En Austra­lie, ce parking est trans­formé la nuit en dortoir sécu­risé pour les sans-abri


C’est des projets comme cela qui peut faire changer les choses. En Australie, on a décidé de faire des dortoirs la nuit sur des zones de stationnement non occupées pour les SDF. En plus, d’autres services comme se laver, se vêtir ou de voir un médecin.
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En Austra­lie, ce parking est trans­formé la nuit en dortoir sécu­risé pour les sans-abri

Crédits : Beddown

par  Malaurie Chokoualé Datou

Pour éviter que des personnes sans-abri ne dorment dans la rue dans des condi­tions inhu­maines, l’as­so­cia­tion Beddown a décidé d’agir. Elle a eu l’idée géniale d’éta­blir des abris sécu­ri­sés dans des lieux inoc­cu­pés durant la nuit, comme les parkings, rapporte le média austra­lien 9 News. Entre quelques cônes orange, des lits moel­leux n’at­tendent plus qu’à être défaits.

C’est le fonda­teur de Beddown, Norman McGilli­vray, qui a eu cette idée en traver­sant un parking vide la nuit. Après des semaines de cogi­ta­tion, les membres de l’as­so­cia­tion ont décidé de la concré­ti­ser. Inté­ressé par l’ini­tia­tive, l’un des plus grands exploi­tants de parcs de station­ne­ment, Secure Parking, a accepté de lancer un essai de deux semaines à Bris­bane.

Crédits : Beddown

Des volon­taires de Beddown ont mis la main à la pâte pour créer un envi­ron­ne­ment propre et sûr pour les personnes sans-abri, afin qu’elles se reposent dans les meilleures condi­tions possibles. Beddown leur propose égale­ment diffé­rents services, comme de pouvoir consul­ter un·e méde­cin, un·e dentiste ou d’avoir la possi­bi­lité de se laver ou de rece­voir de nouveaux vête­ments.

En Austra­lie comme ailleurs, les chiffres liés au mal-loge­ment sont préoc­cu­pants. Au moins 8 000 personnes dorment dans la rue, chaque nuit, dans le pays. Mais certains autres, comme la Finlande, ont mis en place des solu­tions pour tenter de dimi­nuer dras­tique­ment le nombre de personnes sans-abri.

Crédits : Beddown

En atten­dant que tous les pays se retroussent les manches avec plus de vigueur, des asso­cia­tions, comme Beddown, ont pris le relais et proposent des idées inno­vantes. Lors de leur projet pilote, 41 personnes ont été héber­gées, dont 77 % d’hommes et 23 % de femmes. La plus jeune avait 15 ans.

Source : 9 News

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Leur bureau? Une case de stationnement


Personnellement, je vois cela comme un début qui j’espère évoluer. Je comprends que certaines personnes ont besoin d’une automobile pour travailler, mais beaucoup aurait un avantage d’aller travailler de manière plus écolo, par la marche, le vélo et le transport en commun. Cela éviterait bien des embouteillages aux heures de pointe et serait un atout pour le climat. De plus, avec un plus de monde en transport en commun, il y aurait probablement un meilleur ajustement et d’ajout d’autobus.
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Leur bureau? Une case de stationnement

Le 1er mai, et une seconde fois le 3 mai,... (PHOTO FOURNIE PAR VALENTIN DÉCARPENTRIE)

Le 1er mai, et une seconde fois le 3 mai, Valentin Décarpentrie et des collègues ont occupé une place de stationnement près des locaux de son entreprise. Il a payé son stationnement, comme l’aurait fait un automobiliste qui aurait voulu y laisser sa voiture.

PHOTO FOURNIE PAR VALENTIN DÉCARPENTRIE

NICOLAS BÉRUBÉ
La Presse

Histoire de dénoncer la place accordée aux automobiles dans l’espace public, des entrepreneurs ont commencé à installer des bureaux à même des cases de stationnement et à travailler dans la rue dans plusieurs villes du monde.

L’idée est née sur Twitter le 25 avril, quand Victor Pontis, un entrepreneur de San Francisco, a écrit :

« Je vais placer un bureau et travailler dans une case de stationnement pendant quelques heures pour montrer que l’espace alloué aux véhicules peut être mieux utilisé. Souhaitez-moi bonne chance. »

Depuis, l’idée a été reprise sur les réseaux sociaux, sous le mot-clic #wepark, un nom qui évoque la société d’espaces de cotravail WeWork et le mot « stationner » (park, en anglais).

Popularisé dans les réseaux des entreprises en démarrage, le geste a été repris à San Francisco, à Los Angeles, à Boston et ailleurs dans le monde, à Tel-Aviv et à Brisbane. En France, Valentin Décarpentrie, 21 ans, a aussi travaillé dans une place de stationnement de Toulouse avec son bureau pour Ikigai, entreprise qu’il a cofondée.

En entrevue avec La Presse, M. Décarpentrie souligne que c’est la dimension écologique qui l’a accroché.

« Est-ce normal qu’en 2019 on choisisse encore de construire des stationnements plutôt que de privilégier l’espace public ? » se demande-t-il. 

« Tous les scientifiques sont d’accord : le temps qu’il nous reste pour agir en faveur du climat se compte en mois. Les villes ne font rien pour réduire la pollution automobile. » – Valentin Décarpentrie

Le 1er mai, et une seconde fois le 3 mai, M. Décarpentrie et des collègues ont donc occupé une place de stationnement près des locaux de son entreprise. Il a payé son stationnement, comme l’aurait fait un automobiliste qui aurait voulu y laisser sa voiture.

Les passants ont été plutôt favorables à son initiative, fait-il remarquer

« Ils ont trouvé que c’était cool qu’on organise un truc comme ça et que c’était un bon coup de buzz pour mon entreprise. Quand un automobiliste a voulu se garer, je lui ai montré le ticket que j’avais acheté, et il est parti ! »

Le concept #wepark est simple, rapide et pas cher, souligne M. Décarpentrie.

« Tout le monde peut le faire ! En fait, je pense que les esprits sont déjà éveillés ; aujourd’hui, il faut être aveugle pour ne pas voir que la situation est critique. »

Honte de l’avion

Les mouvements citoyens, dit-il, sont plus que symboliques : ils peuvent avoir une incidence. Il cite en exemple le « flygskam » (la honte de prendre l’avion), un mouvement lancé en Suède qui vise à encourager les gens à éviter de prendre l’avion afin de diminuer leur empreinte carbone.

« Le flygskam a fait baisser le trafic aérien de 4,5 % en Suède, une première décroissance en 10 ans pour le pays, alors il n’y a aucune honte à ce que les entreprises en démarrage veuillent faire bouger les choses en France aussi. »

Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) à l’ONU, l’humanité doit engager des transitions « rapides » et « sans précédent » pour éviter le pire scénario des changements climatiques. Les émissions mondiales de carbone doivent chuter d’environ 45 % d’ici 2030, sans quoi un « dérèglement catastrophique » est envisagé et pourrait menacer la vie sur Terre.

Même si l’importance d’agir est connue, les comportements tardent à changer. À Montréal, l’utilisation de la voiture pour aller au travail ne fléchit pas.

65 % : Proportion approximative de travailleurs qui choisissent d’aller travailler en voiture, selon la Communauté métropolitaine de Montréal. Au centre-ville, c’est le contraire : les deux tiers des gens s’y rendent en transports en commun.

Est-il légal de placer une table sur une case de stationnement ? Cela enfreint-il les règlements municipaux ? Nous avons posé la question à la Ville de Montréal il y a quelques jours, mais nous n’avions toujours pas reçu de réponse au moment de publier ces lignes. 

Certaines villes prennent les devants. Amsterdam a annoncé cette semaine qu’elle bannira les véhicules à essence et à diesel d’ici 2030. Le Danemark veut interdire la vente de véhicules à essence sur son territoire d’ici 2030. Et, depuis le début de 2019, il est impossible de stationner sa voiture au centre-ville d’Oslo : les 700 cases qui s’y trouvaient ont été transformées en miniparcs et en pistes cyclables. Les piétons sont de plus en plus nombreux : les commerçants rapportent une hausse de 10 % de l’achalandage par rapport à la même période l’an dernier.

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Arracher l’asphalte pour mieux gérer l’eau


Je trouve que c’est une très bonne idée, de déminéralisation en enlevant de la asphalte pour faire plus d’espaces verts. Cela devrait s’étendre à bien des endroits pour éviter que l’eau s’accumulent dans les égouts. D’ailleurs avec les inondations, les maisons qui ont été détruites et probablement les propriétaires ne pourront reconstruire. Il serait bon de faire des espaces verts avec des arbres et plantes dont celles qui aideraient les abeilles et les papillons monarques. Les stationnements qui sont des ilots de chaleurs devraient être revues pour mieux gérer l’environnement et laisser la terre absorbée naturellement l’eau
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Arracher l’asphalte pour mieux gérer l’eau

Des citoyens ont participé au désasphaltage d'une partie... (PHOTO FOURNIE PAR LE CONSEIL RÉGIONAL DE L'ENVIRONNEMENT DE LA MONTÉRÉGIE)

Des citoyens ont participé au désasphaltage d’une partie du stationnement du Centre Raphaël-Barrette, à Salaberry-de-Valleyfield.

PHOTO FOURNIE PAR LE CONSEIL RÉGIONAL DE L’ENVIRONNEMENT DE LA MONTÉRÉGIE

JEAN-THOMAS LÉVEILLÉ
La Presse

Obstacles à l’absorption de l’eau de pluie, îlots de chaleur, faible esthétisme : les grands espaces asphaltés sont nuisibles à bien des égards. Pourquoi ne pas les transformer en espaces verts ? C’est ce qu’ont fait des citoyens de Salaberry-de-Valleyfield, dans un stationnement, il y a une dizaine de jours.

« Ça va être rafraîchissant ! », s’enthousiasme Elizabeth Gaulin, après avoir arraché de ses propres mains une partie du stationnement asphalté entourant le Centre Raphaël-Barrette.

« C’est un îlot de chaleur, un vrai », dit-elle à propos de ce grand espace sans arbre, qui fut jadis une cour d’école, mais qui retrouvera bientôt un peu de verdure, au pied de son lieu de travail.

Le lieu fait l’objet d’une « déminéralisation » dans le cadre du programme Sous les pavés, du Centre d’écologie urbaine de Montréal (CEUM).

Une telle transformation comporte plusieurs « bénéfices », dont la diminution des îlots de chaleur, mais son objectif principal est de « mieux gérer les eaux de pluie », explique Jolène Labbé, chargée de projet au CEUM.

L’urbanisation ayant contribué à « imperméabiliser » les sols, jusqu’à 55 % de la pluie qui tombe en ville ruisselle et finit dans les égouts ou dans les cours d’eau, ce qui est particulièrement problématique quand ceux-ci sont « saturés », comme c’est le cas actuellement dans plusieurs régions du Québec, explique-t-elle.

La déminéralisation est aussi une mesure d’adaptation aux changements climatiques, qui devraient entraîner une augmentation de l’intensité et de la quantité des précipitations au Québec, rappelle le CEUM.

« On ne va pas régler tous les problèmes avec un [seul] petit projet comme ça, mais s’il y a 10 petits projets dans une communauté, [cela peut faire une différence]. » – Jolène Labbé, chargée de projet au CEUM

Sous les pavés prévoit déminéraliser cette année sept autres espaces comme celui de Salaberry-de-Valleyfield, notamment dans Chaudière-Appalaches, l’Outaouais, la Mauricie et l’île de Montréal.

Un premier espace avait été déminéralisé dans le cadre d’un projet-pilote en 2017 dans l’arrondissement d’Anjou, à Montréal, puis un deuxième a suivi l’an dernier à Gatineau, où le retrait de 90 m2 de surface perméable permet d’éviter l’envoi dans les égouts de 122 m3 d’eau et 31 kg de polluants chaque année, calcule le CEUM.

Impliquer les citoyens

Sous les pavés ne se contente pas de rétablir un peu de verdure au milieu du béton et de l’asphalte, il s’agit d’un programme d’« urbanisme participatif », où les citoyens concernés sont impliqués dès le départ.

« On arrive avec une page blanche au départ », explique Benoît Péran, du Conseil régional de l’environnement de la Montérégie, qui porte le projet de Salaberry-de-Valleyfield.


Les habitants du quartier ont été appelés à soumettre leurs idées, en lien avec « les problèmes et les besoins » du lieu concerné, que les responsables du projet ont ensuite « traduites en plan ».

Puis, les citoyens mettent la main à la pâte en procédant eux-mêmes au désasphaltage.

C’est ainsi qu’en moins d’une heure, le 4 mai, 250 m2de bitume autour du Centre Raphaël-Barrette ont été arrachés par une trentaine de bénévoles.

Certains reviendront dans une dizaine de jours pour l’aménagement de l’espace, qui comprendra des arbres, des plantes, un sentier, un banc et un îlot à monarques, papillons grandement menacés.

« Pour une fois, c’est un beau projet dans un quartier défavorisé », se réjouit Louis-Philippe Boucher.

L’homme de 46 ans, natif du quartier et qui travaille au CLSC du coin, apprécie les « vertus écolos, mais esthétiques aussi » du projet.

La déminéralisation de l’espace de Salaberry-de-Valleyfield a nécessité un investissement d’environ 18 000 $, estime Benoît Péran, sans compter la participation de la Ville, qui assume l’excavation, le transport du bitume et la plantation des arbres, qu’elle fournit.

Il souhaite que ce soit « une petite étincelle » qui transformera ce « lieu de passage » inhospitalier en un endroit où les gens du secteur viendront « s’asseoir, faire une marche », et qui donnera naissance à d’autres projets du genre.

Le Centre d’écologie urbaine de Montréal offre d’ailleurs « beaucoup d’outils » sur son site internet pour les entreprises, les organismes, les municipalités ou même les particuliers qui souhaiteraient transformer certaines de leurs surfaces minéralisées en un espace de verdure, explique Jolène Labbé.

L’organisme prévoit aussi publier un guide sur le sujet, en septembre.

Le financement du programme Sous les pavés est assuré jusqu’en janvier 2020.

Consultez la « boîte à outils » de Sous les pavés

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L’élan passe 9 heures sur le parking d’un magasin


On ne choisit pas toujours quand, et ou mettre un monde un bébé. Cet élan a décidé de donner naissance de son petit dans un stationnement en plein jour. Heureusement pour eux, les agents on créer une zone de sécurité qui a été maintenue pendant tout le temps qu’il fallait. Cela a pris 9 heures avant que le petit apparaisse enfin. Ce fut probablement un beau spectacle pour les clients de voir une extraordinaire naissance
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L’élan passe 9 heures sur le parking d’un magasin

 

Cette femme se fait voler sa place de stationnement


Malheureusement, cela arrive parfois de se voler un stationnement, généralement les gens ne sont pas contents et s’expriment vulgairement. Cette dame n’a rien dit, mais ne s’est pas laissé démonté. Bon faut dire qu’elle avait la voiture pour donner une leçon, surtout que l’autre automobile s’est vraiment mal garée
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Cette femme se fait voler sa place de stationnement

Stationnement pour handicapé


C’est une bonne idée venant de la Russie, pour sensibiliser les gens qui prennent la place d’un stationnement pour handicapé. Dislife est une organisation sans but lucratif et fait campagne pour changer les choses. Si une auto n’a pas d’autocollant sur son pare-brise, un hologramme apparaît pour stopper le conducteur.
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Stationnement pour handicapé

La borne-fontaine la plus lucrative au pays


Il est interdit de se stationner devant une borne-fontaine, tout bon automobiliste doit savoir cela, cependant, il semble que deux bornes-fontaines au Canada portent à confusion. Ce que je ne comprends pas, c’est que s’ils mettent des lignes pour signaler l’interdiction de stationnement, ils devraient mettre une ligne jaune qui indique soit une interdiction ou une limitation ..
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La borne-fontaine la plus lucrative au pays

 

Une analyse réalisée par La Presse Canadienne des... (Photo La Presse Canadienne)

Une analyse réalisée par La Presse Canadienne des infractions de stationnement, obtenues grâce à la loi sur l’accès à l’information, a démontré que la borne de la rue Beech était la plus rentable pour la Ville: plus de 1100 contraventions ont été distribuées à cet endroit depuis 2008.

Photo La Presse Canadienne

Steve Rennie
La Presse Canadienne

Une borne-fontaine d’Ottawa s’avère une grande source de liquidités pour la Ville. Située sur une rue transversale de la Petite-Italie, la borne-fontaine est à l’origine de plus de contraventions de stationnement que n’importe quelle autre dans la capitale canadienne. La petite borne jaune située sur la rue Beech (entre Preston et Rochester) a permis à la Ville d’empocher plus de 65 000 $ depuis 2008.

Une analyse réalisée par La Presse Canadienne des infractions de stationnement, obtenues grâce à la loi sur l’accès à l’information, a démontré que la borne de la rue Beech était la plus rentable pour la Ville: plus de 1100 contraventions ont été distribuées à cet endroit depuis 2008.

Pourquoi est-elle la vache à lait de la Ville?

Quelques agents municipaux interrogés lors d’une récente patrouille croient que c’est parce que les lignes blanches peintes de chaque côté de la borne donnent l’impression qu’il s’agit d’une place de stationnement alors que c’est tout le contraire: les lignes indiquent en fait qu’on ne peut y stationner.

Les agents municipaux, qui n’ont pas voulu s’identifier puisqu’ils n’ont pas l’autorisation de parler publiquement, affirment qu’il y a presque toujours une voiture stationnée devant la borne – même lorsque la rue est complètement vide.

Lors d’une visite impromptue un midi, une voiture y était effectivement stationnée.

Il y a deux bornes-fontaines sur cette section de la rue, mais les agents municipaux sont sûrs que celle située tout juste entre les rues Preston et Rochester est celle à blâmer pour toutes les contraventions. Elle est située à un endroit névralgique, à quelques pas des attractions principales de la Petite-Italie avec ses magasins, ses restaurants et ses pubs.

La proximité d’un stationnement payant rend la place plus attrayante pour les automobilistes, qui voudraient se stationner sur la rue, même si on doit mettre de l’argent dans l’horodateur.

Personne n’était disponible pour accorder une entrevue à la Ville d’Ottawa.

À Toronto, c’est près du 393 University Avenue qu’on a vu le plus grand nombre de contraventions – 2962 depuis 2008, ce qui équivaut à plus de 289 620$ en revenus à la Ville. Il faut dire que la borne-fontaine est plantée à environ six mètres de la rue.

L’amende pour avoir stationné son véhicule à moins de trois mètres d’une borne-fontaine grimpe à 100 $ dans la capitale ontarienne. Le prix à payer était auparavant fixé à 30 $ avant que la Ville ne décide de l’augmenter.

Les automobilistes sont si souvent mis à l’amende que même en naviguant sur l’application «Street View» de Google, on peut apercevoir une Toyota blanche prise en flagrant délit…

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L’ange gardien du stationnement


Donner sans attendre de la reconnaissance, c’est quelque chose de rare aujourd’hui. Et pourtant, cela existe encore, et cela rend la journée de celui ou celle qui reçoit plus belle
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L’ange gardien du stationnement

L'ange gardien du stationnement

Crédit photo : MonTopo / Janie L’Espérance

Si vous avez déjà reçu une contravention de stationnement, vous savez à quel point cela peut être frustrant. Il semble toutefois qu’il y ait un ange gardien du stationnement à Montréal.

Alors qu’elle a conduit sa fille d’urgence à l’Hôpital de Montréal pour enfants la semaine dernière, Janie L’Espérance a complètement oublié de payer le parcomètre où elle a stationné sa voiture près de la rue Tupper et de l’avenue Atwater.

À son retour une trentaine de minutes plus tard, la maman a non seulement trouvé une contravention de 53$, mais aussi une petite note manuscrite avec un billet de 10$ et un de 5$.

«C’est tout ce que j’ai sur moi, mais j’espère que ça rendra votre journée plus belle», a pu lire la femme à sa plus grande surprise.

«Ce n’est pas le 15$ qui me touche, mais le geste comme tel. De voir qu’il n’y a pas juste de mauvaises personnes avec de mauvaises intentions», a expliqué Mme L’Espérance à tvanouvelles.ca. «C’est le plus beau geste que j’ai vu dans ma vie», a-t-elle ajouté.

La mère a d’autant plus apprécié le geste du fait qu’il a été fait de façon anonyme.

«Merci à cette personne d’avoir rendu ma journée plus belle», a-t-elle conclu.

http://tvanouvelles.ca

CHINE Fillette tuée dans une altercation pour un parking


Mais qu’est-ce qui leur prend a ces hommes d’user d’une telle violence !!! Pourquoi que la femme devrait concilier aux demandes des hommes si elle pense avant tout au confort de son bébé qui était en principe en sécurité. Bien sûr la dame aurait pu laisser sa place, mais elle n’était pas obligée et ni elle, ni l’enfant ne méritait un sort fait par des imbéciles Alors que se stationner ailleurs et marché a leur destination aurait pu faire évacuer ce trop-plein de violence. Une violence gratuite !!!
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CHINE : Fillette tuée dans une altercation pour un parking

 

chine aprking

PHOTO ARCHIVES / AFP

L’automobiliste désirait garer son véhicule là où une femme et sa fille se trouvaient.

PÉKIN – Une petite fille chinoise est morte à l’hôpital, après avoir été jetée sur le sol par un homme qui se disputait avec sa mère pour une place de parking, ont rapporté samedi des médias chinois.

L’enfant âgée de deux ans, transportée aux urgences de l’hôpital Tiantan à Pékin, y a été déclarée morte jeudi vers 23 h 00, heure locale, a indiqué le quotidien officiel China Daily, citant les médecins de l’établissement.

Une information également donnée par le Beijing News, qui note que que «cinquante heures d’attente cruelle pour sa famille se sont soldées pas un triste dénouement» et que le corps devrait désormais être examiné par la police.

La petite fille avait été grièvement blessée mardi pendant une altercation entre sa mère, qui se tenait à proximité d’un arrêt de bus du sud de la capitale chinoise, et un automobiliste qui désirait garer son véhicule là où elle se trouvait.

La mère, qui surveillait son enfant assoupie dans une poussette, avait refusé de s’écarter, et le conducteur était sorti de sa voiture pour l’obliger à lui laisser la place, avait relaté vendredi le Beijing Times.

Il avait alors frappé la femme, puis avait saisi la petite fille dans sa poussette et l’avait projetée avec violence sur le sol, avait indiqué au journal un vendeur de rue témoin de la scène.

«Elle est restée silencieuse après sa chute, n’émettant pas même des cris de douleur», a souligné ce vendeur de rue, ajoutant qu’un second homme était également sorti du véhicule pour battre la mère avant de s’enfuir.

L’homme soupçonné d’avoir projeté l’enfant au sol a été arrêté mercredi dans un spa de l’est de Pékin, et l’homme qui l’accompagnait s’est rendu jeudi à la police, a ajouté le China Daily, se référant à des informations de police.

Le quadragénaire qui s’en est pris à la petite fille avait été relâché de prison l’an dernier, après y avoir purgé une longue peine d’incarcération pour vol, et il pourrait encourir la peine de mort s’il était inculpé de meurtre, ont précisé des médias chinois.

Après son interpellation, «il a été placé en détention jeudi après-midi, soupçonné d’homicide volontaire», selon l’agence de presse Chine nouvelle, citant le Bureau municipal de Sécurité publique.

L’affaire a provoqué un déluge de réactions émues sur les réseaux sociaux chinois, où de multiples messages étaient accompagnés de petites icônes animées représentant une bougie.

«Comment se fait-il qu’une mère assiste de ses propres yeux à la mort de la petite fille qu’elle a élevée ? Quels pervers (sont les coupables) !», a écrit une utilisatrice de Weibo, un site de microblogs, conseillant aux mères de famille d’«éviter toute querelle dans la rue» et de «se résigner en silence» dans ce genre de situation.

«Si chacune des deux parties avait reculé d’un pas, est-ce que quoique ce soit serait arrivé ? Quel dommage !», s’est désolé un internaute, tandis qu’un autre invitait la fillette défunte, «quand elle renaîtra dans une autre vie, à choisir un autre pays».

http://fr.canoe.ca/