Un enquêteur pas comme les autres


Déjà que Mira est reconnue pour entraîner des chiens tels que pour les non-voyants, les entraineurs aussi des chiens qui peuvent interagir avec des victimes d’agression que ce soit physique, psychologique ou sexuelle. C’est un atout pour la police afin de mieux mener leurs enquêtes
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Un enquêteur pas comme les autres

 

Plein écran(Photo : Jacques L Frenette)

La zoothérapie joue maintenant un rôle dans les enquêtes sur les agressions physiques, psychologiques et sexuelles.

À Sherbrooke, les policiers qui enquêtent sur les agressions physiques, psychologiques et sexuelles peuvent compter sur un collègue unique en son genre : un beau gros labrador noir de deux ans et demi. Kanak est ce qu’on appelle un chien « de soutien émotionnel ». En se laissant dorloter et caresser par les victimes d’actes criminels, il aide celles-ci à s’ouvrir et favorise les confidences, ce qui facilite les enquêtes.

La formation de ces chiens policiers nouveau genre, choisis en fonction de leur tempérament calme, est assurée par la Fondation Mira. Leur entraînement et leur socialisation en famille d’accueil durent quatre mois. En comparaison, la formation des chiens-guides pour aveugles dure six mois.

 « Ce sont des chiens qu’on détourne de leur utilisation classique, auprès de personnes atteintes de déficience visuelle ou handicapées intellectuelles », dit Noël Champagne, psychologue et directeur de la recherche et du développement pour Mira.

Ce « toutou réconfortant » — comme le décrit sa maîtresse, Mélanie Bédard, sergente-détective et maître-chien au Service de police de Sherbrooke — a valu au corps policier le prix Coup de cœur du jury au gala d’excellence de l’Union des municipalités du Québec, en mai dernier.

En un an et demi, Kanak a participé à près d’une centaine d’enquêtes. Et depuis quelques mois, il n’est plus le seul dans la province. La Sûreté du Québec a intégré deux chiens de soutien à ses postes de Mascouche et de Québec.

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Seringues souillées: l’enquête n’avance pas


Quelles horreurs de se faire piquer par une seringues usagées dans un vêtement tout neuf … les questions qui doivent trotter dans la tête des victimes .. l’attente pour savoir s’ils ont été contaminées.
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Seringues souillées: l’enquête n’avance pas

 

MONTRÉAL – Un enquêteur du Service de police de Sherbrooke (SPS) se consacre à temps plein à la résolution du dossier des seringues souillées de sang humain trouvées dans des vêtements vendus dans des commerces au détail.

Les policiers étudient également les bandes des caméras de surveillance, mais pour l’instant, le dossier n’avance pas.

Le SPS dit ne disposer d’aucune piste pour identifier le coupable.

Trois employés du Zellers des Galeries Quatre-Saisons se sont piqués sur la même seringue souillée de sang samedi. Une deuxième seringue a été trouvée dans le magasin.

Depuis le début du mois de janvier, huit personnes se sont blessées, et 20 seringues ont été trouvées. Les cas relevés ont semé un début de panique dans la population et chez des commerçants.

Le directeur du SPS, Gaétan Labbé, est hautement irrité par ce que font les malfaisants et sympathise avec les gens qui ont été accidentellement piqués. Il s’est emporté lundi matin lors d’une rencontre avec les médias.

«On a affaire à un maudit malade!» a-t-il lancé.

«Sa volonté de piquer, de créer une inquiétude auprès de la personne… J’écoutais les témoignages, ça doit être l’enfer, t’es six mois à attendre pour savoir si tu as une maladie, ça n’a pas de maudit bon sens!»

Le porte-parole du SPS, René Dubreuil, assure que toutes les personnes blessées ont été rencontrées.

«Elles ont été envoyées à l’hôpital pour des traitements préventifs en attendant les résultats sanguins», a-t-il expliqué.

«Entre-temps, nous faisons la vérification des caméras, mais nous n’avons pas encore l’ensemble des enregistrements», a-t-il ajouté.

En mai dernier, des seringues dissimulées dans des vêtements ont été découvertes à la boutique Intersport du Carrefour de l’Estrie. Souillées et sans capuchon, elles étaient dissimulées dans des pantalons ou des shorts.

D’autres seringues ont également été découvertes dans les magasins Hart, Zellers et Sears de ce même centre commercial, ainsi qu’au Zellers des Galeries Quatre Saisons, dans l’est de la ville.

Les trois premières seringues contenaient le sang d’une même personne.

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Pentes enneigées avec de l’eau potable Une station de ski pointée du doigt


A la lecture de ce billet, je me rends compte que la gestion de l’eau potable de façon responsable est loin d’être gagnée  On nous fait des publicité que l’eau n’est pas un acquis, que nous devons diminuer notre consommation personnelle d’eau potable, que l’été en plus des piscines, nous devons arroser les jardins entre certaines heures et certains jours … sous peine d’amende et que dire ceux qui lavent leur autos au tuyau d’arrosage, des entrée de cours .. c’est un scandale .. mais plusieurs villes ont accès a l’eau potable pour les patinoire, l’enneigement des pentes de skis ..avec les changement climatique cela va empirer. Doit-on absolument protéger certains sports d’hiver et gaspiller cette eau … ?
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Pentes enneigées avec de l’eau potable
Une station de ski pointée du doigt

Par Éliane Thibault | TVA Nouvelles

L’attitude d’une station de ski locale, qui utilise de l’eau propre à la consommation pour enneiger ses pentes, déplaît aux citoyens de la ville.

«Ça fait 25 à 30 ans qu’il n’y a presque pas de neige. Ça tombe en février, une tempête ou deux, mais le reste c’est de la pluie et beaucoup de redoux. Si on n’avait pas de neige artificielle, la montagne serait complètement fermée», s’est défendu Claude Adam, gestionnaire du Mont Bellevue.

Aujourd’hui, la survie des stations de ski passe donc par l’enneigement des pistes. Au Québec, la majorité d’entre elles enneigent leurs pentes grâce à des plans d’eau situés à proximité.

Même si la rivière Magog passe à proximité du site, c’est la Ville de Sherbrooke, via son système d’aqueduc, qui alimente les canons à neige du Mont Bellevue.

La Ville, qui est aussi propriétaire du Mont Bellevue, dit préférer alimenter directement la station de ski, pour des raisons économiques.

«Monter une conduite à partir de la rivière coûterait plusieurs centaines de milliers de dollars en coût de construction. Après ça il faudrait aussi une station de pompage, l’entretien, éviter le gel… Donc plusieurs milliers de dollars par année pour cette eau-là », explique Michel Cyr, chef de la division Gestion des eaux pour la Ville.

Chaque année, le Mont Bellevue utilise 3,5 millions de litres d’eau pour ses canons à neige, pour une somme d’environ 1000$. Cela représente une infime partie de ce qui est traité annuellement à l’usine d’épuration des eaux.

«Le seul changement, c’est que l’eau est traitée, à un coût économique de 1000$ versus elle serait pompée à un coût économique de 5000 à 10 000$ par année», ajoute M. Cyr.

Il semblerait également qu’utiliser l’eau de la rivière ne serait en rien plus écologique.

«Pour usage égal, si on prenait de l’eau de surface qui elle est déjà plus chargée en polluants, en bout de ligne, c’est sûr que l’eau potable a moins d’impact», explique Julie Grenier, coordonnatrice du Conseil de gouvernance de l’eau des bassins versants de la rivière Saint-François (COGESAF).

Loin de vouloir débattre sur la question, Claude Adam estime que la station du Mont Bellevue n’est pas la seule dans cette situation.

«Si on calcule l’arrosage de toutes les patinoires de la Ville, le Plateau Sylvie-Daigle, le tour du Lac des Nations, les pompiers qui prennent l’eau, les citernes qui arrosent les rues. C’est tout pris à la même place. Alors, je ne crois pas qu’on doive crier au scandale pour le peu d’eau qu’on utilise.»

Bien que certains imaginent un système d’aqueduc parallèle, l’idée est loin d’être implantée. En effet, l’arrosage d’une patinoire coûte à la Ville une cinquantaine de dollars, alors qu’un tel réseau coûterait des centaines de millions de dollars à mettre en place.

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L’hiver approche Le Québec reçoit ses premiers flocons


Dans mon coin du ciel nous n’avons pas eu encore de premières neige, mais cela fait penser a ceux qui ont une auto qu’il serait temps de changer les pneus pour rouler de façon sécuritaire pendant les mois qui suivront
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L’hiver approche

Le Québec reçoit ses premiers flocons

Le Québec reçoit ses premiers flocons

Crédit photo : TVA Nouvelles

Il a neigé sur Sherbrooke dans la nuit de samedi à dimanche 30 octobre 2011.

TVA Nouvelles

La Beauce et l’Estrie ont reçu leurs premiers flocons de l’année. Plusieurs résidents ont donc dû sortir leur balai à neige ce matin alors que deux centimètres étaient accumulés au sol.

Cette neige ne faisait pas le bonheur de tous. Si certaines familles ont passé l’avant-midi à fignoler leur premier bonhomme de neige et que d’autres se sont rendus au spa, plusieurs pensaient déjà au printemps.

Crédit: François Madore de Magog pour MonTopo

Contrairement à ce que pouvaient penser ces derniers, cette première accumulation de neige au sol arrive un peu plus tard qu’à l’habitude. Au Québec, les premières neiges tombent à la mi-octobre.

Ces flocons et le froid rappellent l’importance de préparer sa voiture pour la saison froide.

Selon la loi sur les pneus d’hiver, les voitures doivent être bien chaussées avant le 15 décembre, sans quoi, les conducteurs sont passibles d’amendes.

Crédit: Yvon Proulx de St-Martin-de-Beauce pour MonTopo

Les commerçants sont tout de même clairs : ils ne pourront s’occuper de tout le monde en même temps. Il est donc préférable de prendre son rendez-vous dès maintenant.

Pour en savoir plus sur la loi concernant les pneus d’hiver et les spécifications requises, rendez-vous sur le site du CAA

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