Le Saviez-Vous ► Le plus petit chat sauvage au monde


Quand on parle de chat sauvage, on pense à un gros chat comme un lion, guépard, tigre et autres, mais il existe un mignon petit chat sauvage qui vit au Sri-Lanka. Il vit la nuit et il est un chasseur comme tous les autres chats.
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Le  plus petit chat sauvage au monde

Une vraie merveille de la nature. 

La nature est pleine de trésors et de surprises. Par exemple, connaissiez-vous le chat rubigineux ? Il s’agit du plus petit chat sauvage au monde, et il est absolument adorable !

Un matou de poche

Vivant dans les forêts du Sri Lanka, mais aussi en Inde et au Népal, le chat rubigineux mesure entre 35 cm et 48 cm. Il est donc vraiment tout petit. Créatures nocturnes, ces chats se cachent la majeure partie de la journée dans des grottes ou dans les arbres afin d’éviter les prédateurs. Leur activité principale se déroule donc la nuit. 

Ainsi, lorsque la nuit tombe, le petit félin part à la chasse pour se nourrir. S’il consomme principalement des rongeurs et des oiseaux, le chat rubigineux ne dit pas non aux grenouilles et autres lézards !

Comme le bison d’Amérique, le capucin noir, le lémurien à front roux et plusieurs autres animaux sauvages, le chat rubigineux figure également sur la liste des espèces menacées. Principalement parce que son habitat naturel, les forêts de feuillus, est en déclin.

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Une nouvelle espèce de mygale aux pattes bleutées découverte dans la forêt du Sri Lanka


Une nouvelle araignée découverte en 2015 est particulière. Sa couleur, un bleu brillant, qui fait de cette mygale unique. Les biologistes ne savent pas si elle est menacée, mais sachant que plusieurs espèces sont vendues a des collectionneurs ou même comme animal de compagnie, on peut craindre pour sa survie.
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Une nouvelle espèce de mygale aux pattes bleutées découverte dans la forêt du Sri Lanka


Une nouvelle espèce de mygale aux pattes bleutées découverte dans la forêt du Sri LankaLa nouvelle espèce de mygale, Chilobrachys jonitriantisvansicklei, identifiée au Sri Lanka.© Ranil Nanayakkara

Par Emeline Férard

Dans le sud-ouest du Sri Lanka, des chercheurs ont identifié une nouvelle espèce de mygale dont la femelle arbore des pattes d’un bleu brillant. C’est seulement la seconde mygale du genre Chilobrachys découverte dans un pays sud-asiatique.

Comme d’autres pays d’Asie, le Sri Lanka est réputé pour les nombreuses araignées qu’il abrite. Mais certaines continuent visiblement d’échapper à la science. Dans le district de Kalutara, au sud-ouest du pays, des chercheurs ont identifié une espèce de mygale restée jusqu’ici inconnue. Son nom : Chilobrachys jonitriantisvansicklei.

La mygale a été découverte en 2015 dans une parcelle de forêt étendue sur 347 hectares et entourée par des plantations alors que les scientifiques menaient une étude générale sur les araignées.

« Quand nous l’avons repérée, j’étais en admiration, j’en ai perdu mes mots », a confié au National Geographic, Ranil Nanayakkara, biologiste de l’Université de Kelaniya.

Et pour cause, avec ses quelque treize centimètres de long, le spécimen était loin d’être petit. Mais c’est surtout son aspect qui a étonné. Il arborait une couleur bleu-turquoise métallique au niveau de ses pattes ainsi qu’une teinte irisée au niveau de son dos et de son abdomen. Après avoir collecté plusieurs individus, les chercheurs ont mené une vaste étude pour en savoir plus sur l’arachnide.

Une couleur bleu unique

Publiés dans la revue British Tarantula Society Journal, leurs travaux suggèrent que l’espèce n’a encore jamais été décrite et appartient à un genre – Chilobrachys – dont on ne connaissait jusqu’ici qu’une seule espèce au Sri Lanka et en Asie du sud, C. nitelinus, identifiée il y a 126 ans. Les analyses menées indiquent également que la couleur bleu des araignées est relativement unique.

Parmi les 26 espèces de Chilobrachys répertoriées dans le reste de l’Asie, toutes affichent des teintes brunes, noires ou grises. Très loin des pattes vibrantes de C. jonitriantisvansicklei. Néanmoins, les observations ont permis de constater que seules les femelles de l’espèce arborent une telle caractéristique.

« Les mâles sont plus petits et d’une couleur brun mousseux », a confirmé Ranil Nanayakkara.

Un spécimen femelle de Chilobrachys jonitriantisvansicklei et ses pattes bleutées – Amila Prasanna Sumanapala

Des analyses génétiques doivent être menées pour confirmer avec certitude le statut nouveau de l’espèce et déterminer sa position sur l’arbre généalogique des araignées. Par ailleurs, on sait relativement peu de choses sur le mode de vie de cette mygale, simplement qu’elle vit dans des terriers tubulaires dont elle jaillit avec rapidité pour capturer les proies qui ont le malheur de passer à côté.

La conservation des araignées en question

On ignore si la population de C. jonitriantisvansicklei est rare ou même menacée. Toutefois, son aspect insolite pourrait représenter un danger pour sa survie, ont relevé les biologistes. Au Sri Lanka, très peu de recherches ont été menées sur les arachnides endémiques. Ceci a favorisé le trafic de faune sauvage et notamment la capture d’araignées destinées à servir d’animaux de compagnie.

Comme l’explique le site Mongabay, plusieurs espèces de mygales sri-lankaises sont aujourd’hui vendues à des collectionneurs à des prix compris entre 50 et 400 dollars (entre 45 et 360 euros). Une pratique connue des autorités et décrite comme un « problème persistant« . Le Sri Lanka dispose pourtant d’une législation suffisante pour y mettre fin mais la répression fait défaut pour décourager les trafiquants.

Avec la destruction de leur habitat, ce trafic constitue l’une des principales menaces qui pèsent sur les araignées sri-lankaises. Alors que se tient actuellement à Genève le sommet de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), cette découverte tombe ainsi à pic pour remettre la conservation des arachnides sur le devant de la scène.

« Les mygales comme l’espèce nouvellement identifiée ont besoin de davantage d’efforts de conservation », a jugé Amila Prasanna Sumanapala, chercheur à l’Université de Colombo et co-auteur de la récente étude.

 Sur les 593 espèces d’araignées décrites au Sri Lanka, 108 ont été découvertes au cours des deux dernières décennies.

https://www.geo.fr/

Le plus petit chat sauvage du monde tient dans le creux de votre main


On dirait un chaton, mais ne vous trompez pas, c’est un chat sauvage qui vit en Inde et au Sri-Lanka. C’est un chat léopard qui est d’une grande agilité tout étant très mignon
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Le plus petit chat sauvage du monde tient dans le creux de votre main

 

Crédits : BBC

par  Mehdi Karam

 

Un léopard dans un corps de chaton. Le 11 janvier, BBC One diffusait le premier épisode de la série de documentaires intitulés Big Cats.

L’occasion pour l’Angleterre – et, depuis, pour le monde – de s’émouvoir face à la plus petite espèce de chat sauvage au monde : le chat rubigineux, ou chat léopard de l’Inde. Croquignolet à souhait, ce félin rarissime pèse tout juste un kilo et ne se trouve qu’au Sri Lanka ainsi qu’en Inde.

Si le chat sur la vidéo ci-dessous ressemble à un chaton qui se serait pris pour Sherkan, il a pourtant quasiment terminé sa croissance. Quant à ses chances de survie, elles sont hélas très minces dans la jungle asiatique.

Ses meilleurs atouts sont ses yeux, six fois plus puissants que les nôtres et sensibles au moindre mouvement. On connaît encore mal cette espèce et l’impact que l’activité humaine a sur sa survie.

Source : BBC One

http://www.ulyces.co/

Cet étrange animal qui tourne sur les réseaux sociaux n’est pas un «fake»


Un très bel insecte qui est assez impressionnant ne pique pas et ne mord pas et est herbivore. En fait, c’est un papillon de nuit qui vit En Asie du Sud-Est.
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Cet étrange animal qui tourne sur les réseaux sociaux n’est pas un «fake»

 

De quoi alimenter vos cauchemars!

Mais quelle est cette créature à l’apparence physique bien particulière? C’est sans doute la question que vous vous êtes posée si vous avez vu cette vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux. Et ce n’est pas un fake comme certains ont pu le penser.

En réalité, il s’agit d’un insecte, plus précisément d’un papillon, portant le nom de « Creatonotos Gangis« . Ce petit animal vit majoritairement en Asie du sud-est (Inde, Sri Lanka, Thaïlande) mais peut également être aperçu dans le nord de l’Australie. La bestiole présente sur la vidéo a d’ailleurs été observée en Indonésie. Certains la découvrent par l’intermédiaire de cette publication mais cette espèce n’a rien de nouvelle ni de mystérieuse, loin de là.

Inoffensif pour l’être humain

Elle a été découverte en 1763 par le biologiste suédois Carl von Linné et retranscrite dans son ouvrage taxinomique intitulé « Centuria Insectorum ». Comme vous pouvez le voir ci-dessus, cet insecte porte plusieurs teintures selon la zone du corps. Ses ailes sont noire et beige et son abdomen est largement orange voire rouge avec de petites taches noires et jaunes.

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Mais la particularité de cette mite tient évidemment à ses quatre sortes de « tentacules »velus qui sortent de son abdomen. Scientifiquement, celles-ci sont des « coremeta » et ont une importance cruciale.

Ce papillon se nourrit de plantes qui produisent des alcaloïdes pyrrolizidiniques. Une alimentation ô combien importante pour son métabolisme puisqu’elle lui permet de sécréter, au-niveau de ses coremata, de « l’Hydroydanaidal », un phénomène chimique propre aux insectes.

Généralement dotés de ces branches poilues, les lépidoptères mâles les utilisent pour attirer d’éventuels partenaires grâce à la sécrétion évoquée juste au-dessus. Tout est donc parfaitement lié. D’une envergure de 4 cm, ce papillon de nuit s’avère inoffensif malgré son apparence atypique, il ne mord pas et ne pique pas non-plus.

TWITTER

Ce texte a été publié originalement dans le HuffPost France.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Vidéo : Découverte d’une tarentule géante, grosse comme une tête humaine


Toujours sur la même note, voici une araignée comme on n’aimerait pas rencontrer … Elle est grosse et dangereuse .. Mais si elle est découverte, c’est sans doute a cause de la déforestation dans cette région … Malheureusement pour elle, cela voudrait dire qu’elle serait probablement en danger pour survivre
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Vidéo : Découverte d’une tarentule géante, grosse comme une tête humaine

 

 

Une nouvelle espèce de tarentule a été découverte cette semaine dans le nord du Sri Lanka. L’arachnide vit dans les arbres et est à peu près aussi grosse qu’une tête humaine.

La tarentule fait partie de la famille des Poecilotheria genus, surnommée Pokies. Il s’agit d’araignées tigres, un groupe arboricole indigène de l’Inde et du Sri Lanka, connues pour être colorées, rapides et venimeuses.

« Cette espèce a suffisamment de différences significatives pour la distinguer des autres espèces », a expliqué Peter Kirk, rédacteur en chef du British Tarantula Society’s journal, dans une étude décrivant l’araignée, relate le NY Daily News.

Il fait référence notamment aux tâches et marques sur les pattes du monstre, ainsi que le petit bandeau rose sur son abdomen.

Ranil Nanayakkara, l’auteur de la découverte, a donné Poecilotheria Rajaei comme petit nom à l’arachnide. « Assez rares » selon le chercheur, leur nombre diminuerait à cause de la déforestation, importante dans cette région du globe.

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