La moustache de Salvador Dali est intacte, 28 ans après sa mort!


L’excentrique Salvador Dali, 28 ans après sa mort, a gardé sa moustache intacte ainsi que son corps est bien conserver par l’embaumement. L’ouverture de la tombe a pour but de prendre des échantillons et d’examiner les preuves grâce à l’ADN  que le peintre est le père ou non d’une cartomancienne. J’avoue avoir bien hâte d’avoir les réponses, à savoir si cette saga en valait la peine
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La moustache de Salvador Dali est intacte, 28 ans après sa mort!

 

HULTON DEUTSCH VIA GETTY IMAGES

Elle était dans sa position classique, à dix heures dix!

Les experts judiciaires chargés des prélèvements d’ADN sur la dépouille du peintre surréaliste espagnol Salvador Dali, mort il y a 28 ans, ont constaté que ses restes embaumés étaient bien conservés à commencer par sa célèbre moustache relevée, a annoncé la fondation Dali vendredi.

« Comme vous le savez, le corps de Dali avait été embaumé, il était momifié et la moustache a été préservée, comme l’a dit le médecin légiste (Narcís) Bardalet, elle était dans sa position classique, à dix heures dix », a déclaré le secrétaire général de la Fondation Dali Lluis Peñuelas Reixach vendredi lors d’une conférence de presse.

« C’était un moment émouvant pour lui et pour nous aussi », a-t-il ajouté en évoquant cette moustache noire relevée « en croc », si caractéristique de Dali, qui aimait s’en amuser en écarquillant les yeux.

Comme pour prolonger la rocambolesque vie du peintre surréaliste espagnol, une cartomancienne de 61 ans, Pilar Abel, née comme lui à Figueras, une petite ville du nord de la Catalogne, a déposé devant la justice une demande de reconnaissance de paternité, presque trente ans après la mort de Salvador Dali.

Malgré les efforts de la fondation qui gère son patrimoine et veille sur sa dépouille pour l’arrêter, la procédure judiciaire a suivi son cours, et la juge en charge du dossier a ordonné l’exhumation.

Celle-ci a été menée à bien pendant près de quatre heures jeudi à l’abri des regards dans le Théâtre-Musée Dali où l’excentrique artiste était enterré, après le départ des visiteurs.

Une lourde dalle de plus d’une tonne posée recouvrant sa tombe a dû être soulevée et le cercueil en bois massif a dû être ouvert.

Les experts ont prélevé des échantillons de « cheveu, d’ongle, et deux os longs », a encore dit Lluis Peñuelas aux journalistes.

Ils doivent désormais être analysés par l’Institut toxicologique de Madrid et comparés à l’ADN de la plaignante, ce qui prendra plusieurs semaines.

Si la filiation était démontrée, Pilar Abel, une femme aux yeux noirs et aux cheveux sombres, serait la seule descendance de Salvador Dali et pourrait prétendre à un quart de son héritage.

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Espagne: la justice ordonne l’exhumation de Dali après une demande en paternité


Salvador Dali aura-t-il une héritière ? Cela se peut, mais cela a l’air semble toute une histoire que pour la démêler, il faut faire le test de l’ADN
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Espagne: la justice ordonne l’exhumation de Dali après une demande en paternité

 

Salvador Dali... (PHOTO ARCHIVES AFP)

 

DANIEL BOSQUE, LAURENCE BOUTREUX
Agence France-Presse
Barcelone et Madrid

La justice espagnole a annoncé lundi avoir ordonné, presque 30 ans après sa mort, l’exhumation des restes du peintre Salvador Dali en vue d’un prélèvement d’ADN, car une voyante de 61 ans assure être sa fille.

Cette habitante de la ville de Gérone (Catalogne), Pilar Abel, tente depuis des années de faire valoir devant la justice que l’artiste était son père biologique.

Dali a été enterré en 1989 à Figueras où il est né en 1904. La plaignante, une cartomancienne qui serait, si elle avait gain de cause, sa seule fille, a également vu le jour dans la ville catalane.

«Le Tribunal de Première instance n° 11 de Madrid a ordonné l’exhumation du cadavre du peintre Salvador Dali, afin d’obtenir des échantillons de ses restes et déterminer s’il est le père biologique d’une femme de Gérone», a annoncé le service de communication du Tribunal supérieur de justice de Madrid.

L’exhumation permettra de prélever des échantillons d’ADN du peintre, «restes osseux ou dents», selon la décision judiciaire datée du 20 juin que l’AFP a pu consulter.

Elle est nécessaire «car il n’existe pas d’autres restes biologiques ni personnels pour effectuer une comparaison», lit-on aussi dans ce texte.

Les parties ont 20 jours ouvrables pour contester la décision et la Fondation Salvador Dali, qui gère et protège le patrimoine laissé par le peintre, a aussitôt assuré qu’elle déposerait un recours contre cette procédure civile.

Doutes

Née en 1956 dans une clinique de Figueras, Pilar Abel soutient que Dali et sa mère ont entretenu une liaison clandestine, quand cette dernière travaillait dans la petite localité côtière de Portlligat où le peintre séjournait souvent.

Dans un témoignage confus diffusé en mars 2015 à la télévision catalane TV3, elle assurait que quand elle avait huit ans, sa grand-mère lui avait confié:

 «Je sais que tu n’es pas la fille de mon fils, je sais que ton père est un grand peintre». «Elle m’avait dit le nom : Dali», affirmait-elle.

Sa mère, «amoureuse de Dali», lui aurait confirmé cette histoire avant d’être atteinte de démence sénile.

Son avocat, Enrique Blánquez, a assuré à l’AFP que l’histoire était «connue dans le village». «Il y a des témoins, s’il n’y avait une base de preuves minimale, cette décision n’aurait pas été prise», a-t-il plaidé.

Il a notamment évoqué un témoin qui travaillait pour Dali et que le peintre payait, selon lui, pour enquêter sur les allées et venues de la mère de Pilar Abel.

Dans un premier temps, la cartomancienne avait confié son dossier à Me Francesc Sostres, avocat connu pour avoir représenté un Catalan qui affirmait être le fils de Juan Carlos I, roi d’Espagne de 1975 à 2014, mais s’était vu débouté de sa demande de reconnaissance.

Pilar Abel a, elle, dû se trouver un autre avocat, ne pouvant plus payer les honoraires du premier.

Le journal catalan La Vanguardia l’avait présentée en 2015 sous le titre

 «La voyante qui se prend pour la fille de Salvador Dali», en avertissant que l’histoire paraissait «totalement invraisemblable».

Le journal assurait qu’elle avait déjà vainement réclamé 600 000 euros à l’écrivain espagnol Javier Cercas pour de présumées injures dans un de ses romans.

Grand nom du surréalisme, Salvador Dali est mort à 84 ans le 24 janvier 1989 dans un hôpital de Figueras, après une vie intense et trépidante, alimentée par ses créations géniales et ses extravagances.

Richissime et désespéré, il a vécu ses sept dernières années reclus dans son château de Pubol, près de Gérone, au milieu d’une cour de soignants et de secrétaires.

Il est enterré au sein du théâtre-musée de Figueras qu’il avait lui-même imaginé et qui a reçu, en 2016, plus de 1,1 million de visiteurs.

Dans ses dernières volontés, Dali avait pourtant demandé à reposer à Pubol auprès de sa muse, Gala, qui avait partagé une grande partie de sa vie.

Reste que cette demande en paternité aurait peut-être amusé Dali le facétieux, qui avait vendu un faux poil de sa moustache 10 000 dollars à Yoko Ono, selon un récit de l’actrice et ancienne chanteuse française Amanda Lear.

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Le Parkinson détectable sur de vieux tableaux de Dali


Chez les peintres, il serait peut-être possible de diagnostiquer des maladies dégénératives telles que le Parkinson et l’Alzheimer des années avant le diagnostic. Les scientifiques se sont penchés sur les grands peintres connus comme Salvador Dali
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Le Parkinson détectable sur de vieux tableaux de Dali

Le Parkinson détectable sur de vieux tableaux de Dali

La peinture pourrait aider à dépister des maladies dégénératives plus tôt.Photo Archives / AFP

Les peintres souffrant des maladies de Parkinson et d’Alzheimer pourraient être diagnostiqués très en amont grâce à l’analyse de leurs coups de pinceaux, affirme une étude publiée jeudi, s’appuyant sur des tableaux de Salvador Dali et Willem De Kooning.

L’étude a été menée sur 2092 peintures, dont des tableaux de deux artistes ayant souffert de la maladie de Parkinson, Salvador Dali et Norval Morrisseau, et de deux autres peintres eux victimes de la maladie d’Alzheimer, Willem de Kooning et James Brooks.

Des œuvres de Marc Chagall, Pablo Picasso et Claude Monet – qui n’ont pas souffert, eux, de maladies neurodégénératives – ont également été intégrées à l’étude, à des fins de comparaisons.

«Parvenir à savoir le plus tôt possible si vous avez un problème de santé est toujours une avancée médicale», explique à l’AFP Alex Forsythe, un des auteurs de l’étude, professeur de psychologie à l’université de Liverpool.

Les scientifiques ont recouru à l’analyse dite «fractale». Déjà utilisée pour différencier un tableau authentique d’une imitation, cette technique d’imagerie numérique a permis ici d’évaluer le degré de complexité des tableaux.

Dans les cas de De Kooning et Brooks, l’étude, publiée dans la revue américaine Neuropsychology, a mis en lumière une forte baisse de la complexité de leurs œuvres dès l’âge de 40 ans, soit bien avant que la maladie d’Alzheimer ne leur soit diagnostiquée.

De Kooning a été officiellement diagnostiqué en 1989, à l’âge de 85 ans, et Brooks à 79 ans.

COMPLEXITÉ ACCRUE

Pour Dali et Morrisseau, la recherche a conclu à une hausse de la «dimension fractale» au milieu de leur vie, suivi d’un déclin à l’approche de leurs 60 ans.

Or, Dali a été diagnostiqué de la maladie de Parkinson à 76 ans, quand sa main droite s’est mise à trembler fortement. Morrisseau avait lui 65 ans lors du diagnostic.

Dans les cas de Chagall, Monet et Picasso, l’étude montre une tendance inverse: une complexité accrue de leurs tableaux au fil des ans.

«J’espère que cette étude va déclencher une réflexion sur ce qui se passe dans le cerveau bien en amont» du diagnostic de la maladie, conclut Alex Forsythe.

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Etats-Unis: une aquarelle volée de Dali renvoyée par la poste à son propriétaire


Surprenant qu’un tableau aussi célèbre a pu passer incognito et quitter sans aucune difficulté un musée sensée avoir une certaines sécurité .. Le propriétaire doit être bien soulager
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Etats-Unis: une aquarelle volée de Dali renvoyée par la poste à son propriétaire

 

Une aquarelle du peintre Salvador Dalí qui avait été dérobée en pleine journée il y a une dizaine de jours dans une galerie d’art de New York a été renvoyée par la poste à son propriétaire.

Le tableau, « Cartel del Don Juan Tenorio », « a été retrouvé le 28 juin. Il a été envoyé aux Etats-Unis par la poste et les douanes l’ont saisi. La police de New York l’a récupéré et l’a rendu à son propriétaire », a déclaré à l’AFP un porte-parole de la police.

L’aquarelle « a été envoyée depuis Athènes, en Grèce », a-t-il précisé, ajoutant que « personne » n’avait été interpellé à ce stade de l’enquête.

Estimée à quelque 150.000 dollars, cette petite toile peinte par l’artiste espagnol en 1949 était exposée à la galerie « Venus Over Manhattan », ouverte le mois dernier près de Central Park, dans le quartier d’Upper East Side à Manhattan.

Le voleur avait pu commettre son larcin et repartir tranquillement sans être inquiété.

Il « est entré, passant pour un possible client, il a pris la peinture et il est parti », avait expliqué la police.

Le voleur avait été filmé par les caméras de surveillance de la galerie, s’éclipsant avec un grand sac dont sortait le cadre de la peinture.

Il s’agit « d’un homme entre 35 et 45 ans, qui mesure entre 1m75 et 1m80, et portait une chemise à carreaux noirs et blancs », avait indiqué la police.

© 2012 AFP

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