Pourquoi chercher ailleurs, ou imaginer un futur alors qu’il faut vivre sa vie dès maintenant ?
Nuage
Temps Limité
Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre
Steve Jobs
Pourquoi chercher ailleurs, ou imaginer un futur alors qu’il faut vivre sa vie dès maintenant ?
Nuage
Temps Limité
Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n’est pas la vôtre
Steve Jobs
Chacun a sa propre vie à gouverner, il ne faut donc pas laisser les autres décider à sa place
Nuage
Opinion
« Ne laisse pas le bruit des opinions des autres étouffer ta voix intérieure. »
Steve Jobs
Sur 15, je n’ai vu que deux ou trois de ces films de fictions, mais qui tout de même sont tiré d’histoire vraie
Nuage
Leonardo DiCaprio : après le paquebot de Titanic, les autos de Volkswagen. © Bebeto Matthews/AP/SIPA
Par Hervé Ratel
Alors que Leonardo DiCaprio a annoncé vouloir produire un film autour des voitures diesel truquées de Volkswagen, voici une sélection de quinze histoires scientifiques (réelles) dont on a fait des films (de fiction)
Moteur! Très impliqué dans les problématiques environnementales, Leonardo DiCaprio s’apprête à produire un film autour des voitures diesel truquées de Volkswagen. Via sa société Appian Way, l’acteur a en effet acquis les droits d’un futur livre sur la question signé de Jack Ewing, journaliste économique au New York Times. Aucun réalisateur n’a été évoqué pour le moment et il n’est même pas certain que l’acteur ait un rôle dans le film. Cela fait plusieurs années que Leonardo DiCaprio s’engage en faveur de l’environnement. Non content d’avoir été l’un des premiers à rouler en Prius, sa fondation créée en 1998 s’est illustré ces dernières années dans la protection d’écosystèmes menacés au travers de multiples projets innovants.
Avant lui, retour sur quatorze autre projets s’inspirant de véritables histoires de science.
Dallas Buyers Club
Jean-Marc Vallée, 2013
En 1985, aux premiers temps du Sida, alors que les traitements sont encore balbutiants et en phase expérimentale, le combat d’un malade (extraordinaire Matthew McConaughey) pour distribuer des médicaments non approuvés.
Un homme d’exception
Ron Howard, 2001
Prix Nobel d’économie 1994, John Forbes Nash Jr. est également connu pour souffrir de schizophrénie. Le film est l’adaptation de la biographie écrite par Sylvia Nasar, journaliste économique du New York Times.
Steve Jobs
Danny Boyle, 2015Prévu pour sortir début 2016 en France, on espère que le film sera plus réussi que la précédente tentative (Jobs de Joshua Michael Stern, 2013) de raconter la vie et l’œuvre du fondateur d’Apple.
The social network
David Fincher, 2010
Informatique encore avec la création du réseau Facebook. Et comme pour “Steve Jobs“, le scénario est signé d’Aaron Sorkin (créateur de la série “A la maison blanche“). Un portrait contrasté de Mark Zuckerberg, ce quasi autiste social qui a développé l’outil social le plus populaire au monde.
Apollo 13
Ron Howard, 1995
Le chiffre 13 porte la poisse à cette troisième mission habitée vers la Lune qui tombe de Charybde en Scylla. Tom Hanks incarne James Lovell, l’astronaute qui co-écrivit le livre sur cette mission mythique autant que poissarde.
Le syndrome chinois
James Bridges, 1979
Jane Fonda, journaliste à la télévision, est témoin d’un incident dans une centrale nucléaire fictive. Hors-sujet? Pas du tout. Visionnaire pourrait-on dire, car 12 jours après la sortie du film, le 28 mars, l’Amérique vit l’incident nucléaire le plus grave de son histoire à la centrale de Three Mile Island en Pennsylvanie.
Tucker
Francis Coppola, 1988
Concepteur d’une automobile révolutionnaire en 1948, Preston Tucker se fait étriller par les trois gros constructeurs officiels des Etats-Unis, Chrysler, Ford et General Motors. Il ne s’en relèvera pas.
Erin Brockovich
Steven Soderbergh, 2000
Le combat d’une mère célibataire pour indemniser des familles ayant de gros soucis de santé suite aux rejets toxiques d’une compagnie de distribution d’énergie.
Lorenzo
George Miller, 1992Entre trois Mad Max, deux cochons (Babe, et sa suite) et deux manchots (Happy Feet, et sa suite), le cinéaste australien raconte la véritable histoire de parents cherchant un traitement pour leur fils Lorenzo atteint d’une maladie rare, l’adrénoleucodystrophie liée à l’X (ALD).
Elephant Man
David Lynch, 1980
Monstre de foire atteint de difformités monstrueuses en pleine Angleterre victorienne, John Merrick est étudié par le docteur Treves. Le film est l’adaptation cinématographique de la biographie de ce dernier essentiellement axée sur le cas extraordinaire de l’homme éléphant.
L’étoffe des héros
Philip Kaufman, 1983
L’épopée des premiers pilotes d’essais américains en pleine guerre froide. De Chuck Yeager, qui franchit le mur du son aux astronautes du programme spatial Mercury.
Ciel d’Octobre
Joe Johnston, 2000
Après avoir rétréci les gosses et mis en image l’excellente BD Rocketeer, Joe Johnston raconte l’histoire vraie d’Homer Hickam, un gosse de la campagne américaine tellement passionné par le lancement de Spoutnik qu’il brave les interdits parentaux pour confectionner des fusées et finira par devenir ingénieur à la Nasa.
Une merveilleuse histoire du temps
James Marsh, 2014
Biographie du célèbre cosmologiste britannique Stephen Hawking atteint de SLA (Sclérose Latérale Amyotrophique), elle s’appuie sur les mémoires de sa première femme, Jane Wilde. L’histoire est édifiante mais le film est loupé.
The imitation game
Morten Tyldum, 2014
Le mathématicien britannique Alan Turing a sauvé des milliers de vies durant la Seconde guerre mondiale en décryptant les message codés des nazis. Le gouvernement britannique le remerciera par une castration chimique pour cause d’homosexualité…
Savoir s’écouter avant d’écouter les autres. Nous avons notre propre voix intérieure qui est souvent une bonne conseillère, mais que trop souvent, nous faisons la sourde oreille
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Notre voix intérieure
« Ne laissez pas le bruit des opinions des autres étouffer votre propre voix intérieure. Et plus important encore, ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. »
Steve Jobs
Les ordinateurs ont beaucoup évolué tellement qu’il faut changer souvent pour suivre l’évolution d’internet. Imaginez l’ordinateur Apple 1 a presque 40 ans et il existe encore quelques spécimens de l’époque
Nuage
Ed Uthman via Flickr
http://flickr.com/photos/78147607@N00
Par Marie-Lyse Paquin
En avril 1976, le premier ordinateur Apple 1 était assemblé.
Pour financer cette petite merveille, Steve Jobs a sacrifié sa van Volkswagen et Steve Wozniak, sa calculatrice HP-65. L’Apple 1 coûtait 666.66 $ US tout nu, sans boîtier, ni moniteur, ni clavier.
Il resterait une cinquantaine d’Apple 1 dans le monde aujourd’hui et l’un d’entre eux s’est vendu 374 000 $ aux enchères l’an dernier.
Et pendant ce temps, mon PC de 1990 qui ne vaut plus rien, laisse une empreinte écologique de pourriture électronique.
Voici une démo d’un Apple 1 avec un logiciel en cassette. Doux souvenirs de geeks de la première heure!
Il y a 30 ans, il n’y avait pas beaucoup de familles qui avaient un ordinateur, IBM, Microsoft et Macintosh des concurrents qui ont voulu atteindre le grand public. Aujourd’hui, que soit Apple ou Microsoft, dans presque toutes les maisons, il y a au moins un ordinateur au pays
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Le Machintosh original a été commercialisé le 24 janvier 1984. Photo Apple
NEW YORK – Il y a trente ans, bien avant l’invention de l’iPhone et de l’iPad, le groupe américain Apple révolutionnait déjà l’informatique en lançant l’ordinateur Macintosh, resté le symbole d’une rivalité légendaire avec Microsoft.
«Le Mac était un saut quantique vers l’avant», raconte Randy Wigginton, l’un des premiers salariés d’Apple. «Nous n’avons pas tout inventé, mais nous avons tout rendu accessible et facile. C’était le premier ordinateur avec lequel les gens pouvaient jouer et dire: c’est cool».
Avant la présentation du «Mac» le 24 janvier 1984, les ordinateurs sont de coûteuses machines pour le monde du travail, commandées par du texte rédigé dans un langage quasi incompréhensible pour qui n’est pas programmateur de logiciel.
Le nouvel appareil d’Apple change cela et ouvre la voie à une utilisation de l’ordinateur par le grand public, grâce à une interface graphique proposant de cliquer simplement sur des icônes avec une souris, un appareil inventé dans les années 1960 par un ingénieur de l’institut de recherche Stanford décédé l’an dernier, Doug Engelbart, et que le Mac va populariser.
Ces manoeuvres simples en apparence requièrent des capacités, en termes de mémoire et de processeur, énormes pour les ordinateurs de l’époque, mais Apple va malgré tout s’efforcer de conserver des prix accessibles pour les consommateurs.
Il n’est pas rare alors de payer 10 000 dollars ou plus pour un ordinateur, mais le premier Mac s’affichera à 2500 $ pour 128 kilooctets de mémoire dynamique RAM.
Au-delà du produit lui-même, la publicité d’une minute annonçant la sortie du Mac, diffusée en plein Superbowl quand les secondes publicitaires à la télévision américaine sont les plus chères, est restée une référence.
Le spot dirigé par le réalisateur de Blade Runner et Alien, Ridley Scott, s’inspire de l’univers du roman 1984 de George Orwell, avec un écran représentant «big brother» fracassé par une sportive aux couleurs d’Apple.
Derrière la métaphore, c’était «un énorme coup» contre IBM, l’acteur majeur à l’époque sur le marché des ordinateurs, indique Daniel Kottke, un ingénieur qui faisait partie de l’équipe de développement du premier Mac.
Il se rappelle d’une «grande bataille» au sein du conseil d’administration sur l’opportunité de diffuser cette publicité jugée «non convenable», mais finalement «restée dans les mémoires de tous ceux qui l’ont vue».
Plus qu’avec IBM, la rivalité qui va entrer dans la légende sera toutefois avec Microsoft, qui sort en fin d’année suivante la première version de son système d’exploitation Windows, devenu inséparable du PC.
«Je pense que (le patron-fondateur d’Apple aujourd’hui décédé) Steve Jobs cultivait l’idée de l’opposition entre Windows et le Mac», note Daniel Kottke.
«Steve Jobs s’en prenait toujours à Microsoft, mais c’est vraiment devenu vif quand Microsoft a sorti Windows. Il disait qu’ils nous avaient copié», raconte-t-il. «L’interface utilisateur graphique du Mac a été reprise par Microsoft, qui l’a appelée Windows.»
Les prouesses du Mac dans la mise en page et l’édition de photo ont fait son succès dans le monde artistique et dans la presse.
Mais Microsoft a pris la tête du marché grand public, en se concentrant sur les logiciels installés sur les ordinateurs que ses partenaires, comme HP ou Dell, fabriquaient pour des prix bien inférieurs à ceux du Mac.
Au fil des années, le Mac original ressemblant à une grosse boîte grise avec son lecteur de disquettes a évolué vers une ligne d’ordinateurs réunissant des portables fins et très puissants ou un modèle de bureau cylindrique.
Quelque 16,5 millions d’exemplaires ont encore été vendus sur l’exercice achevé fin septembre, mais depuis la fin des années 2000, le Mac a cédé le rôle de vedette dans la galaxie Apple à d’autres appareils comme l’iPhone ou l’iPad. Avec l’essor du mobile, la rivalité s’est aussi déplacée de Microsoft vers Google, dont le système d’exploitation Android domine aujourd’hui le marché des smartphones et des tablettes.
Comment de fois que nous n’osons aller de l’avant parce que les autres ne croient pas que nous réussirons. Combien de fois que certains se sentent paralyser par les rumeurs sur eux .. Alors qu’il suffit d’être sourd aux mauvaises langues
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L’intuition
« Ne laissez pas le bruit des opinions des autres étouffer votre propre voix intérieure. Et plus important encore, ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. »
Steve Jobs