Ces kata­nas sont forgés à partir de météo­rites


Des katanas sont des sabres japonais. Il y a 130 ans, un samouraï a acheté une pierre tombée du ciel. Puis travailler par un forgeron, les lames des katanas sont vraiment jolies.
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Ces kata­nas sont forgés à partir de météo­rites


par  Nicolas Pujos

Il y a près de 130 ans, un samou­raï du nom d’Eno­moto Takeaki a utilisé une météo­rite pour fabriquer les lames de ses kata­nas. On peut aujourd’­hui en voir un spéci­men excep­tion­nel au musée des sciences de Toyama, au Japon.

À la fin du XIXe siècle, Enomoto Takeaki a acheté une pierre dont la véri­table nature, une météo­rite, avait été décou­verte en 1895 par des géologues. Le célèbre samou­raï a demandé à un forge­ron d’en tirer des lames. Deux grandes lames sont deve­nues des épées et trois lames plus courtes des kata­nas, dont l’un est exposé au musée de sciences de Toyama.

Les cinq lames sont appe­lées « Ryuseito », ce qui se traduit litté­ra­le­ment par « sabres de comète ». Leur compo­si­tion provient d’un alliage de 70 % de fer météo­rique et de 30 % de tama­ha­gane, un métal riche en sable utilisé dans le katana ordi­naire. Des vagues se dessinent sur les lames grâce à des tempé­ra­tures de forgeage très supé­rieure à la normale.

Source : Musée des sciences de Toyama

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Un trésor du XVIIIe siècle retrouvé dans le Danube


Le Danube a connu une grande sécheresse que son niveau d’eau est très bas, ce qui a causé des problèmes de navigations. Cependant, ils ont découvert un trésor dans une épave, ils se dépêchent à remonter le tout avant une montée des eaux prévus.
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Un trésor du XVIIIe siècle retrouvé dans le Danube

© afp.

Des archéologues ont découvert un trésor de quelque 2.000 pièces d’or et d’argent à bord d’une épave gisant au fond du Danube depuis le 18e siècle et révélée par le niveau exceptionnellement bas des eaux du fleuve, ont-ils annoncé jeudi.

« Environ 2.000 pièces de monnaie ont été trouvées, ainsi que des armes, piques, boulets de canon, épées et autres sabres », a confié à l’agence MTI Katalin Kovacs, archéologue au Centre du musée Ferenczy de Szentendre, près de Budapest.

Les archéologues sur place

La découverte s’est produite cette semaine à Erd, au sud de Budapest, où les archéologues travaillaient jeudi d’arrache-pied pour extraire un maximum d’éléments avant une imminente remontée des eaux, a constaté un photographe de l’AFP.

Sécheresse

Comme plusieurs autres cours d’eau d’Europe, le Danube est au plus bas après un long épisode de sécheresse. Son niveau est tombé à 38 cm à Budapest, un record historique qui affecte la navigation fluviale.

Pièces d’or et d’argent

Le trésor d’Erd a été trouvé à bord de l’épave d’un navire commercial dont la nationalité doit encore être déterminée, on indiqué les archéologues. Il comprend des pièces d’or et d’argent, dont des ducas et des pennies.

Pièces étrangères

« Les pièces sont à 90% étrangères et datent de 1630 à 1743 », a précisé l’archéologue Balazs Nagy à la radio privée Klub, soulignant qu’elles avaient été frappées aux « Pays-Bas, en France, à Zurich, ou encore au Vatican ».

Remontée des eaux

Les archéologues sont assistés dans leur travail par des plongeurs et des drones afin d’extraire le plus de matériaux possible alors qu’une forte remontée du niveau des eaux est attendue à partir de samedi.

Pont François-Joseph

Le niveau bas du fleuve a déjà mené à la mise au jour de débris de l’ancien pont François-Joseph de Budapest, détruit pendant la Seconde guerre mondiale, ainsi que d’une bombe américaine de la même époque.

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L’avaleur de sabre et acrobate, Alex Magala, donne des frissons sur le plateau de «L’Angleterre a un incroyable talent»


D’abord, juste, le fait d’avaler une lame d’un sabre est un exploit mais de faire des acrobaties donne vraiment froid dans le dos. C’est un jeune homme de 26 ans venant de Moldavie. Il a déjà été vainqueur en Russie et en quart de finale aux États-Unis en 2013
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L’avaleur de sabre et acrobate, Alex Magala, donne des frissons sur le plateau de «L’Angleterre a un incroyable talent»

 

Le Saviez-Vous ► Sabres laser, son dans l’espace et vitesse de la lumière : "Star Wars" se rebelle face à la science


On entend beaucoup parler du film de science-fiction Star Wars. Il faut beaucoup d’imagination pour créer une telle saga. Les scientifiques se sont penchés sur les films de Star Wars, en fait les lasers, la vitesse de la lumière, la destruction de la planète noire et autres sujets ne peuvent être une réalité scientifique. Mais bon, c’est un film qui plaît à beaucoup de monde et c’est le défi de tout bon film
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Sabres laser, son dans l’espace et vitesse de la lumière : « Star Wars » se rebelle face à la science

 

Si ses films ont fait naître une passion pour l’espace chez plusieurs générations, George Lucas a parfois fait fi des connaissances scientifiques pour développer l’univers de sa saga.

La saga Star Wars a certainement changé la perception de l’espace de plusieurs générations. Les plus petits vont eux aussi découvrir cette galaxie lointaine, très lointaine dès le 16 décembre, avec Le Réveil de la Force, et vont approcher les étoiles, suivre les rythmes des sabres laser et sursauter devant les multiples explosions.

Mais, depuis plus de 35 ans déjà, des scientifiques passent au crible les films pour pointer du doigt les nombreuses erreurs qui peuplent l’univers imaginé par George Lucas. Francetv info a interrogé l’astrophysicien Roland Lehoucq, auteur de Faire de la science avec Star Wars (éd. Le Pommier). Pour lui,

« tout est faux dans Star Wars, mais on s’en fiche. Ce qui compte, c’est qu’à partir de ce film, le grand public peut parler de sciences ».

Dans l’espace, personne n’entend un X-Wing voler

Tirs de vaisseaux, explosions… Dans Star Wars, l’espace est très bruyant. Pourtant dans le vide spatial, nulle atmosphère pour propager les ondes sonores.

« Des sons dans l’espace, c’est tout simplement impossible. Pour que le son puisse se propager, il faut de la matière. De l’air, du bois, n’importe quoi. Or, dans l’espace règne le vide. On peut toujours hurler, personne ne nous entendra », explique Roland Lehoucq.

Mais des batailles muettes ne raviraient sûrement ni les spectateurs, ni les équipages d’un vaisseau qui se fait attaquer de l’extérieur sans pour autant en être informé. L’astrophysicien propose donc une solution :

« Dans les vaisseaux de Star Wars, il pourrait y avoir un système qui sonorise le vaisseau, qui simule l’ambiance extérieure, l’urgence de la situation » en recréant le bruit des tirs qui visent le vaisseau de l’extérieur, par exemple.

Le sabre laser est une arme impossible à fabriquer

Les sabres laser font partie de l’ADN de Star Wars. Jedi et Sith utilisent ces armes aux différentes couleurs lors de leurs affrontements. Quatre raisons font pourtant du sabre laser une véritable erreur scientifique.

« Premièrement, pendant les combats, les sabres laser s’entrechoquent, comme s’il s’agissait d’objets matériels… mais la lumière n’est pas de la matière », commente Roland Lehoucq.

Si deux sabres laser ne peuvent pas entrer en contact, ils n’en restent pas moins dangereux car capables de découper ou de brûler.

Deuxième raison, la lumière laser n’est pas visible.

En effet, « c’est une lumière directive qui ne va que vers un seul point. Elle ne se dirige pas vers votre œil sauf si le laser y est pointé », souligne l’astrophysicien.

Troisième approximation :

« Les sabres laser ont une longueur définie [un mètre environ]. Or, la lumière se propage en fait en ligne droite jusqu’à ce qu’elle rencontre un obstacle. » 

Dernière explication, et non des moindres, la puissance nécessaire pour faire fonctionner un sabre laser est estimée à plus d’un milliard de watts. Soit l’énergie d’une centrale nucléaire. Difficile à faire tenir en poche. Une arme totalement improbable selon l’astrophysicien, donc, n’en déplaise aux scientifiques qui tentent de reproduire cet accessoire mythique.

Pas besoin de laisser ses réacteurs allumés

Que ce soit Han Solo dans le Faucon Millenium ou les pilotes des vaisseaux ennemis le pourchassant, aucun des personnages de la saga ne se soucie vraiment des économies d’énergie – pas très COP21, tout ça. Pour voyager, leurs réacteurs sont constamment allumés. Si nos avions ont besoin d’une propulsion constante et forment ainsi leur traînée blanche, les réacteurs des vaisseaux spatiaux ne devraient avoir besoin que d’une simple impulsion. C’est le principe d’inertie.

« Dans l’espace et sans frottement, si on vous pousse une fois, vous continuez à avancer à vitesse constante. Les pilotes n’ont besoin d’allumer les réacteurs que lors du départ, pour ralentir et pour changer de direction », note Roland Lehoucq.

Impossible de dépasser la vitesse de la lumière

Pour échapper à l’Empire de Dark Vador, le Faucon Millenium utilise ses moteurs d’hyperpropulsion. Comme la plupart des vaisseaux de la saga, celui du contrebandier Han Solo est en effet capable de traverser la galaxie à une vitesse supérieure à celle de la lumière.

« Cela viole complètement une loi de la physique », réagit Roland Lehoucq.

La vitesse de la lumière est en effet indépassable pour un objet matériel, possédant une masse.

« On peut s’en approcher, sans jamais la dépasser. Seule la lumière, qui est immatérielle, peut aller à cette vitesse », détaille-t-il.

L’Etoile noire ne peut pas détruire la planète Aldorande

Alderaan Exploding

Pour démontrer sa puissance dans Un nouvel espoir, le quatrième épisode de Star Wars, Dark Vador décide de détruire Aldorande. L’Etoile noire déploie ainsi un laser ultra-puissant qui fait exploser la planète de la princesse Leia.

Mais « pour détruire une planète, il faut une quantité considérable d’énergie, explique Roland Lehoucq.Et quand on estime la puissance du laser utilisé sur Aldorande, on comprend qu’il faudrait en fait 100 000 fois l’énergie dégagée par le soleil ». 

Il est ainsi impossible pour l’Etoile noire, bien plus petite que notre soleil, de concentrer autant d’énergie. Pas de quoi parader, donc, de la part de l’Empire.

http://www.francetvinfo.fr/

Se faire couper les cheveux au sabre est possible Au Vietnam


Se faire couper les cheveux avec une lame de rasoir, c’est ok, mais un sabre en essayant d’avoir un style dans le mouvement, hummm pas sûr
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Se faire couper les cheveux au sabre est possible Au Vietnam

 

(capture d’écran, YouTube)

Se faire couper les cheveux, surtout par un nouveau coiffeur, peut-être une épreuve plutôt stressante pour un client. Toutefois, ce l’est certainement encore plus pour ceux qui fréquentent un coiffeur qui joue au samouraï.

Nguyen Hoang Hung, dont le salon est situé au Vietnam, propose des coupes de cheveux exécutées avec un sabre Wakizashi. Un peu plus court que le Katana, ce sabre tranche autant, sinon plus qu’une lame de rasoir.

Le coiffeur vietnamien, qui semble posséder une dextérité digne d’un guerrier japonais, coupe les cheveux de ses clientes comme s’il s’agissait d’une sculpture.

Il ose et ne craint pas de travailler rapidement tout près du cuir chevelu, du cou et même du visage de ses clientes.

 

http://tvanouvelles.ca/