Est-ce que vous cuisinez à la maison ?


C’est une bonne question, surtout avec tous ces produits préparés dans les épiceries, c’est assez tentant d’acheter la facilité .. Par contre on peut y perdre au point de vue économie, nutritif et rassasiant. Je ne sais pas si cela a un rapport avec les aliments préparés mais j’ai remarquer que beaucoup d’enfants sont très difficiles Ils refusent de manger des fruits et légumes, refusent tout aliments normal car il préfère les boites de macaronis au fromage, pogo, spaghetti au jus de tomates .. rien de très nutritif .. et en plus ils n’osent pas essayer de nouveautés santé
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Est-ce que vous cuisinez à la maison ?

- Est-ce que vous cuisinez à la maison ?

La cuisine occupe énormément de place dans les médias, depuis quelques années. Mais ironiquement, bien que l’on consacre de plus en plus de temps à regarder des émissions de cuisine et de recettes, celui passé devant les fourneaux diminue.

Anne Bouillon, diététiste à Santé publique Ottawa, abonde dans le même sens. À son avis, les gens mangent des repas « prépréparés », qu’ils n’ont souvent qu’à réchauffer au micro-ondes, en croyant sauver du temps.

Cette dépendance aux produits transformés inquiète les autorités de la santé publique.

Une tendance qu’il faut renverser

Anne Bouillon croit que la tendance peut être renversée, en ramenant les cours d’économie familiale dans les écoles, qui sont devenus facultatifs dans les écoles ontariennes, et abolis avec la réforme, au Québec.

Le ministère de l’Éducation de l’Ontario promet une révision. Les jeunes Ontariens pourraient suivre de nouveaux cours d’économie familiale dès la prochaine rentrée scolaire.

De son côté, le ministère de l’Éducation du Québec n’envisage pas de les réintégrer, malgré la demande de la part de nombreux parents.

Entre-temps, les directions de la santé publique, comme le médecin en chef de la Ville d’Ottawa, préparent des interventions et des campagnes, dont certaines se feront sur les réseaux sociaux, afin de capter l’attention des jeunes.

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Rappel de patients: la clinique fautive identifiée


De 2002 a 2010, il était temps qu’on ai remarquer des anomalies dans cette clinique médicale qui le médecin a agit de façon irresponsable mettant en danger ses patients et ceux que ces personnes côtoient .
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Rappel de patients: la clinique fautive identifiée

Rappel de patients: la clinique fautive identifiée

Le Dr Isra Levy affirme avoir agi « dans le meilleur intérêt de la population » lorsqu’il a dévoilé, ce week-end, que près de 6800 patients d’une clinique d’Ottawa pourraient y avoir contracté le virus de l’hépatite ou le VIH. Le nom de l’endroit a été dévoilé, hier : il s’agit de la clinique de la Dre Christiane Farazli.

Archives, LeDroit

 

François Pierre Dufault
Le Droit

Le médecin chef en santé publique de la Ville d’Ottawa dit qu’il a agi « dans le meilleur intérêt de la population » lorsqu’il a dévoilé, ce week-end, sans plus de détails, que près de 6800 patients d’une clinique médicale de la capitale pourraient y avoir contracté le virus de l’hépatite ou le VIH au cours des 10 dernières années.

Le Dr Isra Levy savait que sa sortie aurait l’effet d’une bombe. Il a tout de même décidé d’appuyer sur le détonateur, samedi, après qu’il a eu vent qu’un média de la région se préparait à en faire autant. Lors d’un point presse, hier,

le patron de Santé publique Ottawa (SPO) a dit craindre que ce média se base sur des « informations qui auraient pu être erronées ».

« Ça aurait causé plus de tort que de bien. J’avais devant moi un dilemme », a-t-il déclaré.

Vent de panique inévitable

Un vent de panique était inévitable, aux yeux du Dr Levy. Mais certaines informations étaient tout simplement « trop délicates », selon lui, pour être partagées avec le grand public avant que SPO soit fin prête à faire face à la crise. Hier, au moment même où le médecin chef rencontrait la presse, des lettres étaient envoyées par courrier recommandé afin de joindre les 6800 patients à risque.

On sait à présent que ces personnes pourraient avoir contracté le virus de l’hépatite B, de l’hépatite C ou le VIH lorsqu’elles ont subi un examen endoscopique à la clinique de la Dre Christiane Farazli (située au 1081 avenue Carling, suite 606), entre avril 2002 et juin 2010. Cette clinique n’a maintenant plus le droit de pratiquer ce type d’examen, après qu’une inspection de l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario (OMCO) eut révélé que les protocoles de nettoyage et de prévention des infections n’y étaient pas toujours respectés.

En d’autres mots, des instruments médicaux n’étaient pas toujours adéquatement désinfectés ou stérilisés. Certains produits chimiques utilisés pour la désinfection étaient périmés.

Enquête approfondie

Les pratiques de la Dre Farazli font l’objet d’une enquête approfondie de l’OMCO. Sa clinique demeure ouverte entre-temps. Tout dépendant des résultats de cette enquête, l’Ordre pourrait sévir davantage contre la médecin et « les mesures disciplinaires pourraient aller jusqu’à la révocation complète de son droit de pratiquer », a indiqué au Droit la porte-parole Kathryn Clarke.

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