Dormir avec son animal de compagnie: oui ou non?


Je ne suis pas très enthousiasmé que mon chat vienne sur mon lit. On devrait garder notre lit que pour nous, et habituer les animaux d’avoir un coin bien à eux
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Dormir avec son animal de compagnie: oui ou non?

 

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    Photo : Shutterstock
Chantal Brousseau, Coupdepouce.com ,
 

Vous vous réjouirez de savoir qu’il n’existe aucune recommandation scientifique déconseillant de partager son lit avec son animal. Toutefois, avant de lui donner carte blanche, voici quelques conseils pour prendre une décision éclairée.

Une question de salubrité

Le pelage de notre animal peut renfermer des parasites, des bactéries et des poussières. Avant de lui donner accès à notre lit, on s’assure qu’il est exempt de parasites externes et intestinaux. Aussi, on n’oublie pas que les petits félins piétinent leur litière chaque jour. Un changement de draps deux fois par semaine est grandement recommandé!

Une question de santé

Les animaux peuvent transmettre des zoonoses (maladies transmissibles à l’être humain). Les personnes immunosupprimées ou souffrant d’asthme ou d’allergies devraient s’abstenir de partager leur chambre avec un animal.

Une question de sécurité
Lorsqu’on est assoupis, on peut effectuer des mouvements brusques. Un animal surpris dans son sommeil peut mordre. Si nous avons un très petit animal et un sommeil profond, il est possible qu’on écrase notre animal durant la nuit. C’est un pensez-y-bien!

Une question de constance

Permettre à notre animal de monter dans notre lit seulement de temps en temps le rendra confus, et il risque de vouloir y retourner sans notre accord. Alors c’est noir ou blanc, et pour sa santé psychologique, c’est très bien ainsi!

Votre chien n’est pas dominant

Un vieux mythe entretient l’idée qu’un chien qui a le droit de dormir dans le lit de son maître deviendra dominant et possessif de ce territoire. La grande majorité des experts en comportement canin réfutent cette fausse croyance depuis déjà plusieurs années. En effet, si votre chien exprime le désir de dormir dans votre lit, c’est tout simplement parce que ce dernier est douillet et confortable et qu’il y retrouve vos odeurs. Ce «passe-droit» ne le rendra ni dominant ni agressif! S’il devient agressif lorsqu’on lui demande de descendre du lit, on consulte un spécialiste qui saura déterminer la source de cette émotion et nous indiquer comment régler la situation.

Petit deviendra grand

En réfléchissant à la taille qu’aura notre chiot lorsqu’il sera adulte, on peut évaluer si cette situation nous conviendra toujours, car il nous sera extrêmement difficile de lui faire perdre cette habitude après plusieurs mois.

Conseil de pro no 1: dissuader Minou d’aller dans notre lit

Pour dissuader notre chat d’aller somnoler dans notre lit durant nos absences, on dépose des feuilles d’aluminium sur notre couette, sur toute sa surface. Notre chat détestera cette texture sous ses pattes! En posant ces feuilles sur notre lit chaque matin durant deux semaines, on découragera Minet d’y retourner (garanti!), et ce, même lorsque les feuilles d’aluminium n’y seront plus.

Conseil de pro no 2: enseigner à Fido à apprécier son propre lit

On attire Fido dans son lit au moyen de friandises. On ne lui offre la gâterie que lorsque ses quatre pattes sont dans son lit. On répète l’exercice à plusieurs reprises chaque jour. On y dépose aussi des friandises lorsqu’il n’y est pas afin qu’il soit agréablement surpris lorsqu’il y retournera. En quelque temps, son lit deviendra un lieu privilégié, et il y dormira de son propre chef!

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Plusieurs maladies alimentaires proviendraient des restaurants


Même si des inspections sont fait et des programmes sont mit de l’avant dans la restauration, pour une meilleur qualité a la consommation d’aliments, il semble que cela n’est pas suffisant .. et ce a divers paliers.
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Plusieurs maladies alimentaires proviendraient des restaurants

Paul Clarke
La Presse Canadienne
Ottawa

Un nouveau rapport sur la salubrité des aliments publié par le Conference Board du Canada indique qu’au moins la moitié des maladies provenant de la nourriture au pays sont contractées dans des restaurants ou chez d’autres fournisseurs de produits alimentaires.

Le rapport souligne également que les Canadiens souffrent plus souvent de salmonelle, de la bactérie E. coli, de la camplyobactérie et des bactéries Yersinia que les Américains.

L’étude note que la majorité des aliments consommés par les Canadiens sont sans danger, mais elle rappelle que 8,5 pour cent des adultes canadiens ont souffert l’an dernier d’une maladie de source alimentaire suffisamment sévère pour leur faire manquer le travail.

Selon Daniel Munro, l’un des chercheurs ayant pris part à l’étude, le rapport conclut sur le fait que le Canada possède un bon système d’inspection des aliments, mais que des améliorations peuvent être apportées à la chaîne de distribution, particulièrement dans les services alimentaires et dans les foyers.

La majorité des maladies sont causées par des erreurs lors de la préparation finale et de la manipulation de la nourriture, y compris lorsque la nourriture est réchauffée, ainsi que lors de contamination croisée. Chaque année au Canada, environ 6,8 millions de cas de maladies d’origine alimentaire sont recensés.

Une partie des problèmes peut être reliée aux systèmes d’inspections dans les restaurants qui sont vus comme étant trop sporadiques pour avoir un impact sur les pratiques alimentaires quotidiennes des restaurants.

Cependant, selon Garth Whyte, le président-directeur général de l’Association canadienne des restaurateurs et des services alimentaires, le rapport mérite d’être rejeté, étant «étrangement pauvre en faits vérifiés».

«Les auteurs de cette étude n’ont même pas cru bon de nous contacter pour connaître les mesures que nous avons mises en place, et s’ils l’avaient fait, ils auraient appris qu’il existe trois programmes gouvernementaux de salubrité alimentaire qui forment annuellement des dizaines de milliers de personnes manipulant de la nourriture», a dit M. Whyte.

Le rapport présente une série de recommandations pour améliorer le système de salubrité alimentaire du pays, incluant la diffusion d’informations et de conseils aux restaurants et aux autres fournisseurs de services alimentaires sur la façon de minimiser les risques liés aux aliments.

L’étude presse également les gouvernements de profiter des initiatives d’information de la population en faisant participer les consommateurs aux discussions concernant la salubrité alimentaire.

Le rapport a été rendu public au dernier jour d’une conférence de 48 heures du Canadian Food Summit organisée à Toronto.

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Votre bureau est-il propre?


Même si nous ne mangeons pas au bureau, je pense que beaucoup malheureusement mangent devant leur ordinateur sans nécessairement nettoyer avant et après .. Alors sachez qu’en plus du repas, il y a un nombre incalculable de bactéries qui s’offrent a vous pour faire partie de votre lunch
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Votre bureau est-il propre?

 

Votre bureau est-il propre?

© Shutterstock

Par Frank Berkoff – Agence QMI

À l’heure du lunch, 64 % des gens mangent sur un bureau couvert de bactéries

Je travaillais auparavant dans un bureau toujours grouillant d’activités et par conséquent, l’heure du dîner se résumait bien souvent à un repas avalé à la hâte sur mes genoux. Je courais acheter quelque chose à la cafétéria ou j’apportais mon lunch, mais je mangeais quand même toujours à mon bureau. Ça vous dit quelque chose?

Pour plusieurs d’entre nous, l’heure du lunch est le seul moment dont nous disposons pour répondre à nos courriels, débarrasser notre bureau de la paperasse qui l’encombre et avoir un peu de tranquillité. À ce jour, c’est le mode de fonctionnement de bien des gens qui travaillent dans un bureau. Cela dit, je suis à peu près certaine que tout cela n’est pas bien bon pour notre santé mentale… ni pour notre santé tout court. Une récente étude commanditée par l’American Dietetic Association et ConAgra Foods est venue confirmer mes craintes. C’est un sondage américain, mais je crois que les résultats pourraient probablement s’appliquer aussi ici.

Plus de bactéries sur un bureau que sur un siège de toilettes


Cette étude a permis de constater que 80 % des travailleurs aux États-Unis mangent régulièrement à leur bureau le midi et que seulement 36 % nettoient leur bureau, leur souris et leur clavier chaque semaine. C’est là une donnée significative parce qu’il y a quelques années, une autre étude avait révélé que le dessus d’un bureau abritait en moyenne autant de bactéries qu’une table de cuisine… et encore plus qu’un siège de toilettes ordinaire.

Si cela ne suffit pas à vous faire lever le coeur, gardez en tête que ces bactéries ont le pouvoir de vous rendre…malade!

L’étude a aussi permis de découvrir qu’en plus de ne pas nettoyer leurs bureaux, bien des répondants au sondage ont avoué que le frigo du bureau n’était jamais nettoyé et près de la moitié ont dit qu’ils laissaient leur lunch – qui avait pourtant besoin d’être gardé au froid – hors du frigo, d’un sac réfrigérant ou d’un congélateur pendant trois heures ou plus. Que tous ceux qui ont déjà fait ça lèvent la main!

12 suggestions pour améliorer la salubrité alimentaire au bureau


1 Gardez dans votre tiroir un désinfectant pour les mains, des lingettes antibactériennes et du nettoyant en vapo.

2 Nettoyez avant de manger: bureau, téléphone, souris et le clavier d’ordinateur.

3 Lavez-vous les mains avant de manger et si vous n’avez pas accès à un évier, utilisez des lingettes antibactériennes pour le faire.

4 Si vous apportez des aliments périssables tels que des sandwiches contenant de la charcuterie, des restes d’un repas ou une salade de pâtes, ne les laissez pas plus de deux heures à la température ambiante entre le moment où vous les sortez du frigo à la maison et celui ou vous les placez dans le frigo du bureau.

5 Utilisez un sac isolant avec des blocs réfrigérants s’il n’y a pas de frigo.

6 Investissez dans un thermomètre pour le frigo du bureau.

7 Réfrigérez rapidement les restes. Après deux heures, les bactéries nocives commencent à se multiplier. Un sandwich ou une pointe de pizza laissés sur le comptoir de la salle de repos peuvent paraître bien invitants, mais s’ils y sont depuis trop longtemps, vous risquez d’être (vraiment) malade.

8 Ne goûtez jamais les aliments qui ont un aspect ou une odeur inhabituels pour vérifier s’ils sont encore bons. Jetez-les. (Ou mieux, laissez-les dans le frigo pour le collègue qui passe son temps à voler votre lunch!)

9 Inscrivez votre nom et la date sur chaque plat que vous apportez.

10 Établissez une règle pour que le frigo du bureau soit nettoyé régulièrement et jetez les aliments qui s’y trouvent depuis trop longtemps.

11 Laissez décongeler les aliments au frigo, ou passez-les au micro-ondes. Ne les laissez jamais sur le comptoir.

12 Si vous apportez des aliments dans un sac réutilisable, lavez-le souvent

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