Des chiens de thérapie prêtent patte forte aux familles en deuil


Les chiens de thérapies sont de plus en plus reconnus et c’est une bonne chose à mon avis. Les moments les plus difficiles à vivre peuvent être apaisés avec un chien formé pour l’occasion. C’est ce qu’à compris des salons funéraires aux États-Unis
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Des chiens de thérapie prêtent patte forte aux familles en deuil

 

bouvier bernois

Parce que le deuil n’est pas qu’une affaire d’Homme, des chiens prêtent pelage et pattes pour apporter du réconfort aux familles de personnes décédées…

Magic est un Chien d’eau portugais doté d’un talent particulier pour faire sourire les gens. Véritable concentré de douceur et d’affection, ce brave toutou au poil noir a donc tout naturellement trouvé sa voie en tant que chien de thérapie dans un salon funéraire, pour réconforter les personnes en deuil.  

« Il fait sourire les gens même quand ils n’en ont pas envie », raconte avec amusement Ross DeJohn, du salon funéraire DeJohn Funeral Homes dans l’Ohio (États-Unis).

Magic, adopté il y a quelques années après avoir été un reproducteur dans un élevage, a reçu une formation spéciale de chien de thérapie et aide à présent à réconforter les clients de ses maîtres.

Les chiens de thérapie, un métier en expansion ?

 

« C’est un peu la star du salon funéraire », explique Ross DeJohn. « Les gens l’adorent ».

Et Magic n’est pas le seul à rencontrer un tel succès auprès des clients de son maître. Les chiens de thérapie sont de plus en plus présents aux États-Unis, pour aider leurs amis les humains dans toutes sortes de situations difficiles. 

« Où que vous alliez, où il y a de la douleur, où il y a de la peine, il y a aussi des chiens de thérapie », raconte Devra Fry, propriétaire du salon funéraire Fry Funeral Home, dans l’Iowa.

C’est avec ce constat à l’esprit qu’elle a pensé qu’un chien de thérapie avait tout à fait sa place dans son quotidien, auprès des familles en deuil. Et c’est ainsi que Gurt, une femelle Bouvier Bernois âgée d’aujourd’hui 2 ans, a été adoptée et formée pour apporter son soutien.

© Funerlafuturist.com

Le sixième sens canin

Gurt, tout comme Magic, semble dotée d’une sensibilité particulière lui permettant de savoir quand quelqu’un va mal, pour mieux aller le réconforter. Et comment ne pas craquer devant une adorable boule de poils plongeant ses grands yeux brillants dans votre regard ? La présence des chiens de thérapie rend dès lors la plupart des démarches funéraires plus faciles et moins douloureuses pour les clients.

« C’est un moyen de relâcher la pression », explique Roberta Knauf, la formatrice de Tara, une femelle Labrador et de Willow, une croisée Caniche. « C’est un effet calmant », continue-t-elle, avant de raconter la belle rencontre entre Tara et une petite fille venant de perdre son père.

Cette dernière avait trouvé la force d’aller voir le cercueil après avoir fait un long câlin avec la chienne, en enfouissant le visage dans son pelage.

Ce simple geste illustre à quel point la présence d’un chien peut être réconfortante dans les moments les plus durs. Il justifie à lui seul la présence de ces chiens de thérapie et montre combien leur rôle est important auprès des humains, dont ils sont toujours les meilleurs amis.

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Le Saviez-Vous ► 10 anecdotes pour mieux connaître les requins


Les requins inspirent la peur et pour profiter de la plage, beaucoup aimerait les voir disparaitre. Pourtant, ils font partie intégrante de faune marine.
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10 anecdotes pour mieux connaître les requins

 

Il existe plus de 400 espèces de requins décrites à ce jour. © Discovery Channel.

Il existe plus de 400 espèces de requins décrites à ce jour. © Discovery Channel.

Par Valentine Delattre

Savez-vous que les requins ont un sixième sens ? Qu’ils sont plus vieux que les dinosaures ? Sciences et Avenir vous propose dix faits pour mieux connaître ces remarquables prédateurs marins.

1. Il y a 47 fois plus de chances d’être foudroyé que d’être attaqué par un requin : une chance sur 80.000 contre une chance sur 3.750.000, d’après l’International Wildlife Museum de Tucson, aux États-Unis.

2. Lorsqu’un requin meurt, le sel de l’eau dissout son squelette : seules les dents perdurent et traversent les âges. En effet, le squelette d’un requin est entièrement composé de cartilage, à l’instar de la raie – ils appartiennent tous deux au groupe des Élasmobranches, cousins des poissons osseux.

3. Il existe plus de 400 espèces de requins recensées dans le monde, du requin pygmée Etmopterus perryi qui mesure jusqu’à 20 cm de long, au requin-baleine (Rhincodon typus, 10 mètres en moyenne).

4. Les premiers fossiles de requins datent de 420 millions d’années avant notre ère (période du Dévonien) : ils sont antérieurs aux dinosaures.

5. Outre les océans, les requins-bouledogues (Carcharhinus leucas) fréquentent aussi les eaux douces et saumâtres. Certains ont déjà été repérés dans des baies, des lagunes et des rivières, notamment dans le fleuve Mississipi.

6. Les requins ont un sixième sens : des organes sensoriels capables de détecter des champs électromagnétiques, appelés ampoules de Lorenzini, décrites en 1678 par le scientifique italien éponyme. Ces organes prennent la forme de pores constellant la tête du squale. Ceux-ci abritent une gélatine formée d’une protéine (du sulfate de kératane), noyée dans 97 % d’eau. Selon une étude parue en mai 2016 dans Science Advances, ce gel conduit extraordinairement bien l’électricité : sa conductivité atteint 1.8 millisiemens par centimètre, la plus élevée de tout le règne animal ! Les requins utiliseraient ces organes pour s’orienter en fonction du champ magnétique terrestre et pour détecter leurs proies.

7. L’odorat des requins est très développé : ils peuvent détecter une seule goutte de sang à l’autre bout d’une piscine olympique, d’aprèsDiscovery Channel.

8. Les requins conservent de l’urée dans leur corps pour lutter contre la déshydratation. En effet, l’eau a tendance à quitter le milieu le moins salé (le moins concentré en ions) pour rejoindre le milieu le plus salé : c’est l’osmose. Pour contrer ce phénomène naturel, les requins et les raies conservent de l’urée (provenant de l’urine) dans leur sang et leurs tissus, qui en comptent 2 à 2,5 %. Le but : garder une concentration en ions légèrement supérieure à celle de l’eau. Ils régulent les excès de sels grâce à une glande rectale, selon une étude publiée dans Science. Une seconde publication dans Biological Reviews précise que les requins urinent plus fréquemment que tous les poissons connus.

9. En 2015, 98 attaques de requins – dont 6 mortelles – ont été répertoriées dans le monde entier, d’après l’International Shark Attack File de l’université de Floride, aux États-Unis.

10. Chaque année, 100 millions de requins seraient tués pour la pêche commerciale, soit 700.000 tonnes, d’après l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Leur viande est considérée comme un mets de choix dans les contrées asiatiques. Po

ur en savoir plus, voir notre infographie sur la pêche aux requins depuis 1950, ainsi que notre bilan « humains versus requins ».

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Quand les SMS débranchent votre “sixième sens“


Parmi toutes les situations dangereuses quand on conduit une auto, c’est le texto qui gagnent la palme. C’est dans une partie du cortex qu’il y a un court-circuit et qui malheureusement cause des accidents souvent très graves et même mortels
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Quand les SMS débranchent votre “sixième sens“

 

Un des 59 volontaires testés dans un simulateur de conduite. ©Malcolm DcostaRatel

Un des 59 volontaires testés dans un simulateur de conduite. ©Malcolm Dcosta

Par Hervé

Pourquoi taper un texto en conduisant est-il la plus dangereuse des distractions ? Des chercheurs américains ont trouvé la réponse. Elle se niche dans le cortex cingulaire antérieur.

TEST. Quelle différence, pour un conducteur, entre des enfants qui vagissent sur le siège arrière et vous tapent sur le système, un passager qui vous bombarde de questions agaçantes et stressantes, et le fait de taper un texto ? Enorme. En fait, celle qui sépare une situation sûre d’un possible accident de voiture. Selon des chercheurs de l’université de Houston et de l’Institut de transport du Texas, l’usage du téléphone en conduisant induit des risques qui n’ont rien à voir avec d’autres situations potentiellement dangereuses. Pour parvenir à cette conclusion, Ioannis Pavlidis et Robert Wunderlich ont placé 59 volontaires devant un simulateur de conduite et… les ont distrait. De plusieurs manières. Soit en leur demandant de répondre oralement à des questionnaires divers et variés :

« Combien font 34+78 ? », « Épelez le mot “simultanément“ », « Donnez trois différences entre un chien et un chat », « Racontez la fois où vous avez triché à un examen ? », « Décrivez les relations avec votre mère ». Soit en les faisant pianoter sur leurs téléphones des réponses à des trivialités « Comment ça va ? », « Quel est ton prénom ? »

Un court-circuit du « 6e sens »

On le voit, les questions orales s’avéraient beaucoup plus complexes et demandaient un niveau de réflexion et d’implication mentale plus abouties que celles par SMS. A première vue, elles étaient donc plus à même de déconcentrer le conducteur. Et pourtant, ce sont celles par textos qui se sont avérées les plus dangereuses puisqu’elles augmentaient la probabilité de dévier de la route et de finir dans un platane. Comment expliquer ce paradoxe ?

La réponse est à chercher au niveau du cortex cingulaire antérieur (CCA) selon les chercheurs. Soit la partie du cerveau en charge de la gestion des dissonances cognitives. C’est un correcteur d’erreur automatique. Quand un individu est occupé à une tâche vitale et qu’il est distrait, le CCA intervient pour contrebalancer l’action potentiellement dangereuse induite par le conflit. En clair, c’est cette zone cérébrale qui corrige tout mouvement nerveux et fait en sorte que les bras du conducteur restent fermes et conservent une trajectoire en phase avec celle de la route. Seulement, dès que vous saisissez votre téléphone pour taper un SMS, le CCA est totalement perdu car il perd la connexion entre les yeux du conducteur et ses bras. Il s’avère dès lors incapable de corriger tout mouvement de gigue vers la droite ou vers la gauche par une action opposée. En somme, taper des textos provoque un court-circuit de votre sixième sens neural. Pensez-y la prochaine fois que vous vous trouverez sur la route, et commencez par éteindre votre portable…

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Le Saviez-Vous ► Chat : son mystérieux sixième sens


Je ne crois pas qu’il y a beaucoup de recherches scientifiques sur ce que l’on appelle le sixième sens des chats. Cependant nombre de maîtres pourraient raconter des anecdotes surprenantes de petites boules de poils. Comment des chats ont pu retrouver le chemin de la maison après avoir été perdu à des kilomètres ? À prédire la mort d’une personne parfois inconnue ?
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Chat : son mystérieux sixième sens

 

Chez le chat, comme chez d’autres animaux, on parle d’un sixième sens. Pourquoi ? Il en existe 5 principaux : la vue, l’ouïe, l’odorat, le toucher et le goût. Mais, chez nombre d’animaux, et en particulier le chat, il y’a quelque chose qui nous échappe, des facultées étranges. C’est le mystérieux sixième sens.

Le retour au maître

Quand on parle du sixième sens des chats, le premier élément qui nous vient à l’esprit est le retour au maître. Périodiquement, la presse nous en cite un nouveau cas. Il existe deux catégories dans les chats qui retournent auprès de leur maitre après avoir été perdus ou laissés chez une autre personne après un déménagement. Pour expliquer, le mieux est de donner des exemples. Je vais commencer par celui qui s’explique le mieux. Le cas où un chat retourne dans un lieu où il a déjà été.

En avril 1977, un chat du nom de Pompom réapparait chez ses maitres à Fontainebleau. Ils l’avaient perdu 2 ans plus tôt à Sanary, dans le Var, lors de vacances. En 1978, Minouche s’enfuit de la voiture de ses maîtres près de Vierzon. 11 mois plus tard, il est de retour à leur domicile, à Dôle, à plus de 400 kilomètres de là. Il est amaigri et ses griffes sont usées.

Déjà plus étonnant est le cas de ce chat australien, perdu par son maitre alors qu’il campait. Le félin a parcouru près de 2400 kilomètres pour retourner chez lui. Son maitre dit de leurs retrouvailles :

 » Il était d’une affreuse maigreur et sentait mauvais. Lorsque je l’appelait par son nom, ses yeux s’éclairèrent e t-il se mit à ronronner. « .

Emouvant

Dans d’autres cas, on comprend moins. Ainsi l’aventure de la chatte Amado, qui nous est contée en 1986 par Jean Prieur dans son livre l’Ame des animaux. Certes, Amado ne parcourut que 25 kilomètres. Sa maîtresse,  une vieille fermière provençale, se sentant près de mourir, avait confié la chatte à une de ses amies, habitant de l’autre côté du Rhone. L’exploit d’Amado parait plus extraordinaire lorsqu’on sait que cette chatte était aveugle et que, sur cette partie du Rhone, il n’existe qu’un seul pont sur plus de 20km. Pourtant, au bout de 15 jours, la vieille fermière entend un gémissement devant sa porte. C’est Amado. La chatte aveugle, sale, très maigre, les pattes en sang, a réussi à retrouver son chemin.

 

Dans ce genre de cas, même si le chat est handicapé, on peut avancer une hypothèse. Le chat retourne dans un lieu où il a déjà été. Probablement suit-il des points de repère, visuels, auditifs ou olfactifs. Une certaine maison, le son d’une cloche. Il procède par la méthode des essais et des erreurs. Il fait jouer sa mémoire et, s’il s’est trompé, revient sur ses pas jusqu’à retrouver son chemin. Au bout d’un moment, il rentre chez lui.

Mais lorsque le chat retrouve ses maîtres dans un lieu où il n’a jamais été ?


 

Là, le mystère s’épaissit. Le cas le plus célèbre de ce genre d’histoire est sans doute celui du persan Sugar. Il vivait en Californie avec ses maîtres. Ceux-ci ont déménagé dans l’Oklahoma. Sur la route, ils se rendirent compte au bout d’un moment que Sugar avait sauté par la fenêtre. La famille continua malgré tout sa route et atteignit son nouveau domicile dans l’Oklahoma. Quatorze mois plus tard, quelle ne fut pas la stupéfaction des maîtres de Sugar de voir entrer leur persan par la fenêtre de la cuisine ! Le chat saute sur l’épaule de sa maîtresse qui le reconnait. Aucun doute n’est permis, en raison de l’excroissance osseuse à la hanche qui identifie Sugar. Le persan, malgré les 2500 kilomètres parcourus, est en bon état.


 

Sugar, comme d’autres chats, n’était jamais allé dans le lieu où il a rejoint ses maîtres. Comment a-t-il fait ? Est-ce mystérieux sixième sens qui lui a permis de s’orienter ? Mais surtout, pourquoi ces chats, souvent au mépris de leur santé et au risque d’y laisser leur vie, s’obstinent-ils à retrouver leurs maîtres ?

 

Chats médiums

Parfois, on a l’impression que le chat lit dans nos pensées. Serait-il télépathe ? Existerait-il un lien mental entre chat et humain ? Il y’a des millénaires, c’est déjà ce que pensaient les anciens égyptiens, pour qui le chat était une figure emblématique. Ainsi, sur un papyrus découvert à Saqqarah on peut lire :

 » Lorsque tu pense, il [ le chat ] t’entend même si tes lèvres ne bougent pas et si ta bouche ne prononce aucun mot. Il lit en toi avec le regard des dieux « .

Au Moyen-Age, la croyance a perduré, mais sous une autre forme. On disait alors que les sorcières communiquaient avec leur chat par télépathie. Après tout, on a bien finit par admettre que de tels capacités, télépathie ou même psychokynésie ( action sur la matière par la seule force de la pensée ), existaient chez certains humains. L’exemple le plus célèbre est celui de l’américain Uri Geller, télépathe reconnu. Le chat est-il doté de pareils pouvoirs ?


 

Certains chercheurs ont essayé de prouver la télépathie entre homme et chat. Karlis Osis, un chercheur américain, a imaginé une expérience dans le but de démontrer que le chat pouvait être influencé par télépathie. On dispose pour cela deux coupelles de nourriture placées à chaque extrémité d’une boîte en forme de T. L’observateur essaye alors, par la pensée, d’influencer le chat à choisir une coupelle plutôt que l’autre. Dans la plupart des cas, ils y parvient. Il existe donc un certain degré de transmission de pensée entre l’homme et le chat.

 

Un chercheur allemand, Schmidt, a quant à lui tenté une expérience afin de prouver l’existence d’une certaine psychokynésie chez le chat. Il a pour cela imaginé un dispositif constitué d’un  » générateur de hasard « , qui envoie, au hasard, du courant dans l’une ou l’autre de deux lampes à infrarouge, qui génèrent de la chaleur. Il est impossible de prévoir laquelle des deux s’allumera. Au total, sur un certain temps, elles s’allument un nombre de fois identique. L’une des lampes est placée dans une enceinte où il ne fait pas très chaud. On introduit un chat dans cette enceinte. Rassurez vous, le chat est bien traité. On remarque que, dès que le chat est en présence, le générateur se détraque. La lampe de l’enceinte où est situé le chat s’allume beaucoup plus souvent que l’autre. Comme si le désir de chaleur du félin influait sur le générateur. Tout redevient d’ailleurs normal lorsqu’on enlève le chat.


 

Télépathie, psychokynésie . . . Le chat et ses mystérieuse capacités ne cesseront jamais de nous étonner. Et de nous fasciner. Quel est donc ce mystérieux sixième sens de nos compagnons félins ? La science essaye de le découvrir, mais le secret nous échappe encore.

Quand vient la mort

le chat sent-il venir la mort ? Il semble en tout cas avoir conscience aussi bien de sa propre fin à venir que de celle de ses proches humains. Il peut s’isoler, mais nombreux sont les chats qui, se sentant partir, réclament au soir caresses et câlins avec insistance, sont plus affectueux que d’ordinaire. Ensuite il cherche un endroit calme et s’endort. Le lendemain, on retrouve son corps déjà froid. Paisiblement endormi de son dernier sommeil. Le chat possède des capacités qui nous échappe. Leur sixième sens se manifeste aussi quand vient la mort.


 

Oui, le chat sent arriver sa propre mort. Dans la plupart des cas il s’isole, cherche un endroit calme pour partir en paix. Il peut aussi se montrer plus affectueux, chercher une dernière fois le contact avec ses maîtres avant de les quitter. Le lendemain, on le voit, apparemment paisiblement endormi. Sa fourrure est froide, il est inerte. Mort. Il le savait, sentait qu’il partait. Cela ne fait aucun doute. Les exemple sont nombreux. Ainsi, le philosophe russe Nicolas Berdiaeff nous raconte que son chat Mourry, se sentant proche de sa fin, entra dans la chambre d’une personne gravement malade et sauta sur son lit. Il mourru juste après.


 

Qui ne connaît l’histoire d’Oscar, ce chat qui prédit la mort ? D’habitude plutôt distant avec les patients, venait un moment où il ne les quittait plus. Peu après ceux-ci mourraient. Oscar les sentait partir. Il n’est pas le seul chat dans ce cas, à deviner la mort prochaine des humains qu’il côtoie. Certains hôpitaux, chez nous comme de l’autre côté de l’Atlantique, abritent des chats. Les témoignages affirment que les petits félins, tels Oscar, vont sur les lits des personnes qui ne tarderont pas à mourir.

Il y a quelques années, à Paris, un chat dont le maître était à l’hôpital ( le chat n’y était pas ) se mit à hurler en pleine nuit, apparemment sans raison. Exactement au même moment, son maître mourrait . . . Par la suite, le chat refusa obstinément d’entrer dans l’ancienne chambre de son maître.


 

Il ya aussi des chats qui restent fidèles à leur maître même après la disparition de celui-ci. On cite l’exemple de ce chat qui, il y a quelques années également, ne quittait pas la tombe de son maître au cimetière de Thouars, dans les Deux-Sèvres. Certains chats vont jusqu’à se laisser mourir ainsi. Volontairement. Pourquoi ? On peut se poser la question.

Comment les chats savent-ils qu’ils vont mourir ? Comment font-ils pour connaître la fin prochaine de leurs proches ? Tout cela reste un mystère. Le sixième sens, on ne peut pour l’instant dire que cela. Le chat ne voit pas le monde avec les mêmes yeux que nous. Son univers est manifestement très différent du notre.

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Mon chat, mon thérapeute


De plus en plus, on s’aperçoit de l’importance des animaux dans nos vies. Ils sont des anti-stress, aide a l’estime de soi, à l’apprentissage et certains d’entre eux, sans vraiment savoir comment ils font, sont capable de détecté des crises d’épilepsie ou autres maladies. Les animaux nous rendent des multiples services, mais nous devrions aussi les respecter
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Mon chat, mon thérapeute

 

Ce pourrait tout aussi bien être un chien, un cheval, un lapin… Non seulement nos animaux de compagnie nous rendent heureux, mais ils sont aussi bénéfiques pour notre santé.

Pendant que je pitonne sur le clavier de mon ordinateur, ma chatte se lèche les pattes en ronronnant. Selma est heureuse installée le plus près possible de ma petite personne. Elle me suit partout dans la maison, répond à mes questions par une sorte de roucoulement et, la nuit, ronfle à côté de mon lit. Sa présence me calme, son affection me touche, ses manies me font rire. Sans ma bibitte à moustaches, ma vie ne serait pas la même.

Et, surprise, depuis qu’elle vit sous mon toit, ma tension artérielle est revenue à la normale. Pourtant, rien n’a changé dans mes habitudes de vie. Qu’est-ce que vous dites de ça, docteur ?

Il y a 30 ans, on m’aurait ri au nez. Mais, depuis, plusieurs études ont démontré que partager sa vie avec un animal fait diminuer la pression artérielle, abaisse le taux de gras sanguin et apaise le rythme cardiaque. Chez les femmes, ces bienfaits seraient encore plus importants à partir de 40 ans !

Tout a commencé en 1980, par une enquête sur la survie après un infarctus. En posant des questions à des patients, une chercheuse de l’Université du Maryland a découvert que ceux qui possédaient un ami à quatre pattes vivaient plus longtemps que les autres. Différentes recherches ont suivi. Aujourd’hui, l’American Heart Association reconnaît que les animaux de compagnie peuvent nous aider à réduire nos risques de troubles cardiovasculaires.

Il y a plus. Leurs propriétaires visitent le médecin de 15 % à 20 % moins souvent, selon une vaste enquête menée en 2004 en Chine, en Allemagne et en Australie. On ignore si tous ces gens sont réellement en meilleure santé ou si leurs bêtes leur font oublier leurs bobos. Mais les chiffres sont là.

Aujourd’hui, partout dans le monde, de très grandes universités étudient les relations entre l’humain et l’animal, de même que leurs effets sur la santé. Mieux : dans certains centres de soins, chiens, chats, chevaux, oiseaux et poissons permettent de réconforter de grands malades, de distraire des personnes âgées ou d’aider des enfants atteints de problèmes d’apprentissage ou de comportement. Et ça marche.

Moins de stress… et plus d’amour

Une des explications possibles, c’est que nos amis à poil et à plumes calment le stress et l’anxiété. En présence d’un chien au comportement amical, notre taux de cortisol diminue, notre cerveau émet des ondes liées à la relaxation et nos hormones de bien-être augmentent. Les propriétaires d’animaux – et leurs enfants – auraient une meilleure estime de soi, seraient plus sociables et moins préoccupés, selon une enquête menée en 2011 par l’Université de Miami.

« Les animaux nous procurent un amour inconditionnel, sans jamais nous juger »,  explique la Dre Sandra Barker, directrice du Centre sur les interactions humaines et animales de l’Université de Virginie.

Depuis plus de 20 ans, la psychiatre étudie la puissance du lien qui unit l’homme et la bête. Selon l’une de ses recherches, le tiers des personnes qui vivent avec des animaux se sent plus proche d’eux que des membres de sa propre famille !

Fido et Minet rempliraient-ils un vide que les humains n’arrivent pas à combler ?

Le comportementaliste félin Daniel Filion le croit. « Leur fidélité nous procure un sentiment de sécurité bien particulier », affirme-t-il.

Au retour du travail, les trois quarts de ceux qui ont un animal de compagnie sont d’ailleurs accueillis par ce dernier et non par leur conjoint,  selon l’American Animal Hospital Association.

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Dans la tête de Fido

Jusqu’à tout récemment, la psychiatre Sandra Barker emmenait son chien H.I. quand elle visitait ses patients au Centre médical de l’Université de Virginie.

« Il percevait leur détresse, raconte-t-elle  Si l’un d’entre eux semblait déprimé, H.I. s’assoyait tout près de lui et posait son museau sur le pied du malade. Dans le cas contraire, il gardait une certaine distance, tout en restant amical. »

Mis à part les canidés, d’autres animaux font de très bons thérapeutes, comme les chats, qui excellent auprès des personnes âgées et des patients atteints d’alzheimer.

« Lors de visites en CHSLD, ils se contentent de ronronner sur les genoux des résidants, raconte Daniel Filion.  Et pourtant… Des patients aphasiques se mettent à rire ou à pleurer, comme si le chat réveillait des émotions profondes qui vont au-delà du langage. »

Les animaux sentent-ils ce que nous éprouvons ? N’importe quel propriétaire de chien ou de chat répondra que oui.

« Nous devons rester humbles, précise Daniel Filion. Nous savons comment ils réagissent à certains stimulus, mais nous ignorons ce qu’ils ressentent vraiment. »

Cependant, une certaine réciprocité existe entre l’humain et l’animal. C’est ce qu’a prouvé en 2000 un chercheur d’Afrique du Sud, le Dr Johannes Odendaal, du Life Sciences Research Institute : quand un chien et son propriétaire sont ensemble, les hormones de bien-être, comme l’ocytocine, liée à l’attachement, grimpent chez les deux espèces.

Ce n’est toutefois pas vrai pour le cortisol. Si l’hormone de stress diminue chez l’humain, elle demeure élevée chez le chien. Nous réconforter représente peut-être un fardeau…

Un sixième sens ?

On a souvent entendu parler de ces toutous qui reniflent une partie du corps de leur maître sans raison apparente, jusqu’au moment où un cancer est découvert à cet endroit précis. S’agit-il de facultés extrasensorielles ? En fait, les experts savent depuis une quinzaine d’années que les cancers du poumon, du sein, de la prostate et de la peau dégagent des composés volatiles que Fido est en mesure de détecter. Les chercheurs de l’Université de Pennsylvanie ont prouvé qu’un chien pouvait déceler, parmi plusieurs échantillons de sang, ceux qui contenaient des cellules cancéreuses.

Est-il possible que ce « flair » dépasse le sens de l’odorat ? En 2000, le British Medical Journal rapportait que le tiers des chiens vivant avec des diabétiques avait réveillé ces derniers durant la nuit parce qu’une grave hypoglycémie mettait leur vie en danger. Le phénomène s’est aussi produit avec des chats. Par ailleurs, l’Université de Floride publiait en 2003 une étude sur des chiens capables de pressentir les crises d’épilepsie. Mais on ignore encore de quelle façon…

Les bêtes peuvent percevoir des mouvements et des spasmes musculaires très subtils, selon le vétérinaire français Philippe de Wailly, auteur d’une dizaine de livres, dont Le sixième sens des animaux (J’ai lu), un best-seller mondial.

« Souvent, elles savent avant nous ce qui est en train de nous arriver »,  précise-t-il.

L’histoire la plus connue, c’est celle du chat Oscar. Dans un centre de soins pour personnes âgées du Rhode Island, ce félin bien spécial va toujours se blottir auprès de ceux qui vont mourir. Et il ne se trompe jamais. À plusieurs reprises, alors qu’un résidant était considéré comme agonisant, Oscar choisissait plutôt de s’installer près d’un autre patient, en apparence bien-portant. Et c’est celui-là qui décédait deux heures plus tard. L’histoire a été publiée en juillet 2007 dans le New England Journal of Medicine et a fait l’objet de reportages dans le monde entier.

Le vétérinaire belge Joël Dehasse relate dans ses livres les histoires étonnantes dont il a été témoin. Comme celle de ce toutou dont le propriétaire est décédé et qui a retrouvé la tombe de son maître sans l’aide de personne.

« Il nous reste encore beaucoup de choses à apprendre sur les aptitudes insoupçonnées des animaux », souligne le spécialiste

Il s’inquiète d’ailleurs du sort de nos thérapeutes à quatre pattes.

« Sur Google, on trouve de multiples photos prises lors de visites auprès de malades, dit-il. Sur plusieurs d’entre elles, on voit que le chien détourne la tête : c’est sa façon de demander la fin d’une interaction. Or personne ne s’en soucie. Les animaux nous donnent beaucoup, alors il faut respecter leurs limites… »

chattherapeute-minou

Sommes-nous bons pour nos animaux ?

Le Québec détient un triste record : celui des abandons d’animaux en Amérique du Nord. Chaque année, nous jetons à la rue quelque 500 000 petits compagnons à poil. La majorité sont des chats, parce qu’on croit – à tort – qu’ils vont mieux se débrouiller dans la nature.

« L’adoption, c’est un engagement à long terme qui implique des responsabilités, explique le comportementaliste félin Daniel Filion Si vous aimez les bêtes, mais n’avez pas le temps de vous en occuper, pourquoi ne pas vous rendre dans un endroit où vous pouvez les fréquenter, comme le Café Chat L’Heureux ? »

Situé sur le Plateau, à Montréal, l’endroit permet de prendre une bouchée tout en jouissant de la présence des félins.

Lire avec un lapin

Chien, lapin, cochon d’Inde, hérisson… À la clinique Un museau vaut mille mots, à Terrebonne, dans Lanaudière, toute une ménagerie aide les enfants – et les adultes –souffrant de troubles du langage, de difficultés en lecture ou de problèmes de comportement. Ces petites bêtes sont bien sûr adorables, mais comment peuvent-elles aider en lecture ?

« Lire à voix haute devant un animal est moins intimidant que devant un adulte, explique la directrice, Annie Provencher. L’enfant ne se sent pas jugé. »

Et puis, la chienne Lili peut porter un manteau muni de poches qui contiennent des mots à lire. Ou encore, Trompette le lapin est capable de retourner des petits couvercles sous lesquels se cachent des lettres… Tous les animaux appartiennent aux zoothérapeutes du centre, qui en prennent bien soin.

Au Québec, ils sont plus de 200 à travailler en ce sens.

« La zoothérapie est une intervention dirigée par un professionnel formé, avec un animal sélectionné et entraîné. Il faut la distinguer de la visite animalière, effectuée par un bénévole et son animal, qui apporte du plaisir et du réconfort, mais qui ne constitue pas une intervention thérapeutique », précise Mélanie Legrand, de la Corporation des zoothérapeutes du Québec

 

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Étude américaine : Un sixième sens pour fuir les tempêtes


Plusieurs se doutent que les animaux aient ce sixième sens quand le temps change. Il est démontré qu’une espèce d’oiseau fuit les lieux si le temps devait être destructeur. Un atout probable pour les oiseaux devant les changements climatiques
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Étude américaine : Un sixième sens pour fuir les tempêtes

 

Un sixième sens pour fuir les tempêtes

Crédit photo : Gracieuseté Environnement Canada

Agence France-Presse

Des parulines à ailes dorées, une espèce de passereaux, ont fait preuve d’un sens de l’anticipation particulièrement développé pour fuir avant l’arrivée d’une très forte tempête dans le Tennessee qui a fait au moins 35 morts en avril dernier.Alors qu’ils travaillaient sur un projet visant à traquer les mouvements de ces petits oiseaux migrateurs avec des microbalises de géolocalisation, des scientifiques ont en effet constaté que ces passereaux avaient quitté leur zone de reproduction peu après leur arrivée, et ce, un à deux jours avant que ne frappe cette tempête qui a provoqué au moins 84 tornades meurtrières dans la zone.

Ces oiseaux ont parcouru 1500 kilomètres en cinq jours pour échapper à cette très forte tempête, ont déterminé les auteurs de l’étude publiée jeudi dans la revue américaine Current Biology.

«Le plus curieux c’est que ces oiseaux ont quitté ces lieux longtemps avant l’arrivée de la tourmente», estime Henry Streby, un écologiste de l’Université de Californie à Berkeley.

«Au moment où les spécialistes de la chaîne météo nous disaient que la tempête se dirigeait dans notre direction, les oiseaux se préparaient à quitter la région», poursuit-il.

Selon ces chercheurs, les oiseaux, contrairement aux humains, peuvent entendre les infrasons, des sons à très basse fréquence qui se propagent sur de longues distances et sont générés notamment par des perturbations météorologiques sévères.

«Les météorologues et les physiciens savent depuis longtemps que les tempêtes qui génèrent des tornades produisent de puissantes émissions d’infrasons qui voyagent sur des milliers de kilomètres et à des fréquences auxquelles ces oiseaux sont les plus sensibles», explique l’écologiste.

Les chercheurs ont aussi montré que les oiseaux qui suivent toujours les mêmes routes migratoires annuelles peuvent aussi parfois effectuer des déplacements hors des périodes de migration quand c’est nécessaire.

Ce sixième sens dont sont dotés les oiseaux est une bonne chose pour leur survie face au réchauffement climatique qui devrait entraîner un accroissement de l’intensité et de la fréquence des fortes tempêtes et tornades, relèvent ces chercheurs.

«Cela signifie qu’en ce qui concerne le réchauffement du climat les oiseaux devraient mieux y faire face que ce que certains ont prédit», conclut Henry Streby.

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Le pigeon aurait-il perdu la boussole?


Les pigeons perdent t’il le nord ou se sont les savants qui ne savent plus ou est caché le système de navigation de ses oiseaux voyageurs ? Ils semblerait que cela ne soit pas si clair d’après les dernières recherches qui viens de détruire certaines hypothèses
Nuage

 

Le pigeon aurait-il perdu la boussole?

 

«Il y a de plus en plus de preuves pour dire que le pigeon a un véritable système de navigation dans la tête, comme un GPS», a expliqué à l’AFP Hervé Cadiou, un des chercheurs qui a participé à l’étude.

GEORGES GOBET / AFP

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PARIS – Le «sixième sens» qui permet aux pigeons voyageurs de s’orienter grâce au champ magnétique terrestre ne se situerait pas dans leur bec, comme on a pu le croire, selon une étude publiée en ligne mercredi par la revue britannique Nature qui relance le mystère.

«Il y a de plus en plus de preuves pour dire que le pigeon a un véritable système de navigation dans la tête, comme un GPS : il est capable d’enregistrer des valeurs de champ magnétique, mais également des repères visuels et des indices olfactifs», a expliqué à l’AFP Hervé Cadiou, un des chercheurs qui a participé à l’étude.

De précédentes recherches ont suggéré que la boussole interne qui permet à l’oiseau de s’orienter grâce au champ magnétique -la magnétoréception- se situerait sous la peau qui recouvre la partie supérieure du bec de l’oiseau. Selon cette hypothèse, des cellules nerveuses contenant des petits cristaux de magnétite, un oxyde de fer, expliqueraient la sensibilité magnétique.

Mais la nouvelle étude mise en ligne mercredi par Nature vient défier cette hypothèse : David Keays (Institut de Pathologie Moléculaire, Vienne, Australie) et ses collègues ont montré que les cellules riches en fer du bec des pigeons sont en fait des macrophages et non des neurones (ou cellules nerveuses).

Les chercheurs ont utilisé l’IRM et le scanneur pour réaliser, en les colorant en bleu, une cartographie des cellules riches en fer de la partie supérieure du bec de pigeons voyageurs. Ils ont ainsi révélé :

«une variation inattendue dans leur distribution et leur nombre, observation incompatible avec un rôle dans la sensibilité magnétique».

Une analyse de ces cellules a par ailleurs mis en évidence des caractéristiques propres à des macrophages, cellules qui font partie du système immunitaire.

«L’équipe de Vienne a démontré que les dépôts de fer dans le bec du pigeon n’étaient pas cristallins, mais plutôt des dépôts organiques, et que ce fer n’appartenait pas à des neurones, mais à des macrophages», explique Hervé Cadiou.

Or, «pour qu’il y ait un sens, une réception sensorielle, il faut qu’il y ait des neurones».

Même s’ils ne peuvent exclure la possibilité qu’un petit nombre de récepteurs magnétiques épars soient situés «dans un endroit indéterminé» de la partie supérieure du bec des pigeons, les chercheurs n’ont trouvé aucune preuve de l’existence d’un système de sensibilité magnétique dans ce bec.

«Le bec n’est pas un organe magnétorécepteur», a conclu Hervé Cadiou.

Le mystère de la magnétoréception des pigeons resterait donc à élucider.

Mais les chercheurs ont d’autres pistes.

«Ces cellules énigmatiques pourraient résider dans l’épithélium olfactif (muqueuse de la paroi du nez, ndlr), une structure sensorielle qui a été impliquée dans la magnétoréception de la truite arc-en-ciel», suggèrent-ils.

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