Le risque de piratage de pacemaker se précise


Tout se pirate sur Internet, et malheureusement cela peut jouer sur la vie des gens. Ce que les cardiologues américains craints le plus c’est les rançongiciel sur les stimulateurs cardiaque. Pour le moment, ce n’est pas le cas, mais peut-être un jour des gens stupide vont jour avec le coeur malade de beaucoup de gens
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Le risque de piratage de pacemaker se précise

 

Le 2 avril 2018.

Cela fait des années que l’on en parle, mais le risque semble se préciser. D’après le collège des cardiologues américains, le risque que des patients, porteurs de pacemaker, puissent indirectement être  la cible de pirates informatiques, est de plus en plus concret.

Les pacemakers communiquent à distance 

Les dernières générations de stimulateurs cardiaques (pacemaker, en anglais), sont en effet dotées de nouvelles fonctionnalités sans fil. Jusqu’ici, ces appareils pouvaient être réglés à distance par le cardiologue, à l’aide d’un matériel spécifique. Mais le médecin devait se trouver à proximité du patient, dans la même pièce, afin que la communication sans fil entre l’ordinateur pilote et le pacemaker s’établisse.

Mais désormais, les pacemakers sont pour la plupart tout simplement reliés à Internet ! Ils permettent aux équipes médicales de suivre à distance les données transmises par les pacemakers de leurs patients, et de détecter en amont une éventuelle anomalie cardiaque, afin de pouvoir prévenir le patient en cas de problème.

Revers de la médaille, cette connectivité sans fil permanente crèe une vulnérabilité. De quel type ? Peu de risques que des pirates puissent dérégler des pacemakers à distance, répondent en coeur les spécialistes.

Une mise à jour informatique pour 500 000 pacemakers

En revanche, ils envisagent qu’une attaque de type « ransomware », ces programmes qui bloquent des ordinateurs et réclament le paiement d’une rançon, ciblent spécifiquement les machines chargées de surveiller les pacemakers de malades. La communication serait rompue, et la surveillance aussi.

Quant au risque que des pirates dérèglent des pacemakers à distance, il est pour l’instant qualifié de très faible. Même si l’été dernier, l’agence de sécurité sanitaire américaine a exigé que le logiciel de plus de 500 000 pacemakers déja implantés soit mis à jour. Celui-ci était vulnérable à des attaques extérieures….

Pour l’instant, en 2018, il n’a cependant pas été encore rapporté d’attaques de ce type.

Jean-Baptiste Giraud

https://www.passeportsante.net/fr

Risque de piratage sur des milliers de pacemakers américains


C’est beau la technologie médicale via Internet, mais des risques de piratage existent aussi. Heureusement, que des chercheurs Belge on signalé la faille de sécurité des stimulateurs cardiaques (pacemaker) fabriqué par Abbott pour que des mises jours puissent se faire aux patients concernés
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Risque de piratage sur des milliers de pacemakers américains

Risque de piratage sur des milliers de pacemakers américains

Le 4 septembre 2017.

Les pacemakers du fabriquant américain Abbott souffriraient d’un défaut de sécurité et seraient potentiellement piratables. Un défaut de mise à jour qui devrait être rapidement résolu.

Les pacemakers fabriqués par St. Jude Medical

Une équipe de chercheurs de l’université de Louvain, en Belgique, a fait une étonnante découverte. Ils ont en effet révélé que les pacemakers fabriqués par St. Jude Medical, une entreprise acquise par Abbott, pouvaient être piratés. Des personnes malintentionnées pourraient en effet contrôler le rythme ou vider la batterie de ces appareils qui sont destinés aux personnes atteintes de bradycardie, c’est-à-dire qui ont un rythme cardiaque trop lent.

Cette découverte a poussé la Food and Drug Administration (FDA), la plus haute autorité sanitaire américaine, à demander aux professionnels de santé concernés et aux porteurs de ces pacemakers de mettre à jour leurs appareils. Au total, près de 460 000 pacemakers pourraient être concernés par ce défaut de sécurité.

« Cette mise à jour sera lancée en France après validation locale », a assuré la société Abbott à nos confrères de L’OBS.

Risque d’épuisement rapide de la batterie

Selon la FDA, si ces failles de sécurité étaient exploitées, elles pourraient « permettre à un utilisateur non autorisé – c’est-à-dire autre que le médecin – d’accéder au dispositif en utilisant des équipements disponibles dans le commerce ». Et d’ajouter que « cet accès pourrait être utilisé pour modifier les commandes de programmation sur le stimulateur cardiaque implanté, ce qui pourrait entraîner des dommages pour le patient ».

Le risque est en effet suffisamment important pour être signalé. Les patients porteurs des appareils suivants doivent donc entrer en contact avec leur médecin : Accent SR RF™, Accent MRI™, Assurity™, Assurity MRI™, Accent DR RF™, Anthem RF™, Allure RF™, Allure Quadra RF™, et Quadra Allure MP RF™. Il n’est pas nécessaire de changer de pacemaker pour autant, une simple mise à jour suffit.

Marine Rondot

http://www.passeportsante.net/

Son cœur n’a plus que 14% de batterie


Cette dame a vécu plus longtemps que d’autres qui ont eu le même appareil.  Elle est une victime de la technologie. Heureusement, sa vie ne semble pas en danger,  mais il faudra bien un jour ou l’autre a une solution de rechange
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Son cœur n’a plus que 14% de batterie

 

 

Le cardiomyo stimulateur dont a bénéficié la patiente en 1992 a été remplacé par les célèbres pacemakers. Et il n'est plus fabriqué. ©Llewellyn Rober/SUPERSTOCK/SIPA

Le cardiomyo stimulateur dont a bénéficié la patiente en 1992 a été remplacé par les célèbres pacemakers. Et il n’est plus fabriqué. ©Llewellyn Rober/SUPERSTOCK/SIPA

Une femme de 75 ans opérée du cœur en 1992 voit ce qui servait alors de pacemaker arriver au bout de son autonomie. Or la technologie vieille de 23 ans n’est plus fabriquée.

CARDIOLOGIE. A Tahiti, la vie d’une femme de 75 ans est suspendue aux 14% de batterie dont dispose encore son stimulateur cardiaque implanté il y a 23 ans. Une situation délicate puisque la technologie dont elle a bénéficié n’est plus du tout utilisée. Victime d’un infarctus du myocarde en 1992, alors qu’elle habitait Bordeaux, elle bénéficie à ce moment là d’un nouveau type de chirurgie cardiaque… devenu obsolète depuis. Résultat ? Le matériel de remplacement n’est plus fabriqué. Lors de l’intervention en 1992, des électrodes sont connectées à un cardiomyo-stimulateur.

« Cela ressemble à un boîtier de chargeur de pile, explique un cardiologue cité par l’AFP. Une technique qui n’est plus utilisée. Aujourd’hui, on poserait un pacemaker classique », poursuit-il.

Sa vie n’est pas en danger

Le stimulateur de la patiente a été changé une première fois en 2000 et une seconde en 2008, mais elle est aujourd’hui confrontée à l’évolution de la technologie. Dans le quotidien la Dépêche de Tahiti, cette aide soignante à la retraite raconte :

« En juin dernier, les cardiologues du Taaone (l’hôpital de Tahiti) m’ont dit que mon appareil ne disposait plus que de 14% de durée de vie. La médecine cardiaque a tellement évolué que ce genre de matériel ne se fait plus. Ma pile n’est même plus fabriquée car je suis la dernière personne au monde à vivre avec ce genre d’appareil. Alors j’attends… » 

Un cas presque imprévisible. En effet, les autres patients ayant bénéficié de ce type de chirurgie sont décédés au plus tard huit ans après l’opération.

Attention toutefois, la vie de la patiente ne serait pas menacée dans l’immédiat :

« La vie de la patiente n’est pas liée à l’appareil. Ce dernier est fait pour aider le coeur à mieux fonctionner, mais sa vie n’est pas en danger », explique le cardiologue interrogé par l’AFP.

Les médecins de Tahiti travaillent donc à chercher une solution de remplacement qui se solderait par une nouvelle pile ou un autre dispositif.

Avec AFP

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Cardiologie : les smartphones peuvent-ils faire bugger les pacemakers ?


Quasi, tout le monde a un téléphone intelligent mais certain pourraient être occasionnellement voir très rarement causer un problème avec des porteurs de stimulateur cardiaque causé par les ondes électromagnétiques. Mais cela n’empêche pas de prendre quelques précautions
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Cardiologie : les smartphones peuvent-ils faire bugger les pacemakers ?

 

Il y a d'infimes chances pour le fonctionnement des pacemakers puissent être perturbé par des interférences avec les ondes électromagnétiques des smartphones. ©Llewellyn Rober/SUPERSTOCK/SIPAIl y a d’infimes chances pour le fonctionnement des pacemakers puissent être perturbé par des interférences avec les ondes électromagnétiques des smartphones. ©Llewellyn Rober/SUPERSTOCK/SIPA

Par Hugo Jalinière

NokiaLumia, Samsung Galaxy 3 et HTC One XL… Et si les ondes électromagnétiques des smartphones pouvaient interférer avec les dispositifs cardiaques implantables ?

 

INTERFÉRENCES. Les ondes électromagnétiques des smartphones peuvent-elles interférer avec les dispositifs cardiaques implantables comme les pacemakers par exemple ?

« C’est une question qu’on nous pose presque systématiquement en consultation », confie le Dr Pierre Mondoly du service de rythmologie cardiaque du CHU de Toulouse. « Le risque est pourtant infime », rappelle-t-il.

Mais infime ne veut pas dire non nul. C’est d’ailleurs ce qui ressort d’une étude présentée le 22 juin 2015 lors du congrès de la Société européenne de cardiologie à Milan. Ce travail, dirigé par le Dr Carsten Lennerz du German Heart Center à Munich (Allemagne), a en effet testé ce risque potentiel auprès de 308 personnes équipées de tels implants : 147 porteurs de pacemakers et 161 de défibrillateur automatique implantable (DAI). En tout, 3.400 tests d’interférence électromagnétiques ont été effectués avec trois types desmartphone : NokiaLumia, Samsung Galaxy 3 et HTC One XL. Une série d’expériences réalisées en respectant les recommandations de la Food and Drug Administration (FDA, l’agence de sécurité sanitaire américaine) qui préconisent de respecter une distance de sécurité de 15-20 centimètres entre le dispositif cardiaque et les smartphones.

La mauvaise interprétation des pacemakers

Résultat ? Un seul incident s’est produit chez un porteur de DAI avec les portables NokiaLumia et HTC One. Preuve pour les auteurs de l’étude que les recommandations actuelles ne sont pas suffisantes.

« Un seul cas prouve que le risque est rare (0,3% dans le cas présent, ndlr), mais qu’il peut néanmoins arriver, explique le Dr Lennerz dans le communiqué de la Société européenne de cardiologie. Nous pensons ainsi que les recommandations actuelles des distances à respecter entre les portables et les dispositifs cardiaques doivent être actualisées et réévaluées. D’autant plus qu’elles ne prennent pas en compte les dernières innovations technologiques et les appareils les plus récents tels que les DAI et les appareils de resynchronisation cardiaque », poursuit le Dr Lennerz.

Il rappelle que les pacemakers « peuvent interpréter par erreur les interférences électromagnétiques des smartphones comme un signal cardiaque, ce qui peut causer un arrêt bref du dispositif et entraîner une syncope du porteur ». Du côté des défibrillateurs automatiques implantables – prescrits aux patients présentant des fibrillations ou des tachycardies ventriculaires épisodiques -, « le signal externe peut être interprété comme une tachyarythmie ventriculaire (rythme cardiaque irrégulier et anormalement rapide) ce qui entraîne, en réponse, l’envoi d’un choc électrique douloureux. »

C’est ce qui est arrivé lors de l’unique cas rapporté.

Un problème différent de celui posé par les aimants

Rien à voir en tout cas avec le risque constitué par les aimants des Smart Cover d’iPad rapporté en juillet 2013 lors du congrès de la Société américaine de rythmologie cardiaque.

« Le problème des aimants n’est pas le même, nous confirme le Dr Pierre Mondoly. D’abord, le nombre d’aimants capables de provoquer un dysfonctionnement est relativement rare. Ce n’est en tout cas pas le genre de choses qu’on rencontre quotidiennement, mis à part dans le cas de ces Smart Cover d’iPad. Sans compter qu’il faut se trouver dans une situation particulière où l’aimant reste un certain temps à portée du dispositif cardiaque. » 

Or on s’attarde rarement dans les portiques de sécurité des aéroports ou les portillons de ski qui disposent de tels aimants.

Quoi qu’il en soit, concernant les interférences électromagnétiques, « il est très difficile à partir de ces résultats d’établir des statistiques valables »,explique le Dr Mondoly. « Mais il est vrai que dans les livrets des fabricants de dispositifs cardiaques implantables, il est par exemple clairement recommandé de ne pas porter le téléphone à l’oreille située côté pacemaker », conclut-il.

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Que deviennent les prothèses après la mort des patients ?


Avec les avancés médicales, pour pallier à des handicaps ou par maladie, des prothèses en tous genre sont mit à des patients. Lors de la mort, ces prothèses ne peuvent pas toujours laissé sur la personne surtout les appareils qui possède une pile quand la personne décédée choisit la crémation
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Que deviennent les prothèses après la mort des patients ?

 

Après la mort, différentes options existent selon le type de prothèse et selon que la personne est enterrée ou incinérée. THE TIMES/SIPA

Après la mort, différentes options existent selon le type de prothèse et selon que la personne est enterrée ou incinérée. THE TIMES/SIPA

Par Hugo Jalinière

Bras, jambe, genou, hanche et autres pacemakers… Que deviennent les prothèses lorsque leurs porteurs décèdent ?

PROTHÈSES. Bras, jambe, genou, hanche, mais aussi pacemakers et autres défibrillateurs, la médecine contemporaine a considérablement développé le recours à toutes sortes de prothèses et autres dispositifs implantables. Que ce soit pour trouver des solutions à des problèmes articulaires ou pallier des amputations ou des insuffisances cardiaques, le développement de ces dispositifs médicaux a révolutionné les pratiques thérapeutique et le confort des patients. Mais que deviennent ces corps « étrangers » lorsque leur porteur décèdent ?

Pas les mêmes problèmes selon qu’on est incinéré ou enterré…

Différentes options existent selon le type de prothèse dont on parle et selon que la personne est enterrée ou incinérée. Lorsqu’une personne est enterrée, la plupart du temps les prothèses sont laissées en place, qu’il s’agisse de prothèses articulaires (hanche, genou…), mammaires ou de pacemakers et autres défibrillateurs cardiaques. En effet elles ne posent pas de problème d’un point de vue environnemental et les enlever nécessiterait une opération post-mortem non justifiée.

Pour ce qui est des prothèses amovibles de membre (main, bras, jambe…), le choix revient en principe à la famille du défunt, à moins que celui-ci ait laissé des consignes. Ces prothèses peuvent ainsi être récupérées par des organismes qui les recyclent ou les mettent à disposition de populations pauvres n’ayant pas accès à ce type de soin souvent très couteux. C’est le cas par exemple de l’association américaine Standing With Hope.

Crémation, recyclage… ou explosion !

En cas d’incinération des défunts, les choses demandent un peu plus d’attention. En effet trois cas de figure sont possibles : la prothèse peut être totalement désintégrée lors de la crémation (c’est le cas des prothèses mammaires par exemple).

En revanche, certains matériaux (titane, acier, cobalt…), utilisés par exemple pour les prothèses de hanche, de genou ou pour les broches résistent aux fortes chaleurs (de 800 °C à 1000 °C) du crématorium. Dans ce cas, de plus en plus, des sociétés proposent aux crématoriums de récupérer ces éléments après l’incinération pour les recycler.

La société OrthoMetal propose ainsi depuis 15 ans d’effectuer la collecte et le recyclage des métaux auprès de crématoriums dans le monde entier (voir la vidéo ci-dessous).

 

EXPLOSION. Un troisième cas de figure se présente enfin. Celui des dispositifs dotés d’une pile ou d’une batterie intégrée comme les pacemakers ou les défibrillateurs cardiaques. Pour ceux-là, il convient d’être vigilant, car la chaleur du four crématoire peut les faire littéralement exploser et occasionner des dégâts importants. Lorsqu’un patient décède à l’hôpital, en clinique, ou à domicile un médecin doit établir un certificat de décès. En matière de crémation, le médecin doit ainsi préciser si le défunt est porteur d’un appareil contenant une pile (stimulateur cardiaque, défibrillateur, pompe physiologique, etc).

Un encadrement législatif très clair

Parfois, il se peut que le médecin oublie malheureusement de procéder à cette vérification de la présence ou non d’un appareil contenant une pile… ce qui peut être lourd de conséquences. Cette situation est clairement encadrée par la loi. Ainsi, selon l’article R 2213-15 du Code des collectivités territoriales :

« si la personne décédée était porteuse d’une prothèse fonctionnant au moyen d’une pile, un médecin ou un thanatopracteur atteste de la récupération de l’appareil avant la mise en bière ».

Si le patient décédé porte une telle prothèse, le retrait est en effet obligatoire pour permettre la crémation.

La moitié des crématoriums au Royaume-Uni a connu au moins un cas d’explosion

Malgré cette législation, de nombreux cas d’explosion dans les crématoriums ont été recensés ces dix dernières années. En effet, tout comme la proportion de personnes se faisant incinérer à leur mort, le nombre de pacemakers implantés a fortement augmenté. Une étude publiée en 2002 établissait déjà que la moitié des crématoriums du Royaume-Uni avait connu un cas d’explosion au moment de la crémation en raison d’un dispositif à pile laissé dans le corps du défunt.

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Première québécoise Implantation d’un stimulateur cardiaque miniature


Une autre avancée en cardiologie qui simplifiera l’intervention et sera plus confortable pour le patient viens d’être pratiqué chez une personne âgée.
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Première québécoise

Implantation d’un stimulateur cardiaque miniature

 

Implantation d'un stimulateur cardiaque miniature

Crédit photo : Archives Agence QMI

Des cardiologues de l’Institut de cardiologie de Montréal (ICM) spécialisés dans les troubles du rythme cardiaque, ont implanté pour la première fois au Québec un nouveau stimulateur cardiaque plus petit qu’une pile AAA.

L’événement s’est produit le 24 octobre dernier alors qu’un patient âgé de 87 ans a reçu le stimulateur sans onde Nanostim, qui est dix fois plus petit que le stimulateur conventionnel. Vingt-quatre heures plus tard, il obtenait son congé de l’hôpital et retournait à la maison.

À la différence d’un stimulateur traditionnel, il réside entièrement dans le ventricule droit du cœur. Ce stimulateur développé par St. Jude Medical s’implante sans sonde et sans incision thoracique, sous anesthésie locale, et ne laisse ni cicatrice, ni protubérance permanente sous la peau.

«Il s’agit d’un avantage de taille puisqu’on sait que plus de 250 000 Canadiens sont porteurs d’un stimulateur et que leur nombre augmentera d’année en année avec le vieillissement de la population, a déclaré dans un communiqué le docteur Peter Guerra, Chef du service de médecine qui a participé à l’intervention. Sa petite taille et l’absence de boîtier améliorent grandement le confort du patient et on espère diminuer le risque de complications.»

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Prêt à être embaumé Il se réveille dans un sac mortuaire!


C’est peut-être la peur de certains de se réveiller a la morgue, ou dans les locaux d’un salon funérailles avant d’être embaumée. J’imagine très bien, le sursaut du thanatologue de voir bouger le corps qu’il s’apprêtait à préparer. Ce n’est peut-être pas une erreur de jugement, mais des circonstances assez exceptionnelles.
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Prêt à être embaumé

Il se réveille dans un sac mortuaire!

 

Il se réveille dans un sac mortuaire!

Crédit photo : Capture d’écran CNN

Le sac mortuaire à l’intérieur duquel Walter Williams s’est réveillé.

Des thanatologues de Lexington au Mississippi ont eu la surprise de leur vie lorsque le corps de l’homme qu’ils s’apprêtaient à sortir de son sac mortuaire pour l’embaumer s’est mis à bouger, rapporte aujourd’hui CNN.

Lorsque Walter Williams s’est réveillé, enfermé dans une housse noire, il s’est mis à donner de violents coups de pieds.

C’était la première fois que le propriétaire du salon funéraire Porter and Sons, Byron Porter, vivait cette situation inusitée, tout comme les membres de la famille de M. Williams qui étaient sous le choc d’apprendre qu’il était toujours en vie.

«J’étais là quand ils l’ont mis dans le sac mortuaire et qu’ils ont glissé la fermeture éclair», a expliqué le neveu de l’homme, Eddie Hester.

Walter Williams (Crédit photo: Capture d’écran CNN)

Le coroner assure qu’il a pris le pouls de Walter Williams cinq heures avant que ce dernier se retrouve dans cette fâcheuse position.

«J’ai demandé au coroner ce qui s’est passé et tout ce qu’il a trouvé à me dire c’est que c’était un miracle», a lancé le Sheriff du compté de Holmes, Willie March.

La seule hypothèse plausible, croit le coroner, est que le stimulateur cardiaque de M. Williams ait cessé de fonctionner pendant un certain temps avant de reprendre ses pulsations.

Quoi qu’il en soit, Walter Williams a été transporté d’urgence à l’hôpital. Ses proches ont affirmé qu’ils étaient très contents que l’homme soit toujours envie.

http://tvanouvelles.ca/

Pacemaker : attention à l’étui de l’iPad2


Papa cardiologue doit être très fière de son adolescente (et il a bien raison) qui a pu mettre un lien entre une possibilité d’une diminution de l’efficacité d’un stimulateur cardiaque et de l’étui IPad2. Il fallait quand même y penser
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Pacemaker : attention à l’étui de l’iPad2

 

Pacemaker : attention à l’étui de l’iPad2

© iStockphoto

Parmi les objets capables de désactiver un stimulateur cardiaque, l’étui de l’iPad2 doit être utilisé avec prudence.

Une américaine de 14 ans, Gianna Chien, a présenté les résultats de son étude au congrès de la Heart Rythm Society 2013, aux États-Unis. Fille d’un cardiologue, cette adolescente a réalisé une enquête sur les effets de l’iPad2 lorsqu’il est en contact avec une personne portant un pacemaker.

Posée sur la poitrine, la tablette désactive 30% des stimulateurs cardiaques, selon la jeune fille. En cause, l’étui aimanté vendu avec l’iPad en question. Dès qu’on le rapproche trop du cœur, le pacemaker ne fonctionne plus normalement, mais uniquement en fréquence minimale.

Interrogé par la revue Science et Avenir, le cardiologue François Carré ne s’étonne pas de ces résultats :

« on utilise justement l’aimant pour vérifier l’usure d’un pacemaker ou même pour désactiver un pacemaker qui ne fonctionne plus correctement ».

D’ailleurs, il ajoute que « ce ne sont pas les seuls objets qui contiennent des aimants assez puissants pour désactiver les stimulateurs cardiaques. Il faut se méfier également des portillons de ski, des portiques d’aéroport, des plaques à induction ou encore des vieux modèles de fours à micro-ondes. »

La leçon à retenir est de ne pas s’endormir avec la tablette posée sur la poitrine.

http://www.topsante.com

Un pacemaker miniature sans pile


Quand il faut une aide pour faire fonctionner le moteur du corps humain, les stimulateurs cardiaques sont une belles inventions … mais la science en cardiologique ne s’arrête pas là … elle peaufine ses appareils pour rendre l’utilisation plus naturelle
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Un pacemaker miniature sans pile

 

Un pacemaker miniature sans pile

Photo Fotolia

Des chercheurs français associés au groupe italien Sorin travaillent à la conception d’un stimulateur cardiaque (pacemaker) huit fois moins gros que les modèles actuels et dépourvu de pile.

 

D’une taille de seulement 1 cm3, ce pacemaker pourra être installé directement dans le coeur du patient, au contraire des modèles actuels qui sont placés sous la peau et envoient des impulsions électriques au coeur par le biais de sondes, ont-ils annoncé jeudi au cours d’une conférence de presse.

La réduction de sa taille est rendue possible par un système de génération d’énergie intégré.

«Aujourd’hui, le plus petit stimulateur cardiaque au monde mesure 8 cm3 et les deux tiers du volume sont constitués par la pile qu’il faut changer régulièrement» (tous les 6 ou 10 ans), a en effet souligné Jean-Jacques Chaillot, chercheur au CEA-Leti de Grenoble, en marge d’une conférence de presse du pôle de compétitivité Minalogic.

Alimenté par les mouvements du patient

 

Le pacemaker en cours de développement, dépourvu de pile, sera alimenté grâce à l’énergie mécanique générée par le «mouvement du coeur ou les mouvements du patient», a-t-il ajouté.

Un démonstrateur devrait être présenté en septembre 2013.

«L’objectif est de le commercialiser dans 5 ou 10 ans, le temps d’obtenir les autorisations nécessaires», a indiqué Martin Deterre, ingénieur chez Sorin, un groupe spécialiste des technologies cardiovasculaires.

Le coût de l’appareil devrait être assez proche des modèles actuels (quelques centaines de dollars) et son implantation devrait être plus aisée en raison de la disparition des sondes, a-t-il expliqué.

Baptisé HBS (Heart Beat Scavenger), le projet est développé par Sorin, les laboratoires grenoblois CEA-Leti et Tima et les PME Cedrat Technologies, EASii IC et Tronic’s Microsystems.

http://fr.canoe.ca/

Recycler des stimulateurs cardiaques pour sauver la vie des plus démunis


Si ces stimulateurs cardiaques peuvent resservir aux plus démunies c’est une bonne chose de redonner une espérance de vie dans de meilleurs dispositions C’est une belle initiative que des gens prennent leur temps pour s’activé a remettre en état ces petits appareils qui fera boum boum dans un autre coeur
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Recycler des stimulateurs cardiaques pour sauver la vie des plus démunis

Un cardiologue de Montréal recycle, depuis près de 30 ans, de vieux stimulateurs cardiaques pour les offrir à des patients de pays en développement. L’initiative du Dr Raphael Castan a permis de sauver la vie à plus de 1400 personnes au fil des décennies.

Le cardiologue de 77 ans, qui pratique à l’Hôpital Jean-Talon, a envoyé gratuitement des stimulateurs cardiaques en Amérique centrale, dans les Antilles et en Asie.

Les stimulateurs usagés, qui proviennent surtout de cadavres, sont d’abord nettoyés et désinfectés un à un.

« Je vais m’assurer que tout est à off et que les thérapies pour les chocs sont à off . On ne veut surtout pas que l’appareil donne des chocs », explique Marie-Andrée Lupien, technicienne en électrophysiologie à l’Institut de cardiologie de Montréal.

Mme Lupien, qui travaille bénévolement auprès du cardiologue, déprogramme les stimulateurs et vérifie la batterie, qui doit être bonne pour un minimum de 5 ans.

L’Institut de cardiologie de Montréal participe au projet du Dr Castan et assure que les stimulateurs recyclés sont sécuritaires.

« On a l’expertise ici pour vérifier le fonctionnement et s’assurer qu’on envoie des stimulateurs qui fonctionnent bien », précise le Dr Peter Guerra, chef de l’électrophysiologie à l’Institut de cardiologie de Montréal.

D’après un reportage de Michel Rochon

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