Des sacs biodégradables presque intacts trois ans après avoir été jetés


On veut bien faire notre part pour des sacs réutilisable et compostable, mais il semble que cela soit un problème pour l’environnement par le temps qu’ils prennent pour se décomposer.
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Des sacs biodégradables presque intacts trois ans après avoir été jetés

 

 

Un sac d'épicerie.

Des sacs de plastique pourtant décrits comme biodégradables résistent à trois ans sous terre ou sous l’eau, montre une étude britannique. Photo: Université de Plymouth

Daniel Blanchette-Pelletier

Des chercheurs britanniques ont constaté avec étonnement qu’un sac pourtant décrit comme biodégradable pouvait encore soutenir le poids d’une épicerie, plus de trois ans après avoir été jeté dans l’environnement.

Quatre types de sacs – conventionnel, biodégradable, oxobiodégradable et compostable – ont été soumis aux éléments de l’air, du sol et de l’eau par une équipe de chercheurs de l’Université de Plymouth, au Royaume-Uni.

Il s’agit des principaux sacs disponibles dans les commerces et les épiceries, et qui sont le plus susceptibles de se retrouver dans les sites d’enfouissements, ou ailleurs dans l’environnement, après une seule utilisation.

« Après trois ans, j’ai vraiment été étonnée qu’un de ses sacs puisse encore soutenir le poids d’une épicerie », a révélé Imogen Napper, qui a dirigé l’étude.

Quand un sac est présenté comme biodégradable, vous supposez qu’il se dégradera plus rapidement que les sacs conventionnels. Mais nos recherches montrent que cela pourrait ne pas être le cas. Imogen Napper, Université de Plymouth

Les chercheurs ont surveillé le processus de dégradation de chacun des types de sacs, en analysant notamment la perte visible de surface et autres changements dans la résistance, la texture et la structure chimique de la matière.

Après neuf mois, tous les types de sacs laissés à l’air libre se sont fragmentés.

Au contraire, les sacs biodégradables, oxobiodégradables et conventionnels sont demeurés assez solides pour transporter des biens, même après avoir passé trois ans dans le sol ou sous l’eau, assurent les chercheurs britanniques.

Plus étonnant encore, les sacs compostables, même s’ils se détérioraient, étaient encore présents sous terre après 27 mois. Ils ne disparaissaient totalement en trois mois que s’ils se retrouvaient en milieu marin.

Les travaux de ces chercheurs ont été publiés dans la revueEnvironmental Science & Technology(Nouvelle fenêtre).

Mieux qu’un sac traditionnel?

 

Une jeune femme tient un sac.

Les différents types de sac ont été soumis aux éléments de l’air, du sol et de l’eau pendant trois ans. Photo : Université de Plymouth

Les sacs de plastique à usage unique s’accumulent dans l’environnement, d’où la raison pour laquelle d’autres formules de plastique ont été développées. Celles-ci sont censées être plus « écoresponsables ».

Les types de sacs de plastique :

 

  • conventionnel : fabriqué à base de polyéthylène à basse ou à haute densité, recyclable;
  • biodégradable : fabriqué à base de polyester, avec ajout d’amidon de maïs, de pomme de terre ou de blé, non compostable ni recyclable;
  • oxobiodégradable : fabriqué à base de polyéthylène, avec des additifs facilitant sa dégradation, non compostable ni recyclable;
  • compostable : se dégrade en usine, non recyclable.

« Notre recherche soulève un certain nombre de questions sur ce à quoi le public peut s’attendre quand il voit un sac étiqueté comme biodégradable ou compostable », soutient le professeur Richard Thompson, qui est à la tête de l’Unité internationale de recherche sur les déchets marins de l’Université de Plymouth.

Il appelle à des clarifications sur les termes biodégradable et compostable, qui ne sont pas mieux pour l’environnement s’ils ne sont pas disposés correctement. Un sac compostable, par exemple, a-t-il besoin de conditions spécifiques en usine pour se dégrader ou est-il biodégradable dans l’environnement?

« Ce sont des conditions très différentes l’une de l’autre », évoque Richard Thompson.

Le professeur estime ainsi que l’étude illustre un manque d’évidence que les formules biodégradables présentent réellement un avantage sur les sacs conventionnels en ce qui a trait à la réduction des déchets marins.

Qui plus est, ces matières posent problème dans la chaîne de recyclage et viennent contaminer les ballots de plastique conventionnel qui, eux, pourraient pourtant avoir une deuxième vie.

Le professeur Thompson souhaite que les résultats de l’étude permettent de mieux définir le chemin d’élimination approprié de chacune des matières en fonction de ces capacités de dégradation.

Il juge que les sacs sont devenus un exemple presque iconique d’une utilisation abusive du plastique. Imogen Napper et lui espèrent à tout le moins que les résultats de leurs travaux ouvrent les yeux des consommateurs sur leur utilisation de sacs de plastique à usage unique.

 

https://jack35.wordpress.com/

 

https://ici.radio-canada.ca/

Le plastique menace toute vie aux Galapagos


Les iles Galapagos sont classées au Patrimoine naturel de l’humanité par l’UNESCO. Pourtant, les 3 premiers mois de l’année, plus de 8 tonnes de déchets sont ramassés amener par les courants marins. Le plastique est une catastrophe environnementale qui cause plusieurs dégâts autant aux iles, que pour les animaux.
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Le plastique menace toute vie aux Galapagos

 

RODRIGO BUENDIA, PAOLA LOPEZ
Agence France-Presse
Galapagos

Juste armés de gants, gardes du parc des Galapagos et bénévoles combattent un monstre créé par les humains : des tonnes de plastique que les courants marins poussent jusque dans les estomacs des animaux uniques de cet archipel de l’océan Pacifique.

À un millier de kilomètres des côtes d’Équateur, s’est engagée une guerre inégale, mais décisive pour la protection d’un éden qui a inspiré sa théorie de l’évolution à Charles Darwin, un éco-système inédit sur la planète.

Les déchets des grandes métropoles parviennent jusqu’aux îles, dégradés en micro-particules de plastique, une menace majeure pour les iguanes, les tortues, les poissons et les oiseaux qui n’existent nulle part ailleurs.

Ce micro-plastique « en arrive à pénétrer l’organisme d’espèces dont nous nous alimentons ensuite », a expliqué en outre à l’AFP la biologiste Jennifer Suarez, experte en écosystèmes marins du Parc national des Galapagos (PNG).

Les radiations solaires et la salinité des mers détériorent bouteilles, bouchons, emballages, filets de pêche, etc. D’abord dur comme une pierre, le plastique se désintègre, au contact des rochers et par la force de l’eau, en micro-particules qu’ingère la faune.

Chaque année, sous un soleil implacable, des « commandos » de nettoyage débarquent sur les plages et les zones rocheuses pour tenter de limiter les dégâts.

Un inventaire de bazar

Des ordures de plastique de toutes sortes se mêlent et s’accumulent face aux côtes, s’infiltrent jusque dans les fissures des couches de lave volcanique pétrifiée des Galapagos. 

Gadgets sexuels, sandales, briquets, stylos, brosses à dents, bouées, mais aussi canettes en aluminium polluent les zones de repos des animaux, dont certains sont en danger d’extinction.

Dans des parties inhabitées, comme Punta Albemarle, à l’extrême nord de l’île Isabela où est parvenue l’AFP, les nettoyeurs ramassent des déchets issus d’ailleurs, parfois de l’autre côté de la planète.

L’archipel équatorien, qui compte environ 25 000 habitants, a restreint ces dernières années l’entrée du plastique sur son territoire et son usage.

« Plus de 90 % des résidus que nous collectons ne proviennent pas d’activités productives aux Galapagos, mais d’Amérique du Sud, d’Amérique centrale, et même une grande quantité de déchets sont de marques asiatiques », précise Jorge Carrion, directeur du PNG.

Ces résidus viennent « probablement de flottes de pêche originaires d’Asie qui opèrent autour de la zone économique exclusive des Galapagos », ajoute-t-il, debout sur le quai du parc à Puerto Ayora, chef-lieu de l’île Santa Cruz.

Depuis 1996, des artisans pêcheurs nettoient aussi les îles les plus éloignées et depuis trois ans, les déchets collectés sont notés dans un registre.

« Cela nous sert à identifier l’origine des ordures qui arrive sur les côtes non peuplées. Il a été répertorié que la plus grande quantité de marques sont péruviennes et chinoises », précise Jennifer Suarez.

Bien qu’il n’existe encore aucune législation, l’idée est que ce recensement permette un jour de réclamer des compensations pour dégâts environnementaux.

Au cours du premier trimestre de 2019, huit tonnes de déchets ont été ramassés, 24,23 tonnes pour toute l’année 2018 et 6,47 tonnes en 2017.

Des sacs pris pour des méduses

Les gardes font un autre inventaire, plus affligeant, des animaux affectés, tels les cormorans, qui édifient leur nids avec des couches-culottes, ou le cadavre d’un fou à pattes rouge enfoui dans des ordures.

Indignés, les nettoyeurs trouvent des sacs de plastique marqués de morsures de tortues marine, qui les confondent avec les méduses dont elles s’alimentent.

« Nous jetons tant d’ordures à la mer et elles arrivent sur des côtes où il n’y a même pas de gens ! », déplore Sharlyn Zuñiga, 24 ans, bénévole.

Cette étudiante de la région amazonienne de Pastaza a découvert aux Galapagos des plages vierges, au sable blanc jonché de déchets.

« C’est très dur ! Nous ne voyons jamais que la face la plus belle des Galapagos, en photos, en cartes postales », s’indigne-t-elle.

Bien que les vagues ne cessent de déverser des résidus, les nettoyeurs s’acharnent et défendent leur tâche, qui semble sans fin sur ces îles classés au Patrimoine naturel de l’humanité par l’UNESCO.

En fin de mission, d’énormes sacs de déchets de plastique sont chargés à bord d’un bateau qui met le cap sur Puerto Ayora, d’où ils seront expédiés sur le continent pour y être incinérés.

« Nous éliminons les ordures qui s’accumulent sur ces sites, évitant ainsi qu’elles continuent à se dégrader en micro-particules », ajoute la biologiste Jennifer Suarez.

« Nous devons aller plus loin que le seul ramassage des résidus. Nous devons en appeler aux consciences à l’échelle mondiale afin d’arrêter de jeter des ordures en milieu marin », estime le directeur du PNG.

https://www.lapresse.ca/

Des sacs en fibres d’ananas pensés et confectionnés à la main au Québec


Je crois qu’il est important de souligner des produits qui sont créé tout en étant écoresponsable. La marque Rosa Buddha n’est pas à ses premiers pas. Elle a créé des leggins avec des bouteilles de plastiques. Depuis 4 ans, plus de 90 000 bouteilles de plastiques ont été utilisées. Depuis, il y a des camisoles et aussi des sacs de sport ou de maternité. Pour ces sacs fait en fibres d’ananas, ils sont compostables en fin de vie .. Ça, c’est agir pour l’environnement
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Des sacs en fibres d’ananas pensés et confectionnés à la main au Québec

 

Rose Buddha

Rose Buddha

Après les leggings en bouteilles recyclées, voici les sacs en fibres d’ananas qu’on peut composter (à part le zip)!

  • Par Elsa Vecchi

Un sac écoresponsable confectionné à la main au Québec à partir de fibres de la feuille d’ananas, c’est la dernière nouveauté de la griffe québécoise Rose Buddha. Pina, c’est un tote, un sac de sport et un weekender ou sac de maternité

Nous avons interviewé Madeleine Arcand, co-fondatrice aux côtés de Maxime Morinde de cette griffe écolo et mode qui ne cesse pas de nous surprendre.

Pourquoi avoir choisi du cuir d’ananas?

«Tous les produits de Rose Buddha partent d’abord d’un textile. On cherche toujours les nouveautés dans le domaine du textile écoresponsable. Nous avons donc fait des recherches et trouvé cette coopérative de fermiers philippins, qui avait décidé de se rassembler pour utiliser les déchets de l’ananas et en faire un textile, totalement écologique. De cette façon, ils améliorent leur sort et n’ont plus besoin de brûler les feuilles. Quand nous avons découvert cette nouvelle technologie qui serait une véritable alternative au cuir, nous avons sauté sur l’occasion pour l’utiliser pour nos sacs.»

Rose Buddha

Quelles sont les autres alternatives au cuir en dehors de l’ananas?

«Il n’y a pas d’alternative écologique cuir pour l’instant. La « cuirette » c’est du polyuréthane et c’est extrêmement polluant. Plus de 150 produits chimiques sont utilisés – et c’est encore pire avec le vrai cuir. Notre textile d’ananas est tellement est ecoresponsable, qu’à la fin de la vie utile du sac on peut enlever les zip et le composter!»

Comment vois-tu l’évolution de votre griffe?

«Rose Buddha crée depuis 2016 des leggings réversibles, à 80% composés de bouteilles de plastique recyclées (10 bouteilles par pantalon), au Québec. Depuis sa création, l’entreprise a sauvé plus de 90 000 bouteilles de plastique des dépotoirs. Aujourd’hui ce sont aussi différents types de camisole, au printemps nous aurons sans doute des leggings de jogging et à l’automne prochain des vêtements plus chauds. »

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Les dangers d’un sac à main trop lourd


Il est vrai que bien des femmes ont tout dans leur sac à main et bien souvent des choses inutiles. Personnellement, je préfère les sacs avec bandoulières, que porter sur les épaules
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Les dangers d’un sac à main trop lourd

 

Les dangers d'un sac à main trop lourd

Les dangers d’un sac à main trop lourd

Un sac lourd peut provoquer des douleurs au dos, au cou, aux épaules, aux articulations, et aggraver les problèmes de dos.

Si vous portez un sac à main, il est probable que la moitié de votre vie tienne dedans. Portefeuille, téléphone, clés, trousse de maquillage, bloc-notes, stylos, livre à lire dans les transports, écouteurs, dossiers du bureau… la liste des objets que nous arrivons à y glisser est longue. Résultat : notre sac à main frôle les 3 kg. Ce fourre-tout surchargé n’est pas seulement gênant, il peut devenir dangereux pour notre santé.

D’après le docteur Sabrina Stickland, chirurgien orthopédiste à l’hôpital de chirurgie de New York, interrogée par le Time, « lorsque vous portez un sac lourd sur l’épaule, vous devez en quelque sorte soulever l’épaule en question, ou vous pencher sur le côté pour éviter qu’il tombe. Donc, aussi longtemps que vous tenez ce sac, votre colonne vertébrale est courbée ».

Selon la spécialiste, ce désalignement peut entraîner des douleurs dans le dos, le cou, les épaules et les muscles, des douleurs articulaires, et l’aggravation d’hernie discale. Chez les enfants, il peut provoquer une scoliose.

Les solutions pour protéger son dos

Une étude de 2013 publiée par le Journal of Physical Therapy Science a également révélé que le fait de porter toujours son sac d’un même côté peut affecter la façon dont nous marchons. Afin de limiter les dégâts, vous pouvez suivre ces quelques conseils.

  •  Répartissez le poids uniformément sur les deux épaules, avec un sac à dos, ou un sac à main et un tote bag pour les dossiers et les livres. De cette façon, on évite l’asymétrie.
  • Diminuez la charge que vous transportez. Avez-vous réellement besoin de chaque objet qui se trouve dans votre sac ? D’après les spécialistes du Time, un sac à main ne devrait jamais dépasser 10% du poids corporel. Pour vous en assurer, pesez-vous sur votre balance, puis tenez votre sac et faites le calcul. Cette technique vous permet de vous assurer que tout le sac est pesé correctement, et de vous ajuster en conséquence.
  • Pensez au sac en bandoulière. Le sac à dos reste le meilleur choix, le plus ergonomique. Mais si vous optez pour un sac en bandoulière et que vous changez de côté régulièrement pour égaliser la charge sur les épaules, votre corps sera déjà soulagé.
  • Renforcez-vous ! Quel que soit le poids de votre sac à main, renforcer le centre du corps permet de se tenir droit et d’éviter tout problème d’alignement. Vous pouvez donc ajouter quelques exercices comme la planche, les renforcements des obliques, et les renforcements du dos à votre routine d’entraînement. Vous améliorerez ainsi votre posture, et limiterez les éventuels dommages causés par le sac. 

 

Auteur: Elena Bizzotto

http://www.santemagazine.fr/

Les sacs à main chats de l’artiste Pico sont plus vrais que nature


Je ne sais pas vous, mais moi, je trouve cela vraiment glauque. Même, si ce n’est que des imitations avec de la fausse fourrure, je n’aimerais pas avoir ce genre de sac
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Les sacs à main chats de l’artiste Pico sont plus vrais que nature

 

Par Jamie Feldman

Les chats sont des créatures mystérieuses et polarisantes. Alors que certains ne veulent rien savoir, d’autres en sont fous.

Pour ces derniers, il est maintenant possible d’être entourés de chats en tout temps. Un artiste japonais nommé Pico a créé une ligne de sacs à main plus vraie que nature. Faits de fausse fourrure, les sacs représentent des chats et donnent une impression de réalisme qui sort de l’ordinaire.

L’attention reçue par ceux qui créent les sacs a été à la fois négative et positive. Le New York magazine se demandait quel genre de « monstre » pourrait porter ces sacs, alors que The Gloss les qualifiait de parfaits. Pico a vendu les sacs au Japon pour des prix allant jusqu’à 600$ américains.

« Je travaille fort chaque jour pour que les chats aient l’air réels », a-t-elle affirmé sur son blogue.

Pico indique sur Twitter que les sacs ne sont pas en vente en dehors du Japon pour le moment.

Cet article initialement publié sur le Huffington Post États-Unis a été traduit de l’anglais.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Truc Express ► Porter Les Sacs de Courses SANS Se Faire Mal Aux Doigts.


Je sais qu’il se vend quelque chose qui donne le même résultat, je n’ai jamais trouvé, mais sans vraiment chercher. Cependant, le mousqueton est facile à trouver et probablement moins cher et plus solide que les objets modes et tout aussi efficace
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Porter Les Sacs de Courses SANS Se Faire Mal Aux Doigts.

Marre de vous faire mal aux doigts quand vous portez les sacs de courses ? 

Heureusement, voici l’astuce pour ne plus vous faire mal aux doigts Avec cette astuce, vous pouvez porter 15 kg de courses sans vous abîmer les doigts : Comment porter ses courses avec un mousqueton sans se faire mal au main.

Comment Faire

1. Prenez un ou deux mousquetons avec vous au supermarché.

2. À la caisse, enfilez tous vos sacs de courses dedans.

3. Maintenant vous portez tous vos sacs sans vous couper les doigts avec les anses :

 http://www.comment-economiser.fr/

 

Gadget ►Rapportez votre épicerie en toute sécurité


Voilà un gadget intéressant surtout quand il faut transporter plusieurs sacs en même temps En tout cas, enfin quelque chose d’utile tout en étant attrayants. Personnellement j’aimerais bien savoir si les magasins en vendent
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Rapportez votre épicerie en toute sécurité

image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/branchezvous/poigneeepicerie.jpg

Depuis quelque temps, de plus en plus de gens vont faire leur épicerie avec des sacs réutilisables en coton ou faits d’autres matériaux. Certaines personnes continuent pourtant de mettre leur épicerie dans des sacs de plastique, et ce, même si certains commerçants font payer les sacs.

Si vous faites partie de ces consommateurs, vous serez sûrement heureux d’apprendre qu’il existe une solution économique pour transporter plus efficacement beaucoup de sacs sans se couper les doigts avec les poignées de plastique.

Je me rappelle que lorsque j’étais enfant, ma mère s’était procuré de petites poignées bleues en plastique que l’on devait accrocher après chaque sac. Ça fonctionnait plutôt bien, mais on devait mettre une poignée à chacun des sacs, ce qui n’était pas toujours pratique quand on en avait beaucoup.

Il existe maintenant une solution permettant de trainer, avec une seule poignée, plusieurs sacs. Le One Trip Grip Grocery Bag Holder est une genre de poignée qui est capable de retenir plusieurs sacs en même temps. En fait, elle supporte un poids de 50 livres maximum. Vous pourrez ainsi vous entrainer, tout en rapportant votre épicerie à la maison.

Ce gadget est offert à 5 dollars et est disponible en plusieurs couleurs : noir, bleu, vert et rose.

Via OhGizmo!

par Philippe Michaud

http://www.branchez-vous.com