C’est une bonne question, surtout avec tous ces produits préparés dans les épiceries, c’est assez tentant d’acheter la facilité .. Par contre on peut y perdre au point de vue économie, nutritif et rassasiant. Je ne sais pas si cela a un rapport avec les aliments préparés mais j’ai remarquer que beaucoup d’enfants sont très difficiles Ils refusent de manger des fruits et légumes, refusent tout aliments normal car il préfère les boites de macaronis au fromage, pogo, spaghetti au jus de tomates .. rien de très nutritif .. et en plus ils n’osent pas essayer de nouveautés santé
Nuage
Est-ce que vous cuisinez à la maison ?
La cuisine occupe énormément de place dans les médias, depuis quelques années. Mais ironiquement, bien que l’on consacre de plus en plus de temps à regarder des émissions de cuisine et de recettes, celui passé devant les fourneaux diminue.
Anne Bouillon, diététiste à Santé publique Ottawa, abonde dans le même sens. À son avis, les gens mangent des repas « prépréparés », qu’ils n’ont souvent qu’à réchauffer au micro-ondes, en croyant sauver du temps.
Cette dépendance aux produits transformés inquiète les autorités de la santé publique.
Une tendance qu’il faut renverser
Anne Bouillon croit que la tendance peut être renversée, en ramenant les cours d’économie familiale dans les écoles, qui sont devenus facultatifs dans les écoles ontariennes, et abolis avec la réforme, au Québec.
Le ministère de l’Éducation de l’Ontario promet une révision. Les jeunes Ontariens pourraient suivre de nouveaux cours d’économie familiale dès la prochaine rentrée scolaire.
De son côté, le ministère de l’Éducation du Québec n’envisage pas de les réintégrer, malgré la demande de la part de nombreux parents.
Entre-temps, les directions de la santé publique, comme le médecin en chef de la Ville d’Ottawa, préparent des interventions et des campagnes, dont certaines se feront sur les réseaux sociaux, afin de capter l’attention des jeunes.