Rêves d’enfants


Devenir adulte ne veut pas dire que nos rêves, nos espoirs sont terminés, bien au contraire. Plus nous vieillissons, plus nous devrions puiser sur nos rêves d’enfant pour ne pas devenir des êtres sans vie
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Rêves d’enfants

 

Il doit rester quelques rêves d’enfants cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte

Mathias Malzieu

Rêves cachés


On vieillit tous, mais pas de la même façon. Je crois que la plus belle manière est d’avoir encore des rêves magiques comme quand nous étions petits.
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Rêves cachés

 

 

 

Il doit rester quelques rêves d’enfants cachés sous mon oreiller, je ne tentera de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte

Mathias Malzieu

Quand vient la nuit


Des fois, la vie semble est un obstacle elle-même, il est difficile d’y voir clair, pourtant une lueur subsiste en nous pour redonner l’espoir, un jour plus beau
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Quand vient la nuit

 

 

Quand vient la nuit, éteignez vos soucis et allumez vos rêve

Inconnu

Les gros dormeurs font plus de cauchemars


Il y a beaucoup de facteurs qui peuvent faire des cauchemars pendant le sommeil paradoxal. Les maladies psychiatriques, la détresse psychologique, les soucis etc. Cependant, il semble que les soucis, l’inquiétude et le nombre d’heure de sommeil, c’est à dire 9 heures et plus, augmenterais les risques de mauvais rêves
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Les gros dormeurs font plus de cauchemars

 

Marie-Céline Jacquier
Journaliste

Cauchemars seraient plus fréquents chez les personnes qui dorment plus de neuf heures par nuit, selon des chercheurs britanniques, qui ont repéré aussi d’autres facteurs. Donc, si vous faites trop de cauchemars, faites sonner votre réveil plus tôt…

CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Les cauchemars sont plus fréquents après un traumatisme ou en cas de troubles psychiques.
  • Une étude sur plus de 800 personnes montre que les soucis quotidiens et la durée du sommeil sont liés aux cauchemars.
  • Par ailleurs, plus le sommeil est long, plus la période de sommeil paradoxal le sera, ce qui pourrait être l’explication.

Personne n’aime faire des cauchemars. D’autant plus que ces mauvais rêves peuvent empêcher de profiter d’un sommeil réparateur. Les cauchemars sont fréquents après un évènement traumatisant ou stressant (décès d’un proche, examen…), et chez les personnes souffrant d’un choc post-traumatique (attentat, guerre, violences…). Mais beaucoup font des cauchemars de temps à autres et environ 5 % de la population en ferait toutes les semaines.

Les troubles psychiatriques sont associés à une fréquence de cauchemars plus élevée. Par exemple, la moitié des personnes qui ont une personnalité « limite » en feraient souvent et au moins 10 % des schizophrènes en seraient victimes. De plus, les cauchemars sont corrélés à la détresse psychologique, l’automutilation et les comportements suicidaires.

Mais quels facteurs favorisent les cauchemars ? Pour répondre à cette question, des chercheurs de l’université d’Oxford (Royaume-Uni) ont mené une étude sur les cauchemars au sein de la population générale. L’équipe a recruté 846 personnes par des annonces dans les médias et dans des bases de données de candidats pour des études sur le sommeil.

Les participants ont complété une enquête en ligne. Ils devaient par exemple indiquer le nombre et la gravité des cauchemars vécus au cours des deux semaines précédentes. Ils ont aussi répondu à des questions sur leur vie : divorce récent, tendance à se faire du souci, quantité de sommeil, consommation d’alcool Les résultats sont présentés dans la revue Social Psychiatry and Psychiatric Epidemiology.

Le sommeil paradoxal est le moment privilégié pour les rêves. Si la durée du sommeil est plus longue, le nombre de ces épisodes est plus grand, la probabilité de faire un cauchemar aussi. © lassedesignen, Fotolia

Le sommeil paradoxal est le moment privilégié pour les rêves. Si la durée du sommeil est plus longue, le nombre de ces épisodes est plus grand, la probabilité de faire un cauchemar aussi. © lassedesignen, Fotolia

Les soucis et un sommeil long favorisent les mauvais rêves

Sans surprise, le fait de s’inquiéter pour l’avenir était lié au risque de cauchemars et à leur gravité. C’était même le principal facteur associé aux cauchemars. En effet, si on rumine ses soucis en allant se coucher, cela alimente les rêves en éléments négatifs, d’où le plus grand nombre de cauchemars. Car les rêves sont souvent le reflet des expériences vécues la journée. Un cercle vicieux peut s’instaurer : les soucis quotidiens alimentent les cauchemars qui amplifient l’inquiétude le lendemain, etc.

L’équipe a aussi trouvé un lien, statistiquement plus faible, entre la fréquence des cauchemars et le fait de dormir plus de neuf heures par nuit. Une hypothèse est que le fait de dormir plus longtemps augmente le temps passé dans le sommeil paradoxal, phase du sommeil où les rêves sont les plus fréquents. Ce phénomène pourrait se combiner avec les soucis : les personnes qui font des cauchemars ont tendance à avoir un sommeil perturbé, ce qui accroît leurs soucis et les fait dormir plus le reste de la semaine, et ils font encore des cauchemars…

Le saviez-vous ?

Le sommeil paradoxal est un stade du cycle du sommeil pendant lequel ont lieu les rêves dont on se souvient. Il se caractérise notamment par des mouvements rapides des yeux (rapid eye mouvement ou REM, en anglais).

L’exercice physique n’a pas paru associé au risque de cauchemar, ni l’alcool, ce qui peut paraître surprenant. Les expériences hallucinogènes et la paranoia étaient, elles, associées aux cauchemars.

Les chercheurs conseillent donc aux personnes qui dorment plus de neuf heures et qui font beaucoup de cauchemars de se contraindre à dormir moins.

http://www.futura-sciences.com/

Les soucis


C’est vrai que les soucis ne donne pas grand chose qu’a part de ronchonner et de nous faire tourner en rond
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Les soucis

 

« Les soucis ressemblent à des fauteuils à bascules ; ils donnent quelque chose à faire mais ne conduisent nulle part. »

John Neal

Rêves d’enfant


En vieillissant, j’ai l’impression que de plus en plus de souvenirs de l’enfance me reviennent en mémoire, assisse dans la véranda a compter l’âge que j’aurais a l’an 2000, cela semblait si loin …
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Rêves d’enfant

 

Il doit rester quelques rêves d’enfant cachés sous mon oreiller, je tenterais de ne pas les écraser avec ma tête lourde de soucis d’adulte …

Mathias Malzieu

Vous n’avez rien oublié de faire aujourd’hui ?


Tout le monde oublie quelque chose et il semble que les femmes ont une meilleure mémoire. En tout cas, en vieillissant, nous avons peut-être plus conscience de nos oublies par inquiétude de maladie comme l’Alzheimer, alors qu’il est normal d’oublier en moyenne 4 fois par jour
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Vous n’avez rien oublié de faire aujourd’hui ?

 

oubli_petite

©Fotolia.com

Une étude s’est penchée sur notre fâcheuse tendance à oublier des choses. On en « zappe » en moyenne 4 par jour.

Corvées, clés, rendez-vous… On a tous oublié ces « petits » détails au moins une fois dans notre vie. Des chercheurs se sont intéressés à ce phénomène et ont montré que les gens oublient en moyenne 1460 choses dans l’année, soit 4 chaque jour.

Il s’avèrerait que les hommes sont deux fois plus susceptibles d’oublier l’anniversaire de leur conjoint (tiens, tiens…), et qu’un homme sur 20 aurait raté des funérailles par oubli.

Les femmes seraient, elles, les plus frustrées quand elles perdent quelque chose. Ce qui explique probablement pourquoi elles ont deux fois plus de chance d’être la personne au sein d’un couple à avoir la meilleure mémoire.

Un porte-parole de la marque de blocs-notes autocollants Post-it, qui a mandaté la recherche, explique les raisons plausibles de cette tendance :

« Avec des horaires de travail plus longs, des soucis financiers et des modes de vie plus cadencés, même ceux qui ont la meilleure des mémoires peuvent échouer quand il s’agit de se souvenir de choses simples lors d’une journée très chargée. »

Extraits du top 50 des choses oubliées

– les clés

– la raison pour laquelle on est allé dans telle ou telle pièce

– le téléphone portable

– le porte-monnaie

– décongeler la viande

Les chercheurs ont obtenus ces résultats après avoir interrogé un échantillon de 2000 adultes au Royaume-Uni. Et vous, quels sont vos oublis ?

Source : Busy? Then forget it: Hectic lifestyle affects our memory, Daily Express,

http://sante.planet.fr

Les soucis


Nous avons tous des soucis, mais certains nous prennent tellement la tête que nous sont obsédé pour trouver la solution.  Mais elle ne viens pas… et cela peut chambouler toute une journée, notre humeur et nos relations avec les autres
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Les soucis

 

Si des soucis vous préoccupent, prenez une feuille et dressez une liste de tout ce qui vous « torture ».

Le fait de les répertorier, de les visualiser vous aidera à y voir plus clair et à en prendre certaines avec plus de distance.

Vous deviendrez un peu plus objectif et remarquerez que certaines choses sont beaucoup moins importantes. Celles-ci, apprenez à vous en détacher. Lâchez alors prise, ça sera ça de gagné.

Michel Poulaert

S’ouvrir à la liberté, c’est amusant


S’ouvrir a la vie serait si facile si nous acceptions de commencer a se libéré nous-même de nos ornières. De prendre certains exemples chez les enfants .. qui disent un jour t’est plus mon ami et le lendemain jouent ensemble. Ils serait bien plus facile si nous arrêtions de se compliquer la vie avec nos pensées négatives, nos suppositions souvent sans fondement
Nuage


S’ouvrir à la liberté, c’est amusant


Pour être soi et oser être libre en toutes circonstances,
pour développer des relations authentiques,
pour découvrir de nouveaux comportements d’ouverture, pour une meilleure confiance en soi,
pour connaître et vivre ses émotions, pour mieux
les gérer et se découvrir vraiment,
ne plus avoir peur de ses peurs.
Émerveillement, joie de vivre et liberté !
Qui suis-je ?
Qu’est ce que je veux ?


Pour libérer toute cette énergie vitale, il existe un moyen amusant comme le dit le titre :


« S’ouvrir à la liberté, c’est amusant ».


Si moi, je décide dans mon coeur de grande personne, d’ouvrir mon coeur d’enfant, celui que j’essaie de cacher si souvent, naître à soi, peut-être que ça deviendrait amusant finalement.

Regardons simplement agir les enfants.
Ils se sentent libres, pas pressés, pas stressés,
ils ont tout leur temps, et ceci en toutes circonstances.
Ils n’ont pas la carapace des illusions à porter.
Leur vie personnelle est simple, nullement préparée.
En pratiquant ce regard enfantin avec constance,
ils l’auront sûrement plus tard dans leur vie professionnelle.

Tant qu’à leurs relations, ce n’est rien de compliquées,
ils vivent la magie de l’instant.

Si une chicane éclate avec leurs copains,
ils se crêpent le chignon, un coup de poing et vive la vie!

Si c’est une fille, parfois c’est plus long,
mais elles redeviennent amies tout de suite,

tout est oublié sans rancoeur, ce poison de l’âme.

Ils regardent, observent de loin les plus grands,
cela leur permet de voir de nouvelles manières de s’ouvrir aux autres,
ils s’essaient, manquent leur coup, mais tout de suite, sans relâche
ils se reprennent et cette fois ça y est !

Hourra !

Les enfants ont ce pouvoir d’apprendre rapidement, et d’oublier ce qui n’est pas vraiment important, scraper l’inutile.
Ils sont alors heureux et fiers de leurs nouvelles découvertes qui
mettront du piquant dans leur vie.


Ainsi ils acquièrent une belle confiance en eux,
deviennent de plus en plus sûrs d’eux, les monstres du placard disparaissent.


Quand ils vivent de gros chagrins, parfois ils s’isolent pour mieux digérer le tout,
comme un petit animal, ils lèchent leurs plaies.
Parfois ils veulent en parler avec les ami(es) ou à des personnes adultes qui leur permettront d’aller plus loin.
Mais leur joie de vivre est vite revenue.
Une chose leur est cependant essentielle :

« L’amour »,
avec ça, les coeurs sont gonflés de joie et les petites jambes gambadent aussitôt,
les soucis, connais pas…

Vive la liberté !

Si l’on prenait exemple sur eux et tenir bon dans notre décision,  la vie serait bien plus douce, notre émerveillement devant les petites choses
serait grand, le bonheur et la liberté le seraient aussi.
Cessons donc de nous compliquer la vie.

Essayons plutôt de la regarder avec les yeux de l’enfant en nous.

Mobilisons nos potentialités à réaliser ce qui donne du sens à notre vie,
laissons jaillir notre essence, nos véritables désirs.
La porte des possibles existe vous savez.

Il vit en soi une belle endormie (richesse intérieure) et un chevalier prêt à la réveiller.

À la manière d’un enfant, avançons au large libre, sans peur, le coeur rempli de cet Amour Divin et devenons porte-parole du bonheur
dans un monde en déprime.


Auteur inconnu