SAMEDI SOIR « Proche de l’émeute »


A qui la faute ???????? On sent vraiment la tension et ce même a l’extérieur de Montréal, partout au Québec, la colère gronde qu’on soit pour ou contre  ! C’est le sujet de l’heure, bien avant la santé, les injustices sociaux, la famine, l’environnement .. et a cause de ces manifestations des gens ont perdus leur commerces. ils sont obligés de faire faillite dans une situations économique précaire .. car cette manifestations recommence a tout les jours et de plus en plus violent … On attends quoi ? Un drame peut-être ? Un mort ?
ET a qui sera accusé.. Le gouvernement du Québec, car tiens sont bout ? Aux étudiants qui tiennent leur bout ? Aux partis politiques, a la population, aux médias sociaux, aux journalistes ? Personne ne fait un pas pour trouver une entente tout le monde tire la couverte d’un bord ou de l’autre .. Ah oui les policiers c’est abuseurs de pouvoir .. on les mets tous dans le même panier … Il en a quelque uns qui ont peut-être été un peu trop fort .. mais la majorités ne font qu’obéir aux ordres .. Et eux font t’ils des vidéos, vont t’ils sur la sellettes pour se plaindre des mauvais traitements et des insultes qu’ils reçoivent des étudiants …  S’ils n’étaient pas la .. comment pensez vous que ces manifestations finirait … Pire qu’hier .. ca j’en suis sur .. car malheureusement ce ne sont pas tous des pacifiques qui font parti des manifestations …
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SAMEDI SOIR « Proche de l’émeute »

 

JOEL LEMAY/AGENCE QMI

Plusieurs manifestants se sont réunis dans les rues de Montréal, pour une 27e manifestation nocturne pour protester contre l’application de la loi spéciale 78 et la hausse des frais de scolarité, le dimanche 20 mai 2012. JOEL LEMAY/AGENCE QM

 

VALÉRIE GONTHIER

 

Le service de police de Montréal (SPVM) s’est dit « préoccupé » par l’intensité de la manifestation qui a frôlé l’émeute samedi soir dans les rues du centre-ville.

« Sur la rue Saint-Denis, c’était particulier. Pour en avoir vu plusieurs (des manifestations), j’ai rarement vu une situation aussi proche de l’émeute », commente Ian Lafrenière, porte-parole au SPVM.

Policiers et pompiers pris à parti, feux dans les rues, vitres d’auto-patrouilles et d’un autobus fracassées. La fin de la manifestation de samedi soir a été marquée par plusieurs débordements.

C’est lorsque les policiers ont voulu disperser la foule que les esprits se sont échauffés. À l’intersection des rues St-Denis et Ontario, des manifestants ont mis le feu à des barricades de matériaux de construction.

« C’était décourageant de voir du monde mettre le feu. Je n’étais pas rassuré, mais pas du tout », lance Ian Lafrenière.

Il ajoute qu’un pompier s’est fait lancer une brique en voulant intervenir. Le commandant Lafrenière n’a pas caché son inquiétude face à de tels gestes de violence.

« Des gaz irritants ont été utilisés contre des policiers et un sac rempli de cocktail Molotov a été retrouvé dans la rue. C’est préoccupant », dit-il.

« Ce n’est pas sécuritaire pour ceux qui se présentent dans ces manifestations pour marcher pacifiquement », ajoute-t-il.

Terrasse

Plusieurs témoins, attablés à des terrasses ou qui déambulaient sur la rue St-Denis, ont assisté à ces débordements.

Une situation qui n’a aidé en rien l’intervention des policiers.

« Ça nous a compliqué la vie que la manifestation se rende sur St-Denis, lance Ian Lafrenière. On essaie d’éviter ce genre de secteur. Mais ça a fait ce que ça a fait. Et ce n’est pas très bon. »

D’ailleurs, les incendies criminels allumés dans la rue ont donné lieu à une intervention sur une terrasse du bar le Saint-Bock.

Des policiers ont notamment lancé du gaz irritant à travers la foule. La scène a été filmée par une caméra de surveillance de l’établissement.

« Un des suspects, qu’on essayait de cibler est allé se cacher sur la terrasse, explique-t-il. Mais des gens s’en sont pris aux policiers et ils ont retenu le suspect pour pas qu’on le prenne. C’est là que ç’a commencé à brasser. »

Selon lui, les policiers ont pris des décisions avec seulement quelques secondes devant eux.

Ian Lafrenière se dit d’ailleurs très fier du travail de ses collègues lors de cette manifestation.

Une équipe de la Sûreté du Québec était aussi présente pour prêter main-forte au SPVM samedi soir.

« Ce n’est pas parce qu’on anticipait la nuit, assure Ian Lafrenière. C’est parce que nos policiers sont fatigués. Ils sont brûlés. On a permis à certains de se reposer.»

Détention

Ce sont finalement 69 personnes qui ont été arrêtées lors de la 26e manifestation nocturne.

Hier, trois d’entre eux étaient toujours détenus par les policiers. Deux sont soupçonnés d’avoir lancé des cocktails Molotov tandis que l’autre aurait agressé un policier.

Les autres manifestants ont été relâchés au cours de la nuit de samedi à dimanche ou dans la matinée hier, sous promesse de comparaître.

Toutes les autres personnes relâchées auraient commis des voies de fait sur des policiers ou des méfaits en endommageant des auto-patrouilles et un autobus de la STM servant au transport des policiers.

Ils sont passibles d’une amende de 500 $ plus les frais, pour un total de 634 $, en vertu d’un nouveau règlement municipal. L’ancienne amende pour un tel méfait était de 100 $ plus les frais pour des méfaits semblables.


– Avec la collaboration

de Daniel Renaud

 

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Le «printemps québécois» préoccupe Exclusif: les services secrets à Victoriaville


Le Québec a vécu divers conflits pendant la grève des étudiants du aux hausses scolaires ..(On attends voir si cette grève continue ou comme dans certains école c’est le retour en classe) En principes les manifestations devaient être pacifiques, mais malheureusement a différents moments il y a eu des dérapages qui a indignées nombres de personnes .. Pendant la grève, malheureusement, il y a eu d’autres groupes qui ont fait probablement beaucoup de tords a cette grève¸entrainant probablement certains étudiants Le pire c’est que ces fauteurs de troubles seraient greffés a la cause de cette grève pour toutes autres raisons … Chose certaines ce conflits a été très mal gérer autant par le gouvernement
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Le «printemps québécois» préoccupe Exclusif: les services secrets à Victoriaville

 

Exclusif: les services secrets à Victoriaville

Crédit photo : Agence QMI

Victoriaville a été la scène de violentes manifestations vendredi.

 

VA Nouvelles

EXCLUSIF – Des agents des services secrets canadiens se sont déplacés à Victoriaville ce weekend pour recueillir des informations et identifier des individus qui pourraient représenter un danger à la sécurité nationale.

TVA Nouvelles a appris que les spécialistes du renseignement fédéraux de sécurité suivent de près, ce qu’ils appellent le printemps québécois.

Les émeutes et les violences lors des manifestations étudiantes inquiètent les services canadiens de renseignements et de sécurité (SCRS).

Depuis le début du conflit, Montréal a connu plus de 180 manifestations qui ont mené à des centaines d’arrestations et de nombreux blessés. Selon le SPVM, 30% des manifestations se sont terminées par des actes illégaux.

Certains individus qui participent aux manifestations étudiantes sont maintenant dans la mire des services de renseignement et de sécurité. Ce ne sont pas les étudiants qui sont ciblés par les agents, mais plutôt plusieurs groupes politiques et anarchistes.

Photo: TVA Nouvelles

Parmi eux, on retrouve le Black Bloc, la CLAQ (Convergence des luttes anticapitalistes du Québec), le Parti communiste révolutionnaire, l’Union communiste libertaire, et le Réseau de résistance du Québécois. Chaque groupe milite pour une différente cause, mais tous se sont greffés au conflit étudiant.

«On a eu réellement affaire à un groupe très organisé, qui avait un plan très précis», croit Maurice Beson, agent de la SQ à la retraite, qui a formé les policiers à intervenir lors du Sommet des Amériques à Québec en 2001.

Le SCRS se préoccupent de voir graviter certains anarchistes autour de la grève étudiante. Quel est leur but? Jusqu’où iront-ils?

«Il ne faut pas oublier que dans 99% des cas, c’est les policiers qui ont le rapport de force», explique Marc-André Cyr, un militant et historien des mouvements sociaux.

«Les canaux institutionnels qui viennent pacifier les conflits sociaux habituellement sont assez bouchés, ne fonctionnent plus. C’est à la rue que ça se règle.»

Photo: TVA Nouvelles

Photo: TVA Nouvelles

Photo: TVA Nouvelles

http://tvanouvelles.ca/

Violence chez les sans-abri Les préjugés encore présents


Des coups de feux ont été tiré dans le métro contre un itinérant ayant des problèmes psychiatrique alors qu’il avait un exacto .. Pourquoi que la police n’a pas pris un taser ? Les itinérants vivent dans des conditions difficiles et parmi eux comme dans toutes couches sociales il y a aussi des personnes qui ont des problèmes de comportement. Malheureusement quand tu a un problème mentale et qu’en plus tu es un sans-abri,  il risque d’avoir des altercations avec la police et cela ne fini pas toujours bien.
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Violence chez les sans-abri

Les préjugés encore présents

Les préjugés encore présents

Crédit photo : Archives Agence QMI

Par Emmanuel Delacour | Agence QMI

C’est avec un lot de préjugés et d’incompréhension que les itinérants de Montréal doivent vivre au quotidien, sans compter des relations difficiles avec les agents de police.

Le décès d’un sans-abri dans le métro de Montréal vendredi à la suite d’une altercation avec deux agents du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a rouvert le débat sur les méthodes d’intervention des policiers auprès des itinérants.

Selon plusieurs itinérants, les actes d’agression entre les sans-abris et les agents de la paix sont des événements isolés.

«Personnellement, je n’ai jamais été victime de violence physique de la part d’un policier et je ne connais personne dans la rue qui a déjà attaqué un policier», a affirmé Jean-Pierre, un homme dans la quarantaine qui a vécu dans les rues de Montréal il y a six ans.

Celui-ci est de retour à l’Accueil Bonneau pour en aider d’autres qui, aujourd’hui, vivent la même réalité. Parmi eux, Pierre, qui ne tient pas de rancune aux agents du SPVM, malgré quelques entretiens musclés avec ceux-ci.

«Parfois les policiers font preuve d’un peu de rudesse, surtout les jeunes qui manquent d’expérience, a-t-il expliqué. Les policiers sont soumis à un protocole, ils sont des pions dans l’histoire.»

La mort d’un sans-abri tué par des policiers vendredi passé suscite la même réaction chez tous les itinérants interrogés : ils y voient un cas hors du commun, qui entache la réputation des sans-abris.

«Des malades il y en a partout, ce ne sont pas seulement les itinérants qui sont dangereux, a expliqué Pierre. Les policiers doivent intervenir auprès de personnes avec des maladies mentales et des fois ça tourne mal, mais il ne faut pas croire qu’ils nous tirent dessus à tout bout de champ.»

«Itinérant ou pas, si tu attaques un policier avec un couteau, tu as certainement des problèmes dans la tête et tu mets ta vie en danger», a dit Michel, un autre sans-abri.

Celui-ci aimerait bien toutefois que les agents du SPVM soient un peu plus tolérants auprès des itinérants lorsqu’ils s’abritent dans le métro durant l’hiver et qu’ils ne les expulsent pas systématiquement.

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L’insoutenable attente prend fin: le corps de Maxime Dion retrouvé


C’est un événement bien triste que les parents du petite Maxime vivent mais aussi un soulagement que les sauveteurs ont pu retrouver l’enfant, sinon il aurait probablement été impossible de le retrouver qu’au printemps
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L’insoutenable attente prend fin: le corps de Maxime Dion retrouvé

L'insoutenable attente prend fin: le corps de Maxime Dion retrouvé

La photo du jeune Maxime Dion est fournie par la famille.

Photo: Janick Marois, La Voix de l’Est

Dominique Talbot
La Voix de l’Est

(Upton) Après cinq jours d’intenses recherches, le corps du jeune Maxime Dion a finalement été repêché hier, aux environs de 12h45. Ce sont les plongeurs du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), venus prêter main-forte à leurs collègues de la Sûreté du Québec en cette autre journée de recherches qui aurait bien pu être la dernière, qui ont retrouvé le petit garçon de 6 ans, disparu dans les eaux glacées de la rivière Noire lundi, en fin d’après-midi.

Le corps a été découvert à environ 400 mètres de l’endroit où le petit Maxime est tombé à l’eau lundi, alors qu’il s’amusait avec un ami et le chien de ce dernier.

Mercredi, le chien qui a lui aussi sombré dans les eaux avait été retrouvé non loin de l’emplacement où le corps a été sorti de la rivière.

Une fois hors de l’eau, la dépouille a été amenée dans une tente où ses parents ont procédé à son identification.

Le deuil peut commencer

À deux jours de Noël, le souhait de la famille de retrouver le corps de Maxime a été exaucé. Elle peut enfin commencer à faire son deuil.

«Je suis en paix avec le fait que notre fils est maintenant avec nous. Il y a un ange de plus au ciel maintenant», a commenté Patrick Dion, le père de la victime.

Pendant toute la durée des recherches cette semaine, M. Dion a répété que tout ce que la famille désirait était de revoir Maxime une dernière fois, même si elle savait qu’elle ne le reverrait pas vivant.

«Je viens d’aller voir le corps et ça fait du bien. On est soulagé, a dit pour sa part Denis Gaucher, grand-père du jeune garçon. Là, nous allons consoler ma grande fille (Chantale, mère de Maxime). J’ai dit à Patrick que Maxime était un petit ange et qu’il va nous aider en haut. Il va nous donner des grâces».

Au travers de cette pénible épreuve, M. Gaucher s’est dit soulagé et prêt à entreprendre le long chemin qui suivra.

«Nous avions tous espoir. C’était la journée décisive. Si ça n’avait pas été de cela, ça aurait été encore plus dramatique pour toute la famille. Tout l’hiver, avec Maxime en dessous des glaces, aurait été inimaginable. C’est bien que ça se termine comme ça. Chapeau aux sauveteurs. On les félicite. On espérait ça et nous avons prié fort pour ça. Aujourd’hui, c’est une bonne nouvelle pour la famille, pour commencer notre deuil.»

Diane Dion, la grand-mère de Maxime, a quant à elle tenu à remercier et à louanger le travail des sauveteurs.

«Ce qui se passe aujourd’hui est un soulagement. Tout le monde y a mis son coeur. Nous avons notre petit avec nous, c’est le principal. Je suis en paix. Nous avons une super équipe qui a permis cela».

Longue et difficile opération

Dans la nuit de jeudi à hier, une rétrocaveuse amphibie a brisé les glaces dans la rivière afin de faciliter le travail des plongeurs. À partir de là, la SQ a établi une nouvelle stratégie pour maximiser les chances de réussite de l’opération.

«Des zones de recherche avaient été identifiées et circonscrites. Ils (les plongeurs) savaient où ils s’en allaient. Ils avaient des plans de plongée, donc, du travail avait été fait pour permettre d’en arriver à ce que les recherches soient le plus efficaces possible. C’est ce qui a eu lieu aujourd’hui», mentionne Louis-Philippe Ruel, porte-parole de la Sûreté du Québec.

En plus du SPVM, la Gendarmerie Royale du Canada et des pompiers d’Upton ont assisté la SQ dans ses recherches. Le temps commençait à presser puisque le refroidissement prévu au cours des prochains jours aurait bien pu mener à la suspension des recherches.

«On sait que si le froid revient et la glace reprend, nous devons évaluer si nous pouvons travailler de manière efficace. On évaluait cela quotidiennement. Il semble que ça aurait été excessivement difficile dans les prochains jours», explique Louis-Philippe Ruel.

«Les pompiers étaient exténués. Nous avons travaillé sans arrêt au cours des 36 dernières heures. Plusieurs de nos pompiers ont passé toute la nuit dans l’eau et d’autres y sont restés 12 heures hier. Aujourd’hui a été l’accomplissement», a conclu Yves Ricard, directeur du service d’incendies d’Upton.

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