Un tiers des milléniaux américains n’est pas sûr que la Terre est ronde


Si 1/3 des milléniaux (gens qui sont nés entre 1982 et 2004) américains croient que la Terre est plate alors sûrement que d’autres ailleurs le croient aussi. Est-ce avec Internet qui propage diverses théories du complot ? Il semble que le salaire et la croyance d’une religion peuvent influer sur le fait que la terre soit plate, alors que tout prouve le contraire.
Nuage

 

Un tiers des milléniaux américains n’est pas sûr que la Terre est ronde

 

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Ronde ou plate? | Greg Rakozy via Unsplash License by

Repéré par Aurélie Rodrigues

Ou pense même qu’elle est plate.

 

Repéré sur Forbes

YouGov, le site de sondages en ligne, a voulu faire un état des lieux des croyances des Américains quant à la forme de la Terre. À la question «Pensez-vous que la terre est ronde ou plate?», les 8.215 participants avaient le choix entre plusieurs réponses:

– «J’ai toujours été convaincu que la Terre était ronde.»

– «J’ai toujours été convaincu que la Terre était ronde mais depuis quelque temps j’en doute/je suis sceptique.»

– «J’ai toujours été convaincu que la Terre était plate.»

– «Autre/Pas sûr.»

Sur le total des personnes interrogées, seulement 2% d’entre elles sont fermement convaincues que la Terre est plate alors que 84% sont persuadées du contraire –le reste des participants ayant répondu «Autre/Pas sûr». Jusque-là, aucune surprise.

Cependant, les chiffres deviennent intéressants quand on analyse les résultats par tranche d’âge: seulement 66% des personnes de dix-huit à vingt-quatre ans pensent que la Terre est ronde, pour 94% des seniors. Comment expliquer ce clivage?

En 2015, le magazine Harvard Political Review révélait la méfiance grandissante des jeunes Américains quant à la science: selon le sondage annuel Harvard Public Opinion Project, 23% des millenials déclaraient que «le réchauffement climatique est une théorie qui n’a pas encore été prouvée».

La religion et le salaire: deux autres indicateurs révélateurs

Quand on étudie le niveau de revenus des participants, un autre écart significatif frappe: 92% de ceux qui gagnent plus de 80.000 dollars par an sont convaincus que la Terre est ronde contre 79% de ceux qui gagnent moins de 40.000 dollars par an.

Les différences salariales sont parfois synonymes de fossé éducationnel. En 2015, The Atlantic expliquait que les riches sont plus susceptibles d’obtenir un diplôme d’études supérieures que les personnes issues d’une famille à faible revenu.

Pour Neil deGrasse Tyson, un astrophysicien, c’est la faute du système éducatif américain: «On doit apprendre aux élèves à questionner le savoir que les professeurs leur enseignent et pas simplement à tout absorber. Sans ça, les enfants vont commencer à croire à tout et n’importe quoi», expliquait-il dans une vidéo sur sa chaîne Youtube StarTalk.

À partir d’un autre échantillon de données, Forbes a établi une corrélation entre la religion et le fait de croire ou non que la Terre est ronde: 52% des 55.172 profils inscrits sur YouGov se définissant comme «très religieux» croient que la Terre est plate.

On aurait pu penser que ce débat était clos depuis longtemps, mais ces dernières années le mouvement des flat-earthers –ceux qui croient que la Terre est plate– a refait surface. Peut-être, comme l’indique Forbes France, parce qu’internet est l’outil parfait pour favoriser la prolifération de la désinformation et les théories du complot.

https://www.slate.fr

Les 20 hommes les plus riches du monde auraient pu éradiquer 7 fois l’extrême pauvreté en 2017


Seulement 20 des plus riches du monde pourraient à eux seuls éradiquer la pauvreté dans le monde qui n’ont que 2 ou 3 dollars par jour pour survivre et d’autres n’ont rien du tout comme salaire. On vise aussi les entreprises qui cherchent dans quels pays que leurs usines pourraient fonctionner avec des salaires minables sans protection et assurance santé, accident … Ce n’est pas d’être riche qui est pire, ni les profits, mais c’est ce que l’on en fait.
Nuage

 

Les 20 hommes les plus riches du monde auraient pu éradiquer 7 fois l’extrême pauvreté en 2017

 

Par Aude Massiot

    Oxfam dénonce, dans un rapport publié ce lundi, le désengagement des Etats dans la lutte contre l’accroissement des inégalités économiques dans le monde.

    • Les plus riches toujours plus riches, les plus pauvres à peine moins pauvres

      Grand-messe du libéralisme, le Forum économique mondial de Davos (Suisse) se déroule, cette année, du 17 au 20 janvier. Pour l’occasion, l’ONG Oxfam publie son dernier rapport sur les inégalités économiques dans le monde, intitulé Une économie au service des 99%. Depuis 2015, les 1% les plus prospères détiennent autant de richesses que le reste de la planète. En France, ces 1% les plus aisés possèdent 25% des richesses nationales.

      «Il est indécent que tant de richesses soient concentrées dans les mains d’une si infime minorité, quand on sait qu’1 personne sur 10 dans le monde vit avec moins de 2 dollars par jour, alerte Manon Aubry, porte-parole d’Oxfam France. Les inégalités relèguent des centaines de millions de personnes dans la pauvreté, fracturent nos sociétés et affaiblissent la démocratie.»

      Des entreprises mises en cause

      L’étude attribue ces inégalités, tout d’abord, aux pressions exercées par les entreprises sur les travailleurs, pour limiter leurs coûts salariaux et augmenter leurs bénéfices.

      «Tandis que de nombreux PDG, souvent rémunérés en actions, ont vu leur rémunération s’envoler, les salaires de base des producteurs et des travailleurs ont très peu évolué, voire baissé dans certains cas», précise le rapport.

      Les revenus des 10% les plus pauvres ont augmenté de moins de 3 dollars par an, entre 1988 et 2011, tandis que l’augmentation des revenus des 1% les plus riches a été 182 fois supérieure.

      Certaines entreprises optimisent aussi leurs bénéfices en allégeant le plus possible leur charge fiscale. Pour cela, toutes les techniques d’évasion fiscale sont bonnes, notamment les fiscalités attrayantes que proposent certaines pays.

      «Le Kenya perd, chaque année, 1,1 milliard de dollars à cause de l’évasion fiscale, soit près du double du budget de la santé dans un pays où 1 femme sur 40 décède lors de l’accouchement.» 

      A l’échelle du continent, l’Afrique subit un manque à gagner fiscal de 14 milliards de dollars par an.

      Oxfam critique aussi les entreprises qui favorisent l’enrichissement de leurs actionnaires, à celui de leurs salariés. Elles sont nombreuses. Cette année, par exemple, les quarante premières capitalisations de la place financière parisienne ont distribué 57,1 milliards d’euros de dividendes, soit le plus haut niveau jamais atteint depuis 2007, à la veille du krach.

      Des riches toujours plus riches

      Les dérives de l’économie de marché mondialisée sont pointées du doigt.

      «Nous avons pu observer à quel point la corruption et la connivence faussent les marchés aux dépens des citoyens ordinaires, et comment la « productivité » excessive du secteur financier exacerbe les inégalités», développe leur rapport.

      Oxfam n’est pas la seule organisation à mettre en évidence les conséquences néfastes du système économique mondialisé tel qu’il fonctionne actuellement.

      «Les coûts du néolibéralisme en termes de croissance des inégalités sont flagrants. […] En plus d’augmenter les probabilités d’une krach, le libre-échange augmente les inégalités», soulignaient des économistes du FMI, dans un rapport publié en juin.

      Le super enrichissement des entreprises se répercute sur celui de certains individus. En 2016, 1 810 personnes étaient millardaires dans le monde, réunissant 6 500 milliards de dollars entre leurs mains. Grâce à des manipulations fiscales et de bons placements, les plus prospères font croître leurs richesses mécaniquement et rapidement. Bill Gates, l’homme le plus riche de la planète (75 milliards de dollars), a ainsi augmenté sa fortune de 50 % depuis qu’il a quitté Microsoft en 2006, selon le classement Forbes. Par ailleurs, un tiers de la fortune des milliardaires dans le monde provient d’héritages.

      «Il faudrait commencer par créer des entreprises et une économie où il n’est pas possible d’amasser des fortunes excessives : par exemple, en limitant les salaires des dirigeants et en encourageant des modèles d’entreprise qui n’accordent pas de récompense indue aux actionnaires, détaille le rapport d’Oxfam. Deuxièmement, il ne sera possible d’éliminer les richesses excessives que si des mesures sont prises pour mettre fin à l’influence indue que les élites exercent sur la politique et l’économie.»

      Des Etats victimes et coupables

      En avril 2013, la Banque mondiale a adopté deux objectifs ambitieux : mettre fin à l’extrême pauvreté mondiale et promouvoir la prospérité partagée partout dans le monde, de manière durable. Le but est de réduire la pauvreté d’une proportion 10,7% d’individus à l’échelle mondiale en 2013, à 3% en 2030.

      Pour cela, «il est important de réduire les inégalités car elles sont liées intrinsèquement à la réduction de la pauvreté absolue et une meilleure répartition de la prospérité», détaille un rapport publié en septembre par la Banque mondiale. 

      Que font les Etats dans tout ça ?

      «Les gouvernements ne sont pas impuissants face aux forces du marché, interpelle Manon Aubry. Quand les responsables politiques arrêteront d’être obsédés par le PIB et se focaliseront sur l’intérêt de l’ensemble de leurs citoyen-ne-s, et non seulement d’une élite, un avenir meilleur sera possible pour toutes et tous.» 

      L’ONG propose, entre autres, de ne plus construire les politiques publiques sur des objectifs de croissance du PIB, mais de se baser sur d’autres références : l’indicateur de progrès véritable, l’indice du «vivre mieux» de l’OCDE ou encore l’indice du progrès social.

      http://www.liberation.fr/

      Des messages alarmants retrouvés dans des vêtements chez Zara


      Des marques connues font faire leurs vêtements aux moindres coups. Malheureusement, les conditions de travail et de salaire sont dérisoires pour les employés et quand ces usines fermes, ils peuvent avoir des mois de salaires non payés et sans travail
      Nuage

       

      Des messages alarmants retrouvés dans des vêtements chez Zara

       

      © reuters.

      VIDÉO Cette situation fait étrangement penser à celle d’il y a trois ans avec l’enseigne Primark.

      « J’ai fabriqué l’article que vous vous apprêtez à acheter mais je n’ai pas été payé pour ».

      Voilà la phrase inscrite sur une étiquette glissée dans plusieurs vêtements de la marque Zara à Istanbul (Turquie).

      Ce signal de détresse a été déposé par des ouvriers de l’usine de textile Bravo (usine frabriquant les vêtements pour les enseignes Zara, Next et Mango).

       « Nous n’avons reçu ni nos trois derniers mois de salaires, ni nos primes d’ancienneté », expliquent-ils. « L’usine, elle, a été fermée en l’espace d’une nuit. S’il vous plaît, dites à Zara de nous payer ».

      Pas le premier cas

      Bravo Tekstil a, en effet, fermé ses portes le 25 juillet 2016 laissant ainsi 140 employés sur le carreau. Après un an de négociation pour tenter de récuperer leur salaire, une autre mauvaise nouvelle est malheureusement tombée.

      « Les marques ont déclaré qu’elles ne payeraient qu’un peu plus d’un quart de ce que nous réclamions. En d’autres termes, les marques ont accepté leur responsabilité mais elles ont pensé que nous ne méritions pas plus que leurs restes », pouvait-on lire sur une pétition.

      Ce n’est pas la première fois que les conditions de travail dans une usine de textile sont pointées du doigt. En 2014, des clients de chez Primark avaient retrouvé une étiquette similaire dans des robes fabriquées en Chine. Sur cette dernière, on pouvait lire la phrase: « Forced to work exhausting hours » (obligé de travailler des heures supplémentaires, ndlr).

      http://www.7sur7.be

      Les vêtements Ivanka Trump sont faits par des ouvriers payés un dollar de l’heure


      Alors que Donald Trump parle de « made USA »il semble que cela ne vise pas sa fille dont sa compagnie de vêtements ne semble pas se gêner de prendre des sous-traitants dont les ouvriers sont payés 1 $ l’heure. En plus, la plupart des ouvriers n’ont pas d’assurance-maladie, de retraite et de chômage qui serait une transgression des lois comme en Chine, et pour les congés payés, c’est vraiment pitoyable sans parler des conditions de travail qu’aucun Américain n’accepterait de travailler.
      Nuage

       

      Les vêtements Ivanka Trump sont faits par des ouvriers payés un dollar de l’heure

       

      Ivanka Trump participe à une table ronde sur la place des femmes dans le monde, le 25 avril 2017 à Berlin. ODD ANDERSEN/AFP

      Ivanka Trump participe à une table ronde sur la place des femmes dans le monde, le 25 avril 2017 à Berlin. ODD ANDERSEN/AFP

      Repéré par Claire Levenson

      Repéré sur Washington Post

      L’usine chinoise où est produite la ligne Ivanka Trump a été auditée par une ONG et plusieurs violations ont été révélées.

      Le grand dada d’Ivanka Trump, la fille aînée du président américain, est d’aider les femmes à s’épanouir dans le monde de l’entreprise. Elle vient d’écrire un livre sur le sujet et adore les tables-ronde sur l’empowerment des femmes. Mais sous cette façade de femme engagée, il y a la réalité du business: la ligne Ivanka Trump est faite par des ouvriers chinois payés un dollar de l’heure.

      Le Washington Post vient de révéler que l’usine de G-III Apparel Group, le sous-traitant exclusif de la marque Ivanka Trump, n’était pas vraiment un lieu d’empowerment des travailleurs. Selon un audit réalisé par l’ONG Fair Labor Association, les travailleurs faisaient souvent plus d’heures supplémentaires que le maximum autorisé en Chine –avec parfois des semaines de soixante heures– pour un salaire d’un dollar de l’heure, ce qui est inférieur au minimum légal dans certaines régions chinoises. Ce sous-traitant fait aussi des vêtements pour d’autres marques, dont Calvin Klein et Tommy Hilfiger.

      Et le made in USA?

      Ivanka Trump, qui a désormais un rôle officiel de conseillère du président, a démissionné de son poste de management de la ligne de mode, mais elle continue d’en être en partie propriétaire. Depuis l’audit, qui a été effectué en octobre, les usines G-III en Chine, au Bangladesh, au Vietnam et en Amérique du Sud ont expédié 110 tonnes de vêtements Ivanka. Cela n’empêche pas Donald Trump de se présenter comme un grand défenseur du «made in USA».

      Selon le rapport de l’ONG, moins d’un tiers des ouvriers de cette usine bénéficiaient d’une assurance maladie, retraite et chômage, ce qui est normalement obligatoire dans le pays.  Les inspecteurs ont aussi trouvé que les employés n’avaient que cinq jours de congés payés par an et que les conditions de sécurité n’étaient pas aux normes.

      Malgré les boycotts de la marque, la campagne et la présidence de Trump ont jusqu’ici donné un coup de pouce aux ventes de la marque Ivanka Trump. Un des meilleurs mois pour les ventes a été février 2017, après que la conseillère du président, Kellyanne Conway, a déclaré sur Fox News: «Allez acheter les fringues d’Ivanka!»

      http://www.slate.fr/

      Le Saviez-Vous ► Amusantes et surprenantes, ces statistiques de 1909


      Des statistiques prix en 1909 au Canada et aux États-Unis. Le prix de certains produits alimentaires, le nombre d’automobile, meurtre, et taxe et bien d’autres. Nous pouvons constater que les temps ont bien changé
      Nuage

      Amusantes et surprenantes, ces statistiques de 1909

       

      Claude Bérubé

      Essayiste, conférencier et blogueur

      Voici quelques statistiques retrouvées de 1909. Nous sommes en 2016, donc 107 ans se sont écoulés …Je vous les présente sans autre cérémonie. Pour votre simple amusement. Ou pour un haussement d’épaules. Surtout pour se rendre compte comment tout peut évoluer en un siècle avec nostalgie pour les plus vieux et surprise pour les plus jeunes. Je ne peux garantir leur authenticité, mais il y a sûrement beaucoup de véracité. Je les imagine américaines, mais si proches des canadiennes.

      • La moyenne d’âge des hommes était d’environ 47 ans.
      • L’essence pour une Ford 1909 n’était vendue qu’en pharmacie.
      • Seulement 14% des maisons possédaient une baignoire.
      • Seulement 8% des maisons avaient le téléphone.
      • Il n’y avait que 8000 automobiles dans le monde entier et seulement 144 miles de route étaient pavés.
      • Dans presque toutes les villes, la limite de vitesse était de 10 miles à l’heure
      • La plus haute structure au monde était la Tour Eiffel.
      • Le salaire moyen aux États-Unis était de 22 cents l’heure.
      • Le salaire moyen des travailleurs américains était de 200 et 400 $ par année.
      • Un professionnel comptable pouvait gagner 2000 $ par an, un dentiste environ 2500 $, un vétérinaire entre 1500 et 4000 $ et un ingénieur mécanique 5000 $.
      • 95% des femmes accouchaient dans leur demeure.
      • 90% des médecins n’avaient pas d’éducation collégiale. Ils avaient plutôt fréquenté, ce qu’on appelait, une école médicale condamnée par les médias du temps et les gouvernements comme étant sous standardisée.
      • Le sucre se vendait 4 cents la livre.
      • On obtenait une douzaine d’œufs pour 14 cents.
      • La livre de café était à 15 cents.
      • La plupart des femmes ne se lavaient les cheveux qu’une fois par mois, et elles utilisaient soit du Borax ou du jaune d’œuf comme shampoing.
      • Le Canada a passé une loi défendant à toutes personnes pauvres d’entrer au pays.
      • Les cinq principales causes de décès étaient : la pneumonie ou l’influenza, la tuberculose, la diarrhée, maladie du cœur et attaque cardiaque.
      • Le drapeau américain n’avait que 45 étoiles.
      • Il n’y avait que 30 résidents à Las Vegas.
      • Les mots croisés, les canettes de bière et le thé froid n’avaient pas encore été inventés.
      • Il n’y avait pas de Fêtes des mères ni des pères.
      • Deux adultes sur dix ne savaient ni lire ni écrire.
      • Seulement 6% de tous les Américains avaient obtenu leur diplôme de secondaire.
      • La marijuana, l’héroïne et la morphine étaient vendues à la pharmacie du coin comme médicaments.
      • Les pharmaciens disaient que l’héroïne nettoyait la complexion, donnait de l’énergie au cerveau, activait et régulait l’estomac et les intestins et qu’enfin, c’était l’ange gardien de la santé.
      • 18% des domiciles avaient au moins un ou une domestique ou servante à plein temps.
      • Il n’y eut que 230 meurtres rapportés dans tous les États-Unis
      • 95% des taxes que nous payons aujourd’hui n’existaient pas en 1909.

      On peut facilement imaginer que dans un siècle, on lira nos statistiques actuelles avec le même amusement.

      http://quebec.huffingtonpost.ca/

       

      Le Saviez-Vous ► L’argent ne fait pas le bonheur…


      Vivre sans argent est pratiquement impossible même si on essaie de faire du troc comme autrefois.
      Depuis que l’homme a voulu échanger des choses, des moyens ont été créer des richesses de plus en plus grandes
      Nuage

       

      L’argent ne fait pas le bonheur…

       

      L'argent ne fait pas le bonheur…

      Ariel Fenster

      C’est ainsi que commence un dicton français, avec en seconde partie… «mais il y contribue». Ce qui est certain c’est que l’argent joue un rôle primordial dans notre vie et cela depuis les temps immémoriaux.

      Mais l’argent a pris différentes formes au cours de l’histoire. Au départ, la monnaie d’échange était basée sur le troc. On payait avec des commodités qui avaient une valeur intrinsèque; le sel par exemple. Les légionnaires romains recevaient régulièrement leur ration de sel (salarium). Ce qui nous a donné le «salaire». Une personne riche qui avait beaucoup de bétail avait un cheptel ou un «capital». Les deux termes viennent de la même racine latine. En hébreu l’argent se dit «kessef» qui serait dérivé de «kew» ou mouton.

      Aux alentours de 3000 av. J.-C., en Mésopotamie l’avoine était la monnaie d’échange la plus couramment utilisée pour les échanges commerciaux. Ce qui convenait bien à la société agraire de l’époque. Mais quand les villes comme Babylone commencèrent à se développer, stocker de l’avoine dans son appartement n’était pas tellement pratique! C’est pourquoi l’avoine a été remplacée par de l’argent, un métal rare. Les paiements se faisaient avec des anneaux d’argent d’à peu près 20g que l’on appelait «shekel» (qui est d’ailleurs aujourd’hui le nom de la monnaie israélienne). Le problème avec cette approche c’est que cela rendait nécessaire pour chaque achat de peser le métal pour être certain du poids. Pour échapper à cette contrainte, un certain poids d’argent prédéterminé était placé dans une bourse de cuir qui était ensuite scellée avec un sceau de cire. Le sceau représentant une personne de confiance qui se portait garante de la quantité d’argent dans la pochette.

      Crésus, le roi de Lydie en Asie Mineure, établit l’étape suivante. L’électrum, un alliage rare d’argent et d’or servait de monnaie pour le commerce. Le roi de Lydie eu l’idée d’appliquer son sceau, non sur la cire à l’extérieur de la bourse, mais directement sur le métal. C’est ainsi que furent créées les premières pièces de monnaie en 600 av. J-C (ci-contre). Une invention qui facilita le commerce et fit que le roi de Lydie devint immensément riche comme…Crésus. L’unité de monnaie lydienne était le « Stater ». Mais éventuellement chaque pays frappa sa propre monnaie avec des noms reflétant son origine, le florin pour la ville de Florence, la livre tournois qui était frappée dans la ville de Tours. Mais c’est l’Allemagne qui est à l’origine de l’unité monétaire la plus utilisée, le dollar. On retrouve cette dénomination dans plus de de 35 pays aujourd’hui.

      Au 16ième siècle l’empire germanique produisait ses pièces de monnaie à partir de l’argent provenant d’une mine appelée Joachimthal (la vallée de Joachim). Le nom de la monnaie étant le «groshen», en conséquence les prix étaient étiquetés en «joachimthalergroshen».

      Comme vous pouvez l’imaginer ceci rendait le marchandage difficile. C’est combien? «Cent joachimthalergroshen! Accepteriez-vous quatre-vingt joachimthalergroshen? Non mais je vous le laisse pour quatre-vingt-dix joachimthalergroshe». Finalement avec l’usage, la première et la dernière partie furent éliminées pour donner le «thaler» ce qui avec le temps se transforma en «dollar«. Un terme générique utilisé pour décrire une pièce de monnaie en argent pesant 28 grammes. Comme l’Espagne, avec ses mines en Amérique, était la plus importante source d’argent, le dollar espagnol devint la monnaie courante pour les échanges commerciaux à travers le continent.

      Mais aujourd’hui la base de la monnaie repose sur les billets de banque.

      http://www.sciencepresse.qc.ca/

      Il double le salaire de ses 120 employés et coupe drastiquement le sien


      Il y a des patrons, des ministres et autres qui gagnent beaucoup d’argent qui devraient suivre l’exemple de ce jeune PDG. Cela n’enlève rien à la qualité de vie du patron, mais change beaucoup pour les employés qui auront un meilleur salaire et probablement une meilleure qualité de vie. Si toutes les grosses compagnies qui gèrent des millions, et même des milliards de dollars feraient la même chose, le climat économique serait sans doute plus équitable pour les employés
      Nuage

       

      Il double le salaire de ses 120 employés et coupe drastiquement le sien

       

       

      Le PDG d’une compagnie basée à Seattle vient d’augmenter le salaire minimum annuel de ses 120 employés de 40 000 à 70 000 $ US et entend faire passer le sien d’un million à 70 000 $.

      « L’idée n’est pas de faire de l’argent, a expliqué Dan Price, le jeune PDG de Gravity Payments aux médias américains. L’idée, c’est de faire une différence. »

      Price, qui a fondé sa compagnie en 2005 et qui a été nommé entrepreneur de l’année en 2014, a fait l’annonce de cette augmentation de salaire lundi dernier, ce qui lui a valu, on s’en doute, des applaudissements nourris de la part de ses 120 employés, dont la majorité gagne actuellement un peu moins que 40 000 $.

      Pour que ses employés soient heureux

      Ce patron d’à peine 30 ans a décidé d’offrir un salaire général de 70 000 $ après avoir lu un article expliquant que les personnes gagnant moins que ce montant sont moins heureuses. Et Dan Price veut que ses salariés soient heureux, qu’ils puissent vivre le rêve américain, acheter une maison et envoyer leurs enfants à l’université.

      Du même souffle, il a aussi annoncé que son propre salaire annuel allait graduellement diminuer, pour passer d’un million à 70 000 $.

      L’argent nécessaire pour ces augmentations de salaire utilisera jusqu’à 80 % des 2,2 millions $ US de profits attendus cette année chez Gravity Payments. La compagnie, que Price a fondée quand il était encore étudiant au collège, gère des transactions par cartes de crédit de plus de six milliards de dollars pour le compte de 12 000 entreprises, mais comme elle n’est pas cotée en bourse, son PDG n’a aucun compte à rendre à des actionnaires.

      Pour contrer l’inégalité croissante dans la société

      Dan Price a expliqué aux médias qu’il constate que l’inégalité ne fait que croître dans la société.

      « Je vois à quel point c’est de plus en plus difficile de juste joindre les deux bouts et de vivre le rêve américain normal, tout devient de plus en plus cher, surtout dans une ville comme Seattle, et les salaires ne suivent pas ».

      « Je crois que les gens étaient un peu nerveux pour moi, vraiment, a-t-il expliqué. C’est un risque, je crois, à court terme, mais je suis convaincu à 100 % que ce sera formidable à moyen et à long terme. Pour la compagnie et, encore plus important, pour les entreprises privées que nous servons. »

      L’augmentation salariale se fera progressivement au cours des trois prochaines années. Gageons qu’il risque aussi d’y avoir une augmentation dans la réception de nouveaux cv.

      Voilà une nouvelle qui nous change du modèle courant où les patrons gagnent en général des centaines, sinon des milliers de fois ce que gagnent leurs employés.

       

      http://actualites.sympatico.ca/

      Le Saviez-Vous ► Marcher sur la lune … Pour un maigre salaire


      Le salaire d’un astronaute de la mission Apollo 11 n’était pas très élevé, il fallait avoir la piqure de l’espace pour aller sur la lune. Aujourd’hui, il parait que les astronautes américains quelque 80 000 est 170 000 dollars par année
      Nuage

       

      Marcher sur la lune … Pour un maigre salaire

      PAR EVELYNE FERRON

      Cette troisième mission spatiale à s’approcher de la lune à l’été 1969 a été assurée par trois astronautes qualifiés, bien entraînés, mais aussi intrépides! Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins ont quitté la Terre le 16 juillet 1969 avec pour mandat principal d’étudier et d’évaluer les possibilités et les limites d’une marche humaine sur la Lune, en plus de recueillir des échantillons de sol et de roches lunaires.

      Une mission réussie pendant laquelle ils ont pu se poser sur le satellite de la Terre le 20 juillet et qui a permis le lendemain à Neil Armstrong de faire vivre au monde entier ce grand moment qu’ont été les premiers pas d’un homme sur la Lune.

      « Un petit pas pour l’Homme, mais un pas de géant pour l’Humanité! »

      Eh bien sachez que ces hommes ont été payés le même salaire que lors d’une journée normale sur Terre pour des officiers militaires, soit l’équivalent d’environ 8$ par jour! Ajoutez à cela des déductions sur ce salaire, puisque la NASA leur fournissait entre autres les nuits dans la navette spatiale! 

      http://www.historiatv.com/

      Les gauchers gagnent moins d’argent que les droitiers (quand leur mère est droitière)


      D’après une étude auprès des Américains et Britanniques, être gaucher ne serait pas juste un facteur génétique, mais aussi une difficulté d’apprentissage dès le jeune âge.
      Nuage

       

      Les gauchers gagnent moins d’argent que les droitiers (quand leur mère est droitière)

       

      Left / Quinn Dombrowski via Flickr CC Licence By

      Repéré par Jean-Laurent Cassely

      Les gauchers représentent 12% de la population totale et ils sont un peu plus nombreux chez les hommes que chez les femmes. Après des siècles de stigmatisation, les gauchers ont connu une inversion radicale de leur image pour devenir des êtres vus comme plus créatifs, plus intelligents et plus originaux que la moyenne, surreprésentés dans l’élite, que ce soit chez les présidents des Etats-Unis, les artistes ou les sportifs de haut niveau.

      Or comme le relate Bloomberg, un économiste d’Harvard, Joshua Goodman, arrive à la conclusion qu’à origine sociale équivalente, les gauchers gagnent 10 à 12% de moins que les droitiers.

      L’économiste a obtenu ces résultats, publiés dans la revue Journal of Economic Perspectives, en étudiant cinq bases de données provenant des populations américaine et britannique, dans lesquelles figurent les caractéristiques familiales des individus, leur salaire et leurs résultats à différents test d’intelligence et d’aptitude.

      Pour Goodman, et contrairement aux idées reçues, les gauchers seraient moins performants que les droitiers aux tests de QI. Ils sont par exemple selon l’auteur entre 20 et 28% à être intellectuellement déficients, soit le double de la moyenne de la population. Ils souffrent aussi plus que la moyenne de troubles du comportement et sont plus souvent dyslexiques.

      Goodman observe ainsi qu’aux Etats-Unis, les gauchers ont moins de probabilité de faire partie du top 10% des résultats aux tests d’intelligence. Il n’est cependant pas impossible que les gauchers se distinguent tout en haut de la distribution, dans le top 1%, mais le «don» exceptionnel dont bénéficient certains gauchers resterait extrêmement minoritaire en leur sein: statistiquement, naître gaucher serait donc plutôt un handicap.

      Pour le chercheur, le fait d’être gaucher pourrait n’être qu’une manifestation de troubles de la santé et du développement aux premiers moments de la vie de l’enfant. Car être gaucher n’est pas, contrairement à ce qu’on pense, la conséquence de seuls facteurs génétiques. Chez une partie des vrais jumeaux, la latéralisation est différente chez les deux enfants.

      A l’appui de cette hypothèse, le chercheur remarque que la différence de salaire observée entre gauchers et droitiers ne touche que les gauchers dont la mère est droitière. Selon Bloomberg, cela s’expliquerait par la difficulté pour les enfants d’apprendre par imitation ce que fait leur mère quand la préférence manuelle diffère entre elle et l’enfant. 

      http://www.slate.fr

      Millions pour ex-députés ►Les élus qui cessent de siéger à Québec toucheront des primes allant jusqu’à 175 000 $


      Quand on parle de crise économique, ce n’est pas le cas de tout le monde, un salaire moyen d’un député au Québec est environ de 86 milles dollars environs .. plus les années, les a côté, sa fonction  etc .. alors quand on parle salaire de départ, de transitons, retraite .. on a lieu de se poser des question ..
      Nuage

       

      Millions pour ex-députés ►Les élus qui cessent de siéger à Québec toucheront des primes allant jusqu’à 175 000 $

       

      Les 38 députés qui quittent l’Assemblée nationale à l’issue des élections de la semaine dernière se partageront rien de moins que 3,2 M$ en « allocations de transition ».

      Ils ont été défaits ou n’ont pas sollicité de nouveau mandat. Dans les deux cas, ces ex-députés auront droit à différents montants pour pallier la perte subite de leur emploi.

      Les 21 libéraux qui laissent leurs sièges empocheront en tout près de 2 M $. Les 13 péquistes se divisent 1 M$.

      C’est la conclusion à laquelle parvient la Ligue des contribuables au terme d’un calcul complexe, puisque les données salariales des élus ne sont pas publiques.

      Pour la présidente de l’organisme, Claire Joly, il s’agit là d’un manque flagrant de transparence auquel devraient remédier les élus sans plus tarder.

      Secret « inacceptable »

      Le secret est « inacceptable, croit-elle. C’est l’argent des contribuables ».

      « Je ne connais pas de patron qui ne sait pas la rémunération qu’il verse à ses employés », tranche-t-elle.

      D’autant plus qu’« ils (les députés) se votent eux-mêmes leurs conditions de travail et leurs salaires », ajoute-t-elle.

      La divulgation des montants versés aux élus en allocations, pensions, comptes de dépense et autres rémunérations permettrait la tenue d’un débat sur la question.

      « Ce sera aux gens de juger si c’est trop ou pas assez », estime Mme Joly.

      Abus

      Elle convient que l’existence de ces primes est « tout à fait appropriée », compte tenu de la difficulté pour les ex-politiciens de se dénicher un nouvel emploi et la brusque fin de l’ancien.

      N’empêche que les abus existent, déplore-t-elle. Mme Joly fait référence à la possibilité d’empocher à la fois sa pension de retraite et son allocation de transition, ce qui est impossible au fédéral.

      « Il y a d’anciens députés qui touchent des retraites dépassant 100 000 $ par année. Dans des cas pareils, on devrait donc demander aux députés plus âgés de choisir entre la rente de retraite et l’allocation de transition. Sinon, c’est clairement abusif. »

      Elle cite en exemple l’ex-ministre Monique Gagnon-Tremblay. Après plus d’un quart de siècle à l’Assemblée, elle aura droit à une pension « assez substantielle ».

      Les montants versés aux députés qui démissionnent en cours de mandat et forcent la tenue d’une élection partielle coûteuse devraient aussi être repensés, conclut-elle.

      http://www.journaldemontreal.com