Un barbier québécois s’allonge au sol pour couper les cheveux d’un enfant autiste


C’est un homme qui ne fait pas son travail pour la paye, il semble avoir sa profession dans le sang, qu’il est prêt à s’adapter pour être au service de sa clientèle, même si les besoins sont particuliers.
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Un barbier québécois s’allonge au sol pour couper les cheveux d’un enfant autiste

 

THE CANADIAN PRESS/HO-FRANZ JACOB

Un geste qui lui a valu de nombreux éloges sur les réseaux sociaux!

Un barbier de Rouyn-Noranda, en Abitibi-Témiscamingue, s’attire des éloges pour sa façon d’accommoder son jeune client autiste.

Une photo publiée en ligne la semaine dernière montre Francis «Franz» Jacob allongé sur le sol de son commerce de Rouyn-Noranda alors qu’il coupe les cheveux d’un jeune garçon nommé Wyatt.

L’homme de 45 ans affirme qu’il est stupéfait de toute l’attention qu’il reçoit depuis que la photo a été largement partagée sur les réseaux sociaux.

M. Jacob indique que Wyatt ne reste généralement pas immobile lorsqu’il se fait couper les cheveux, alors il s’est procuré des tondeuses sans fil pour l’accommoder.

Il soutient avoir quelques autres clients autistes ou ayant des besoins particuliers et affirme qu’il trouve toujours un moyen de s’adapter à leurs besoins.

En entrevue avec La Presse canadienne, vendredi, le barbier a souligné que Wyatt avait été son premier client autiste.

«C’est le premier avec qui j’ai eu à développer une relation et à comprendre cet environnement qui est extrêmement particulier», a-t-il expliqué.

«Chacun de ces enfants a des besoins différents ou des réactions différentes. À chaque fois, c’est de s’ajuster au client et de (…) le suivre dans son environnement. Je pense qu’il faut être beaucoup à l’écoute et c’est Wyatt qui m’a permis de faire ça en premier. J’ai compris rapidement ce que j’avais à faire, mais Wyatt (est) le premier avec qui j’ai eu à travailler et qui m’a permis de comprendre.»

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Il y a 70 ans, l’Abitibi-Témiscamingue subissait la plus importante tempête de son histoire


L’Abitibi-Témiscamingue se situe au nord-ouest du Québec, c’est ma région natale, mais je n’étais pas encore née au moment de cette grande tempête de 1947. Ma mère était présente et probablement, mon père. La neige est notre quotidien au Québec et quand s’annonce le printemps, l’hiver n’aime pas tirer sa révérence trop vite et certaines années, il est moins pressé et laisse sa marque avant de quitter pour le prochain hiver. Si cette tempête a paru plus importante que celle que le Québec a eue dernièrement (qui pourtant a fait des morts et des carambolages importants en 2017), c’est bien le déneigement était différent et moins d’automobiles en circulation dans ces années-là.
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Il y a 70 ans, l’Abitibi-Témiscamingue subissait la plus importante tempête de son histoire

Un train enlisé dans la neige à Rouyn-Noranda lors de la grande tempête de 1947. En arrière plan, la mine Noranda.

Un train enlisé dans la neige à Rouyn-Noranda lors de la grande tempête de 1947. En arrière plan, la mine Noranda.   Photo : Bibliothèque et Archives nationales du Québec

Il y a 70 ans, une tempête monstre s’abattait sur l’Abitibi-Témiscamingue. Durant trois jours, soit du 25 au 27 mars 1947, des dizaines de centimètres de neige ont enseveli la région. Train perdu, transports paralysés, rues impraticables, mines, boutiques et écoles fermées… du jamais vu auparavant, ni depuis!

Un article de Félix B. Desfossés

La tempête se lève

« Depuis une semaine, il faisait une véritable température printanière. Les amateurs de pêche commençaient déjà à penser à leurs excursions et les jeunes filles à leur prochain costume de bain. Et comme on avait déjà eu un hiver très neigeux, on était loin de s’imaginer que ce n’était pas fini. Puis voilà que lundi soir, il commence à neiger, à neiger et à neiger. Un vent violent s’élève au début de la nuit. Il va, prétend-on, à une vitesse de 60 miles à l’heure […] et mardi matin, on se réveille partout dans la neige. Pour sortir, il faut d’abord commencer par l’enlever à la porte de sa demeure pour avoir ensuite la consolation de tomber dans des rues où il faudrait des raquettes. […] Le vent continue et la neige continue de tomber. Cela, pendant toute la journée de mardi, toute la nuit de mercredi, jusqu’à mercredi après-midi alors qu’on commence à avoir l’espoir que c’est enfin fini », écrivait-on dans l’édition du 27 mars 1947 du journal La Frontière.

Désorganisation générale

La grande tempête de 1947 en Abitibi-Témiscamingue. Crédit : Bibliothèque et Archives nationales du Québec

Des photos de Rouyn-Noranda disponibles à la Bibliothèque et aux Archives nationales du Québec nous montrent des trains qui non seulement ont été paralysés par la tempête, mais qui ont aussi été ensevelis. Dans le secteur d’Évain, 50 à 60 hommes ont été appelés pour vider une dénivellation qui s’était remplie de neige sur la voie ferrée, bloquant le passage au train du Nipissing Central.

Entre Barraute et Senneterre, un train aurait littéralement été perdu!

« Ils ont essayé de rebrousser chemin, mais ils sont restés coincés dans une dépression. Les gens ont passé la nuit dans le train, ils ont mangé dans le train. Le lendemain, ils ont été évacués vers Barraute. Ils ont fini par envoyer une charrue pour sortir le train de son mauvais pas. Les gens sont accueillis à Barraute, logés et nourris pendant trois jours chez les familles, le curé et son presbytère », raconte Guillaume Trottier, de la Société d’histoire d’Amos.

Une fois le train dégagé, une foule de 500 personnes attendait le convoi sur le quai de la gare d’Amos.

La grande tempête de 1947 en Abitibi-Témiscamingue. Crédit : Bibliothèque et Archives nationales du Québec

Les autoneiges taxis – un moyen de transport important à l’époque – avaient de la difficulté à circuler. Plusieurs automobiles ont été abandonnées en bordure de rues devant l’impossibilité d’aller plus loin.

La grande tempête de 1947 en Abitibi-Témiscamingue. Crédit : Bibliothèque et Archives nationales du Québec

Plusieurs mines ont cessé leurs activités étant donné que leurs employés n’arrivaient simplement pas à cheminer jusqu’au travail.

Le centre-ville de Rouyn-Noranda était désert selon La Frontière, puisque la majorité des commerces étaient également fermés. Inutile de dire que les écoles aussi.

Aucun mort, mais plusieurs naissances!

Malgré cela, on ne rapporte aucun mort, mais des urgences médicales sont tout de même survenues.

Une femme devant accoucher a été transportée à l’hôpital en voiture de police précédée d’un bulldozer pour ouvrir le chemin! Une femme a aussi donné naissance à un enfant à l’hôtel Albert, à Rouyn, étant donné qu’il était difficile même de marcher jusqu’à l’hôpital, qui se trouve à quelques coins de rue de là. Un médecin a aussi utilisé le bon vieux traîneau à chiens pour se rendre au chevet d’un mourant à Rouyn-Sud.

Des quantités de neige

Les données historiques confirment que l’accumulation de neige a été beaucoup plus abondante que la moyenne lors de cette tempête.

« Ce que je constate, c’est qu’il y a vraiment eu beaucoup de neige pour ces dates-là, affirme Simon Legault, météorologue à Environnement Canada. C’est très variable aussi à travers la région de l’Abitibi-Témiscamingue. Il y a des endroits qui ont accumulé une trentaine de centimètres, 25-30, et j’ai vu des pointes à 71 centimètres pour la région de Ville-Marie. Donc, c’est vraiment des grandes différences, ce qui me laisse croire que la situation était vraiment très variable et qu’il y avait aussi, je suppose, beaucoup de vent dans la région. […] Ça devait ressembler à des conditions de blizzard. »

Cette neige venait s’ajouter à celle tombée lors de deux tempêtes précédentes.

« Avant d’arriver au 25 mars, il y avait eu quand même des accumulations plus tôt au mois de février et au mois de mars. [Vers le] 3 mars, ça variait autour d’une vingtaine à une quarantaine de centimètres qui étaient accumulés. Avec toutes ces accumulations-là, s’il a continué à faire froid, on avait une accumulation de neige au sol qui pouvait aussi être déplacée par les forts vents possibles du 25 mars en 1947 », explique M. Legault.

À Ville-Marie, les accumulations totalisaient 1,2 mètre!

Solidarité lors de la grande tempête de 1947 en Abitibi-Témiscamingue

Solidarité lors de la grande tempête de 1947 en Abitibi-Témiscamingue   Photo : Bibliothèque et Archives nationales du Québec

Comparable à la dernière tempête au Québec?

La grande tempête d’Abitibi-Témiscamingue est comparable à celle qui a frappé le sud du Québec au cours des dernières semaines, selon Simon Legault, étant donné que la quantité de neige tombée varie de 40 à 70 cm selon les endroits.

Il souligne toutefois que les façons de faire étaient complètement différentes à l’époque, que ce soit pour le déneigement, pour lequel on n’avait pas les machines qu’on peut avoir aujourd’hui, ou pour la quantité de véhicules sur les routes. En 1947, il y avait beaucoup moins d’automobiles en circulation, donc nécessairement moins de carambolages et de risques mortels.

Il n’en demeure pas moins que l’Abitibi-Témiscamingue n’a probablement pas revu de tempête aussi importante dans son histoire.

Dans le journal La Frontière du 27 mars 1947, on dit que

« des pionniers de Rouyn-Noranda qui ont vécu en différents endroits de la province et du pays n’hésitent pas à dire que jamais ils n’ont vu un temps pareil et jamais même ils n’auraient pu l’imaginer. »

http://ici.radio-canada.ca

Domobec : Une puce greffée dans le bras pour contrôler sa maison


C’est sur que ca doit être bien intéressant quand tout est contrôler sur le bout des doigts .. tout programmer ? Cela me fait penser a l’article Dans une école texane, c’est la puce ou la porte… Il me semble que c’est vraiment une porte ouverte a un total contrôle des choses et des êtres vivants .. jusqu’a ce qu’une panne majeure ou en cas de piratage arrive .
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Domobec : Une puce greffée dans le bras pour contrôler sa maison

 

Domobec - Une puce greffée dans le bras pour contrôler sa maison

Louis Limoge, président de Domobec, montre le bras dans lequel il a une puce greffée et le panneau de contrôle de sa maison.

Photo Agence QMI

Agence QMI

ROUYN-NORANDA – Vous avez déjà vu l’un de ces films de science-fiction, où les personnages se font implanter des composantes électroniques sous la peau? Pour Louis Limoges ce n’est pas de la fiction, mais une réalité quotidienne.

Ce passionné de technologie s’est fait greffer une puce dans l’avant-bras, comme celles des cartes qui permettent de déverrouiller les portes. Il a ainsi accès à son bureau et bientôt à sa maison. Louis Limoges est président de Domobec, une entreprise spécialisée dans la domotique.

La domotique est l’ensemble des techniques de gestion automatisées appliquées à l’habitation. Domobec se spécialise dans l’installation de matériel permettant l’asservissement de différents processus dans la maison ou l’entreprise.

Ses techniciens installent du matériel électronique, informatique et d’automatisation afin d’augmenter le confort et l’efficacité énergétique des bâtiments.

Vivre dans une maison domotisée

L’automatisation des processus vise à rendre la vie plus agréable. Par exemple, lorsque Louis arrive chez lui, sa maison le reconnait et met en branle les processus qui lui sont associés.

«Ma liste musicale démarre. J’ai un panneau central de contrôle, qui me permet de gérer toute la maison», a-t-il dit.

Ce panneau, à la manière d’une tablette électronique, répond à des commandes tactiles.

«Dans un écran tactile, il n’y a pas de limite. On peut intégrer tout ce qu’il y a dans le bâtiment, la musique, la télévision, l’éclairage. On peut programmer des fonctions, comme un mode de nuit (tamiser ou fermer les lumières, baisser le chauffage), le démarrage du véhicule le matin, des choses comme ça», a expliqué l’entrepreneur.

Quand vient le temps de se lever, à l’aube, la maison de Louis devient un véritable réveille-matin, les rideaux s’ouvrent pour laisser entrer la lumière du jour, une musique, de son choix, se fait entendre, une voix annonce la météo et le téléviseur s’allume pour afficher une vue de l’extérieur de la maison, ce pourrait-être les nouvelles s’il le voulait.

Les panneau de contrôle se trouve aussi sur son IPhone. Tout est automatisé, de la cave au grenier.

Partout au Québec

Malgré que son siège social soit situé à Rouyn-Noranda, Domobec opère partout au Québec.

«Récemment, nous avons fait une installation de plus de 80 000$ dans une maison de la région de Montréal.

En Abitibi-Témiscamingue, ce sont en majorité des entreprises qui font appel à nos services», a confié M. Limoges. Domobec est le chef de file dans son domaine au Québec.

 Des projets d’expansions sont sur la table.

Une succursale pourrait ouvrir ses portes bientôt dans la région métropolitaine.

http://fr.canoe.ca

Un étudiant hors du commun


J’aime souligner des personnes extraordinaires qui malgré les préjugés, quelques sarcasmes réussit contre vent et marée de poursuivre leur route .. Ici c’est un autisme qui avec patience et persévérance continu des études et travaille fort pour y arriver
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Un étudiant hors du commun

 

 

Agence QMI

 

ROUYN-NORANDA – Nicolas Gagnon n’est pas un étudiant comme les autres. Ses notes, nettement au-dessus de la moyenne, ou les bourses qu’il a reçues n’en sont pas la raison. Nicolas vit avec un trouble envahissant du développement (TED).

Il est autiste, mais il poursuit avec succès sa formation collégiale et son avenir est prometteur malgré ce que plusieurs pourraient penser.

Tout au long de sa scolarité, Nicolas a dû faire face aux préjugés. Ses camarades de classe ne manquaient pas de l’intimider et de le harceler, puisqu’il était différent. Il a dû aussi affronter les préjugés de ses enseignants.

«On m’a dit qu’il ne pourrait jamais terminer son primaire régulier. L’enseignante voulait lui faire un bulletin spécial, mais Nicolas ne voulait pas, il voulait terminer sa sixième année comme tout le monde» a confié sa mère, Gaétane Bourque.

Arrivé au secondaire, même phénomène.

«Des fois les gens n’étaient pas gentils avec moi», a dit Nicolas.

À l’époque, il se déplaçait de façon linéaire, il longeait les murs.

«Ça attirait l’attention des autres adolescents qui le rejetaient», a expliqué sa mère.

À ce moment, la plupart de ses enseignants l’aimaient beaucoup, il était très calme et attentif en classe.

«Une fois qu’il avait confiance et quand on lui donnait les consignes de la bonne façon et qu’on s’assurait de respecter sa particularité, il fonctionnait très bien, a ajouté Mme Bourque. Quand il était en classe spéciale, ses notes étaient dans les 80%, quand il est retourné en classe régulière, c’est remonté au dessus de 90%.»

Le pédopsychiatre qui suit Nicolas a expliqué que ce dernier a besoin de stimulation pour progresser, il doit donc évoluer en classe régulière.

Heureux de pouvoir étudier comme tout le monde.

«J’aime beaucoup faire de la programmation, quand je travaille, le temps passe vite» a dit Nicolas.

Il en oublie parfois de manger, tant il est absorbé par son travail.

Le jeune étudiant a remporté trois bourses depuis le début de ses études collégiales. Ses notes sont nettement au-dessus de la moyenne.

Nicolas Gagnon n’est pas un phénomène comme les personnages des films Rainman ou A beautiful mind, c’est un garçon doué avec un TED. C’est un jeune homme rempli de courage qui affronte des difficultés qui en feraient abandonner plusieurs. La plus grande qualité de Nicolas est sa persévérance et son courage, selon sa sœur Claudia.

Nicolas a besoin de calme. S’il y a de la lumière trop forte, un bruit répétitif ou quelque chose du genre, il ne peut pas se concentrer. C’est pour cette raison qu’il bénéficie d’une accompagnatrice, Joanne Gervais, qui s’assure que son environnement ne l’agresse pas, que c’est favorable.

L’étudiant poursuit ses études en informatique. Il veut faire un double diplôme d’études collégiales (DEC). Soit informatique de gestion et gestion de réseaux. Ensuite, il ambitionne d’aller à l’université, il adore la physique et la biologie.

Passionné d’astronomie, il rêve de visiter l’observatoire du mont Mégantic et suit les dernières nouvelles du domaine dans internet. Une bourse du fond Desjardins lui a permis de s’acheter un nouvel ordinateur.

Avec la webcam, sa mère et sa sœur, qui sont très proches de lui, peuvent communiquer et l’aider. De cette façon, il peut continuer de vivre dans les résidences du cégep et continuer son parcours scolaire, à son rythme, en toute sécurité.

Nicolas est à la recherche d’un emploi d’été, mais sa condition lui nuit dans ses démarches. Pourtant, un article de l’édition de novembre 2011 du magazineJobboom démontre la grande productivité des travailleurs autistes sur le marché du travail. Ceux-ci quand on respecte leurs particularités sont très rentables pour leurs employeurs.

 

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Archéologie – Découverte d’un site archéologique de culture Meadowood en Abitibi-Témiscamingue


C’est une très belle découverte faites dans ma région natale .. Je suis persuader que la région de l’Abitibi-Témiscamingue est riche en histoire des premières nations et que ce site a laissé beaucoup de trace intéressante
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Archéologie – Découverte d’un site archéologique de culture Meadowood en Abitibi-Témiscamingue

Archéologie - Découverte d'un site archéologique de culture Meadowood en Abitibi-Témiscamingue

Les archéologues d’Archéo-08 ont découvert le premier site archéologique de culture Meadowood au nord du Saint-Laurent en fouillant deux sites près de la rivière Kinojévis, à Rouyn-Noranda.

Près de 40 000 artéfacts tels que des pointes de flèches, différents types de grattoirs, de racloirs et des poinçons ont été retrouvés par l’équipe de Marc Côté.

La culture Meadowood était présente dans la Vallée-du-Saint-Laurent et aux États-Unis, de 800 à 300 avant Jésus-Christ.

Le directeur général d’Archéo-08, Marc Côté, affirme qu’il s’agit d’un mystère culturel.

« Beaucoup d’archéologues s’intéressent à cette culture là parce qu’elle était en apparence extrêmement hiérarchisée, avec des objets avec des formes définies », explique-t-il.

Les fouilles ont été réalisées à la demande d’Hydro-Québec, qui s’apprêtait à reconstruire une ligne électrique, mais désirait d’abord connaître le potentiel archéologique du site.

Le conseiller aux relations avec le milieu, Marc Laliberté, souligne que les trouvailles d’Archéo-08 ont obligé Hydro-Québec à ajuster ses travaux.

 « Par exemple, il y a peut-être des déviations ou des contournements de chemins d’accès déjà existants qu’on va protéger », dit-il.

Les archéologues d’Archéo-08 ont fouillé moins de 10 % des sites où l’on retrouve plus de 500 objets au mètre carré.

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