Des furets nourris aux stéroïdes vendus comme des caniches !


Même, si après avoir découvert l’arnaque et qu’ils se sont attaché à leur animal, les victimes devraient quand même à mon avis porter plainte. Ses furets ont quand même reçu des stéroïdes, qui je crois, n’est pas indiqué pour ces animaux … Puis c’est quand même une fraude. Mais, j’avoue ne pas comprendre comment des gens ont confondu ces furets a un caniche
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Des furets nourris aux stéroïdes vendus comme des caniches !

 

Inimaginable, et pourtant tristement vrai : en Argentine,un homme nourrit des furets aux stéroïdes pour les faire passer pour des petits chiens, et les vendre sur des marchés.

Une histoire à peine croyable, relatée par le Dailymail.

Les caniches étaient des furets…

Ces pauvres bêtes ont été vendues 150 dollars, soit 115 euros environ, à La Salado, le plus grand bazar d’Argentine.

Et plusieurs personnes ont été victimes de cette cruelle arnaque.

Parmi elles, un retraité de Catamarca, devenu soupçonneux quand il s’est rendu compte que les deux adorables Caniches qu’il avait achetés commençaient à ressembler étrangement à des furets, ou « rats du Brésil », tels qu’on surnomme en Argentine les petits mustélidés.

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Des furets nourris aux stéroïdes pour ressembler à des caniches

Plusieurs victimes

Des doutes confirmés par le vétérinaire qu’il a consulté pour, comme tout maître responsable, faire vacciner ces animaux.

Il a alors découvert que ses chiens étaient en réalité des furets géants, nourris avec des stéroïdes depuis leur naissance pour augmenter leur taille, et toilettés de façon à leur donner l’apparence et la douceur de petits chiens… Une femme a quant à elle cru avoir acheté un Chihuahua !

Mais ni l’un ni l’autre n’ont décidé de porter plainte. Peut-être parce ce qu’ils se sont attachés à leurs petits compagnons bien qu’ils ne soient pas ce qu’ils pensaient…

 

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OSTÉOPOROSE : LES HOMMES EN SOUFFRENT AUSSI… SANS LE SAVOIR


L’ostéoporose est souvent relier a des problèmes chez la femme alors que chez l’homme peut aussi présenter des cas de perte de la densité osseuse.
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OSTÉOPOROSE : LES HOMMES EN SOUFFRENT AUSSI… SANS LE SAVOIR

 

  • Ostéoporose : les hommes en souffrent aussi... sans le savoir
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On pense souvent que l’ostéoporose affecte uniquement les femmes. Or une étude récente montre que les hommes aussi peuvent en souffrir.

Que les mots « homme » et « ostéoporose » ne soient jamais utilisés ensemble dans la littérature médicale américaine, c’est ce qui a frappé le Pr Robert Adler, chef du service d’endocrinologie de l’hôpital pour Vétérans de Richmond (Etats-Unis).

« Je pense que pour la majorité des praticiens, l’ostéoporose est une pathologie qui ne touche que les femmes. »

Or, pour cet endocrinologue, les principaux facteurs de risque pour l’ostéoporose chez les hommes ne sont guère différents de ceux des femmes : une carence en vitamine D et en calcium, le tabagisme, les changements hormonaux dûs à l’âge, le manque d’exercice physique.
Mais il existe aussi des facteurs de risque typiquement masculins : la privation d’hormones androgènes chez les hommes qui ont eu un cancer de la prostate a des répercussions sur la santé des os. Et l’usage de stéroïdes comme les glucocorticoïdes utilisés pour soigner la BPCO a le même effet négatif sur la densité osseuse.

« Or rare sont les patients hommes à qui l’on propose de faire un test d’ostéodensitométrie, un examen qui permet de mesurer la densité osseuse » explique le Pr Adler.

Col du fémur : les hommes ne se méfient pas assez

Pour confirmer ses dires, le Pr Adler a mené une étude auprès de 115 hommes hospitalisés dans un service d’urologie et qui étaient sous privation d’androgènes. Résultat : un homme sur 3 était atteint d’ostéoporose sans le savoir.

« Cela ne me surprend pas car sur les 2 millions de fractures dues à l’ostéoporose enregistrées chaque année aux Etats-Unis, environ 595 000 sont enregistrées chez les hommes » insiste le Pr Adler.

« Or il faut savoir que les conséquences d’une fracture du col du fémur sont plus redoutables chez les hommes que chez les femmes : un homme sur 3 décède dans l’année qui suit la fracture. »

Le Pr Adler conseille donc aux hommes de demander à leur médecin traitant s’il convient de passer une ostéodensitométrie. Rappelons qu’en France, pour la Haute autorité de santé, cet examen est indiqué : en cas de pathologie ou traitement qui pourrait provoquer une ostéoporose (prise de corticoïdes pendant au moins 3 mois consécutifs par exemple ou en cas d’hyperthyroïdie) et en cas de signes d’ostéoporose, quels que soient l’âge et le sexe.

Auteur : Catherine Cordonnier

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Les stéroïdes présentent de grands dangers pour le corps et l’esprit


Il est dommage que des produits tel que les  stéroïdes  soient si facile a se procurer dans certaines régions .. surtout que les  stéroïdes  sont illégales et pour cause, cela affecte la santé physique et mentale d’une personne qui en prend
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Les stéroïdes présentent de grands dangers pour le corps et l’esprit

Alors qu’une enquête de Radio-Canada révélait cette semaine qu’il était facile de se procurer des stéroïdes à Gatineau, ces produits présentent des risques importants pour la santé.

Les adeptes de ces substances, dont le trafic est illégal, consomment souvent plusieurs produits à la fois dans le but d’atteindre leur objectif, soit un corps musclé.

La spécialiste Christiane Ayotte, directrice du Laboratoire du contrôle du dopage, connaît bien les dangers de ces cocktails.

« C’est très dangereux pour le foie ces produits-là et pour les reins. Il y a vraiment une grande naïveté », souligne-t-elle.

Elle cite notamment en exemple les effets de la testostérone, une forme de stéroïdes utilisée par les consommateurs.

« Il y a l’apparition d’une poitrine, qui est un effet indésirable. Donc, on prend des antiœstrogènes, des substances qu’on va prendre [habituellement] quand la personne a un cancer du sein », explique-t-elle.

Ces combinaisons peuvent entraîner des effets secondaires importants, sans compter les risques d’infections lors des injections.

La puissance poussée à l’extrême

Pour un ex-consommateur de stéroïdes, qui s’est confié à Radio-Canada sous le couvert de l’anonymat, c’est une importante perte de poids qui l’a poussé à consommer de telles substances.

« Un moment donné, quand je me suis regardé dans le miroir, j’étais rendu trop petit. Je n’étais pas habitué avec ce poids-là. […] C’est juste que je n’étais plus à l’aise. J’étais habitué d’être pesant », raconte-t-il.

« Quand tu passes 20 à 30 heures dans un gym par semaine, tu penses que c’est ça ta vie et tu veux te mesurer aux autres », ajoute-t-il.

Diane Pacom, professeure titulaire de sociologie à l'Université d'Ottawa.

Diane Pacom, professeure titulaire de sociologie à l’Université d’Ottawa.

Diane Pacom, professeure titulaire de sociologie à l’Université d’Ottawa, explique que les consommateurs de stéroïdes recherchent un sentiment de puissance.

« Pour eux, c’est cette euphorie de se voir au jour le jour métamorphosés dans un personnage qui, dans leur esprit, est absolument imbattable. C’est la puissance poussée à l’extrême », explique Mme Pacom.

Certaines personnes finissent même par développer un trouble de santé mentale appelé bigorexie, soit une dépendance à une activité physique excessive.

« Ce n’est jamais assez gros. Alors toute la vie de la personne tourne autour de l’utilisation [des stéroïdes], comment se procurer ces substances, lever des poids, prendre des stéroïdes, plus les protéines, plus tout ce qui vient autour. » — Christiane Ayotte, directrice du Laboratoire du contrôle du dopage

Les utilisateurs de stéroïdes sont en outre davantage sujets à l’agressivité.

« Ce sont des personnes qui peuvent réagir plus violemment lorsqu’elles se sentent agressées et ces stéroïdes font qu’elles réagissent plus violemment. Elles ont la mèche courte », explique Christiane Ayotte.

Il est aussi difficile pour les consommateurs de se sortir de ce cercle vicieux.

« Si tu perds ça, tu perds tout. Parce que quand les gens ne vous ne regardent plus, c’est fini. Vous n’êtes plus là. Vous êtes comme mort », précise Diane Pacom.

En finir avec les stéroïdes

Grâce à l’intervention d’un ami, l’ex-consommateur qui s’est confié à Radio-Canada a réussi à arrêter de prendre des stéroïdes. Il n’écarte toutefois pas la possibilité d’en reprendre un jour.

« Dans de ma tête, je me dis toujours : « ce n’est pas grave, en deux mois, je peux revenir au corps de plage que j’avais dans ce temps-là » », raconte-t-il.

Pour la professeure Diane Pacom, notre société de l’éphémère attire ce type de comportement.

« Il ne faut pas que les choses soient trop longues. On passe d’une passion à l’autre. Toute notre société est imbibée de cela. Il faut que le résultat soit immédiat, puis on passe à autre chose », explique Mme Pacom.

D’après le reportage de Louis Blouin.

http://www.radio-canada.ca

États-Unis Un médicament infecté par la méningite fait trois morts


Ce que je me demande comment un agent contaminant s’est retrouver dans des médicaments qui en principe sert a soulager et non a rendre plus malade
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États-Unis

Un médicament infecté par la méningite fait trois morts

 

Un médicament infecté par la méningite fait trois morts

Crédit photo : archives

TVA Nouvelles selon AFP

Les autorités sanitaires américaines sont sur le qui-vive après avoir fait la découverte qu’un médicament injectable pour traiter le mal de dos était contaminé par la méningite.

Les autorités tentaient vendredi d’entrer en contact avec les personnes qui ont été traitées avec les stéroïdes contaminés, et ce, dans 23 états américains.

Des cas sont rapportés dans six états, mais c’est au Tennessee que l’épidémie est la pire: trois morts ont été enregistrés et 29 personnes ont été contaminées.

Selon le responsable des services de santé de l’état, les médecins «n’avaient aucun moyen de savoir» qu’il existait des lots contaminés et qu’il n’y a eu «aucune défaillance» dans les protocoles qui ont suivi.

«Les preuves montrent qu’il s’agit d’un problème lié au produit injecté», a-t-il ajouté.

Les autorités sanitaires fédérales ont quant à elles annoncé qu’elles avaient découvert un agent contaminant dans un échantillon du produit fabriqué par le New England Compounding Center, basé au Massachusetts.


Le groupe a depuis lancé un rappel de tous ses produits et suspendu ses opérations.

http://tvanouvelles.ca

Stéroïdes: rapides, dangereux et populaires


Alors que le culte du corps mince chez la femme fait des ravages, voici que chez l’homme c’est le culte du corps sculpté et souvent les hommes veulent aller plus vite avec leur entrainement et finissent par prendre des stéroïdes et pas toujours de façon légal . Personnellement, je n’aime pas quand c’est trop musclé
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Stéroïdes: rapides, dangereux et populaires

 

HUGO MEUNIER

La Presse

Il n’y a pas si longtemps, les stéroïdes étaient associés aux athlètes de fort calibre. Notre enquête démontre que ce phénomène déborde désormais du cadre sportif et gagne de plus en plus de jeunes adeptes, soucieux d’exhiber un corps musclé conforme aux stéréotypes en vogue. Bienvenue dans l’ère de l’anorexie masculine.

Le gros problème, c’est le miroir, obsèdant et déformant.

Lorsqu’un cycle se termine, il est normal de «dégonfler» d’une dizaine de livres. Là, le miroir cesse d’être un ami. Une seule chose compte alors: recommencer.

Stéphane*, 28 ans, se pique aux stéroïdes depuis un an.

C’est l’ultime étape d’un engrenage superficiel amorcé il y a quelques années dans un gym de Montréal.

Il pesait alors 70 kg (155 lb).

L’aiguille du pèse-personne indique aujourd’hui 86 kg. Pas un gramme de gras. Le jeune homme chétif s’est transformé en armoire à glace à la mâchoire carrée.

Tout a débuté par un entraînement intensif doublé de la consommation d’un éventail de produits destinés à lui sculpter un corps de rêve: vitamines, boissons protéinées, oméga-3, créatine, autant de produits dits naturels en vente libre dans les magasins spécialisés ou dans l’internet.

Un beau jour, ces produits ont cessé de suffire. Stéphane a eu l’impression de plafonner. Il s’est injecté des stéroïdes. Dans la cuisse. Les résultats n’ont pas tardé.

«C’est sûr que tu y prends goût! Je ne connais aucun gars qui n’aimerait pas avoir une belle shape. Oui, c’est de la triche, mais ce que tu peux gagner en cinq ans, tu l’as en trois mois», confie-t-il.

Pour Stéphane, les stéroïdes qu’on appelle «sauce» ou «juice» dans le milieu à cause de leur texture huileuse s’imbriquent dans un mode de vie où les préoccupations principales sont l’entraînement rigoureux et une saine alimentation.

«Les gens imaginent que ceux qui consomment des stéroïdes se piquent, restent assis et finissent par grossir. En fait, ça prend une grande discipline.»

Une discipline qui lui permet, croit-il, de réduire au minimum les dangers associés à la prise de stéroïdes: problèmes de foie, acné, réduction des testicules, croissance des seins (gynécomastie) et perte des cheveux.

«Les pilules sont plus nocives pour le foie que les injections, et il faut éviter au maximum l’alcool durant un cycle. Ce n’est pas de la vitamine C», rappelle Stéphane.

Il concède toutefois qu’il est impossible d’avoir le plein contrôle sur ces produits illégaux, presque toujours fabriqués dans des laboratoires clandestins.

Même zone grise autour des effets psychologiques.

«Les stéroïdes jouent de façon énorme sur les émotions. Ils rendent impatient et impulsif ou euphorique dès que les choses sont agréables», décrit-il.

Stéphane dit ignorer d’où viennent ses stéroïdes et place sa confiance – et sa santé – entre les mains d’amis.

«Je ne veux pas savoir d’où ça vient non plus…»

La «pharmacie»

Se procurer des stéroïdes n’a rien de sorcier, à condition d’être admis dans le club sélect des habitués de la fonte, ces spécimens qui passent beaucoup de temps dans les gyms.

En dépit du cliché, personne ne va entrer vêtu d’un imperméable pour vendre des stéroïdes dans le vestiaire, assure Stéphane.

Il compare ce phénomène à celui des bars:

«Si on sort régulièrement au même endroit, on finit par savoir qui vend de la coke. C’est pareil au gym, on sait vite où se trouve la «pharmacie».»

Il ajoute que le phénomène est plus répandu qu’on ne le croit, surtout dans les milieux où le travail est physique, comme dans la construction.

«Tout le monde veut grossir vite», confie Stéphane, dont plusieurs amis consomment aussi des stéroïdes.

Les gens amorcent habituellement leur cycle en hiver, un calcul logique pour obtenir des résultats dès le retour du beau temps.

«L’important est de suivre les consignes et les dosages. Si on continue après notre cycle, c’est là que ça devient dangereux», croit Stéphane.

C’est toujours dangereux, martèlent de leur côté les nombreux experts interrogés dans le cadre de notre enquête.

Stéphane sait très bien qu’un motif bien puéril et superficiel justifie d’abord cette volonté de gonfler sa musculature: plaire aux filles.

«Soudainement, elles sont toutes après toi. T’étais pourtant la même personne avec 10 kg de moins», observe le jeune homme, qui est en couple et qui agit ainsi, dit-il, pour se sentir bien dans sa peau.

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Le prix à payer

Un cycle normal de consommation de stéroïdes dure de 12 à 16 semaines, à raison d’une injection par semaine ou aux deux jours, selon les produits. Les comprimés se prennent à raison d’une dizaine par jour.

Le prix d’un cycle est d’environ:

– 500$ Pour les stéroïdes en injection

– 200$ Pour les stéroïdes en pilules

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Laboratoire clandestin ou produits pharmaceutiques

Les usagers s’approvisionnent de deux façons: les laboratoires clandestins et les produits pharmaceutiques. Les produits pharmaceutiques sont plus sûrs mais plus difficiles à trouver. La plupart des consommateurs doivent donc se tourner vers les laboratoires clandestins, éparpillés un peu partout au Québec comme ailleurs. Les gens achètent souvent la poudre en Chine ou au Mexique avant de la mélanger à différentes huiles.

http://www.lapresse.ca