Pourquoi les chiens de garde du prince William ont-ils été euthanasiés ?


Je n’aime pas savoir les ragots des gens célèbres et encore moins de la royauté. Cependant, l’histoire d’euthanasié des chiens après le départ du Prince Williams de l’armée m’apparait grotesque et je trouve que les excuses sont bidons .. et je ne crois pas aux problèmes de comportement de ces chiens ..
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Pourquoi les chiens de garde du prince William ont-ils été euthanasiés ?

 

Par Sophie Le RouxCrédits photo : Flickr – vitto_1973

Pendant des années, Brus et Blade ont assuré la sécurité du prince William, lorsque que celui-ci travaillait au sein de la Royal Air Force. Mais alors que le jeune papa vient de quitter l’armée, les deux chiens n’ont pas été récompensés pour leur dévouement. Non, le Berger Belge âgé de 9 ans et le Berger Allemand de 7 ans ont été euthanasiés.

C’est le vendredi 13 que les deux chiens ont été endormis, dès le lendemain de l’annonce du départ du prince William, qui a travaillé sur la base de la Royale Air Force de l’île d’Anglesey pendant les 3 dernières années.

« Brus et Blade officiaient dans une unité créée spécialement pour assurer la protection de William. Ils patrouillaient dans la station pour protéger le personnel militaire et les équipements. Mais une fois qu’il est parti, l’unité a été fermée«  a révélé une source citée par le Sun. Et au lieu de se voir offrir une paisible retraite, les chiens ont été tués.

Une coïncidence ?

Face à la colère des amoureux et défenseurs des animaux, le ministère de la défense britannique a dû donner des explications. Il affirme que si les chiens ont été euthanasiés le lendemain de l’annonce du départ du prince, il ne s’agit que d’une « coïncidence« .

Le ministère rappelle en outre que Brus et Blade n’étaient pas « chargés exclusivement de la sécurité de William ». Et s’ils ont été endormis, c’est parce qu’ils avaient des problèmes de santé et de comportement. « IIs étaient trop agressifs pour » pouvoir vivre au sein d’une famille d’accueil.

Des explications qui n’apaisent pas la colère des associations de protection animale. D’autant plus que comme le révèle le Sun, près de 300 chiens de l’armée ont été euthanasiés au cours des 3 dernières années. 300 autres ont été placés dans des familles.

Ou une euthanasie de complaisance ?

Tandis que la RSPCA affirme que « toutes les solutions possibles » auraient dû être explorées avant que les deux chiens de garde du prince ne soient tués, le ministère se défend en assurant que l’euthanasie des chiens de l’armée était toujours envisagée en « dernier recours« .

Chose que le comportementaliste animalier Roger Mugford peine à croire.

« Les problèmes de comportements sont souvent avancées comme excuse pour endormir ces chiens. Ce qu’il faudrait faire, c’est travailler à trouver des solutions pour améliorer leur environnement. La seule question à se poser est la suivante : “Est-ce que ces chiens seraient encore en vie si William était toujours en poste ?” Cela ressemble à une euthanasie de complaisance«  déplore-t-il.

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Égypte Un avion disparu en 1942 retrouvé dans un désert


Le désert cache des secrets les couvrent avec ses tempêtes de sables et son vaste territoire, puis un jour, des histoires renait laissant une partie d’un énigmes se dévoilé sans en dire trop pour garder encore un peu murmurant une partie de ses confidences mais sans plus
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Égypte

Un avion disparu en 1942 retrouvé dans un désert

Égypte - Un avion disparu en 1942 retrouvé dans un désert

©Shutterstock

Agence France-Presse
Jailan ZAYAN

LE CAIRE – L’épave d’un avion de chasse britannique disparu en pleine seconde guerre mondiale, en juin 1942, vient d’être découverte très bien conservée au milieu des roches et des sables d’un désert de l’ouest de l’Égypte.

Des recherches doivent désormais être entreprises pour tenter de retrouver le corps du pilote, un sergent âgé de 24 ans, qui a vraisemblablement trouvé la mort en cherchant en vain de l’aide dans cette région inhabitée.

L’avion de la Royal Air Force (RAF), un P-40 Kittyhawk de fabrication américaine, a été récemment découvert lors d’une mission d’exploration minière.

Soixante-dix ans plus tard, l’appareil est «pratiquement intact, et dans un état de conservation étonnant», a indiqué samedi à l’AFP l’attaché militaire de l’ambassade britannique au Caire, le capitaine Paul Collins, sans préciser sa localisation exacte.

L’avion a peut-être été victime d’une avarie ou d’une panne de carburant qui l’a contraint à un atterrissage de fortune, visiblement effectué dans des conditions «impeccables», a-t-il ajouté.

Son pilote, le sergent Dennis Copping, a quitté l’appareil en emportant la radio, probablement dans une tentative désespérée de trouver du secours dans cette région isolée, située à plusieurs centaines de kilomètres du premier village.

Des démarches ont été faites auprès de l’armée égyptienne pour qu’une mission soit envoyée à la recherche du corps dans cette zone rendue aujourd’hui dangereuse par des trafics avec la Libye et le Soudan voisins.

«Le pilote avait 24 ans, il était en bonne forme, il a pu marcher loin mais se serait perdu», estime le capitaine Collins, qui estime que l’accident a sans doute eu lieu dans l’après-midi, aux alentours de 16H00.

«On ne saura peut-être jamais ce qui s’est passé, mais il a probablement de la famille quelque part et il faut chercher à résoudre cette question», a-t-il ajouté.

Des démarches vont également être entreprises pour sortir l’épave du désert, et la rapatrier en Grande-Bretagne.

Selon David Keen, un historien du musée de la RAF à Hendon, près de Londres, «pratiquement tous les avions qui se sont écrasés durant le seconde guerre mondiale, et il y a en eu des dizaines de milliers, se sont brisés de telle manière que l’on n’en retrouve que des morceaux, souvent dispersés sur de grandes étendues».

Ce qui fait la particularité de cette épave, c’est qu’elle semble complète, et qu’elle soit restée à la surface du désert si longtemps, comme préservée du temps», a-t-il déclaré à la BBC.

L’avion faisait partie des forces britanniques du général Montgomery, mobilisées pour combattre l’Afrika Korps de l’Allemand Rommel en lui barrant notamment la route d’Alexandrie, ainsi que celle, plus à l’est, du stratégique canal de Suez.

La côte entre la Libye et l’Égypte, jalonnée de sites et de cimetières militaires, a connu des batailles parmi les plus décisives de la seconde guerre mondiale, notamment à Tobrouk (Libye) et el-Alamein (Égypte).

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