Vivre en solo


Vivre seul, c’est un phénomène grandissant, certains le sont par maladie, veuvage, divorce etc, d’autre par choix .. L’idéal quand on vit seul c,est d’avoir une attitude positive face a la solitude et ce surtout si ce n’est pas un choix
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Vivre en solo

 

HOTO: FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

 

Mathieu Perreault
La Presse

En 2002, le sociologue new-yorkais Eric Klinenberg a publié un livre sur la vague de chaleur meurtrière à Chicago en 1995. Plusieurs des victimes étaient des personnes âgées vivant seules. Cette caractéristique l’a frappé. Mais en étudiant de plus près l’individualisme américain, le chercheur a aussi balayé certaines idées reçues. Explications.

Seul, mais pas tout seul

Qu’est-ce que la solitude?

«Je me suis rapidement rendu compte de mon erreur, dit Eric Klinenberg, qui enseigne à l’Université de New York. En fait, les gens qui habitent seuls sont souvent plus sociaux et plus engagés dans des organismes. Et c’est un phénomène mondial, pas seulement américain.»

La solitude n’existe donc pas?

«Ce sont des cas très particuliers. Des gens malades, handicapés ou déprimés, souvent des hommes. Et souvent dans des quartiers où il est dangereux de sortir de chez soi.»

Dans son plus récent livre, Going Solo, M. Klinenberg affirme que l’un des changements les plus importants du dernier demi-siècle est la hausse du nombre de personnes vivant seules en Occident. Cette hausse n’est pas seulement due au vieillissement de la population, qui amène son lot de veuves du troisième âge. La proportion des Américains dans la vingtaine qui habitent seuls a augmenté de 1% à 7% depuis les années 50, par exemple. Le phénomène est même sous-estimé parce que les statistiques officielles ne tiennent pas compte des parents célibataires qui ont la garde partagée de leurs enfants.

Un signe de richesse

Vivre seul est un signe de richesse, selon Eric Klinenberg.

«Pour vivre seul, il faut pouvoir compter sur des réseaux sociaux, un soutien de l’État, dit-il. Dans le tiers-monde, c’est très rare, et dans les pays riches, c’est un phénomène urbain plutôt que rural. C’est pour cette raison que le phénomène est plus fréquent en Scandinavie. À partir d’un certain point, la vague s’amplifie parce que les gens qui vivent seuls gonflent la demande intérieure. Il faut plus de maisons, par exemple.»

Plusieurs études ont en partie lié le boum immobilier à cette tendance et le groupe de réflexion Euromonitor a rapporté qu’elle est responsable de la progression de 30% des ventes de lave-vaisselle entre 2001 et 2006.

Plus de femmes

La solitude est féminine, notamment parce que les femmes vivent plus longtemps que les hommes. Chez les personnes âgées, les femmes sont deux fois ou trois fois plus susceptibles que les hommes de vivre seules, selon une étude de 2006 de Statistique Canada.

«Les hommes vont plus souvent épouser des femmes plus jeunes et ils meurent plus tôt, ajoute Eric Klinenberg. Mais la différenciation commence jeune, notamment avec le grand nombre de jeunes femmes ayant fait des études universitaires qui ne sont pas pressées de se marier parce qu’elles gagnent bien leur vie et attendent de trouver la bonne personne.»

En 1981, aux États-Unis, 10% des acheteurs de maison étaient des femmes célibataires; la proportion est passée à 21% en 2009, un taux deux fois plus élevé que pour les hommes.


http://www.lapresse.ca/

Perdre sa maison à son insu


Ceux qui ont une ou des maisons a eux, doivent être vigilent pour éviter certaines fraudes grâce au vol d’identité.  Tout documents, prescriptions,  lettre qui contiennent nos adresses devraient être déchiqueté.  Nos cartes crédits, assurance sociale etc .. doivent être protégé de certains yeux
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Perdre sa maison à son insu

 

 

Michel Munger
Argent

Les propriétaires de maisons vivent un cauchemar quand leur banque les contacte concernant une hypothèque qu’ils n’ont jamais prise. Pourtant, c’est une menace rattachée à la forte croissance des vols d’identité.

Selon le Centre antifraude du Canada, les pertes liées au vol d’identité ont bondi de 20% de 2009 à 2011, pour atteindre 13,3 M$. Ni le Centre, ni Statistique Canada n’isolent de données sur la fraude faite sur les biens immobiliers. Toutefois, les pertes par dossier se situent souvent dans les six chiffres.

Le croisement entre le vol d’identité et la fraude immobilière est mal connu et personne n’est vraiment à l’abri, avertit Brigitte Beauchesne, vice-présidente de la compagnie d’assurance titres Chicago.

«Le fraudeur peut vendre notre propriété à notre insu, lance-t-elle. Les cas de fraude que nous voyons le plus touchent les maisons qui n’ont plus d’hypothèque. Les fraudeurs vont prendre des pièces d’identité et aller chercher une nouveau prêt, pour ensuite disparaître avec l’argent.»

Le prêt non payé pousse la banque à contacter le vrai propriétaire, exerçant les recours habituels du prêteur. Ultimement, la maison peut être saisie.

«Une cliente nous a téléphoné concernant un condo acheté récemment, ajoute Laurent Nadeau, chef de la direction pour le Québec chez Service de titres FCT. Une deuxième hypothèque a été enregistrée sur sa propriété. Elle a dû la vendre.»

Devant cette menace, les deux experts conseillent aux propriétaires l’achat d’une de leurs assurances de titre immobilier, ainsi que des mesures de prévention au quotidien.

«L’assurance de titre coûte 200 $ pour une résidence unifamiliale, une somme payable au moment de la transaction, indique Brigitte Beauchesne. Elle est valide tant que la personne demeure propriétaire. C’est peu coûteux comparativement aux dépenses entraînées par une fraude.»

En cas de fraude immobilière, l’assureur aura le mandat de défendre le propriétaire et de rembourser l’hypothèque frauduleuse. Comparativement, les services des émetteurs de cartes de crédit restaurent une identité volée, sans couvrir la maison.

Prévenir au lieu de guérir

L’exercice du gros bon sens aidera aussi le propriétaire à ne pas s’exposer à une fraude, souligne Mme Beauchesne.

 «Il faut protéger son identité, en ne divulguant pas des informations personnelles ou des documents à n’importe qui. Des vérifications peuvent être faites au registre foncier pour s’assurer que rien n’est publié contre le titre de propriété.»

Le site protegemonidentite.ca conseille d’autre part de ne jamais traîner son numéro d’assurance sociale dans son portefeuille.

De plus, les gens doivent faire preuve d’une saine méfiance envers tous, poursuit M. Nadeau.

«Les fraudeurs sont souvent des gens avec lesquels nous avons des liens. Ce sont des membres de la famille ou des amis proches.»

http://tvanouvelles.ca

Agressions sexuelles: le pouvoir des mots


Un autre sujet tabou qui fait beaucoup de ravages chez les victimes ..l’agression sexuelle.  Une étudiante en photographie donne une occasion aux victimes avec des photos et des mots d’extérioriser les paroles de leur bourreau. Est-ce une bonne méthodes … ? Je crois que oui, c’est un peu comme des groupes de rencontre .. mais si elle suit son projet, elle pourra ainsi évoluer avec l’aide de professionnelle pour aider ces femmes et quelques hommes a dépasser leur peur, leur rage intérieure
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Agressions sexuelles: le pouvoir des mots

 

Agressions sexuelles: le pouvoir des mots

«Arrête de lutter. Tu ne te fais que du mal.»

Photo: Grace Brown, tirée de Projectunbreakabletumbr.com

Sophie Allard
La Presse

Étudiante de 19 ans, Grace Brown photographie des personnes ayant été victimes d’agressions sexuelles qui présentent sur un carton les mots prononcés par leur agresseur. Lancé en octobre dernier, son blogue Project Unbreakable a fait beaucoup parler de lui. Le Time vient de l’inclure parmi les 30 blogues Tumblr à surveiller. Troublant.

Agressions sexuelles: le pouvoir des mots

 

«Est-ce que c’est bon?»

Photo: Grace Brown, tirée de Projectunbreakabletumbr.com

Jusqu’à aujourd’hui, Grace Brown a photographié une centaine de victimes d’agressions sexuelles. Surtout des femmes. Elle reçoit également des clichés qu’elle diffuse sur le web.

«Je reçois jusqu’à 100 courriels par jour de femmes qui souhaitent partager leur histoire, à visage découvert ou non», indique Grace Brown, jointe par téléphone à New York.

Le résultat donne des images choquantes, mais toujours empreintes d’une grande tristesse.

«Ferme tes yeux. Ça risque de faire mal un peu», a écrit sur son carton une participante âgée de 13 ans. D’autres ont écrit: «Je t’aime.» «J’ai tellement envie de te faire mal.» «On se revoit demain.» «Ferme-la salope.» «Un chèque contre ton silence?» «On reste amis, hein?» «Si tu parles, je me tue.»

«Je pense sincèrement que mon projet peut aider. Plusieurs survivantes n’avaient jamais partagé leur histoire auparavant. C’est un soulagement pour elles de s’ouvrir», dit Grace Brown,

qui a reçu des témoignages des États-Unis, du Canada, d’Australie et même d’Abou Dhabi. Certaines femmes s’effondrent en pleurs devant l’étudiante.

Au départ, Project Unbreakable devait être une expérience artistique. Grace Brown a photographié une amie et exposé la photo sur son blogue. Celle-ci a été reprise sur le blogue de l’auteure féministe Jessica Valenti et ça a fait boule de neige. La jeune femme se sent maintenant investie d’une mission sociale.

«Avec ce projet, je veux sensibiliser les gens à la réalité de l’agressions sexuelle. On connaît les statistiques, mais au-delà des chiffres, il y a des visages et des mots. Ces photos, ça nous touche en plein coeur», dit-elle.

Agressions sexuelles: le pouvoir des mots

«C’est un test. Si tu le dis à maman, on saura tous les deux qu’on ne peut pas te faire confiance.»

Photo: Grace Brown, tirée de Projectunbreakabletumbr.com

Tabou tenace

Selon Statistique Canada, 34% des Québécoises ont été victimes d’au moins une agression sexuelle depuis l’âge de 16 ans.

«À peine 10% des victimes portent plainte. C’est encore très tabou, indique la sexologue Geneviève Parent, chargée de cours au département de sexologie de l’UQAM. On suggère souvent aux victimes d’agression sexuelle d’en parler, mais cela n’est pas bénéfique pour toutes. Certaines victimes sont prêtes à s’exprimer, d’autres non. Pour parler publiquement, on doit être avancé dans son cheminement. Sinon, il peut y avoir des répercussions négatives.»

Grace Brown reconnaît être dépassée par l’ampleur de son projet. En parallèle à ses études, la jeune femme consacre de 6 à 8 heures par jour au projet, surtout pour éplucher ses courriels, et trop peu à la photo.

«C’est beaucoup de travail. Ma famille commence à s’inquiéter», dit-elle en riant.

Mais elle veut en faire encore plus.

 «J’essaie maintenant de créer une organisation, avec une campagne de financement, pour m’adjoindre au moins une professionnelle qui pourrait répondre aux questions. On me demande souvent: «Pourquoi moi? Qu’est-ce que j’ai fait?» Je ne sais pas comment répondre, je les adresse à des professionnels, je n’ai pas les compétences.»

Grace Brown souhaite se concentrer sur ce qu’elle connaît: la photographie. Elle organise d’ailleurs des séances photo à Washington, à New York, dans le New Jersey et dans le Massachussetts, où elle a grandi. Elle présentera ce printemps quelques expositions sans prétention. Et à partir de cet été, elle compte voyager pour photographier des participantes jusqu’en Europe.

Agressions sexuelles: le pouvoir des mots

 

«Mets-toi sur tes putains de genoux.»

Photo: Grace Brown, tirée de Projectunbreakabletumbr.com

Pour sa part, Geneviève Parent reste un peu perplexe devant ce projet.

«Les intentions derrière ce site sont probablement bonnes, mais j’ai de la difficulté avec le fait qu’on axe sur les propos des agresseurs. Les victimes sont amenées à revivre les abus. Ne sont-elles pas ainsi «victimisées»?»

Pour Grace Brown, c’est plutôt une façon pour les survivantes «de reprendre le pouvoir des mots qui ont un jour été utilisés contre elles». Une façon de montrer qu’elles sont indestructibles.

projectunbreakable.tumblr.com

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Coût des aliments en hausse de 5,2% ►Un panier d’épicerie qui coûte cher


C’est décourageant faire l’épicerie aujourd’hui, et ce même si l’ont fait attention a ce qu’on achète, qu’on n’achete pas de produit transformer. Ce que je trouve plus insultant c’est que même les produits de base sont vraiment trop cher J’ai comme l’impression que la malbouffe a le beau jeu dans tout cela
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Coût des aliments en hausse de 5,2% ►Un panier d’épicerie qui coûte cher

Un panier d'épicerie qui coûte cher

Crédit photo : Archives TVA Nouvelles

 

Par Héloïse Archambault | Le Journal de Montréal

La facture du panier d’épicerie est de plus en plus salée pour les consommateurs, une conséquence directe de la hausse du coût des aliments de 30 % depuis 10 ans au Canada.



«C’est vraiment plus cher», croit Dominique Leclerc, rencontrée dans un supermarché de la Rive- Sud près de Montréal.

«Pendant longtemps, mon épicerie me coûtait 50 $ par semaine. Maintenant, c’est au moins 60 $ ou 70 $, ajoute Gisèle Saint-Arnaud. Et je n’ai pas changé mes habitudes.»

Les statistiques des prix des aliments confirment une tendance que bien des consommateurs ont certainement remarquée depuis quelques années : le panier d’épicerie coûte plus cher.


Hausse de 30 % depuis 2002


Depuis l’an dernier seulement, le coût des aliments a augmenté de 5,2 %, indiquent les récentes données émises par Statistique Canada.


Parmi les plus importantes hausses, le coût de la farine, des oeufs et des pommes de terre a grimpé de 15 % en 2011, par rapport à l’an dernier.


«Les poutines vont coûter plus cher», ironise Sylvain Charlebois, chercheur en distribution et politiques agroalimentaires à l’en Ontario.


Depuis 2002, les prix ont même augmenté de 29,4 %, relate ce spécialiste.

«Ce n’est pas compliqué, tout est plus cher. L’ère où l’alimentation était abordable est terminée, dit-il. Par contre, il faut dire qu’il y a un certain rattrapage. Dans les années 1990, les aliments étaient très peu chers.»

À titre d’exemple, le prix du pain a bondi de 81 % depuis 10 ans, et celui des pâtes de 55 %.


Changer ses habitudes


Afin de compenser cette hausse, plusieurs consommateurs rencontrés disent avoir modifié leurs habitudes.


«Je regarde les prix et je cuisine selon les rabais, avoue Sylvie Douesmard, une mère d’une famille. Ce n’est pas qu’on n’a pas les moyens de payer, mais je ne veux pas dépenser pour rien.»

 

«Avant, je ne regardais jamais les spéciaux, mais maintenant, je découpe les coupons et j’achète selon les rabais,ajoute Dominique Leclerc. J’ai aussi arrêté d’acheter des produits biologiques. C’est dommage, mais c’est rendu trop cher.»

Du côté de l’Association coopérative d’économie familiale de l’est de Montréal, l’impact de la hausse des prix sur les gens démunis est tangible.



«L’épicerie est souvent ce qui passe après tous les frais fixes, donc ils vont couper dans la quantité de nourriture ou dans la qualité, explique Anne-Marie Millaire, conseillère budgétaire. C’est sûr qu’ils sont plus affectés que les autres.»

Un peu de répit en 2012


Les consommateurs devraient toutefois profiter d’un répit l’an prochain. Selon Sylvain Charlebois, l’augmentation du coût des aliments ne devrait pas dépasser 2 % en 2012.

«Il y a plusieurs facteurs qui entrent en ligne de compte, dont le ralentissement de l’économie mondiale, la baisse du coût du transport et la force du dollar canadien.»

http://tvanouvelles.ca/

Le bénévolat vaut 3,7 G$ au Québec


Mettre un prix au bénévolat exercer dans tous les secteurs du pays, ce serait exorbitant autant par le coût que par le nombres d’heures. Heureusement, pour les organismes le bénévolat est un temps gratuit que l’on donne pour une cause .. sans cela bien des activités, services entraide n’auraient tout simplement pas lieu
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Le bénévolat vaut 3,7 G$ au Québec

Photo : Reuters

Le bénévolat est une véritable industrie au Québec où plus du quart de la population offre du temps gratuitement pour soutenir une cause ou un organisme

Le bénévolat est une véritable industrie au Québec où plus du quart de la population offre du temps gratuitement pour soutenir une cause ou un organisme. Un calcul rapide démontre qu’il représenterait 3,7 G$ en salaires versés dans la province

L’implication est telle que la collectivité québécoise devrait créer 200 000 emplois à temps plein pour acquitter le travail de ses 2,2 millions de bénévoles, selon des données de Statistique Canada.

Argent a choisi de tracer le portrait socio-économique de ce secteur méconnu, en marge de la Journée internationale des bénévoles. Le travail des bénévoles de la province a une valeur inestimable aux yeux du Réseau de l’action bénévole du Québec (RABQ).

«On ne pourrait pas collectivement s’offrir tous ces services», a exprimé Denis Nantel, président du RABQ, soulignant que le travail accompli par les bénévoles améliore également la qualité de vie de tous les Québécois.

Le travail des bénévoles québécois vaut son pesant d’or. On estime que ces derniers accomplissent près de 385 millions d’heures de travail chaque année. Les organismes qui recourent à leurs services devraient verser 3,7 G$ en salaires, au salaire minimum de 9,65$, s’ils devaient les engager.

Des événements renommés comme la Grande guignolée des Médias, Opération Nez rouge ou le Tour de l’Île de Montréal ne pourraient pas se dérouler sans l’apport de milliers de bénévoles.

Guylène Roy de la Société Saint-Vincent de Paul de Montréal peut en témoigner. À l’exception d’une dizaine de gestionnaires, tous les travailleurs de l’organisme sont des bénévoles.

«La Société Saint-Vincent de Paul de Montréal n’existerait pas sans le travail de ses bénévoles. Il y en a 1 400 qui assurent le service dans nos 100 points de service», a affirmé la coordonatrice des communications de l’organisation.

L’action des bénévoles laisse aussi une marque positive dans le bilan économique des gouvernements. Des données de Statistique Canada indiquaient en l’an 2000 que la valeur du travail bénévole se chiffrait à 14 G$ à l’échelle du pays, soit 1,4% du PIB.

Les fondements du bénévolat méconnus

Le Réseau de l’action bénévole du Québec a profité de la Journée internationale des bénévoles pour dévoiler un sondage démontrant que les fondements du bénévolat sont encore méconnus des Québécois.

Selon les données compilées par la firme SOM, la moitié des Québécois sont incapables de faire le lien entre le bénévolat et sa définition officielle, soit que le bénévolat est un geste libre et gratuit.

«Nous avons encore un grand travail de promotion à faire auprès du public parce que trop de personnes croient que le bénévolat est du cheap labor», a observé Denis Nantel.

Le tiers des répondants pensent par ailleurs que le bénévolat est uniquement un service rendu à des personnes dans le besoin alors que 11% des répondants pensent qu’ils s’agit d’un devoir de citoyen.

http://argent.canoe.ca

Criminalité – Homicides au Canada : du jamais vu depuis 1966


On dit que la violence augmente mais point de vue meurtre il semble que ce soit le contraire .. une très forte baisse au pays des gens qui sont mort assassinés
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Criminalité – Homicides au Canada : du jamais vu depuis 1966

Criminalité - Homicides au Canada : du jamais vu depuis 1966

Le nombre d’homicides commis au Canada a chuté de 9 % en 2010, révèlent les plus récentes données de Statistique Canada. L’agence fédérale dénombre 554 meurtres au pays, contrairement à 610 l’an dernier.

Le taux de 1,62 meurtre pour 100 000 habitants qui en résulte est le plus faible depuis 1966. Ce résultat est essentiellement attribuable à une baisse marquée des homicides dans les provinces de l’Ouest.

En Colombie-Britannique, le nombre de meurtres a chuté de 118 en 2009 à 83 l’an dernier. En Alberta, ce nombre est passé de 95 à 77, tandis qu’au Manitoba, il a chuté de 57 à 45.

Le nombre d’homicides a cependant légèrement augmenté en Ontario, où il est passé de 178 à 189 en un an, ainsi qu’en Nouvelle-Écosse, où il est passé de 15 à 21.

Un total de 84 homicides ont été commis au Québec, ce qui confère à la province le taux de meurtre le plus faible au pays, soit 1,1 meurtre pour 100 000 habitants.

Les taux de meurtre les plus élevés sont enregistrés au Manitoba (3,6 pour 100 000) et en Saskatchewan (3,3 pour 100 000).

Le nombre de meurtres a aussi diminué dans plusieurs grandes villes du pays, notamment à Vancouver (61 en 2009 contre 36 en 2010), à Toronto (90 contre 80) et à Calgary (24 contre 15).

Montréal a enregistré 49 meurtres contre 44 en 2009, tandis que 6 ont été commis à Québec, soit 4 de plus que l’année précédente.

170 meurtres avec des armes à feu

Statistique Canada note par ailleurs que 170 homicides ont été perpétrés avec des armes à feu en 2010, soit 10 de moins que l’année précédente. Cette tendance à la baisse se vérifie depuis 30 ans, note Statistique Canada.

Les meurtres avec des armes à feu sont commis avec des armes de poing dans 64 % des cas, contre 23 % pour les fusils de chasse.

Les meurtres avec armes à feu comptent pour 50 % des homicides à Toronto, 44 % à Vancouver et 33 % à Montréal.

Enfin, les homicides attribuables à des gangs de rue sont en baisse pour une deuxième année consécutive au pays. Statistique Canada en recense 94, en baisse de 24 % par rapport aux 124 commis en 2009 et de 32 % par rapport à 2008.

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