Manger un aliment avec… son emballage, le nouveau défi dangereux des ados


Un autre défi des plus stupides est lancé dans les réseaux sociaux dont snapchat. Manger des aliments avec la pelure qui souvent est coriace et difficile a mâcher ou encore avec le plastique qui est aussi dangereux pour la santé
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Manger un aliment avec… son emballage, le nouveau défi dangereux des ados

 

© Twitter/@Hostess_snacks.

Le nouveau challenge a été lancé aux États-Unis sur les réseaux sociaux comme Snapchat.

Ingérer un aliment avec son emballage, tel est le nouveau défi dangereux des ados qui porte le nom de « Shell on Challenge ». 

Lancé aux États-Unis sur les réseaux sociaux comme Snapchat, le jeu consistait dans un premier temps à consommer des fruits avec leur peau. Mais certains jeunes sont allés plus loin en avalant des aliments avec leur emaballage plastique face caméra.

Des risques pour la santé

Le phénomène qui se répand inquiète. Interrogé par le journal américain New York Post, le médecin Max Plitt met en garde:

« Manger du plastique peut être dangereux. Le bisphénol A est connu pour influencer les hormones. Les substances chimiques contenues dans le PVC, comme le chlorure de vinyle, ont été associées à des cancers. »

Si ingérer des pelures de fruit ne consiste pas en soi un danger pour la santé, le risque d’asphyxie est grand.

« Encore une fois, tout ça n’est tout simplement pas censé être digéré, cela dépend de la taille de la bouchée qu’ils prennent », a précisé  le docteur Danelle Stabel à la chaîne de télé américaine WXYZ Detroit.

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Géolocalisation: vous êtes suivis


On s’imagine que le Big Brother comme dans le livre « 1999 », serait des caméras cachés partout. En fait, c’est pire ! Les téléphones intelligents eux peuvent tout savoir de nous. Ou nous allons, les commerces visités, etc .. que ce soit Google, Facebook, Amazon et autres, ainsi que des applications tels que jeux, lampe de poche etc, demande si nous acceptons les conditions, il est plus facile d’accepter que de tout lire. En plus, nos données sont partagées sans que l’on sache ni pourquoi, ni pour qui… Sans oublier bien sûr, tous les appareils connectés dans la maison
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Géolocalisation: vous êtes suivis

 

Votre téléphone en sait plus long sur vous... (Capture d'écran sur iOS 10.3.3)

Votre téléphone en sait plus long sur vous que vous ne le croyez.

CAPTURE D’ÉCRAN SUR IOS 10.3.3

ALEXANDRE VIGNEAULT
La Presse

On n’est jamais vraiment seul quand on utilise son téléphone intelligent. Plusieurs applications ou fonctionnalités de nos appareils récoltent quantité d’information à notre sujet, dont le lieu où on se trouve et là où on est allé. Ces données peuvent être stockées puis revendues, sans qu’on sache à qui ni pourquoi. Faut-il s’en inquiéter ?

BIG BROTHER DANS VOTRE POCHE

Pourquoi et pour qui nos appareils mobiles nous surveillent-ils ?

Snapchat, application populaire auprès des ados et des jeunes adultes, a ajouté une fonctionnalité à son service de messagerie un peu avant l’été : une carte qui montre où se trouvent leurs amis.

« J’ai des amis qui l’utilisent tous les jours : s’ils sont au travail, je le sais ; s’ils sont à l’école, je le sais », raconte Léa Roy-Choquette, 19 ans.

Ses amis qui apparaissent sur la carte ont, en principe, choisi de montrer où ils se trouvent sur la mappemonde. Léa, elle, refuse.

« Je ne trouve pas ça très sécuritaire », ajoute-t-elle.

Sur Snapchat, elle a de vrais amis, mais aussi de simples connaissances.

« Je ne veux pas que tous ces gens suivent mes déplacements », tranche la jeune femme.

Snapmap est loin d’être la seule application à savoir où l’on se trouve. Une étude à laquelle a participé la Commission nationale de l’informatique et des libertés de France a montré que 30 % des applications mobiles récoltent les données de géolocalisation.

« Il y a plein d’applications mobiles qui collectent ces données même si elles n’en ont pas besoin pour fonctionner. » – Sébastien Gambs, spécialiste de la vie privée et professeur à l’UQAM

Que GoogleMaps sache où l’on se trouve tombe sous le sens : c’est un GPS. Qu’une application de lampe de poche emmagasine cette information, c’est autre chose. Surtout sans qu’on en ait connaissance. Et sans qu’on sache vraiment ce que l’entreprise qui l’a conçue fait avec ce renseignement hautement personnel.

UN RISQUE POUR LA VIE PRIVÉE

Sébastien Gambs s’inquiète de tout ce qu’on peut apprendre au sujet d’un individu quand on a accès à ses données de déplacement.

Qu’est-ce qu’on peut déduire des mouvements d’une personne ?

« Où elle habite, où elle travaille, qui sont ses meilleurs amis, si elle fréquente une clinique spécialisée dans telle ou telle maladie, si elle fréquente régulièrement une mosquée ou une église, énumère-t-il. Même le restaurant où l’on va régulièrement peut donner une indication sur notre salaire. »

« On génère des traces qui, souvent, vont rester anodines, mais qui pourraient avoir des conséquences importantes. » – Pierre Trudel, professeur de droit à l’Université de Montréal

L’utilisation des données de géolocalisation peut permettre de retracer une personne disparue, bien sûr. Elle ouvre aussi la porte à des abus, selon lui. En matière de surveillance par les autorités, notamment. Big Brother n’a plus besoin de caméra, il est déjà dans notre poche.

« Ce sont des outils qui facilitent – et de beaucoup – la surveillance, dit encore Pierre Trudel, au sujet des appareils mobiles et des applications conçues pour eux. Quelqu’un qui veut les utiliser bénéficie d’une technologie sans précédent dans l’histoire humaine. »

Nos historiques de navigation, nos recherches sur Google, nos déplacements, nos habitudes d’achat ou encore nos préférences sur Facebook font d’ailleurs l’objet d’un commerce lucratif… dont on sait très peu de choses.

UN MARCHÉ OPAQUE

« Les données sont rapidement en train de devenir le pétrole du XXIe siècle, une ressource essentielle pour l’économie planétaire », a écrit Nick Srnicek.

Ce maître de conférence en économie numérique au King’s College de Londres a publié, le 30 août dernier, un texte dans le quotidien The Guardian où il s’inquiète du pouvoir grandissant des géants comme Google, Facebook et Amazon. Et des masses de données qu’ils récoltent sur leurs utilisateurs.

« L’une des choses qui font que ces données ont beaucoup de valeur, c’est justement l’information de géolocalisation, précise Marc-André Léger, spécialiste en sécurité de l’information et chargé de cours à l’Université de Sherbrooke. On sait qui vous êtes, où vous êtes, ce que vous faites, ce que vous achetez, ce que vous pensez acheter, ce que vos amis ont acheté. »

« Tout ça, combiné avec les capacités grandissantes de l’intelligence artificielle, fait qu’on est capable de vous connaître mieux que vous-même. » – Marc-André Léger, spécialiste en sécurité de l’information et chargé de cours à l’Université de Sherbrooke

Qui vend quel type de données ? Qui les achète ? Difficile de le savoir précisément, mais elles servent assurément à faire du marketing ciblé.

Ce commerce est « relativement opaque », dit Sébastien Gambs.

Ce qui ne signifie pas qu’il est illicite. Comme utilisateur, en acceptant les conditions d’utilisation d’un appareil ou d’une application, on donne souvent le feu vert à la transmission ou à la revente de certaines informations personnelles à d’autres entreprises.

CONSENTEMENT FICTIF

On ne mesure toutefois pas forcément la portée de la permission qu’on accorde.

« Ce consentement se confond avec l’usage, dit Pierre Trudel. Si on veut utiliser une app, on doit consentir. »

Le Commissariat à la protection de la vie privée au Canada parle même de consentement « fictif ». Bref, on dit oui à tout parce que c’est rapide et pratique, sans savoir à qui et à quoi on s’expose.

« Si les gouvernements arrêtaient d’avoir peur d’intervenir aussitôt que ça touche à internet, ils pourraient au minimum exiger que, par défaut, les applications ne génèrent pas de données de localisation. Ça devrait être l’individu qui les met en fonction. » – Pierre Trudel, professeur de droit à l’Université de Montréal

Marc-André Léger estime aussi qu’on devrait avoir une « possibilité plus nette de dire : non, je ne veux pas ».

Pierre Trudel ne croit pas qu’il faille tomber dans la technophobie, car ces outils technologiques peuvent être utiles. Or, il juge que les utilisateurs doivent mieux s’informer et que les fabricants d’appareils mobiles et d’outils numériques doivent faire preuve d’une plus grande transparence. 

« Il faut être bien au fait des risques et des enjeux pour soi et les autres », résume-t-il.

Si on s’inquiète aujourd’hui des données transmises par nos téléphones intelligents, il faut aussi songer que les voitures dernier cri peuvent déjà en dire beaucoup sur nos allées et venues et que, sous peu, un large éventail d’appareils connectés pourront en faire autant. Ce qui incite Pierre Trudel à faire cette prédiction : « On n’a encore rien vu. »

DES DONNÉES ANONYMES ?

Google assure que les renseignements qu’il partage avec des tiers ne permettent pas d’identifier « ouvertement » ses utilisateurs. Apple assure que les données de localisation rassemblées ne nous identifient pas « personnellement ».

Bref, ces deux géants se veulent rassurants : on peut dormir tranquille, les données qu’ils se réservent le droit de transmettre seraient anonymes. Cette promesse est, avec plus ou moins de nuance, largement répandue dans le monde numérique.

PROMESSE TENUE ?

Marc-André Léger, spécialiste en sécurité de l’information et chargé de cours à l’Université de Sherbrooke, estime que cette promesse d’anonymat ne veut pas dire grand-chose. D’abord, on n’est jamais vraiment anonyme sur l’internet, dit-il. Ensuite, les entreprises qui récoltent, classent, échangent ou utilisent des informations personnelles « sont en mesure de construire des images complètes à partir de données incomplètes », selon lui. Ainsi, comme Sébastien Gambs, il croit que des données prétendument anonymes peuvent très bien être « dé-anonymisées » et éventuellement reliées à des individus. 

CHOC EN ALLEMAGNE

En se faisant passer pour une entreprise de marketing, une journaliste d’enquête à l’emploi d’un diffuseur public et un ingénieur informatique allemands ont eu accès à l’historique de navigation détaillé de 3 millions de leurs concitoyens. Gratuitement. Ils sont parvenus à lever l’anonymat de 100 000 d’entre eux à l’aide d’un identifiant lié à leur compte Twitter. Ils ont ensuite retracé plusieurs membres du gouvernement et même eu accès à de l’information d’ordre médical sur l’un d’entre eux. Ils ont aussi mis au jour les préférences d’un juge en matière de pornographie… Valerie Wilms, une politicienne touchée par ce dévoilement, s’est inquiétée du fait que l’accès à ce genre d’information privée puisse rendre les élus vulnérables face au chantage.

GÉOLOCALISATION: QUE FAIRE ?Puisqu’on ne sait pas exactement qui récolte nos données personnelles ni dans quelles mains elles peuvent aboutir, mieux vaut choisir soi-même à qui on dévoile notre emplacement ou pas. Conseils et modes d’emploi.

QUI DEMANDE ACCÈS ? MétéoMédia, GoogleMaps, Communauto, Photos, Aéroplan, Siri, Safari, Twitter, Transit, Tangerine, Facebook et quantité d’autres applications conçues pour les iPhone ou les téléphones Android sont susceptibles de demander l’accès aux données de géolocalisation. Des jeux et des fonctionnalités de nos téléphones (Lieux fréquents sur iPhone) enregistrent aussi cette donnée.

FAITES LE MÉNAGE Avant de revoir tous vos réglages, éliminez les applications dont vous n’avez plus besoin pour ne garder que celles que vous utilisez couramment. Refaites cet exercice de manière périodique.

CONFIGUREZ VOS APPLICATIONS Plusieurs applications demandent explicitement à avoir accès à nos données de géolocalisation. Il n’est toutefois pas nécessaire de leur accorder cette permission sans aucune restriction et elles fonctionneront quand même. Puisqu’il n’y a pas de bouton universel, il faut y aller au cas par cas.

http://www.lapresse.ca/

Grande-Bretagne : prison à vie pour deux adolescentes de 15 ans coupables d’un meurtre barbare


Qu’est-ce qui peut bien se passer dans la tête d’enfant ou d’adolescent pour en venir a tuer, torturer tout en faisant des selfies?
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Grande-Bretagne : prison à vie pour deux adolescentes de 15 ans coupables d’un meurtre barbare

 

Deux adolescentes britanniques de 15 ans, reconnues coupables d’avoir sauvagement assassiné une femme alcoolique de 39 ans au terme d’un supplice de cinq heures, ont été condamnées jeudi à la prison à vie, avec une peine de sûreté de 15 ans.

Les deux jeunes filles, dont les noms n’ont pas été rendus publics, étaient âgées de 13 et 14 ans lorsqu’elles ont attaqué Angela Wrightson à son domicile de Hartlepool, au nord-est de l’Angleterre, en décembre 2014.

Elles ont tué leur victime, surnommée « Alco Ange » par les voisins, en utilisant une pelle, une télévision, une table basse ou encore un bâton clouté de vis. La victime présentait plus de 100 blessures, dont 80 au visage.

Pendant le long calvaire d’Angela Wrightson, les adolescentes ont posé, hilares, pour des selfies qu’elles ont ensuite partagés sur les réseaux sociaux.

« Dans notre société, il est difficile d’imaginer que deux filles si jeunes soient capables d’une telle violence », a déclaré Gerry Wareham, des services du procureur de la couronne (CPS), à l’issue du procès devant le tribunal de Leeds, en qualifiant l’attaque de « barbare ».

« Étant donné la gravité de l’attaque infligée à mademoiselle Wrightson, on aurait pu s’attendre à ce que les filles expriment des remords après sa mort. Au contraire, elles ont rigolé et souri tout en posant pour un selfie » posté sur Snapchat, a-t-il détaillé.

Les deux adolescentes s’étaient rendues à plusieurs reprises chez Mlle Wrightson, pour se fournir auprès d’elle en alcool et en cigarettes.

Les deux accusées ne sont pas les plus jeunes à avoir écopé de la perpétuité en Angleterre. En 1993, deux garçons âgés de seulement dix ans avaient été condamnés à la prison à vie pour le meurtre de James Bulger, un enfant de deux ans, tué dans des circonstances atroces à Liverpool, dans le nord-ouest de l’Angleterre.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Des aide-soignants postent des photos dégradantes de patients sur Snapchat


Je suis dégoutée des comportements que peuvent avoir certaines personnes qui travaillent auprès des personnes âgées. Si cela se passe aux États-Unis, on peut penser que cela se fait ailleurs. J’espère que ceux qui ont connaissance de ces humiliations sur des réseaux sociaux et ce même si comme Snapchat, ces photos disparaissent en quelques secondes, qu’ils auront la décence de dénoncer
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Des aide-soignants postent des photos dégradantes de patients sur Snapchat

 

Une aide-soignante rafraîchissant un vieil homme avec un spray dans une maison de retraite au mois de juillet 2013 | REUTERS/Eric Gaillard

Une aide-soignante rafraîchissant un vieil homme avec un spray dans une maison de retraite au mois de juillet 2013 | REUTERS/Eric Gaillard

Repéré par Claire Levenson

Dans des maisons de retraite, certains soignants abusent de patients atteints de démence et postent leurs faits d’armes sur les réseaux sociaux.

Le site d’investigation ProPublica a révélé que, depuis 2012, aux États-Unis, il y a eu plus de trente-cinq cas d’employés de maisons de retraite qui ont posté des photos humiliantes de leurs patients sur les réseaux sociaux. Dans près de la moitié des incidents, le partage se faisait via Snapchat, une application sur laquelle les images disparaissent après dix secondes maximum.

Ces détails ont été obtenus via des rapports d’inspection gouvernementaux, des procès et des articles dans les médias locaux.

Dans la plupart des cas, les patients filmés ou pris en photo sont atteints de démence et sont nus ou partiellement nus. En juin, une assistante infirmière de l’Indiana a été arrêtée pour voyeurisme et a passé trois jours en prison car elle avait envoyé sur Snapchat une photo des fesses d’un de ses patients. Dans la même veine, en février 2014, un employé de maison de retraite dans l’État de Washington a envoyé à un collègue une vidéo d’un patient en train de chanter, pantalon baissé, sur un pot de chambre.

Abus

À plusieurs reprises, des aide-soignants se sont filmés en train de violenter des patients. Dans l’Illinois, une employée a filmé sa collègue en train de frapper le visage d’une femme de 97 ans avec une lanière en nylon. Elles ont toutes deux été condamnées à des amendes et de la prison avec sursis pour coups et blessures.

Il y a aussi des vidéos dans lesquelles les employés s’amusent à mettre en scène et manipuler des patients qui n’ont pas conscience de ce qu’ils font. En février, dans l’Ohio, une aide-soignante avait posté sur Snapchat une vidéo de patients qui répétaient des paroles de hip-hop sur la drogue.

Le site ProPublica explique qu’il y a probablement de nombreux autres incidents similaires dont personne n’entend parler. Ces abus ont en général été connus uniquement parce qu’un des destinataires des messages Snapchat a décidé d’en parler à la direction.

En 2014, en Californie, c’est une employée qui a dénoncé ses collègues qui s’envoyaient, pour rire, des photos de patients nus ou morts.

Elle a expliqué aux inspecteurs qu’elle était«complètement dégoûtée par le manque de respect de ses collègues pour la vie humaine et pour les défunts». 

Cinq employés ont été poursuivis pour abus de personnes âgées et complicité d’abus.

http://www.superecran.com/

Maux de tête aux parents et aux policiers Une application permet le partage de sextos


L’application Snapchat pour les cellulaires est en vogue depuis quelques temps sauf que des jeunes l’emploient pour des photos explicites ( des sextos) pensant qu’ils ne risquent rien vue que le message s’efface au bout de 10 secondes. Mais pourtant, rien n’est moins sur ..
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Maux de tête aux parents et aux policiers

Une application permet le partage de sextos

 

Une application permet le partage de sextos

Crédit photo : gracieuseté

L’application Snapchat a commencé à se répandre dans les écoles d’Ottawa de manière troublante

Par Danielle Bell | Agence QMI

L’application Snapchat, qui est la plus récente nouveauté dans le monde du cellulaire qui crée un engouement chez les adolescents, a commencé à se répandre dans les écoles d’Ottawa de manière troublante.

Cette application de partage de photos pour les appareils mobiles iPhone et Android, permet de faire parvenir des photos qui s’effacent de l’appareil du destinataire 10 secondes après avoir été vues.

Cette application, qui a gagné en popularité, est un outil pour transmettre des textes ou des photographies sexuellement explicites, ce qu’on appelle des sextos. Des policiers en milieu scolaire ont été les premiers à noter son apparition vers le mois d’octobre.

«C’est une façon facile pour les jeunes d’envoyer des sextos», a déclaré la policière en milieu scolaire d’Ottawa, Carrie Archibald. C’est comme un nouveau phénomène. C’est de cette façon qu’ils communiquent, parce qu’ils pensent qu’ils ne peuvent pas se mettre dans le trouble.»

Snapchat n’est que l’une des nombreuses façons pour les jeunes d’utiliser leur cellulaire pour transmettre des images et des messages, dont certains parents pourraient n’avoir aucune idée, a indiqué la police.

«Ils ne savent vraiment pas que leur enfant a quatre ou cinq moyens pour rejoindre leurs amis, a déclaré la policière Archibald. Il ne s’agit plus de Facebook.»

La police souhaite maintenant accroître la vigilance des parents, tout en encourageant la discussion avec leurs enfants.

L’application Snapchat efface la photo, ce qui rend difficile pour la police de la retracer, mais cela ne veut pas dire que quelqu’un ne fera pas une capture d’écran de celle-ci, pour ensuite la diffuser.

La police du New Jersey fait d’ailleurs enquête sur un scandale concernant la diffusion de sextos par l’application Snapchat, qui pourrait mener à des accusations de pornographie juvénile.

http://tvanouvelles.ca