La “compétition” sinistre du saut de balcon


Ils ont quoi dans le crâne ? C’est quand les gens vont réfléchir avant d’agir ? Le défi balconing est de sauter le plus haut possible d’un balcon pour atterrir dans une piscine. Comment peut-on penser qu’on ne risque pas de se blesser, voir mourir pour une stupidité aussi idiote ?
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La “compétition” sinistre du saut de balcon

Le "balconing" consiste à se jeter du balcon d’une chambre d’hôtel ou d’appartement pour plonger dans la piscine.

Le « balconing » consiste à se jeter du balcon d’une chambre d’hôtel ou d’appartement pour plonger dans la piscine. © DR

Depuis quelques années, l’Espagne est le théâtre d’une pratique touristique particulièrement stupide et dangereuse: le balconing, à savoir, plonger dans la piscine de l’hôtel depuis le balcon le plus haut perché. Les habitants de Majorque ont décidé de réagir…

La “compétition” sinistre du saut de balcon

Depuis quelques années, l’Espagne est le théâtre d’une pratique touristique particulièrement stupide et dangereuse: le balconing, à savoir, plonger dans la piscine de l’hôtel depuis le balcon le plus haut perché. Les habitants de Majorque ont décidé de réagir…

Dans ce bilan sarcastiquement sinistre, le Royaume-Uni règne en maître avec trois morts. La Belgique se classe pour le moment à la quatrième place avec un blessé. Chaque année, depuis 2010, entre 6 et 12 personnes perdent la vie en relevant ce défi insensé. 

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Un couple de retrai­tés pris en otage par des goélands pendant 6 jours


En Angleterre, le goéland est une espèce protégée. Au grand malheur d’un couple âgé, deux goélands ont décidé de faire leur nid sur la toiture de leur maison. Les oisillons ont tombé et il est impossible pour le couple de sortir dehors sans se faire attaquer. En attendant que les bébés s’envolent, ils ont de l’aide de la ville pour aider le couple a vaquer à leurs occupations.
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Un couple de retrai­tés pris en otage par des goélands pendant 6 jours


Credits : South West News Service

par  Suzanne Jovet

Au Royaume-Uni, un couple de retrai­tés a été retenu prison­nier dans sa maison en bord de mer par des goélands. À chaque fois qu’ils tentaient sortir du domi­cile, les oiseaux attaquaient, rapporte The Sun. Un cauche­mar digne des Oiseaux d’Hit­ch­cock qui a duré six jours.

Brenda et Roy Pickard se sont retrou­vés avec un nid sur la toiture de leur maison située dans le Lanca­shire, au nord-ouest de l’An­gle­terre. Un jour, des pous­sins sont tombés juste au-dessus de la porte d’en­trée. Il n’était désor­mais plus possible de la fran­chir sans se faire agres­ser par les deux parents goélands en colère.

« Si je tente de sortir, les deux adultes sont là et je n’ai aucune chance », a raconté Roy Pickard « C’est vrai­ment effrayant. Ma femme n’est pas très mobile en ce moment, alors elle compte sur moi. »

L’homme de 71 ans a été picoré si fort à l’ar­rière du crâne qu’il a dû être conduit à l’hô­pi­tal pour soigner ses bles­sures. Par chance, il a pu sortir par le garage, dont il laisse toujours la porte ouverte pour ne pas avoir à sortir de sa voiture.

Credits : South West News Service

Le couple s’est plaint de la situa­tion auprès des auto­ri­tés locales et des orga­ni­sa­tions animales. Seule­ment, les oiseaux sont proté­gés pendant la nidi­fi­ca­tion. Une pergola a pu être instal­lée pour que Roy ferme son garage, et les auto­ri­tés s’as­surent qu’il puisse emme­ner sa femme âgée de 77 ans à ses rendez-vous médi­caux. Mais pour que la menace s’éloigne complè­te­ment, il doit désor­mais attendre que les pous­sins s’en­volent.

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Le Saviez-Vous ► Au XIXe siècle, il était courant d’avaler un ver solitaire pour perdre du poids


J’ai déjà entendu parler d’avaler un oeuf de ténia, dans le but de perdre du poids. L’origine de cette pratique remonte autour des années 1837 au Royaume-Uni et encouragé par la reine Victoria 1re. Un guide à cette époque disait que c’était  »du devoir d’une femme d’être belle ». Vous connaissez sûrement cette citation :  »Il faut souffrir pour être belle », c’était une réalité. À cette époque, les critères de beauté étaient stricts et les moyens pour y parvenir étaient drastiques. Le ver solitaire faisait partie de ces méthodes dangereuses.
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Au XIXe siècle, il était courant d’avaler un ver solitaire pour perdre du poids


ver solitaire

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Crédits : iStock

par Yohan Demeure, rédacteur scientifique

L’époque victorienne qui s’est déroulée entre 1837 à 1901 est restée célèbre pour ses critères de beauté souvent étonnants. Cependant, certaines techniques pratiquées afin d’entrer dans ces critères font froid dans le dos comme celle d’avaler un ver solitaire.

Si la pratique venant de Chine consistant pour les femmes à se bander les pieds a été largement diffusée dans les médias, c’est un peu moins le cas pour une autre pratique dont l’origine est bien plus proche de nous : le régime au ténia.

Le ténia est un long ver parasite de l’intestin plus couramment appelé ver solitaire. Ce dernier se décline en deux espèces : l’une présente chez le porc et l’autre chez le bœuf (hôtes intermédiaires) et peut entraîner des douleurs abdominales, des nausées, des troubles du transit intestinal ou encore des troubles de l’appétit (anorexie, boulimie).

Comment croire que l’époque victorienne raffinée, qui s’est déroulée sous le règne de la reine du Royaume-Uni Victoria Ire comme son nom l’indique, pouvait autoriser une pratique aussi ignoble. En réalité, cette dernière fût abondamment encouragée. A cette époque, l’idéal de beauté chez la femme était le suivant : lèvres rouges, joues roses, peau pâle, pupilles dilatées, mais également et surtout, une silhouette très mince.

Ingestion d’ammoniac, bains d’arsenic ou encore corsets serrés à l’extrême étaient les méthodes les plus populaires, heureusement aujourd’hui disparues. Le régime au ténia est cependant le plus effrayant, car il s’agit de volontairement installer dans son corps un ver solitaire. Les femmes avalaient une pilule contenant un œuf de ténia et le parasite se développe une fois ce dernier éclos tout en se nourrissant d’une partie de ce que l’hôte avale.

En théorie, ce régime permettait de perdre du poids tout en se fichant du nombre de calories assimilées, une façon laxiste, mais surtout dangereuse de maigrir. Un guide d’époque, The Ugly-Girl Papers de S.D. Powers, estimant qu’il était « du devoir d’une femme d’être belle » décrivait cette technique et ses motivations dont le but était de trouver un équilibre « sain » dans cette recherche du corps parfait.

« Une fille corpulente devrait manger le minimum nécessaire pour satisfaire son appétit, mais en ne s’autorisant jamais à quitter la table en ayant encore faim »,pouvait-on lire dans le guide.

« Souffrir pour être belle » était une expression qui avait donc tout son sens. La dangerosité intervenait surtout lorsque le poids désiré était atteint et qu’il fallait retirer le ténia. Prendre des pilules pour éliminer le ver n’était pas encore très courant et il y avait donc plusieurs techniques parfois hallucinantes. Un certain docteur Meyers avait inventé un appareil à insérer dans le tube digestif, il s’agissait d’un cylindre fourré avec de la nourriture dont le but était d’attirer le ver. Cependant, les hôtes mourraient le plus souvent étouffés. Une autre technique consistait à agiter un bol de lait à proximité d’un orifice en attendant que ce dernier sorte alléché par l’odeur.

Il s’avère que cette technique destinée à la perte de poids est toujours d’actualité, bien que marginale. En effet, des personnes désirent toujours volontairement laisser s’installer un ver solitaire dans leurs intestins. Bon nombre d’escroqueries existent sur le Web, mais la pratique jouit parfois de publicités dont on se passerait. Dernier exemple en date ? Khloe Kardashian a déclaré dans l’émission de télé-réalité Keeping Up With the Kardashians qu’elle aimerait avoir un ver solitaire, une déclaration qui avait conduit à la rédaction d’un article préventif sur le site Vice en avril 2015.

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Aux Bermudes, un escargot qu’on pensait disparu depuis 40 ans revient à la vie


Deux choses que beaucoup d’entre-nous sont contre. Les sacs de plastique et les zoos. Pourtant, un escargot emblématique des Bermudes qui a existé pendant des milliers d’années était en voie d’extinction à cause d’une espèce invasive. Cela faisait 40 ans qu’on croyait ce petit gastropode éteinte. Pourtant, ils ont trouver une petite colonie en arrière de restaurant. Ils avaient élu domicile dans des sacs de plastique pour l’humidité. Des escargots on voyager dans un zoo au Royaume-Uni pour établir une grande colonie et les introduire sur une île protégée aux Bermudes.
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Aux Bermudes, un escargot qu’on pensait disparu depuis 40 ans revient à la vie


Aux Bermudes, un escargot qu'on pensait disparu depuis 40 ans revient à la vieAvant sa redécouverte, on pensait que l’escargot terrestre des Bermudes s’était éteint.© Chester Zoo

Par Emeline Férard

Après avoir frôlé l’extinction, une espèce d’escargot endémique des Bermudes est en train de revenir à la vie. Un programme de conservation a permis de donner naissance à des milliers de spécimens en passe d’être réintroduits dans la réserve naturelle de Nonsuch Island.

C’est l’histoire d’une résurrection, celle d’un petit escargot terrestre qui a bien failli disparaitre de la surface de notre planète. Scientifiquement nommé Poecilozonites bermudensis,cet escargot mesure à peine deux centimètres et est endémique des Bermudes. Des îles océaniques isolées que les gastéropodes auraient colonisées il y a des centaines de milliers d’années.

Il fut un temps, il n’était pas difficile de croiser P. bermudensisaux Bermudes. Mais au fil des siècles, les escargots se sont faits de plus en plus rares. La faute à des espèces introduites, notamment des escargots carnivores et des vers plats, qui se sont attaqués au petit gastéropode jusqu’à le pousser vers l’extinction. Du moins c’est ce qu’on croyait jusqu’à ce qu’une petite population ne soit redécouverte en 2014.

Tout a commencé par une coquille vide

C’est à Hamilton, capitale des Bermudes que la trouvaille a été réalisée. Pour Mark Outerbridge, écologue du gouvernement des Bermudes, tout a commencé par une coquille vide apportée par un homme à son bureau :

 « il s’est avéré que oui, c’était bien un escargot terrestre des Bermudes, une espèce que nous pensions éteinte depuis 40 ans », a-t-il raconté à la BBC.

Le jour suivant, le même homme était de retour « avec une coquille fraiche et un escargot vivant dans sa main, c’est comme ça que je me suis lancé dans ce projet de conservation », a-t-il poursuivi.

Après quelques recherches, les spécialistes ont finalement mis en évidence l’existence d’une petite population vivant derrière un restaurant de la capitale.

Les gastéropodes prospéraient au milieu des déchets, en particulier dans des sacs plastique qui réunissaient toutes les conditions nécessaires à une survie en toute sécurité.

« Il s’est avéré que les sacs plastique étaient l’un des endroits où ils préféraient se trouver, parce que c’est eux qui retenaient le mieux l’humidité – et les escargots sont très vulnérables au desséchement », a relevé le Dr Outerbridge.

La découverte est même allée au-delà des espérances. Lorsque les spécialistes ont commencé à collecter quelques adultes, ils se sont aperçus qu’ils n’étaient pas seuls : les sacs plastique contenaient des centaines de jeunes individus ainsi que des nouveaux-nés. C’est ainsi que le gouvernement des Bermudes a lancé un vaste plan de sauvetage en collaboration avec une équipe du zoo de Chester au Royaume-Uni.

La renaissance d’une espèce

Des escargots tout juste éclos ont été envoyés au zoo de Chester et à la Zoological Society of London où des scientifiques ont commencé à établir des colonies. Et les gastéropodes y ont semble-t-il trouvé tout ce dont ils avaient besoin pour se reproduire puisqu’en quelques années la population est passée à plusieurs milliers d’individus.

« Au dernier recensement, nous avions environ 13.000 escargots – nous avons probablement plus que ça puisqu’ils ont eu beaucoup de bébés depuis », a précisé Amber Flewitt qui s’occupe des gastéropodes au zoo de Chester.

Trois ans après le début du programme, c’est une étape cruciale qui s’est engagée : le retour des escargots sur leurs terres d’origine.

Au dernier recensement, le zoo de Chester a recensé environ 13.000 escargots dans sa population. – Chester Zoo

Plus de 4.000 spécimens ont déjà été renvoyés aux Bermudes et libérés au sein de Nonsuch Island, une réserve naturelle que des recherches de terrain ont permis de considérer comme lieu parfait pour une réintroduction. L’île possède en effet les habitats nécessaires aux escargots et celle-ci n’est accessible que sous des protocoles strictes de quarantaine pour éviter toute introduction d’espèces étrangères.

Afin de suivre l’évolution des escargots introduits, certains individus ont été dotés de marqueurs fluorescents. Cela va permettre aux spécialistes de surveiller la dispersion des gastéropodes, leur taux de croissance, leur activité ou encore la taille de la population. Les premiers résultats suggèrent que les premiers spécimens semblent bien se porter dans leur nouvel environnement.

« Nous avons de grands espoirs »

« C’est incroyable d’être impliqué dans un projet visant à prévenir l’extinction d’une espèce », a commenté le Dr Gerardo Garcia du zoo de Chester dans un communiqué. « Cet animal est sur cette planète depuis très longtemps et nous ne pouvions simplement pas croiser les bras et regarder [ces escargots] s’éteindre pour toujours en sachant que nous étions capables de fournir une bouée de sauvetage ».

Pour réintroduire les escargots, les spécialistes ont dû trouver un endroit dénué de tout prédateur et présentant les conditions nécessaires à leur survie. – Chester Zoo

« Les escargots ont non seulement échappé au couperet de l’extinction mais ils ont aussi tellement bien rebondi en captivité que nous identifions de [nouvelles] îles aux Bermudes qui n’ont pas de prédateurs pour les réintroduire, et nous avons de grands espoirs qu’ils s’y porteront bien « , a conclu le Dr Outerbridge pour la BBC.

De nouvelles réintroductions de l’espèce Poecilozonites bermudensis considérée en danger critique d’extinction par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN),sont prévues au cours des prochains mois. Et une seconde espèce d’escargot des Bermudes, plus petite, fait actuellement l’objet d’un programme similaire de reproduction au zoo de Chester.

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En Écosse, des touristes ont massa­cré un arbre sacré vieux de 5000 ans


Les touristes des fois, c’est une calamité. En Écosse, un arbre dans un cimetière aurait probablement entre, 3 à 5 000 ans est victime de touristes qui veulent apporter un souvenir. Vous pouvez imaginer les dégâts que cela peut faire à un arbre ? Le respect de propriété, le respect de la nature est aussi importants que le respect des autres.
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En Écosse, des touristes ont massa­cré un arbre sacré vieux de 5000 ans


par  Mathilda Caron

Dans le cime­tière de Fortin­gall, en Écosse, les touristes sont en train de détruire le Fortin­gall Yew, l’arbre le plus ancien du Royaume-Uni, rappor­tait le quoti­dien britan­nique Metro le 28 mai.

Cela fait entre 3 000 et 5 000 ans qu’il existe, mais la bêtise du public aurait réduit son espé­rance de vie à un mini­mum de 50 ans.

Les visi­teurs de ce village des High­lands, situé près du lac de Tay, ont la mauvaise habi­tude d’ar­ra­cher des branches pour les rame­ner en souve­nir ou de grim­per sur le tronc, bien que ce soit stric­te­ment inter­dit. Récem­ment, quelqu’un a même tordu la plaque en métal posée devant le Fortin­gall Yew.

« Ils attaquent ce pauvre arbre qui est là depuis des millé­naires », déplore Cathe­rine Lloyd, coor­di­na­trice d’ l’as­so­cia­tion Tayside Biodi­ver­sity.

Cette dernière collecte des fonds pour réali­ser un « test ADN », destiné à déter­mi­ner l’âge exact de l’arbre. Certains pensent que c’est le plus vieux d’Eu­rope.

Source : Metro

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Ce profes­seur d’Ox­ford affirme que les extra­ter­restres vont nous sauver du réchauf­fe­ment clima­tique


Je ne voudrais pas avoir ce gars-là comme professeur ! Nous subissons les conséquences des changements climatiques et je doute vraiment que des extraterrestres enlèvent des humains pour se reproduire et créer des hybrides plus fort pour survivre à ces changements.
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Ce profes­seur d’Ox­ford affirme que les extra­ter­restres vont nous sauver du réchauf­fe­ment clima­tique

 

par  Laura Boudoux

Les hybrides alien-humains pour­raient sauver l’hu­ma­nité du réchauf­fe­ment clima­tique, d’après Dr Young-hae Chi. Ce profes­seur, qui enseigne le coréen à l’uni­ver­sité d’Ox­ford, au Royaume-Uni, est en effet persuadé que les extra­ter­restres sont déjà parmi nous, inco­gnito, et qu’ils se repro­duisent avec les humains dans le but de créer une nouvelle espèce durable. Et ces hybrides seraient d’après lui armés pour survivre au réchauf­fe­ment clima­tique. Il a commencé à expo­ser sa théo­rie fumeuse dès 2012 lors d’une confé­rence, rappor­tait The Oxford Student le 26 avril dernier.

À en croire le Dr Chi, qui a mûre­ment réflé­chi à la ques­tion, les extra­ter­restres et les humains partagent la même biosphère. Cela signi­fie que les extra­ter­restres sont autant impac­tés par les chan­ge­ments clima­tiques que les Terriens, ce qui explique­rait leur inté­rêt pour les humains et leur volonté de créer un hybride plus résis­tant.

« L’une des possi­bi­li­tés est qu’ils trouvent notre ADN précieux pour créer une espèce qui sera capable de survivre aux condi­tions clima­tiques futu­res… Certaines personnes enle­vées [par les extra­ter­restres] affirment que ces hybrides possèdent une intel­li­gence supé­rieure. Les extra­ter­restres produi­raient donc ces hybrides afin de résoudre des problèmes globaux, et pour qu’ils deviennent nos futurs leaders », théo­rise le profes­seur.

Il pense qu’il existe quatre types d’aliens : les petits, les grands, ceux qui possèdent des écailles et des yeux de serpent, et enfin ceux qui ressemblent à des insectes.

Tous parti­ci­pe­raient à la créa­tion de cet hybride supé­rieur, « non pas pour assu­rer notre survie, mais pour la leur et celle de la biosphère ».

Le Dr Chi assure qu’il travaille encore sur cette théo­rie, et tente actuel­le­ment de trou­ver de nouvelles preuves pour l’étayer. Pas sûr qu’Ox­ford lui accorde une bourse pour mener ses recherches.

Sources : Express.uk / The Oxford Student

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L’ori­gine des bâtis­seurs de Stone­henge révé­lée par des tests ADN : ils venaient de Médi­ter­ra­née


Ils semblent que les bâtisseurs de Stonehenge n’aient pas la même origine que ceux qui ont instaurer l’agriculture en Grande-Bretagne. L’un venait de la Turquie et l’autre de l’Espagne et du Portugal.
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L’ori­gine des bâtis­seurs de Stone­henge révé­lée par des tests ADN : ils venaient de Médi­ter­ra­née

 

par  Laura Boudoux

 

À Londres, des cher­cheurs viennent de lever le voile sur les origines des bâtis­seurs de Stone­henge, le monu­ment méga­li­thique érigé au Royaume-Uni entre –2800 et –1100. Pour cela, ils ont comparé l’ADN prélevé sur les restes humains retrou­vés à proxi­mité des lieux à celui de personnes vivant à la même époque en Europe, raconte la BBC.

D’après leurs résul­tats, publiés le 15 avril 2019, ceux qui ont bâti Stone­henge auraient initia­le­ment voyagé d’Ana­to­lie, la Turquie d’aujourd’­hui, vers la pénin­sule ibérique, avant de traver­ser la France, puis la Manche.

Lorsque les cher­cheurs ont analysé l’ADN des premiers agri­cul­teurs britan­niques, ils ont en effet décou­vert qu’il était plutôt simi­laire à celui des humains qui vivaient dans les zones de l’Es­pagne et du Portu­gal actuels. En plus de l’agri­cul­ture, les migrants néoli­thiques arri­vés en Grande-Bretagne par la France semblent avoir intro­duit la tradi­tion de la construc­tion de monu­ments dans le pays. Ils utili­saient pour cela de grosses pierres appe­lées méga­lithes, et Stone­henge fait partie des œuvres construites par ces personnes d’ori­gine médi­ter­ra­néenne.

Si le Royaume-Uni était avant cela habité par des groupes de chas­seurs-cueilleurs, et il semble­rait que les agri­cul­teurs, arri­vés vers 4000 av. J.-C., aient peu à peu remplacé ces popu­la­tions.

« Nous ne trou­vons aucune preuve de la présence des chas­seurs-cueilleurs occi­den­taux britan­niques chez les agri­cul­teurs du Néoli­thique après leur arri­vée », confirme ainsi Tom Booth, spécia­liste de l’ADN au Muséum d’his­toire natu­relle de Londres. « Cela ne signi­fie pas que les deux groupes ne se mélan­geaient pas du tout, mais que la taille de leur popu­la­tion était peut-être trop petite pour avoir laissé un quel­conque héri­tage géné­tique », explique-t-il.

Source : BBC

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Après 130 ans de mystère, Jack l’Éventreur enfin identifié?


Ce n’est pas une certitude à 100 %, mais un Polonais avait été un des suspects d’être Jack l’Éventreur au moment des investigations de l’époque. Aujourd’hui, les scientifiques ont trouvé l’ADN sur le foulard d’une des victimes de cet homme.
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Après 130 ans de mystère, Jack l’Éventreur enfin identifié?

 

© getty.

Qui se cache derrière Jack l’Éventreur? Cette question, le Royaume-Uni et le monde entier se la posent depuis 1888 et les horribles crimes commis par le tueur en série. Deux scientifiques anglais ont peut-être trouvé la réponse grâce à des analyses ADN.

Aaron Kosminski © afp.

Rumeurs et hypothèses durant des décennies et un mystère élucidé après 130 ans? Peut-être. Les éléments révélés par deux scientifiques anglais et rapportés par la revue Journal of Forensic Sciences ne permettent pas encore d’identifier formellement Jack l’Éventreur, mais tendent à confirmer une piste déjà explorée.

Grâce à des analyses ADN menées à partir d’une écharpe ensanglantée retrouvée à proximité d’une victime, les chercheurs ont permis de déceler son potentiel propriétaire, un certain Aaron Kosminski, un coiffeur polonais âgé de 23 ans au moment des faits et qui souffrait de problèmes psychologiques. Décédé à 53 ans, il avait terminé sa vie dans un asile, interné après avoir attaqué sa soeur à l’aide d’un couteau.

« Pas une certitude à 100% »

Rapidement considéré comme le principal suspect, les preuves contre lui sont toujours restées insuffisantes. Le travail d’investigation opéré par les deux scientifiques n’est pas non plus à considérer comme une preuve accablante.

« Ce n’est pas une certitude à 100% », assurent-ils avant de préciser que l’objectif initial était surtout d’observer si le traitement ADN pouvait donner des résultats satisfaisants après plus d’un siècle. 

L’échantillon de l’époque a finalement pu être comparé avec des descendants vivants d’Aaron Kosminski. 

Jack l’Éventreur a semé l’horreur en 1888 dans le quartier londonien de Whitechapel s’attaquant principalement à des prostituées. Cinq crimes commis dans les environs à cette période sont imputables au célèbre tueur en série en raison des similitudes constatées.

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Les parois de cette grotte anglaise sont couvertes de protec­tions magiques contre le Diable


Alors qu’un guide touristique croyait que les dessins dans une grotte au Royaume-Uni était des graffitis, il s’avère que c’est des inscriptions datant entre le 17 et 18e siècles étaient pour conjurer les mauvais esprits.
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Les parois de cette grotte anglaise sont couvertes de protec­tions magiques contre le Diable

 

Crédits : Cres­well Crags

par  Malaurie Chokoualé

 

« Je pense que, de mémoire, c’est le plus grand nombre d’exemples [de signes de protec­tion] retrou­vés où que ce soit au Royaume-Uni », a déclaré le 15 février au Guar­dian Alison Fearn, spécia­liste en la matière de l’uni­ver­sité de Leices­ter.

À Cres­well Crags, une gorge calcaire du Nottin­gham­shire, des centaines d’ins­crip­tions magiques ont été décou­vertes dans un réseau de grottes.

Orga­ni­sa­tion cari­ta­tive passion­née par la vie souter­raine, Subter­ra­nea Britan­nica est à l’ori­gine de cette trou­vaille. Alors qu’ils visi­taient les grottes, Hayley Clark et Ed Waters ont remarqué ces étranges symboles. « Pace Maria », « VV » (des appels à l’aide adres­sés à Marie, la « Vierge des Vierges ») : ces marques dites apotro­païques (pour conju­rer le mauvais sort) ont été gravées pour garder prison­niers les esprits malé­fiques dans les entrailles de la terre.

Alison Fearn explique en substance au Guar­dian que les lettres et les symboles sont bien chré­tiens à l’ori­gine, mais qu’ils étaient ici utili­sés comme protec­tion contre le Malin. John Char­les­worth, guide touris­tique au moment de la décou­verte, confirme avoir toujours pensé qu’il s’agis­sait de simples graf­fi­tis. Les inscrip­tions ont désor­mais été reclas­sées et datées entre le XVIIe et le XVIIIe siècle.

Crédits : Cres­well Crags

Source : The Guar­dian

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40 000 squelettes déterrés à Londres


Comme tout grand projet, chaque découverte du passé est soumis à des archéologues. À Londres, pour construire une gare ferroviaire, un vieux cimetière dont les morts ont été enterrées entre 1788 et 1853 devient une vraie aubaine pour les scientifiques. Des milliers de dépouilles sont jusqu’à maintenant exhumées dans le but d’être étudié pour en apprendre plus du monde de vie, des maladies à cette époque.
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40 000 squelettes déterrés à Londres

 

 

Depuis plusieurs semaines, le site de St. James’s Gardens, à côté de la gare d’Euston, dans le nord de Londres, est devenu un vaste champ de boue. Des dizaines d’archéologues fouillent ce qui fut un cimetière entre 1788 et 1853 pour faire place à une nouvelle ligne ferroviaire à grande vitesse. Que pourraient leur apprendre ces vieux os ?

D’APRÈS L’AGENCE FRANCE-PRESSE

Enterrés dans l’argile

Agenouillée dans un ancien parc adjacent à l’une des gares les plus fréquentées de Londres, une armée d’archéologues fait émerger de l’argile grasse et compacte des milliers de tombes qui seront déplacées pour faire place à une nouvelle ligne ferroviaire à grande vitesse. Plus de 1200 des quelque 40 000 dépouilles ont déjà été mises au jour à St. James’s Gardens, à côté de la gare d’Euston, un espace vert désormais fermé au public qui fut un cimetière entre 1788 et 1853. Il fait partie de la soixantaine de sites archéologiques définis dans le cadre du projet géant High Speed 2 (HS2), nouvelle ligne ferroviaire à grande vitesse qui traverse l’Angleterre.

Des pelles et des milliards

Depuis plusieurs semaines, le site de St. James’s Gardens, dans le nord de la capitale britannique, est devenu un vaste champ de boue, creusé en terrasses pouvant aller jusqu’à huit mètres de profondeur. Des dizaines d’archéologues vêtus de vêtements de chantier orange et de casques blancs brisent la terre à l’aide de pelles et de hoyaux, tandis que d’autres brossent les restes humains sous un toit temporaire de 11 000 m2 qui les protège de la pluie et des curieux. Le projet HS2 est très controversé au Royaume-Uni, du fait de son coût, des expropriations qu’il entraîne et de son tracé traversant la campagne anglaise. La première phase, un tronçon reliant Londres à Birmingham (centre de l’Angleterre), est estimée à 24 milliards de livres (environ 41 milliards de dollars canadiens) et doit s’achever en 2026. Le HS2 doit ensuite continuer sa route vers le nord.

Colonne tordue, dentition intacte

L’argile a permis de conserver les tombes en très bon état. Le revêtement en pierre de l’une d’elles a été ouvert, révélant un cercueil de bois intact. La colonne vertébrale du squelette est tordue, mais le crâne a encore toutes ses dents, une découverte qui permettra d’en savoir plus sur le mode de vie et la mortalité lors d’une phase importante de l’industrialisation du Royaume-Uni.

« C’est probablement la plus grande accumulation de squelettes des XVIIIe et XIXe siècles jamais mise au jour dans ces conditions archéologiques dans ce pays », a assuré à l’AFP l’ostéologue Mike Henderson. « Avec tant de données, on peut vraiment commencer à étudier des questions importantes […] comme la prévalence des maladies et les taux de mortalité. »

Une aubaine

Jusqu’ici, l’équipe a trouvé des indications de tuberculose, de blessures traumatiques, comme des os cassés, de soins dentaires (de fausses dents) et d’actes de chirurgie sur des crânes sciés. Malgré son coût controversé, le projet ferroviaire est une aubaine pour les archéologues, leur permettant de déterrer des ruines préhistoriques, médiévales, romaines et industrielles à travers l’Angleterre

« Nous ne ferions pas ces découvertes sans ce chantier », a souligné Helen Wass, chef du patrimoine du projet HS2.

Les os des riches

À Euston, les archéologues ont commencé par la partie du cimetière réservée aux riches, aux tombes de pierre, avec des gravures ou des plaques de plomb sur les cercueils indiquant l’identité des occupants. S’y trouvent notamment James Christie, qui a fondé la maison d’enchères portant son nom, et le capitaine Matthew Flinders, l’explorateur qui aurait baptisé l’Australie. Au cours de l’année, l’équipe qui peut compter jusqu’à 200 membres, y compris ceux travaillant dans des laboratoires montés sur place, se déplacera vers les parties plus pauvres. Après examen et nettoyage, les squelettes seront à nouveau inhumés en terre consacrée, dans un lieu encore à déterminer. L’opération se fait sous l’œil des caméras de la BBC, qui compte en tirer un documentaire qui sera diffusé l’an prochain. 

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