Sans-abri dans les rues de Montréal Une équipe spéciale du SPVM pour les aider


Il fait vraiment froid que beaucoup préfèrent rester à la maison au chaud s’ils ne sont pas obligés de sortir. Ce froid sibérien n’aide pas les sans-abris et a Montréal des policiers font le tour des itinérants pour voir s’ils sont en difficulté. C’est une belle initiative des Services de Police de la ville
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Sans-abri dans les rues de Montréal

Une équipe spéciale du SPVM pour les aider

 


(Crédit photo: TVA Nouvelles)

TVA Nouvelles

Le froid sibérien qui frappe la province de plein fouet force le Service de police de la Ville de Montréal à adapter leurs tactiques. Pour une première fois, le SPVM a mis sur pied une équipe exclusivement dédiée au service des sans-abri par temps froid.

Avec des températures avoisinant les -30 degrés, les itinérants se retrouvent parfois dans de fâcheuses positions. Depuis lundi, à chaque quart de travail, deux patrouilleurs sont affectés uniquement aux sans-abri.

Des constables comme Mathieu Brassard et Maxime Bolduc connaissent bien la plupart des itinérants du centre-ville et, surtout, savent où ils se tiennent et où ils dorment.

«En général, quand on fait des vérifications comme ça, pour leur santé, on a une bonne réception. On a des personnes qui sont contentes de nous voir et elles sont étonnées souvent. Elles ne s’attendent peut-être pas à une intervention de ce style-là», affirme l’agent Brassard.

«On sait que le jour de l’An, c’est une nuit très occupée pour nous. Plus de 1000 appels dans les premières heures de la nuit cette nuit. On voulait s’assurer d’avoir des ressources qui ne faisaient que ça», poursuit le commandant Ian Lafrenière, porte-parole du SPVM.

Sur le Plateau Mont-Royal, juste en dessous du viaduc Van Horne, TVA Nouvelles a été à même de constater l’abri de fortune d’un itinérant qui avait tout installé pour pouvoir survivre au froid. Lors de notre passage, il n’était pas sur place. Les policiers ont quand même vérifié les lieux.

«On peut voir à l’intérieur, il y a vraiment un système d’étalage qui est bien. Tout en pierre et il peut vraiment mettre des conserves. Il a même ses livres», explique l’agent Bolduc.

Un peu plus tard, les constables Brassard et Bolduc réveillent un itinérant. Ils veulent s’assurer que tout va bien. Il s’assure qu’il est en sécurité et qu’il pourra passer la journée à l’extérieur sans danger.

«Tu ne te gênes pas, s’il y a quelque chose, hein? Tu sais qu’ils sont juste à côté? Tu es au courant?», insiste le constable Brassard.


(Crédit photo: TVA Nouvelles)

Cette tournée nous amène dans des endroits insoupçonnés, comme les « peep-shows  » du centre-ville, ou certains itinérants se réfugient dans les cabines de visionnement de vidéos pornos pour dormir.

«Elle vient dormir soit dans les cabines ou, des fois, elle va dormir chez une de ses amies qu’on connaît bien, qui la ramène souvent», raconte l’agent Brassard.

À l’entrée du métro Sherbrooke, TVA Nouvelles a rencontré Michel, qui a lui-même déjà dormi dans la rue par grand froid.

«C’est comme la fin du mois quand ils reçoivent leur chèque, ils prennent un coup. Et, à un moment donné, ils sont cassés. Et là, ils s’en retournent dans la rue», de dire Michel.

En fin de journée, d’autres patrouilleurs du froid prennent la relève, et ce, jusqu’à ce qu’il fasse beaucoup moins froid.

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Cellulaire au volant La SQ se dote d’une nouvelle arme


Étant donné qu’ils ne seront pas vraiment identifiable de loin, cela pourra surement être positif. En tout cas, cela pourra surement sauver plusieurs vies car beaucoup d’entre nous ont eu l’expérience de personnes qui textaient et oublier qu’il y avait un volant de l’autre main
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Cellulaire au volant

La SQ se dote d’une nouvelle arme

La SQ se dote d'une nouvelle arme

Crédit photo : Jimmy Potvin de la Division des stratégies en sécurité routière à la SQ

Pour contrer le fléau du cellulaire au volant, la Sûreté du Québec (SQ) s’est dotée d’une nouvelle arme : une autopatrouille semi-banalisée, qui passe presque inaperçue auprès des conducteurs fautifs.

Ce nouveau véhicule acquis par la SQ est semi-identifié blanc sur blanc. Peu visible le jour, ce lettrage donne aux policiers plus de temps pour faire de l’observation.

(Crédit photo: Agence QMI)

«Les gens peuvent difficilement nous voir arriver, indique Jimmy Potvin, de la Division des stratégies en sécurité routière à la SQ. N’ayant pas l’anticipation d’une présence policière, c’est plus facile de détecter s’ils ont un cellulaire dans les mains.»

Consciente que les automobilistes se raffinent, notamment dans l’art de détecter les policiers, la Sûreté du Québec mise sur cette auto-patrouille afin «d’aller encore plus loin en matière de sécurité routière».

«Il faut qu’il y ait une crainte d’être intercepté par la police, pour avoir l’effet souhaité», dit-il.

Le Service de police de la Ville de Montréal a aussi fait l’acquisition d’une auto-patrouille banalisée en 2009.

Hier, la représentante du Journal de Montréal est montée en primeur à bord de cette auto-patrouille de la SQ, tout droit sortie du Salon de l’auto de Montréal, afin de sillonner les routes.

(Crédit photo: Agence QMI)

À peine cinq minutes après avoir quitté le poste de la rue Parthenais, un premier véhicule était intercepté à l’entrée du tunnel Ville-Marie.

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Violence chez les sans-abri Les préjugés encore présents


Des coups de feux ont été tiré dans le métro contre un itinérant ayant des problèmes psychiatrique alors qu’il avait un exacto .. Pourquoi que la police n’a pas pris un taser ? Les itinérants vivent dans des conditions difficiles et parmi eux comme dans toutes couches sociales il y a aussi des personnes qui ont des problèmes de comportement. Malheureusement quand tu a un problème mentale et qu’en plus tu es un sans-abri,  il risque d’avoir des altercations avec la police et cela ne fini pas toujours bien.
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Violence chez les sans-abri

Les préjugés encore présents

Les préjugés encore présents

Crédit photo : Archives Agence QMI

Par Emmanuel Delacour | Agence QMI

C’est avec un lot de préjugés et d’incompréhension que les itinérants de Montréal doivent vivre au quotidien, sans compter des relations difficiles avec les agents de police.

Le décès d’un sans-abri dans le métro de Montréal vendredi à la suite d’une altercation avec deux agents du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a rouvert le débat sur les méthodes d’intervention des policiers auprès des itinérants.

Selon plusieurs itinérants, les actes d’agression entre les sans-abris et les agents de la paix sont des événements isolés.

«Personnellement, je n’ai jamais été victime de violence physique de la part d’un policier et je ne connais personne dans la rue qui a déjà attaqué un policier», a affirmé Jean-Pierre, un homme dans la quarantaine qui a vécu dans les rues de Montréal il y a six ans.

Celui-ci est de retour à l’Accueil Bonneau pour en aider d’autres qui, aujourd’hui, vivent la même réalité. Parmi eux, Pierre, qui ne tient pas de rancune aux agents du SPVM, malgré quelques entretiens musclés avec ceux-ci.

«Parfois les policiers font preuve d’un peu de rudesse, surtout les jeunes qui manquent d’expérience, a-t-il expliqué. Les policiers sont soumis à un protocole, ils sont des pions dans l’histoire.»

La mort d’un sans-abri tué par des policiers vendredi passé suscite la même réaction chez tous les itinérants interrogés : ils y voient un cas hors du commun, qui entache la réputation des sans-abris.

«Des malades il y en a partout, ce ne sont pas seulement les itinérants qui sont dangereux, a expliqué Pierre. Les policiers doivent intervenir auprès de personnes avec des maladies mentales et des fois ça tourne mal, mais il ne faut pas croire qu’ils nous tirent dessus à tout bout de champ.»

«Itinérant ou pas, si tu attaques un policier avec un couteau, tu as certainement des problèmes dans la tête et tu mets ta vie en danger», a dit Michel, un autre sans-abri.

Celui-ci aimerait bien toutefois que les agents du SPVM soient un peu plus tolérants auprès des itinérants lorsqu’ils s’abritent dans le métro durant l’hiver et qu’ils ne les expulsent pas systématiquement.

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L’insoutenable attente prend fin: le corps de Maxime Dion retrouvé


C’est un événement bien triste que les parents du petite Maxime vivent mais aussi un soulagement que les sauveteurs ont pu retrouver l’enfant, sinon il aurait probablement été impossible de le retrouver qu’au printemps
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L’insoutenable attente prend fin: le corps de Maxime Dion retrouvé

L'insoutenable attente prend fin: le corps de Maxime Dion retrouvé

La photo du jeune Maxime Dion est fournie par la famille.

Photo: Janick Marois, La Voix de l’Est

Dominique Talbot
La Voix de l’Est

(Upton) Après cinq jours d’intenses recherches, le corps du jeune Maxime Dion a finalement été repêché hier, aux environs de 12h45. Ce sont les plongeurs du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), venus prêter main-forte à leurs collègues de la Sûreté du Québec en cette autre journée de recherches qui aurait bien pu être la dernière, qui ont retrouvé le petit garçon de 6 ans, disparu dans les eaux glacées de la rivière Noire lundi, en fin d’après-midi.

Le corps a été découvert à environ 400 mètres de l’endroit où le petit Maxime est tombé à l’eau lundi, alors qu’il s’amusait avec un ami et le chien de ce dernier.

Mercredi, le chien qui a lui aussi sombré dans les eaux avait été retrouvé non loin de l’emplacement où le corps a été sorti de la rivière.

Une fois hors de l’eau, la dépouille a été amenée dans une tente où ses parents ont procédé à son identification.

Le deuil peut commencer

À deux jours de Noël, le souhait de la famille de retrouver le corps de Maxime a été exaucé. Elle peut enfin commencer à faire son deuil.

«Je suis en paix avec le fait que notre fils est maintenant avec nous. Il y a un ange de plus au ciel maintenant», a commenté Patrick Dion, le père de la victime.

Pendant toute la durée des recherches cette semaine, M. Dion a répété que tout ce que la famille désirait était de revoir Maxime une dernière fois, même si elle savait qu’elle ne le reverrait pas vivant.

«Je viens d’aller voir le corps et ça fait du bien. On est soulagé, a dit pour sa part Denis Gaucher, grand-père du jeune garçon. Là, nous allons consoler ma grande fille (Chantale, mère de Maxime). J’ai dit à Patrick que Maxime était un petit ange et qu’il va nous aider en haut. Il va nous donner des grâces».

Au travers de cette pénible épreuve, M. Gaucher s’est dit soulagé et prêt à entreprendre le long chemin qui suivra.

«Nous avions tous espoir. C’était la journée décisive. Si ça n’avait pas été de cela, ça aurait été encore plus dramatique pour toute la famille. Tout l’hiver, avec Maxime en dessous des glaces, aurait été inimaginable. C’est bien que ça se termine comme ça. Chapeau aux sauveteurs. On les félicite. On espérait ça et nous avons prié fort pour ça. Aujourd’hui, c’est une bonne nouvelle pour la famille, pour commencer notre deuil.»

Diane Dion, la grand-mère de Maxime, a quant à elle tenu à remercier et à louanger le travail des sauveteurs.

«Ce qui se passe aujourd’hui est un soulagement. Tout le monde y a mis son coeur. Nous avons notre petit avec nous, c’est le principal. Je suis en paix. Nous avons une super équipe qui a permis cela».

Longue et difficile opération

Dans la nuit de jeudi à hier, une rétrocaveuse amphibie a brisé les glaces dans la rivière afin de faciliter le travail des plongeurs. À partir de là, la SQ a établi une nouvelle stratégie pour maximiser les chances de réussite de l’opération.

«Des zones de recherche avaient été identifiées et circonscrites. Ils (les plongeurs) savaient où ils s’en allaient. Ils avaient des plans de plongée, donc, du travail avait été fait pour permettre d’en arriver à ce que les recherches soient le plus efficaces possible. C’est ce qui a eu lieu aujourd’hui», mentionne Louis-Philippe Ruel, porte-parole de la Sûreté du Québec.

En plus du SPVM, la Gendarmerie Royale du Canada et des pompiers d’Upton ont assisté la SQ dans ses recherches. Le temps commençait à presser puisque le refroidissement prévu au cours des prochains jours aurait bien pu mener à la suspension des recherches.

«On sait que si le froid revient et la glace reprend, nous devons évaluer si nous pouvons travailler de manière efficace. On évaluait cela quotidiennement. Il semble que ça aurait été excessivement difficile dans les prochains jours», explique Louis-Philippe Ruel.

«Les pompiers étaient exténués. Nous avons travaillé sans arrêt au cours des 36 dernières heures. Plusieurs de nos pompiers ont passé toute la nuit dans l’eau et d’autres y sont restés 12 heures hier. Aujourd’hui a été l’accomplissement», a conclu Yves Ricard, directeur du service d’incendies d’Upton.

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Internet: Les enfants manquent d’encadrement, révèle un sondage


C’est drôle que des parents ont si peur des conséquences d’internet mais avouent en même temps de ne pas discuter avec leur enfants et ne pas prendre les moyens pour contrôler et s’interressé a ce qu’ils font sur le net .. Avec tout les cybercriminels, les cyberprédateurs, les intimidateurs il me semble qu’ils faut enseigner dès le jeune âge a faire attention et a être prudent
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Internet: Les enfants manquent d’encadrement, révèle un sondage

Seulement un parent sur deux parle des dangers... (Archives La Presse)

Seulement un parent sur deux parle des dangers d’internet avec son enfant. – Archives La Presse

 

Silvia Galipeau, La Presse (Montréal)

 

Tous les parents s’entendent: Internet représente une importante source de danger pour les enfants. Paradoxalement, la moitié d’entre eux ne font pourtant rien pour les protéger.

C’est ce qui ressort du tout premier sondage jamais réalisé au Québec sur la question, rendu public hier par la Fondation Marie-Vincent, cyberaide.ca, en présence du Service de police de la Ville de Montréal, de la Sûreté du Québec et de la Gendarmerie royale du Canada.

«Les enfants manquent d’accompagnement sur Internet, c’est clairement ce qui ressort»,

a commenté René Morin, porte-parole de cyberaide.ca, un organisme relevant du Centre canadien de protection de l’enfance, qui reçoit par ailleurs 700 signalements par mois de cas d’exploitation sexuelle d’enfants sur Internet.

Ainsi, 80% des parents d’enfants de 3 à 12 ans estiment qu’Internet peut être une source de danger en matière d’exploitation sexuelle des enfants, révèle le sondage, réalisé cet été (du 22 juin au 10 juillet) par la firme Cefrio. Pire: la moitié des parents sondés estime aussi que leurs enfants ont déjà eu accès à des images sexuelles ou violentes; et un parent sur cinq pense que son enfant pourrait être la cible d’un cyberprédateur, ou encore victime d’intimidation par ses pairs.

Et que font les parents pour les protéger? Pas grand-chose: 50% des parents avouent ne pas discuter des dangers associés à Internet avec leurs enfants, et les trois quarts affirment ne pas utiliser davantage de logiciels de contrôle parental.

http://technaute.cyberpresse.ca