papier!).

-Être à l’écoute de sa douleur, des symptômes.

-Demander à quelqu’un de nous accompagner.

Pendant

-Poser les questions les plus importantes dès le départ.

-Être honnête et fournir le plus d’informations sur notre état.

-Ne pas hésiter à poser des questions, à prendre des notes.

-Demander de l’information sur les interventions et traitements proposés.

-Ne pas hésiter à demander de répéter, d’utiliser des termes plus simples.

-Aviser le médecin de formulaires à remplir dès le départ.

-Ne pas tenter de socialiser avec le médecin.

Après

-Résumer l’essentiel de la visite sur papier.

-Garder un journal des consultations.

-Suivre les recommandations du médecin.

-En cas de maladie chronique, nuancer ses pensées, rester motivé.

-Adopter des habitudes de vie saines (en tout temps).

http://www.cyberpresse.ca

Élèves atteints d’infections respiratoires et cutanées Un mal frappe une école, mais le mystère persiste


Les parents, les élèves, les professeurs et tout le personnel doivent être inquiet sur les symptômes qui semble avoir pour seul lien une école … mais le reste demeure un grand mystère que d’autres sont appelé a la rescousse pour trouver ce qui cause les symptômes qui cause cette épidémie
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Élèves atteints d’infections respiratoires et cutanées

Un mal frappe une école, mais le mystère persiste

Un mal frappe une école, mais le mystère persiste

Crédit photo : Gracieuseté

ar Sarah-Maude Lefebvre | Journal de Montréal

Un mal mystérieux s’est abattu sur les enseignants et les élèves d’une petite école de Joliette durant les dernières semaines. Malgré plusieurs tests, les autorités sanitaires nagent toujours en plein mystère.

Les premiers symptômes ont commencé à se manifester, en décembre dernier.

Une vingtaine d’enseignants et d’élèves de l’école Espace Jeunesse, à Joliette, ont vu apparaître des boutons et des plaques rouges sur l’ensemble de leurs corps.

Malgré plusieurs tests, notamment pour la qualité de l’air et la moisissure, la Commission scolaire des Samares n’a pas réussi à trouver la cause de cette épidémie qui a affecté ce petit établissement qui accueille des élèves âgés de 6 à 21 ans ayant un handicap mental.

Conséquemment, la commission scolaire a ajouté deux journées pédagogiques, la semaine dernière, pour permettre aux enseignants de vider leurs classes et l’école a été entièrement désinfectée par la suite. Mais le mystère persiste.

«Les travailleurs ont-ils mis leur santé en danger? Les élèves ont-ils vécu dans un milieu contaminé, et si oui, pendant combien de temps? Quelles seront les conséquences à long terme?», s’interroge une enseignante inquiète qui a contacté le Journal de Montréal.

La commission scolaire impuissante

Faute de réponses adéquates à fournir aux parents, la Commission scolaire des Samares s’est tournée vers la Direction de la santé publique (DSP) pour obtenir de l’aide.

En attendant que celle- ci conclue son enquête, l’école Espace Jeunesse a procédé à un grand ménage. Plusieurs effets, comme des chaises ou des animaux en peluche, ont été jetés par mesure de précaution. Impossible de savoir à ce stade-ci si les objets mis aux ordures seront remplacés, restrictions budgétaires obligent.

«Encore sept personnes souffrent de malaises. On ne sait pas ce qui a causé ça, mais on a hâte de mettre le doigt dessus», affirme la porte-parole de la commission scolaire, Diane Fortin.

Le Syndicat de l’enseignement de Lanaudière compte suivre l’évolution de la situation de près.

«S’il y a une hausse du nombre de cas, il faudra se questionner à savoir ce qui n’a pas été fait correctement dans ce dossier. C’est certain que le personnel est perplexe, puisqu’on n’a aucune réponse», affirme le président François Breault.

La Santé publique dans le noir

Une enquête a été ouverte par la Direction de la santé publique de Lanaudière, qui a demandé aux personnes infectées d’aller consulter leur médecin de famille.

«Nous attendons d’avoir tous les diagnostics pour commencer notre enquête. Ça pourrait être à peu près n’importe quoi. Pour l’instant, nous n’avons aucune piste» , révèle la Dre Muriel Lafarge, qui est à la tête de cette investigation.

«Nous savons que nous avons affaire principalement à deux types de symptômes: cutanés et respiratoires. Les personnes atteintes ont eu des problèmes de peau, comme des boutons et des plaques rouges qui piquaient. On parle aussi d’infections des voies respiratoires, de toux, ainsi que de gorge et des yeux secs.»

L’enquête, qui débute à peine, pourrait durer plusieurs semaines. D’ici là, aucune autre mesure ne sera mise en place par la commission scolaire, à moins qu’elle ne soit aux prises avec une aggravation du nombre de cas.

http://tvanouvelles.ca

Incognito dans les animaleries


Un article fort intéressant sur la connaissances des animaleries sur les soins apporter aux animaux. Il semble que vendre des animaux ne donne pas nécessairement satisfaction aux questions santé de l’animal et peut parfois même donner des résultats dangereux pour la santé de l’animal si les clients appliquent certains conseils. Avec le coût des animaux, aliments, accessoires, je pense que les clients sont en droit d’avoir de meilleurs services des animaleries ..
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Incognito dans les animaleries

 

La plupart des endroits visités donnent des informations inexactes

 

Annie Ross

Journal de Montréal

Les employés d’animaleries ne sont souvent pas les meilleurs conseillers quant à la santé des animaux de compagnie, observe la vétérinaire du Journal, au terme d’une visite « incognito » dans 16 établissements de la grande région de Montréal.

Les employés rencontrés se sont montrés polis, agréables et ils ont démontré un réel intérêt à vouloir aider, mais un seul des 16 employés questionnés a eu une note parfaite. Les quinze autres ont commis différentes erreurs, certaines mineures, mais d’autres plus importantes qui auraient pu avoir des conséquences négatives sur la santé de l’animal.

Pourtant, les questions étaient simples : problèmes de puce, problèmes d’allergie, problèmes de selles molles, nourriture de base et gâteries pour lapin ou oiseaux.

À propos des puces, les employés interrogés n’ont pas semblé connaître à fond le cycle de vie de cet insecte. Différentes solutions ont été proposées et les traitements suggérés n’étaient pas assez longs pour se départir des puces dans la maison. Une employée qui voulait vendre un produit à puce à appliquer dans le cou s’est même trompée en proposant un collier anti-puces.

À propos des allergies, une employée a suggéré un chien croisé avec un caniche comme choix potentiel pour un enfant allergique aux chiens. On dit parfois que les caniches sont moins allergènes que d’autres races, mais aucun chien n’est hypo allergène à 100 % et si le caniche est croisé, il n’est plus un caniche à 100 %.

Bref, les meilleurs conseillers pour la santé des animaux de compagnie ne sont pas nécessairement dans ces endroits où l’on vend les bêtes et ce qui vient avec nourriture, vêtements, gâteries, meubles, accessoires…

Il n’y a cependant pas que du négatif ; par exemple, un endroit sur la Rive-Sud ne vendait aucun chien afin de ne pas encourager les usines à chiots.

Dans certains endroits, on engage aussi des étudiants en techniques de santé animale. Ainsi donc, on se donne tout de suite plus de chance d’obtenir des renseignements adéquats sur la santé des animaux.

Quelques-unes de mes déceptions générales :

1. Toutes les animaleries visitées vendent des oreilles de porcs séchées et fumées. Ce sont loin d’être des gâteries « santé ». Elles sont une source potentielle d’infection par les salmonelles, des bactéries pouvant causer des gastro-entérites sévères. De temps en temps, elles sont d’ailleurs le sujet d’une alerte formulée par le MAPAQ.

2. On vend du foin de luzerne et des cubes de luzerne dans des sacs ou des contenants sur lesquels on voit le dessin d’un lapin, même si on sait qu’il ne faut pas donner de luzerne trop fréquemment (voir question 2).

3. On vend de grosses gâteries pour lapin contenant du sucre, du miel, des graines et des fruits, et on peut lire sur la boîte : à distribuer librement en complément à l’alimentation principale. Le sucre peut amener un débalancement de la flore intestinale du lapin et provoquer parfois une stase intestinale, une condition médicale grave.

4. On vend encore des colliers de chien à pics en métal… Vive le bien-être animal et au diable l’époque médiévale.


Diplômée depuis 17 ans et ayant complété un internat dans les petits animaux à la faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal, Dre Annie Ross a pratiqué pendant plusieurs années dans un centre d’urgence ainsi que quelques cliniques de quartier avant de devenir enseignante en techniques de santé animale.

Question 1

« Je pense que mon chat est constipé. Depuis ce matin, il va souvent à la litière et force. Avez-vous quelque chose pour ça ? »

> Ce qu’il faut savoir d’abord…

Souvent, les propriétaires de chat confondent les symptômes d’un blocage urinaire avec ceux d’une constipation, car ils se ressemblent (visite de la litière à répétition, force dans la litière, démontre des signes d’inconfort, a le ventre crispé, vomit parfois…) mais le chat bloqué n’urine pas ou ne fait que du goutte à goutte.

Contrairement à la constipation, les blocages urinaires sont des urgences graves qui doivent être vues immédiatement par un vétérinaire. Les chats bloqués qui ne sont pas soignés meurent en souffrance dans les 48 heures.

> Ce qu’un professionnel devrait répondre à cette question :

Il doit d’abord demander s’il s’agit d’un chat mâle adulte. Si c’est le cas, il devrait demander si l’animal a été vu en train d’uriner. Il devrait donner des renseignements sur le fait qu’il peut s’agir d’un blocage urinaire et donc d’un cas d’urgence vétérinaire.

> Cette question a été posée à 5 endroits différents. Voici les résultats :

Dans un seul endroit, on a posé plusieurs questions pertinentes à propos du chat (sexe, âge, urine) et on a donné de bons conseils au cas où il s’agirait d’un blocage urinaire

Quatre endroits sur cinq n’ont posé aucune autre question quant à l’état du chat.

Trois endroits sur cinq ont suggéré une pâte laxative contre la constipation (ce qui n’était pas une mauvaise idée en soi), mais en quantité insuffisante pour une constipation

Un endroit n’avait rien pour la constipation, mais aurait pu aider dans le cas de diarrhée

Un endroit ne savait que suggérer, et on a plutôt conseillé de demander à un vétérinaire

Question 2

« Si j’achète un chiot ou un chaton ici, est-ce qu’il est tout vermifugé au complet ? »

> Ce qu’un professionnel devrait répondre à cette question :

Les chiots et les chatons ont effectivement reçu une dose (ou plus) d’un vermifuge général, mais cela ne veut pas dire qu’ils sont vermifugés au complet. D’abord parce qu’aucun médicament ne peut éliminer tous les types de parasites d’un seul coup. Ensuite, parce qu’il est clairement recommandé par les vétérinaires-parasitologues nord-américains de vermifuger les animaux de moins de six mois tous les mois, ainsi que de faire une analyse de selles pour s’assurer que l’on traite tous les types de parasites intestinaux que l’animal pourrait avoir. Il en va de la santé humaine, car certains parasites peuvent être transmis aux humains, surtout les enfants et les personnes âgées ou malades.

> La question a été posée dans six établissements différents et la réponse est unanime.

Tous les employés ont répondu : « Oui, nos animaux sont tous vermifugés au complet »

Mais tous les employés ont omis une information capitale : si les animaux ont été vermifugés, il faut savoir que le programme de vermifuges devra continuer une fois l’animal acheté

Question 3

« Mon chaton fait des cacas mous qui sentent vraiment mauvais. Que me recommandez-vous pour cela ? »

> Ce qu’il faut savoir :

Les causes de diarrhées et de cacas mous chez les jeunes animaux peuvent bien sûr être causées par une alimentation de mauvaise qualité, mais aussi par des conditions d’ordre vétérinaire comme des parasites, une infection ou un débalancement de la flore intestinale. Il est donc important de consulter un vétérinaire lorsque son animal fait des selles qui ne sont pas normales.

> Cette question a été posée à trois endroits différents. Voici les résultats :

Tous les employés ont proposé une nourriture de qualité pour chaton, mais aucun des trois n’a proposé une nourriture facile à digérer et conçue pour les problèmes intestinaux

À un endroit, on a posé quelques questions pertinentes à propos de l’animal, en mentionnant la possibilité de parasites intestinaux comme une cause potentielle du problème

Aucun des employés n’a vérifié si l’animal était en forme ou s’il se portait bien

Aucun des employés n’a suggéré une visite chez le vétérinaire considérant que les causes de selles molles et odorantes peuvent aussi être causées par des désordres médicaux

Question 4

« Puis-je donner du foin de luzerne ou des cubes de luzerne à mon lapin chaque jour ? »

> Ce qu’un professionnel devrait répondre :

Le foin de luzerne (alfafa) contient beaucoup de calcium et peut entraîner des problèmes urinaires importants chez le lapin (cristaux et pierres dans la vessie). Voilà pourquoi les vétérinaires et le « house rabbit society » ne recommandent pas le foin de luzerne chaque jour. On ne devrait en donner qu’à l’occasion, en très petite quantité. Il faut plutôt offrir un foin de qualité composé de plusieurs autres graminées. Pour les cubes de luzerne, on peut en offrir occasionnellement et cela ne devrait jamais remplacer le foin sec quotidien.

> Cette question a été posée à 5 endroits différents. Voici les résultats :

Dans un seul endroit, on a clairement dit de ne pas donner de luzerne au lapin, car cela pouvait provoquer des problèmes urinaires.

À trois endroits, on a indiqué qu’il était possible de donner de la luzerne chaque jour, que c’était nécessaire en bonne quantité

L’un des endroits ne vendait pas de luzerne pour les lapins et ne pouvait pas donner de renseignements à ce sujet.

http://www.journaldemontreal.com

« J’ai les sinus complètement bloqués! Ce doit être encore une sinusite! »


Les grippes et rhumes peuvent s’attraper en tout temps, mais certaines période de l’années ces désagréments sont plus propices. Et quel horreur quand tout semble être bouché .. Avant d’aller chez le médecin espérant une solution miracle .. certains remède maison peuvent aider a rendre le rhume, la sinusite plus tolérable en attendant que le mal passe
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« J’ai les sinus complètement bloqués! Ce doit être encore une sinusite! »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dre Johanne Blais

« J’ai les sinus complètement bloqués! Ce doit être encore une sinusite! » Dixit une de mes patientes ce matin qui insistait pour avoir des antibiotiques.

Dans plus des 2/3 des cas, la sinusite n’est pas causée par des bactéries. Les antibiotiques ne sont alors d’aucune utilité.

La sinusite, appelée aussi rhinosinusite, est une inflammation de la muqueuse des sinus. Cette inflammation est causée soit par une infection virale ou bactérienne, ou encore par des allergies, la présence de polypes nasaux, une déviation de la paroi nasale, etc.

Très fréquente, la sinusite aiguë dure au maximum quatre semaines et fait habituellement suite à un rhume (virus). Si les symptômes persistent au-delà de trois mois, on parle alors de sinusite chronique.

Les symptômes les plus fréquents sont : congestion nasale, écoulements blanchâtres ou verdâtres, douleurs et sensation de pression sur le front et les joues et autour des yeux causées par l’accumulation de mucus à l’intérieur des sinus. À cela peuvent s’ajouter des douleurs aux dents, une toux grasse avec sensation de sécrétions en arrière-gorge, voix nasillarde, maux de tête et fièvre légère.

Le but des traitements est de diminuer les symptômes. Je suggère toujours à mes patients de commencer avec des remèdes maison qui peuvent être fort efficaces :

Faites bouillir de l’eau et ajoutez-y une cuillerée à café d’onguent de type Vicks VapoRub ou d’huiles d’eucalyptus ou de menthe. Inhalez lentement la vapeur pendant environ 10 minutes. Ceci permet de liquéfier les sécrétions et de diminuer la sensation de pression.

Irriguez vos sinus avec une solution saline (solution maison, Salinex®, Hydrasense®) au moins trois fois par jour.

Buvez beaucoup d’eau et vérifiez le taux d’humidité dans la maison. Utilisez un humidificateur au besoin, dans le but d’atteindre un taux de 40 à 50 %.

Du côté médicamenteux, l’utilisation d’analgésiques (acétaminophène, ibuprofène) peut diminuer la douleur. Soyez prudents avec les décongestionnants (Ex. : Dristan®, Otrivin®), car au-delà de trois jours, ils peuvent créer une congestion nasale de rebond.

Quant aux antibiotiques, moins de 30 % des gens avec des sinusites en auront besoin.

http://blogues.radio-canada.ca

Quels sont les signes d’une phlébite ?


Les phlébites ne doivent pas être pris à la légère. Il y a plusieurs facteurs qui peuvent provoquer cette inflammation des veines mais certains peuvent être éviter … et les exercices comme la marche est un excellent atout pour activé le flot sanguin dans les jambes
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Quels sont les signes d’une phlébite ?

On parle de phlébite lorsqu’un caillot sanguin bloque plus ou moins complètement la circulation sanguine dans une veine. Si la veine en question n’est pas une veine superficielle, mais une veine profonde ou de gros calibre, il s’agit d’une urgence. Quels sont les signes ou symptômes à repérer?

La phlébite ou thrombose veineuse: superficielle ou profonde?


La phlébite superficielle (blocage de la circulation dans une petite veine, entraînant douleur et inconfort) n’est pas grave en soi, mais constitue un facteur de risque de phlébite profonde. Or cette dernière est une urgence car le caillot qui entrave la circulation dans une veine profonde ou de gros calibre peut se détacher, migrer dans la circulation et provoquer une embolie pulmonaire (le caillot va se loger dans une artère pulmonaire), accident grave et potentiellement mortel.

Quels sont les symptômes d’une phlébite?

Les signes d’une phlébite superficielle:

Une veine rouge, chaude, dure, en relief et donc bien visible en surface. Elle est aussi douloureuse ou sensible au toucher. La zone atteinte est parfois enflée, traduisant un œdème local.

Les signes d’une phlébite profonde:

Dans la moitié des cas, la phlébite profonde ne se manifeste par aucun signe. Sinon, il s’agit d’une douleur au niveau du mollet ou de la cuisse, ou bien de crampes, d’engourdissements, d’une sensation de chaleur ou d’un gonflement du mollet, de la cheville, voire de la jambe entière. La peau est brillante, dure et de couleur blanche ou légèrement bleutée. L’inflammation locale de la veine peut entraîner une fièvre légère (38°C). On repère également une phlébite grâce au signe de Homans: la douleur s’accentue lorsqu’on lève la pointe de pied vers le haut.

Ces symptômes doivent amener à consulter son médecin en extrême urgence car ils annoncent un risque élevé d’embolie pulmonaire, accident grave qui lui, se manifeste par une douleur dans la poitrine, un essoufflement, voire des crachats de sang et une perte de connaissance.

Quelles sont les personnes à risque de phlébite?

Les sujets à risques doivent être particulièrement attentifs aux signes de phlébite.

Voici les principaux facteurs de risques:

•L’insuffisance veineuse.
•Les varices.
•Une intervention chirurgicale nécessitant un alitement prolongé.
•Les positions immobiles de longue durée: voyages
(et notamment en avion), travail statique, etc.
•Les antécédents personnels de phlébite
(les récidives sont fréquentes), d’accident cardiaque, d’insuffisance cardiaque ou respiratoire.
•Les antécédents familiaux de phlébite ou d’embolie pulmonaire.
•Un trouble de la coagulation du sang.
•Les traitements hormonaux car ils augmentent la coagulation sanguine : contraception, traitement hormonal substitutif de la ménopause.
•Un cancer.
•La pose d’un cathéter dans une veine.
•La grossesse.
•L’obésité.
•L’âge.
•Le tabagisme.
•Etc.

Certains de ces facteurs de risques étant modifiables, on peut donc diminuer son risque de phlébite…

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