Ottawa demande d’éviter toute laitue romaine


 

La laitue romaine, qu’importe son pays d’origine, qu’elle soit mélanger ou pas à d’autres salades, ne doit pas être consommé, car elle serait contaminé par l’E. coli. Cet avis est aussi valable aux États-Unis. Jusqu’à maintenant au Canada, il n’y a qu’au Québec et Ontario qui ont été infectées par le E.coli.
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Ottawa demande d’éviter toute laitue romaine

 

L'Agence de la santé publique du Canada demande aux Québécois et aux Ontariens... (Photo David Boily, archives La Presse)

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD
La Presse

 

L’Agence de la santé publique du Canada demande aux Québécois et aux Ontariens de ne pas consommer de laitue romaine ou de mélanges de salade qui en contiennent en raison d’une éclosion d’E. coli.

L’avis touche toutes les laitues romaines, peu importe leur producteur ou leur pays d’origine.

L’agence fédérale canadienne imite ainsi les autorités sanitaires américaines qui ont émis le même avis.

« En date du 20 novembre 2018, 18 cas d’infections à l’E. coli faisaient l’objet d’une enquête : en Ontario (3) et au Québec (15). Les personnes sont devenues malades entre la mi-octobre et le début de novembre 2018 », indique l’Agence de la santé publique du Canada dans un communiqué.

« La majorité des personnes qui sont tombées malades en Ontario et au Québec ont déclaré avoir mangé de la laitue romaine avant que ne se manifeste la maladie. Elles ont dit en avoir mangé à la maison, ainsi que dans des salades préparées vendues en magasin, ou dans des mets commandés. »

Selon l’agence, « l’éclosion actuelle semble se poursuivre, car des cas de maladies liées à la laitue romaine continuent d’être signalés ».

Les autorités ne déplorent aucun décès jusqu’à maintenant. Une personne contaminée a toutefois développé la « maladie du hamburger », un problème rénal aigu qui nécessite souvent des transfusions et des dialyses.

La souche d’E. coli détectée dans l’éclosion actuelle, O157, s’avère particulièrement puissante.

Elle est « plus susceptible que toute autre souche de causer de graves symptômes », selon l’Agence de la santé publique du Canada.

Les femmes enceintes, les enfants et les personnes âgées sont particulièrement à risque.

La précédente éclosion majeure d’E. coli dans la laitue romaine en Amérique du Nord remonte à la fin 2017. La même souche de la bactérie était en cause et les contaminations sont « génétiquement liées », ce qui « nous laisse supposer qu’il pourrait y avoir une source récurrente de contamination », indique l’Agence de la santé publique du Canada.

Aux États-Unis, tout le pays est visé par la recommandation de cesser la consommation de laitue romaine.

« Il n’y a actuellement aucune preuve qui donne à penser que les résidents des autres régions du Canada [à part le Québec et l’Ontario] sont touchés par cette éclosion », selon l’agence fédérale.

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Les salades McDonald’s plus grasses que les hamburgers?


Manger santé dans les restaurations rapides est une réalité ? Il semble que non, en tout cas pas chez Mcdo. Choisir une salade grecque au lieu de Big Mac serait en fait un mauvais choix
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Les salades McDonald’s plus grasses que les hamburgers?

Les salades McDonald's plus grasses que les hamburgers?

Les informations données par McDonald’s ne seraient pas complètes.Photo RelaxNews

Certaines salades proposées par la chaîne de restauration rapide McDonald’s sont plus caloriques qu’un double hamburger Big Mac, selon des experts en nutrition canadiens interrogés par le site CBC News.

Des experts de santé canadiens viennent de casser l’image «santé» que le groupe McDonald’s cherche désormais à se donner, en intégrant par exemple des légumes vitaminés tendance comme le Kale dans ses wraps ou ses salades.

Contre toute attente, un double Big Mac est moins riche en calories et beaucoup moins gras que la fameuse salade César. D’après les propres chiffres de l’entreprise, avec 730 calories, 53 g de graisses et 1,4 mg de sel, la salade César bat le hamburger (680 calories).

«En mangeant cette salade, vous obtenez votre dose de sel pour la journée», dénonce le Dr Lindzon.

Au Canada, les autorités de santé recommandent aux adultes de ne pas excéder 2,3 mg de sel par jour et de viser idéalement 1,5 mg.

LA SALADE GRECQUE: 420 CALORIES

Selon cette experte en diététique, les gens devraient savoir exactement ce qu’ils mangent. Les Canadiens n’ont pas accès au détail des ingrédients et des calories sur les menus comme aux États-Unis depuis décembre dernier.

Également scrutée par les experts, la salade grecque: en ajoutant des morceaux de poulet grillés et du sel, l’apport calorique explose: 420 calories, l’équivalent d’un double cheeseburger. Le dessert, façon muesli avec flocons d’avoine et érable, malgré ses 5 g de fibres, contient quant à lui 33 grammes de sucre, l’équivalent d’une canette de soda.

Les experts, après recherches, ont bien trouvé des informations nutritionnelles sur le site internet de McDonald’s, mais seulement celles liées aux salades ou desserts de base sans les ingrédients possibles à intégrer pour composer son menu (feta, poulet frit, sucre brun, etc.).

Les diététiciens préconisent de faire attention à la teneur en gras et en sel des ingrédients sans même regarder s’il s’agit d’un burger ou d’une salade. Ils rappellent qu’en cuisinant soi-même, on limite les risques d’être dupés par les différents types de restauration.

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Des astronautes goûtent de la salade cultivée dans l’espace


Est-ce utile d’avoir un jardin pour des missions spatiales, peut-être, mais pour ceux qui restent des mois dans la station spatiale internationale, cela doit faire un grand bien de goûter un aliment très naturel
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Des astronautes goûtent de la salade cultivée dans l’espace

 

Les astronautes Kimiya Yui, Kjell Lindgren et Scott... (Photo AFP)

Les astronautes Kimiya Yui, Kjell Lindgren et Scott Kelly ont chacun consommé une feuille de laitue romaine rouge «spatiale».

PHOTO AFP

Agence France-Presse
Washington

Des astronautes à bord de la Station spatiale internationale (ISS) ont goûté lundi pour la première fois des feuilles d’une salade qui a poussé dans l’espace marquant une avancée du jardinage en microgravité dans la perspective des futures missions habitées vers Mars.

La NASA espère que cela permettra de fournir une source durable d’alimentation pour les astronautes qui effectueront de longues missions spatiale.

L’astronaute américain Scott Kelly et deux autres des six membres d’équipage de l’avant-poste orbital, ont chacun consommé une feuille de laitue romaine rouge «spatiale» vers 16h37 GMT (12h37 heure du Québec) ajoutant de l’huile et du vinaigre, selon des images en direct de la télévision de la NASA.

«C’est génial», a lancé l’astronaute américain Kjell Lindgren, après avoir goûté un morceau de laitue.

«C’est bon», a acquiescé Scott Kelly qui passe un an dans l’avant-poste orbital avec son collègue russe Mikhail Kornienko.

Légérement compliquée par l’apesanteur, puisque l’eau flotte dans l’espace, la culture de la laitue romaine rouge a duré 33 jours et a été rendue possible par un système d’irrigation dans une boîte, qui a permis de garder le terreau humide, sans avoir à arroser.

Scott Kelly et Mikhail Kornienko ont souligné l’importance d’avoir la capacité de produire de la nourriture en microgravité pour assurer une source alimentaire durable qui est indispensable pour de longs voyages dans l’espace comme aller sur Mars.

«Il y a des indications que des fruits et légumes frais comme les tomates, les myrtilles et des laitues romaines sont de bonnes sources d’antioxydants», a par ailleurs souligné dans un communiqué Ray Wheeler, le responsable du programme de la NASA pour le développement de techniques permettant d’assurer le maintien des conditions de la vie dans l’espace.

«Le fait de disposer d’aliments frais dans l’espace peut aussi avoir un impact psychologique favorable sur les astronautes et pourrait aussi fournir une certaine protection contre les radiations cosmiques», a-t-il ajouté.

«Je pense que les systèmes de culture de plantes en microgravité deviendront des éléments importants de tous les futurs voyages de longue durée dans l’espace», a estimé Gioia Massa, une scientifique de l’agence spatiale américaine qui travaille sur ces recherches au Centre Spatial Kennedy en Floride.

«Plus loin et plus longtemps les humains s’éloigneront de la Terre, plus grand sera le besoin de pouvoir faire pousser des plantes pour se nourrir et pour le recyclage de l’atmosphère ainsi que pour le confort psychologique», a-t-elle dit.

Ces salades produites dans l’espace ont été approuvées pour la consommation humaine après que la première récolte «Veg-01» eut été ramenée sur la Terre l’an dernier pour des analyses afin de s’assurer qu’elles pouvaient être consommées, a précisé la NASA.

http://www.lapresse.ca/

Le saviez-vous ►Laver ou ne pas laver la salade?


Laver ou non les légumes acheter a l’épicerie .. Dire que certains ne lavent pas du tout leurs légumes surtout ceux acheter a l’air libre .. ne fut que pour enlever la terre et petits insectes qui pourraient s’y loger …
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Laver ou ne pas laver la salade?

 

Photo: ShutterstockPar Lise Bergeron

 

Été et salades vont de pair. La laitue, comme tous les légumes qui poussent au ras du sol, est exposée à plusieurs sources potentielles de contamination: terre, eau, fumier mal composté, manutention, entreposage, transport et tutti quanti.

Au printemps 2012, un important rappel de laitues en sac possiblement contaminées par la listeria, une bactérie qui vit dans le sol et dans l’eau, est venu nous le rappeler.

Tous les légumes-feuilles, comme la laitue, le cresson et les épinards, vendus à l’air libre ou dans des contenants ou des sacs ouverts doivent impérativement passer sous la douchette.

Mais faut-il ou non laver la laitue et les épinards en sac qu’on achète à l’épicerie ?

Santé Canada indique sur son site Web qu’«il n’est pas nécessaire de laver de nouveau les légumes-feuilles ensachés, prêts à consommer et prélavés avant de les consommer».

Toutefois, si une mention comme «prélavé», «bien lavé» ou «lavé trois fois» n’apparaît pas sur le contenant ou le sac, même scellé, mieux vaut donner son bain à votre verdure préférée. Mais ne la faites pas tremper dans l’évier, où des bactéries pourraient migrer vers les feuilles. Un simple jet d’eau fraîche constitue encore la meilleure méthode pour nettoyer les légumes-feuilles, rappelle le ministère.

Par ailleurs, «les légumes précoupés et vendus en sac n’ont pas besoin d’être lavés, ayant déjà été transformés (lavés, pelés, etc.) avant leur mise en sac. Les mini-carottes en sac peuvent être consommées directement comme collation. À sa discrétion, le consommateur peut toujours laver ces légumes avant de les consommer», précise Stéphane Shank, porte-parole à Santé Canada. 

http://www.protegez-vous.ca

Le saviez-vous ► Expression : Panier à salade


L’Image qu’on se fait du panier a salade est soit fait de verdure ou de scélérat .. l’un nourrit l’autre transporte les criminels … Enfin bref, le résultat étaient similaire … ils étaient brassée de tout bord, tout côté Malgré que le moyen de transport des criminels a changer et que les routes sont moins difficile, le nom y est rester
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« Panier à salade  »

 

Voiture de police cellulaire, normalement destinée à transporter des prévenus ou des prisonniers.

 


Ceux qui ne sont plus très jeunes ont connu les paniers à salade métalliques, sortes de boules de grillage avec des poignées et destinées à secouer la salade mouillée afin de l’essorer.


Des versions plus élaborées de ces objets ont également existé.

De ces paniers, il faut garder l’idée d’un récipient à claire-voie dans lequel la salade est extrêmement secouée.

Les premières voitures cellulaires du XIXe siècle, tirées par des chevaux, étaient constituées de parois à claire-voie (ce n’est qu’un peu plus tard qu’elles ont été remplacées par des parois pleines).

Les routes de l’époque n’ayant pas encore la surface lisse des nôtres, les prisonniers qui étaient transportés dans ces véhicules pendant de longs trajets sur des routes en partie défoncées y étaient tellement secoués, qu’ils ont vite été assimilés à cette pauvre salade dans son panier.

Par extension, le véhicule est devenu lui-même un panier à salade, les parois pleines et le confort qu’ont aujourd’hui ces moyens de transport n’ayant pas suffi à leur faire perdre leur surnom.

http://www.expressio.fr