Une ado se suicide après avoir publié un sondage sur Instagram


C’est pitoyable, même inquiétant de voir comment les réseaux sociaux peuvent influencer des jeunes enfants et adolescents. Cette adolescente a fait un sondage si elle devait mourir ou vivre. Vous imaginez 69 % on voter pour la mort. J’espère qu’ils se sentent coupables d’avoir participé à son suicide.
Nuage


Une ado se suicide après avoir publié un sondage sur Instagram


Un écran de téléphone affichant le logo d'Instagram.

Le logo d’Instagram Photo: iStock / alexsl


  • Agence France-Presse

Une adolescente malaisienne, qui avait publié un sondage sur son compte Instagram demandant si elle devait vivre ou mettre fin à ses jours, s’est donné la mort après avoir vu que la majorité de ses abonnés avaient voté pour qu’elle meure.

La jeune fille, âgée de 16 ans et habitant à Kuching dans l’État malaisien de Sarawak, est subitement morte après avoir publié ce sondage sur le réseau social lundi, a déclaré la police aux médias locaux.

Très important, aidez-moi à choisir entre D/L, a-t-elle écrit sur son compte, selon ce que rapporte le site Internet d’informations Astro Awani. Les lettres D et L feraient apparemment référence à la mort [death en anglais] et à la vie [life en anglais].

La police a indiqué que 69 % des internautes ont voté pour sa mort et que 31 % souhaitaient qu’elle continue à vivre.

La réaction d’Instagram

Ce suicide a déclenché de multiples réactions en Malaisie.

Le député Ramkarpal Singh a appelé à l’ouverture d’une enquête pour éviter d’autres abus sur les réseaux sociaux dans de semblables circonstances à l’avenir.

Ching Yee Wong, la responsable des communications d’Instagram pour l’Asie-Pacifique, a transmis ses condoléances à la famille.

Elle a reconnu que le réseau social détenu par le groupe Facebook avait l’importante responsabilité de s’assurer que les gens qui utilisent Instagram se sentent en sécurité et soutenus.

Elle a appelé ceux qui y recourent à utiliser les outils de signalement et à contacter les services d’urgence s’ils voient que la sécurité de quelqu’un est menacée.

Instagram impliqué dans un autre cas de suicide

Cette affaire rappelle la polémique suscitée par la mort de Molly Russell, une adolescente britannique qui s’était suicidée en 2017 à l’âge de 14 ans après avoir regardé des contenus liés à l’automutilation et au suicide sur Instagram.

Cette tragédie avait mené à un vaste débat sur l’utilisation des réseaux sociaux par les enfants et sur la régulation des contenus.

En février, Instagram, qui interdisait déjà toute publication encourageant ou promouvant suicide ou automutilation, a décidé de bannir les photos montrant des blessures infligées à soi-même.

Besoin d’aide pour vous ou un proche?

Ligne québécoise de prévention du suicide : 1 866 APPELLE (277-3553).

Ce service est accessible partout au Québec, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.

Ailleurs au Canada : 1 833 456-4566

https://ici.radio-canada.ca/

Les Américains ont tranché, ils préfèrent Obama à Trump


Je crois pour beaucoup de pays, si nous aurions aussi participé au vote, M. Barack Obama serait en premier et Donald Trump en derniers dans les préférences.
Nuage

 

Les Américains ont tranché, ils préfèrent Obama à Trump

 

Obama, out.  | Capture d'écran via Youtube CC License by

Obama, out. | Capture d’écran via Youtube CC License by

Repéré par Nina Pareja

Repéré sur Time

L’actuel président ne va pas être content…

 

Déjà que Donald Trump n’aime que peu les sondages –surtout en sa défaveur– il ne réagira sûrement pas joyeusement à celui-là. Son compte Twitter est en tout cas vide de commentaires sur ce sujet pour l’instant.

Le Pew Research Center a publié un sondage révélant les présidents préférés des Américains et Américaines. 44% des personnes interrogées ont désigné Barack Obama comme étant leur premier ou deuxième président préféré. Après le 44ème président arrivent Bill Clinton et Ronald Reagan avec respectivement 33% et 32% des voix.

Pour réaliser cette enquête, environ 2.000 personnes représentatives de la population américaine se sont pliées au jeu en répondant à cette question:

 «Quel président a fait le meilleur travail durant votre vie?»

Elles devaient ensuite donner un premier et un deuxième choix.

Le classement des premiers choix met à l’honneur Obama (avec 31%), puis Reagan (21%), Clinton (13%), Trump (10%) et enfin, Kennedy (7%). Pour les seconds choix, l’ordre est légèrement bousculé: Clinton (19%), Obama (13%), Reagan (10%), W. Bush (11%), Trump (9%).

Que Donald Trump se rassure, il totalise tout de même 19% des sélections, premier et deuxième choix confondus, ce qui est assez similaire aux scores d’Obamaen 2011.

Alors que Bush père et fils sont assez bas placés dans la liste, ce n’est rien comparé à Carter, Ford, Nixon, Johnson, Eisenhower, Truman et Roosevelt qui sont à peine mentionnés. Mais c’est finalement plutôt normal puisque les sondés et sondées sélectionnent les présidents préférés de leur vivant.

Conflit de génération

 

Les divergences d’opinion suivent la courbe des âges: les millenials ont mentionné Obama 62% du temps, un chiffre plus haut que n’importe quelle autre génération. Reagan, lui, est plutôt plébiscité par les baby-boomers ou la génération précédente.

Seulement 10% des adultes interrogés ont mentionné Kennedy, mais ce taux atteint 25% chez celles et ceux qui étaient vivants au moment de sa présidence.

Les résultats de l’enquête sont assez comparables à ceux de 2011. Plus de la moitié des millennials estimaient que Clinton avait fait le meilleur travail à la tête du pays, alors que les baby-boomers et les personnes ayant vécu dans les années 1920 et 1930 choississaient Reagan, bien que talonné par Clinton. Les plus jeunes Américains et Américaines ont donc basculé de Clinton à Obama, favorisant toujours les Démocrates.

Fracture entre les Démocrates et les Républicains

Le sondage note aussi la diversité des opinions en fonction des couleurs politiques. Trump reconquiert du terrain au sein des sympathisantes et sympathisants Républicains (22% des premiers choix et 19% des deuxièmes choix), même si Reagan reste leur chouchou, avec respectivement 41% et 16% des votes.

Même phénomène pour Obama, il est largement plébiscité dans le camp des Démocrates qui le placent à 51% en premier choix et à 20% en deuxième.

Si les Démocrates qui mentionnent Trump sont quasi inexistants, les Républicains sont plus prompts (13%) à qualifier Obama de meilleur président.

http://www.slate.fr

Un tiers des milléniaux américains n’est pas sûr que la Terre est ronde


Si 1/3 des milléniaux (gens qui sont nés entre 1982 et 2004) américains croient que la Terre est plate alors sûrement que d’autres ailleurs le croient aussi. Est-ce avec Internet qui propage diverses théories du complot ? Il semble que le salaire et la croyance d’une religion peuvent influer sur le fait que la terre soit plate, alors que tout prouve le contraire.
Nuage

 

Un tiers des milléniaux américains n’est pas sûr que la Terre est ronde

 

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Ronde ou plate? | Greg Rakozy via Unsplash License by

Repéré par Aurélie Rodrigues

Ou pense même qu’elle est plate.

 

Repéré sur Forbes

YouGov, le site de sondages en ligne, a voulu faire un état des lieux des croyances des Américains quant à la forme de la Terre. À la question «Pensez-vous que la terre est ronde ou plate?», les 8.215 participants avaient le choix entre plusieurs réponses:

– «J’ai toujours été convaincu que la Terre était ronde.»

– «J’ai toujours été convaincu que la Terre était ronde mais depuis quelque temps j’en doute/je suis sceptique.»

– «J’ai toujours été convaincu que la Terre était plate.»

– «Autre/Pas sûr.»

Sur le total des personnes interrogées, seulement 2% d’entre elles sont fermement convaincues que la Terre est plate alors que 84% sont persuadées du contraire –le reste des participants ayant répondu «Autre/Pas sûr». Jusque-là, aucune surprise.

Cependant, les chiffres deviennent intéressants quand on analyse les résultats par tranche d’âge: seulement 66% des personnes de dix-huit à vingt-quatre ans pensent que la Terre est ronde, pour 94% des seniors. Comment expliquer ce clivage?

En 2015, le magazine Harvard Political Review révélait la méfiance grandissante des jeunes Américains quant à la science: selon le sondage annuel Harvard Public Opinion Project, 23% des millenials déclaraient que «le réchauffement climatique est une théorie qui n’a pas encore été prouvée».

La religion et le salaire: deux autres indicateurs révélateurs

Quand on étudie le niveau de revenus des participants, un autre écart significatif frappe: 92% de ceux qui gagnent plus de 80.000 dollars par an sont convaincus que la Terre est ronde contre 79% de ceux qui gagnent moins de 40.000 dollars par an.

Les différences salariales sont parfois synonymes de fossé éducationnel. En 2015, The Atlantic expliquait que les riches sont plus susceptibles d’obtenir un diplôme d’études supérieures que les personnes issues d’une famille à faible revenu.

Pour Neil deGrasse Tyson, un astrophysicien, c’est la faute du système éducatif américain: «On doit apprendre aux élèves à questionner le savoir que les professeurs leur enseignent et pas simplement à tout absorber. Sans ça, les enfants vont commencer à croire à tout et n’importe quoi», expliquait-il dans une vidéo sur sa chaîne Youtube StarTalk.

À partir d’un autre échantillon de données, Forbes a établi une corrélation entre la religion et le fait de croire ou non que la Terre est ronde: 52% des 55.172 profils inscrits sur YouGov se définissant comme «très religieux» croient que la Terre est plate.

On aurait pu penser que ce débat était clos depuis longtemps, mais ces dernières années le mouvement des flat-earthers –ceux qui croient que la Terre est plate– a refait surface. Peut-être, comme l’indique Forbes France, parce qu’internet est l’outil parfait pour favoriser la prolifération de la désinformation et les théories du complot.

https://www.slate.fr

Les États-Unis n’ont pas la cote au sein de la population mondiale


Sommes-nous surpris de la baisse de popularité des États-Unis, sauf dans certains pays. Même le Canada, a baissé son estime envers son voisin Américain, depuis que Donald Trump est Président des États-Unis. Alors que la Russie est montée dans les sondages bien avance sur les États-Unis
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Les États-Unis n’ont pas la cote au sein de la population mondiale

 

Le nombre de répondants canadiens qui approuvent la... (ARCHIVES REUTERS)

Le nombre de répondants canadiens qui approuvent la performance de l’administration américaine a chuté de 40 points de pourcentage en un an.

ARCHIVES REUTERS

 

ALEXANDER PANETTA
La Presse Canadienne
Washington

Un nouveau sondage réalisé à l’échelle mondiale révèle une chute spectaculaire dans l’appréciation du leadership américain sous Donald Trump – et une baisse particulièrement brutale au Canada.

Dans ce sondage annuel, la firme Gallup a demandé aux répondants de 134 pays ce qu’ils pensaient du leadership des États-Unis, de la Chine, de l’Allemagne et de la Russie.

Les États-Unis atteignent cette année un creux historique depuis 2007, alors que seulement 30% des répondants dans le monde approuvent le leadership américain, une baisse de 18 points de pourcentage par rapport à l’année précédente. Depuis 2009, la «cote» des États-Unis se situait toujours entre 40 et 50%.

Les États-Unis, qui étaient à 48% l’an dernier, descendent loin derrière l’Allemagne (41), le nouveau numéro un mondial, et se classent maintenant entre la Chine et la Russie.

Le sondage révèle une baisse d’appuis généralisée sur le continent américain, mais la grogne est surtout marquée au Canada. Le nombre de répondants canadiens qui approuvent la performance de l’administration américaine a chuté de 40 points de pourcentage en un an; le Panama et le Costa Rica suivent avec une chute d’une trentaine de points, et le Mexique avec une baisse de 28 points.

Les opinions sont encore plus défavorables dans certains pays, notamment au Portugal, qui a enregistré une baisse de 51 points en un an.

Par contre, les États-Unis connaissent un regain d’appuis de 10 points et plus dans d’autres pays: le Liberia (+17), la Macédoine (+15), le Bélarus (+11) et Israël (+14). Le sondage a été mené avant l’annonce du président Trump de déménager l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem.

La firme américaine Gallup a questionné 1000 personnes soit en personne, soit au téléphone, dans les 134 pays sondés; la marge d’erreur varie de deux à cinq points de pourcentage, selon les pays.

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Armes à feu: les Américains toujours divisés


Je ne sais pas comment de tueries, de morts qu’il faudrait pour que les Américains admettent que les armes feu sont dangereux pour la population en générale. À chaque fois c’est la même histoire, les opinions sont partagées, mais le résultat reste le même surtout avec un Président qui fait partie d’une organisation qui défend le port d’armes à feu
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Armes à feu: les Américains toujours divisés

 

Par Lisa Marie Pane et Emily Swanson

ATLANTA — La fusillade tragique qui a coûté la vie à des dizaines de personnes à Las Vegas ne semble pas avoir changé l’opinion des Américains sur le contrôle des armes à feu, selon un sondage de l’Associated Press.

Le pays est encore fortement divisé sur le rapport entre un contrôle accru des armes à feu et la diminution de tueries de masse, selon une enquête menée conjointement par l’Associated Press et le NORC Center for Public Affairs Research. Une majorité d’Américains se disent toutefois en faveur d’un resserrement des réglementations, selon ces données.

Plus de 1050 adultes américains ont répondu au sondage, qui a une marge d’erreur de plus ou moins quatre points de pourcentage. Ils ont été interrogés entre le 12 et le 16 octobre, près de deux semaines après que Stephen Paddock eut ouvert le feu dans un festival de musique à Las Vegas, faisant 58 morts et plus de 540 blessés. Il s’agit de la tuerie de masse la plus meurtrière de l’histoire moderne des États-Unis.

Selon ce dernier sondage, 61 pour cent des répondants croient que les lois réglementant les armes à feu devraient être plus sévères, alors que 27 pour cent voudraient qu’elles restent comme elles sont en ce moment. En revanche, 11 pour cent des répondants souhaiteraient que les règles sur les armes deviennent moins strictes.

Ce sont des résultats semblables à ceux d’une enquête datant de juillet 2016.

Cette division est encore plus visible en tenant compte de l’appartenance politique des répondants. Près de 9 démocrates sur 10 plaident pour des réglementations plus strictes sur les armes à feu. Chez les républicains, seulement le tiers d’entre eux revendiquent des lois plus sévères.

Environ la moitié des répondants croient que le fait d’ajouter des obstacles pour acheter des armes à feu pourrait réduire le nombre de tueries, et le nombre de fusillades accidentelles.

Le sondage démontre cependant qu’une majorité d’Américains désapprouvent la gestion du dossier par le président Donald Trump. M. Trump est le premier président depuis Ronald Reagan à participer à la rencontre annuelle de la National Rifle Association, une organisation qui défend ardemment le port d’armes à feu aux États-Unis.

Environ 59 pour cent des répondants ont dit désapprouver le travail du président, alors que 40 pour cent l’appuient. Environ la moitié des Américains âgés de 60 ans et plus ont témoigné leur soutien au président, contre moins de 40 pour cent pour les répondants âgés de moins de 60 ans.

Encore une fois, des démarcations partisanes apparaissent: 79 pour cent des répondants qui s’identifient au Parti républicain appuient M. Trump, alors que 89 pour cent des démocrates critiquent son approche. Chez les indépendants, 61 pour cent désapprouvent le président sur cet enjeu.

http://journalmetro.com

Le Saviez-Vous ► 19 plaintes authentiques montrant que ces voyageurs n’ont pas inventé le fil à couper le beurre


Un sondage a été fait pour connaitre les impressions des voyageurs. Des plaintes assez insolites. Certaines sont vraiment farfelues
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19 plaintes authentiques montrant que ces voyageurs n’ont pas inventé le fil à couper le beurre

 

Selon Wanderlust, Thomas Cook Group a envoyé un sondage afin de s’assurer de la qualité de leurs voyages. Cet article est basé sur 19 de ces réponses, qui sont de véritables plaintes de voyageurs qui viennent de rentrer de leur voyage.


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1. « Au cours de mon voyage à Goa en Inde, j’ai été dégoûté quand j’ai découvert que presque tous les restaurants servent du curry. Je n’aime pas la nourriture épicée. »

2. « Mon fiancé et moi avons réservé une chambre avec deux lits, mais nous avons eu une chambre avec un lit double. Je vous tiens maintenant responsable du fait que je sois enceinte, ce qui ne serait pas arrivé si nous avions eu la chambre que nous avions réservé. »

3. « Nous sommes allés en vacances en Espagne et avons eu des problèmes avec les chauffeurs de taxi parce que tous étaient espagnols. »

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4. « Nous avions réservé une excursion dans un parc aquatique, mais personne ne nous a dit que nous devions apporter nos propres maillots de bain et serviettes. Nous avons supposé que c’était inclus dans le prix. »

5. « La plage avait trop de sable. Nous avons dû tout laver quand nous sommes revenus dans la chambre. »

6. « On n’a pas aimé le sable, il n’était pas comme dans la brochure. Le sable avait l’air blanc dessus. En réalité, il était un peu plus jaune. »

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7. « Les magasins de Puerto Vallarta sont fermés l’après-midi. J’ai souvent eu besoin d’acheter des choses durant l’heure de la «siesta» – cela devrait être interdit. »

8. « Personne ne nous a dit qu’il y avait des poissons dans l’eau. Nos enfants ont eu peur. »

9. « Bien qu’il était écrit dans la brochure que la cuisine était entièrement équipée, il n’y avait pas de coupe-œuf. »

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10. « Je pense que vous devriez expliquer dans la brochure que les supermarchés locaux ne vendent pas de vrais gâteaux tels que le pain d’épice. Que doit-on manger maintenant avec le café de l’après-midi? »

11. « Les routes étaient tellement bosselées que nous ne pouvions pas lire le guide sur le chemin de l’hôtel. Cela signifie que nous ne savons pas ce qui a rendu notre séjour agréable. »

12. « Il nous a fallu neuf heures pour aller de la Jamaïque à l’Angleterre. Pour les Américains, il leur a fallu trois heures pour rentrer chez eux. C’est injuste. »

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13. « J’ai comparé notre appartement d’une chambre avec l’appartement et la chambre de nos amis et la nôtre était significativement plus petite. »

14. « Dans la brochure il était précisé « Aucun salon de coiffure à l’hôtel. » Il y a trois apprentis coiffeurs, est-il correct de rester à l’hôtel? »

15. « Il y avait tellement d’espagnols là-bas. Le réceptionniste parlait espagnol et la nourriture était espagnole. Personne ne nous a informé qu’il y aurait tant d’étrangers là-bas. »

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16. « Nous avons eu à faire la queue dehors pour aller dans le bateau, et il n’y avait pas d’air conditionné. »

17. « Il est de votre devoir en tant que voyagiste d’informer les clients bruyants ou indisciplinés avant le voyage! »

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18. « J’a été piqué par un moustique. Il n’y avait rien sur les moustiques dans la brochure. »

19. « Il ne devrait pas être autorisé à bronzer seins nus sur la plage. C’était très distrayant pour mon mari qui voulait juste se relaxer. »

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Heure avancée: une incidence sur le quotidien de la plupart des Québécois


La nuit du 11 ou 12 mars, nous serons à l’heure d’été au Québec. Une perte de sommeil d’heure si on ne se prépare pas à l’avance. Je crois aussi que c’est difficile quand la température à cette époque de l’année est changeante : pluie, neige, verglas, froid, douceur etc… peuvent aussi être des facteurs importants
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Heure avancée: une incidence sur le quotidien de la plupart des Québécois

 

Le passage à l'heure avancée, prévu dans la nuit de samedi à dimanche,... (Photothèque La Presse)

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

 

La Presse Canadienne

Le passage à l’heure avancée, prévu dans la nuit de samedi à dimanche, perturbera la plupart des Québécois, révèle un sondage Léger.

À la suite du changement d’heure printanier, plus d’un Québécois sur cinq constate une baisse de son niveau d’énergie, tandis que 13 % de la population se juge plus irritable.

Quelque 35 % des répondants disent également éprouver une plus grande difficulté à se tirer hors du lit.

Après le 12 mars, 58 % des Québécois requerront d’une journée à une semaine entière pour s’adapter au dérèglement de l’horloge. Chez les membres des familles, cette proportion grimpera à 72 %.

Plus de la moitié des parents profiteraient d’ailleurs de cette heure perdue pour rattraper du sommeil.

Le sondage, dévoilé lundi, a été mené en ligne pour le compte de la Boulangerie Canada Bread du 6 au 10 février 2017, auprès d’un échantillon de 1000 adultes. La marge d’erreur est de plus ou moins 3,1 %, 19 fois sur 20.

http://www.lapresse.ca/

Un chat en tête des sondages dans une ville de Sibérie avant une élection


Je devrais proposer mon chat Fripouille pour les prochaines élections provinciales, hummm, c’est très tentant ! Quand un chat, même pour un sondage en ligne a autant de vote, cela montre l’insatisfaction des électeurs. Et contre Poutine, Barsik le chat, peut-il être encore être le premier favori ? Je crois que oui !
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Un chat en tête des sondages dans une ville de Sibérie avant une élection

 

Un chat nommé Barsik est devenu une célébrité locale à Barnaoul, une ville de Sibérie, en devançant largement ses concurrents humains pour la magistrature de la ville lors d’un sondage en ligne.

Les scandales de corruption à répétition qui touchent cette ville de 650.000 habitants ont probablement aidé Barsik, un Scottish Fold de 18 mois, à obtenir 91% des intentions de vote dans un sondage du site d’informations local Altaï Online.

Environ 5.400 personnes ont répondu à ce sondage posté début décembre sur le réseau social russe Vkontakte.

« Les gens ne savent plus en qui croire, et ils en sont venus à la conclusion qu’on ne peut plus avoir confiance en les autorités », a expliqué à l’AFP Ievguéni Kouznetsov, un retraité de Barnaoul.

L’ancien maire de Barnaoul, Igor Savintsev, a démissionné en août après avoir été accusé d’abus de pouvoir. Maire depuis 2010, il aurait vendu des terrains municipaux à des entreprises dirigées par des membres de sa famille pour des coûts bien inférieurs à ceux du marché, provoquant un manque à gagner de plus de 11 millions de roubles (143.000 euros) pour les caisses de la ville.

Son fils Maxime est pour sa part en détention dans l’attente de son procès pour fraude et escroquerie, après avoir été extradé de Thaïlande en février.

L’élection du maire aura lieu le 22 décembre, à l’occasion de la prochaine réunion du conseil municipal. Le chef de l’administration régionale, Sergueï Douguine, est l’autre favori des sondages parmi les six candidats officiels.

« Les gens pensent que ceux qui sont en poste ne savent pas faire face à leurs responsabilités (…) Les gens doutent de leurs compétences et ont raison de le faire », a déclaré l’un des organisateurs du sondage, préférant garder l’anonymat.

Une campagne de financement participatif a depuis été lancée pour permettre à Barsik d’avoir ses propres affiches électorales dans le centre-ville de Barnaoul.

Altaï Online espère également que Barsik, avec l’aide d’un journaliste, pourra poser une question au président Vladimir Poutine lors de sa conférence de presse annuelle prévue jeudi.

« Je suis sûr que cela attirera l’attention et permettra de résoudre nos problèmes locaux et d’attirer les investisseurs », a écrit l’Altaï Online mardi, affirmant citer… Barsik.

http://www.lepoint.fr/

Quand le New York Times demande à ses lecteurs s’ils tueraient Hitler bébé


Tu parles d’une question ! Le monde aurait probablement était autrement, mais on ne sait pas si cela avait été mieux ou pire. On ne sait pas non plus, si Hitler aurait vécu autrement, si cela aurait changer l’histoire. En octobre 1908, il avait été refusé aux beaux-arts, aurait-il pu être un grand peintre au lieu d’un dictateur ?
Nuage

 

Quand le New York Times demande à ses lecteurs s’ils tueraient Hitler bébé

 

La «Lambeth Walk - Nazi Style», 1940.

La «Lambeth Walk – Nazi Style», 1940.

Repéré par Claire Levenson

Le vendredi 23 octobre à 14 heures, le compte twitter du New York Times Magazine a publié les résultats d’un étrange sondage: «Cher lecteur, est-ce que tu tuerais Hitler bébé?»

Nous avons demandé aux lecteurs du @nytmag: Si vous pouviez voyager dans le temps et tuer Hitler bébé, est-ce que vous le feriez?

Pour 42% des lecteurs du quotidien new-yorkais, la réponse est oui, 30% y sont opposés, et il y a 28% d’indécis.

Ce genre de sondage est apparemment une nouvelle habitude du magazine, qui en septembre avait posé cette autre question: «Etes-vous déjà monté sur ces animaux?». On apprenait que 22% des lecteurs du New York Times avaient été sur un éléphant et 5% sur un dauphin.

Mais c’est surtout la question sur Hitler bébé qui a déchaîné la twittosphère, avec plusieurs réponses possibles à cet épineux problème.

En premier lieu, il y a eu l’approche éducative pleine de bonnes intentions: et si on élevait bébé Hitler dans l’amour et la tolérance, peut-être ne deviendrait-il pas un horrible didacteur?

Si on élevait bébé Hitler dans un environnement plein d’amour et qu’on lui apprenait la compassion, et que s’il était un bébé cruel, on lui apprenait à se calmer?

D’autres bonnes âmes ont voulu sauver bébé Hitler en l’aidant à devenir un artiste accompli.

Non, il ne faut pas tuer bébé Hitler. Juste faire en sorte qu’il soit accepté dans une école d’art avant qu’il ne devienne triste et énervé.

Certains se sont carrément lancés dans une analyse marxiste de la situation:

La question n’est pas de savoir si il faut tuer Hitler bébé. Le fascisme ne naît pas des caprices d’un individu fou. Il vient des crises du Capital.

Ou encore dans une réflexion sur l’impact du Traité de Versailles:

Et si au lieu de tuer Hitler bébé, vous utilisiez cette machine à remonter le temps pour réécrire le Traité de Versailles. Juste une suggestion.

Il y a aussi ceux qui en ont profité pour faire une référence à la déclaration récente de Benjamin Netanyahu qui a dit que c’est le grand mufti de Jérusalem qui avait suggéré l’extermination des juifs à Hitler.

Et si on tuait plutôt le mufti bébé?

Enfin, d’autres n’avaient absolument aucun problème avec l’idée de tuer Hitler bébé:

Meilleure question pour le sondage: COMMENT est-ce que vous tueriez Hitler bébé?

Quelques heures après ce déchaînement sur Twitter, le compte du magazine du New York Times a fait une simple réponse de trois lettres: lol

http://www.slate.fr/

La Défense investit 14 000 $ pour un sondage sur les superhéros


Je peux concevoir que certaines croyances sont importantes sur le point psychologique, par exemple en médecine, mais de là que l’armée en face un sondage sur des super-héros, pour être en mesure de parler au monde … C’est quoi l’attrape? Est-ce qu’un soldat va devenir un Superman lors d’urgence national ?
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La Défense investit 14 000 $ pour un sondage sur les super héros

 

La façade du ministère de la Défense à Ottawa Photo :  PC/Adrian Wyld

Des chercheurs de la Défense ont dépensé près de 14 000 $ pour un sondage demandant si des super héros pouvaient sauter par-dessus des gratte-ciel.

L’étude réalisée pour la division de la recherche de la Défense nationale a également interrogé 150 personnes en ligne pour savoir si les superhéros pouvaient voler dans les airs, voir à travers les murs, entendre des murmures à des kilomètres de distance, devenir invisibles et traverser les murailles.

Ces questions quelque peu surprenantes découlent d’une brève étude menée en octobre pour aider les Forces canadiennes « à gagner les coeurs et les esprits » des populations locales lorsqu’elles sont déployées à l’étranger, comme récemment en Afghanistan.

Certaines questions étaient conçues pour déterminer les attentes de la population par rapport aux « catégories surnaturelles qui sont si importantes dans la culture populaire et dans la religion ».

Au dire du porte-parole de la Défense nationale Noel Paine, le projet d’étude comprenait un paiement de 13 750 $ pour de la collecte de données effectuée par l’Université de Toronto.

« Ces travaux permettront non seulement aux sociologues de mieux comprendre la dissémination des concepts surnaturels et religieux, mais donneront également aux Forces canadiennes la possibilité […] de concevoir des messages qui seront plus efficaces auprès du public cible. »— Extrait du résumé de la recherche

L’armée ne dispose « d’aucune capacité de modélisation ou d’analyse pour comprendre comment ses actions auront un impact sur l’état psychologique des individus ».

L’étude, l’une de plusieurs prévues sur ce sujet, comprenait trois expériences proposant une série d’affirmations philosophiques, à propos desquelles les participants indiquaient leur accord selon une échelle.

« Les Forces canadiennes doivent être en mesure d’informer et de rassurer les populations locales », a indiqué la porte-parole de la Défense Myriam Bower dans un courriel, lorsqu’interrogée à savoir pourquoi cette recherche avait été effectuée à une époque de compressions budgétaires.

« Cela ne peut être accompli sans comprendre la façon dont les gens perçoivent, comprennent et se souviennent de divers messages. »

La prochaine étape de cette recherche, dit-on, consiste à examiner les messages fréquents déjà utilisés par l’armée canadienne pour communiquer avec les populations locales, et comment celles-ci les comprennent.

http://ici.radio-canada.ca