Je suis partie


Comme toute bonne chose finie un jour, mon voyage au Maroc était maintenant derrière moi, J’aurais voulu rester, mais mon séjour ne pouvait pas aller plus de 3 mois .. J’aurais bien voulu y retourner … visitez un peu plus.. peut-être un jour qui sait !
Nuage

Je suis partie


 

Je suis partie un soir de lune
Chercher l’espoir décrit tant de fois par ma plume
Conquérir cette destinée qu’un jour le vent m’as chuchoté
Afin d’aller au bout de mes rêves tant convoités
 
Je suis partie à pas feutrés dans le silence de la nuit
Que l’oiseau de fer a brisé le calme des pensées qui me suit
Survolant à travers les nuages pour disparaître d’une partie du monde
Dont mes yeux ternis retrouvent la vue à de nouveaux paysages de cette ronde
 
Je suis partie ….pensant ne plus revenir
Je suis partie… apprivoiser l’avenir
Je suis partie… récupérer un bonheur
Je suis partie… à la découverte d’une vie en couleur
 
De cette évasion le temps m’as repris
Ma destinée s’est échappée sans avis
L’oiseau de fer est revenu me chercher
Parachuter dans un autre milieu sans hésiter
 
Le sort à changé de direction, mais pourquoi?
Je n’ai que suivi le chemin qui était ma voie
De cette idée m’est venue que ma voie se poursuit
Vers peut-être la même destination, d’un chemin en sursis
 
Je suis repartie oui, mais  pour mieux revenir
Armée de sagesse qui sera mon atout sans mentir
Mes rêves dessineront a cet instant, toutes les formes de l’imagination
Dans le ciel d’azur que mon coeur garde à jamais sans restriction

Rachel Hubert (Nuage)
27 Mars 2002

Ontario → Des câlins comme sentence


Une sentence hors du commun, mais peut-être que cette méthode douce aura des effets positifs suivi de quelques thérapies … Même si ce n’est pas le genre de condamnation habituelle, cela mérite tout même de souligner le rapprochement entre le fils et les parents
Nuage


Ontario → Des câlins comme sentence

Des câlins comme sentence

Crédit photo : archives

Par Harold Carmichael | Agence QMI

Un juge a ordonné à un jeune homme à donner des câlins à sa mère et à son père après lui avoir imposé une condamnation avec sursis de 12 mois pour avoir causé des dommages au véhicule familial.

La scène qui a fait couler bien des larmes dans la salle de tribunal s’est déroulée mercredi à Sudbury, en Ontario.

Eric Perrier, 18 ans, avait été arrêté en novembre 2011. Il avait utilisé la fourgonnette familiale sans autorisation, le 15 novembre. Le lendemain, il y a eu une dispute avec son père qui a tourné à l’agression physique.

Éric Perrier avait été accusé d’agression, d’avoir pris le véhicule familial sans autorisation et de méfait pour des dommages de quelque 500 $ causés à la fourgonnette.

Lors du prononcé de la sentence, le juge Norman Glaude a dit au jeune homme qu’il devait posséder les bons outils pour être en mesure d’accomplir une tâche.

«Si on te demande de scier quelque chose et que l’on te donne une lime, ça ne fonctionnera pas», a-t-il dit, pour illustrer son propos.

«Serre ta mère dans tes bras», a lancé le juge.

Perrier s’est exécuté tout en s’excusant auprès de sa mère. Le juge a ensuite ordonné au jeune homme de donner un câlin à son père.

«Il en mérite un aussi», a indiqué le juge Glaude.

La cour a ordonné à Perrier de suivre des thérapies pour gérer sa colère et pour lutter contre les dépendances.

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