Un homme a tenté d’arracher le visage de sa victime avec ses dents


Quelle horreur ! J’avoue ne pas comprendre qu’on puisse vouloir prendre des drogues et en plus ne rien connaitre de sa composition. Ce jeune étudiant à gâcher sa vie et comment il se sent quand les effets de cette drogue s’est dissipée ?
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Un homme a tenté d’arracher le visage de sa victime avec ses dents

 

L'étudiant, membre d'une fraternité sur le campus, n'avait... (ARCHIVES AP)

L’étudiant, membre d’une fraternité sur le campus, n’avait pas d’antécédent de violence signalé.

ARCHIVES AP

Agence France-Presse
Miami

Un étudiant de 19 ans a été arrêté par la police sur les lieux d’un double homicide en Floride, au moment où il arrachait avec ses dents des morceaux du visage d’une des victimes.

La police a expliqué qu’Austin Harrouff, étudiant à l’université d’État de Floride, poussait des grognements tandis qu’il retirait avec ses dents la chair du visage d’un homme mort, allongé sur la voie d’accès d’une maison de Tequesta, à environ 150 km au nord de Miami.

L’étudiant est soupçonné d’avoir poignardé lundi soir cet homme et son épouse, et d’avoir blessé un de leurs voisins.

William Snyder, shérif du comté de Martin, a relevé que cette agression «déconcertante et inexplicable» était sans doute le fruit du hasard et probablement liée à la consommation d’une drogue synthétique appelée «sels de bain», «flakka» ou gravier.

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Des «sels de bain».

PC

Le sud de la Floride, particulièrement touristique, pâtit de la présence de cette drogue bon marché, aux effets puissants et mortelle – également connue sous le nom Alpha-PVP – qui est produite en Chine et est chimiquement semblable à des sels de bain.

John Stevens, 59 ans, et sa femme Michelle Mishcon, 53 ans, sont décédés sur place. Un voisin qui a essayé de les aider en s’interposant a également été poignardé, mais est parvenu à appeler les secours. Il a été transporté à l’hôpital pour être soigné.

L’étudiant, membre d’une fraternité sur le campus, n’avait pas d’antécédent de violence signalé. Mais il a fallu l’intervention de plusieurs policiers, chiens et l’utilisation d’un pistolet paralysant pour qu’il arrête de s’acharner sur sa victime.

«Le suspect dans cette affaire était anormalement fort», a relevé M. Snyder, ajoutant qu’il n’y avait pas de lien connu entre le couple et Austin Harrouff.

Des analyses de sang ont pour l’instant écarté la présence d’héroïne et de cocaïne.

«Je ne vais pas faire de spéculation sauf à dire que nous savons dans notre boulot que les personnes sous l’emprise de la flakka ont ce type de comportement dans lequel elles attaquent leur victime et mordent et arrachent des morceaux de chair», a-t-il ajouté.

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Drogues de synthèse: les jeunes minimisent les effets


Si une chose que je suis fière de ne jamais avoir fait, c’est bien de ne pas être un mouton pour ne jamais avoir touché à la drogue quel qu’elle soit. Avec ce que les jeunes consomment aujourd’hui et de la facilité d’en trouver c’est vraiment inquiétant
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Drogues de synthèse: les jeunes minimisent les effets

 

Si les jeunes disent connaître les drogues de... (PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE)

Si les jeunes disent connaître les drogues de synthèse, ils semblent en minimiser les effets, selon le sondage. Seulement 59% d’entre eux croient que les drogues de synthèse représentent un danger dès leur première utilisation.

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

Marie-Michèle Sioui
La Presse

Les jeunes Québécois connaissent mieux les drogues de synthèse que leurs aînés, mais ils en craignent moins les conséquences, qui peuvent pourtant être fatales, révèle un sondage CROP que l’organisme d’aide aux toxicomanes Portage doit rendre public aujourd’hui.

Le coup de sonde, mené sur le web auprès de 1000 adultes entre les 14 et 18 août, révèle que 16% des Québécois connaissent quelqu’un qui utilise des drogues de synthèse – GHB, amphétamines, méthamphétamines, «sels de bain», ecstasy ou kétamine, notamment. Chez les 18-34 ans, ce nombre passe près de doubler: 30% de ces jeunes connaissent quelqu’un qui consomme des drogues «chimiques».

«Je ne suis pas surprise», admet Danielle Des Marais, porte-parole de Portage et elle-même ex-consommatrice de drogues de synthèse. «Les drogues de synthèse ont toujours été là, mais le contexte dans lequel les gens en consomment est plus accepté. C’est tellement disponible que c’est devenu banal.»

Selon elle, les «pilules» étaient l’apanage des amateurs de «rave» il y a quelques années, mais elles ont gagné en popularité depuis. «Là où le problème a commencé, c’est quand on a vu qu’il y avait une demande et que des gens se sont mis à créer des drogues de synthèse en mettant n’importe quoi dedans», déplore Mme Des Marais.

Jouer à la roulette russe

À preuve, une étude publiée en 2008 par Santé Canada révélait que moins du quart (22,5%) des comprimés vendus comme étant de l’ecstasy sur le marché québécois contiennent bel et bien, et uniquement, de la MDMA (pour méthylènedioxyméthamphétamine, le nom scientifique de l’ecstasy). Sans surprise, donc, Mme Des Marais compare la consommation de drogues de synthèse à une joute de roulette russe, car elle risque tout autant d’être fatale. À Montréal, en mai seulement, une quinzaine de personnes sont mortes et une trentaine d’autres ont été gravement intoxiquées après avoir consommé ces drogues, rapporte Portage.

Or, si les jeunes disent connaître les drogues de synthèse, ils semblent en minimiser les effets, selon le sondage. Seulement 59% d’entre eux croient que les drogues de synthèse représentent un danger dès leur première utilisation. Chez l’ensemble des personnes sondées, ce pourcentage grimpe à 74%.

«Je crois que les ados sont mieux informés que les 18-34 ans, qui ne sont pas le public cible du gouvernement, avance Danielle Des Marais. Les adolescents sont plus au courant qu’eux, parce que la police et les groupes comme Portage font de la prévention dans les écoles.»

Quand même, 78% des répondants ont déclaré que l’enjeu des drogues de synthèse est «préoccupant». Mais les Montréalais, eux, se sont montrés moins inquiets. Ils ont été 75% à se dire préoccupés, faisant diminuer le pourcentage qui, ailleurs au Québec, atteint les 80%. Les résidants de la métropole ont aussi été moins nombreux à dire considérer que les drogues chimiques sont plus dangereuses que les drogues traditionnelles. Seuls 53% d’entre eux se sont prononcés en ce sens, une proportion légèrement en dessous de la tendance québécoise, établie à 59%.

Aussi, 55% des participants au sondage ont déclaré que l’accès à des drogues de synthèse est plus facile ou aussi facile que l’accès à d’autres drogues. Les hommes ont donné l’impression d’avoir accès à ces drogues plus facilement que les femmes: 63% d’entre eux ont dit qu’il était plus facile ou aussi facile d’avoir accès à des drogues de synthèse que des drogues traditionnelles, tandis que 47% de femmes en ont dit autant.

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Etats-Unis: une nouvelle drogue de synthèse aurait des effets cannibales


Il faut vraiment être déconnecté de la réalité pour faire des actes de cannibalisme et même en public dans la rue .. Les drogues sembles être de plus en plus dangereuses autant pour le drogué que ceux qui le côtoie
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Etats-Unis: une nouvelle drogue de synthèse aurait des effets cannibales

 

Des pilules d'ecstasy

AFP/Archives

La police de Miami a lancé un avertissement sur une nouvelle drogue de synthèse, baptisée « septième ciel », après plusieurs agressions à caractère cannibale, dont une pendant laquelle des policiers ont tué un assaillant.

La direction de la police a appelé ses unités à la plus grande prudence, après un deuxième incident impliquant cette drogue, de type « ecstasy », lors duquel un suspect a menacé de « manger » deux policiers et tenté d’en mordre un.

Brandon De Leon, un SDF de 21 ans, avait été interpellé dans un restaurant où il était entré en criant des insultes. En route pour le poste, il s’était frappé la tête contre la vitre de séparation interne du véhicule de police en hurlant « je vais vous manger » , puis, arrivé au commissariat, grogné comme un animal et tenté de mordre un policier à la main. Les policiers avaient dû lui passer un masque anti-morsures et lui lier les jambes.

En plus d’avoir pris du « septième ciel » -un des noms de cette nouvelle drogue de synthèse également connue sous l’appellation générique de « sels de bain »-, De Leon a été testé positif à l’alcool, au cannabis et aux médicaments.

Son cas « ressemble à un incident survenu la semaine dernière à Miami quand un suspect de sexe masculin a dévoré le visage d’un autre homme », avertit une note interne de la police.

Dans cette première affaire, baptisée « l’attaque zombie » par les médias locaux, l’assaillant, nu, avait agressé un SDF, lui arrachant ses vêtements et le mordant atrocement au visage, au point que la victime est toujours hospitalisée dans un état critique.

L’agresseur, Rudy Eugene, 31 ans, a été abattu par la police.

Selon la police, il pourrait lui aussi avoir été drogué au « septième ciel », décrit par la police comme une substance « addictive et dangereuse ».

La petite amie d’Eugene, Yvonka Bryant, citée par le Miami Herald, a affirmé que son comportement ne correspondait en rien à son tempérament habituel, estimant qu’il pouvait avoir été drogué à son insu.

 « La seule autre explication est surnaturelle, qu’il ait été victime d’un sort vaudou », a-t-elle poursuivi, en référence aux origines haïtiennes d’Eugene.

© 2012 AFP

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