Il y a plusieurs maladies génétiques qui sont extrêmement rares, qui ont été recensé. Plusieurs d’entre eux ont survécu quelque temps avec leur malformation hors du commun.
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10 Anomalies physiques RARES
Il y a plusieurs maladies génétiques qui sont extrêmement rares, qui ont été recensé. Plusieurs d’entre eux ont survécu quelque temps avec leur malformation hors du commun.
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L’avantage à nos hivers, nous sommes tranquilles avec les moustiques, car à la belle saison, les moustiques viennent nous visiter. Il semble que les États-Unis commencent a craindre le virus transmit par le moustique tigre mais comme nous n’avons pas d’anticorps contre ce virus, il risque de se propager plus vite
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Le virus Zika s’étend en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Il cause une maladie de type grippal, le plus souvent sans symptômes, mais qui peut provoquer des malformations chez les bébés exposés pendant la grossesse.
En 2015, le Brésil, qui fait face à une épidémie de zika, a dénombré 3 174 cas de microcéphalie (périmètre crânien inférieur à 33 centimètres et retard mental irréversible) comparativement à environ 150 cas annuels entre 2010 et 2014.
Transmission par des moustiques
Le virus est transmis par des moustiques appartenant au genre Aedes (qui inclut le moustique tigre). Ce sont les mêmes moustiques qui transmettent les virus de la dengue et du chikungunya.
Il est couramment présent en Afrique et en Asie. Il ne s’était pas répandu dans l’hémisphère occidental avant 2015. Pour cette raison, les gens n’ont pas d’anticorps contre ce virus et il se répand très rapidement.
Lors d’une piqûre, le moustique se contamine en prélevant le virus dans le sang d’une personne infectée. Le virus se multiplie ensuite dans le moustique, qui le transmet à une nouvelle personne lors d’une autre piqûre. Une personne infectée est « contaminante pour les moustiques » au moment où le virus est présent dans son sang, c’est-à-dire pendant la phase de développement de l’infection dans le corps, soit 3 à 10 jours après la piqûre infectante.
La maladie ne se transmet pas directement entre humains.
Symptômes de la maladie
Dans 70 à 80 % des cas, la maladie est asymptomatique.
Les symptômes ressemblent à ceux de la dengue (de forme légère), de la fièvre jaune et de la maladie causée par le virus du Nil occidental. Ce sont les suivants :
éruption cutanée,
fièvre,
fatigue,
douleurs musculaires et articulaires,
conjonctivite,
maux de tête,
douleurs rétro-orbitaires.
Complications
Des complications neurologiques de type syndrome de Guillain-Barré ont été décrites au Brésil et en Polynésie française.
Des microcéphalies et des anomalies du développement cérébral intra-utérin ont également été observées chez des fœtus et des nouveau-nés de mères enceintes pendant la période épidémique.
Traitement
Il n’existe pas à ce jour de traitement spécifique ni de vaccin préventif. Le traitement est avant tout symptomatique et repose sur la prise d’antalgiques (comme le paracétamol), et le repos. L’aspirine est à éviter du fait de la coexistence de la dengue dans les zones où circule le virus et du risque de saignement.
Propagation vers l’Europe et l’Amérique du Nord
Des moustiques du genre Aedes (tel que le moustique tigre) sont présents, notamment en France métropolitaine (dans une vingtaine de départements), et peuvent théoriquement transmettre le virus Zika si des personnes virémiques arrivent dans les zones infestées durant la période d’activité des moustiques (de mai à novembre). En dehors de la période d’activité du moustique (de mai à novembre), le risque de transmission est quasi nul.
En Amérique du Nord, le moustique Aedes aegypti, largement responsable de la propagation actuelle en Amérique du Sud, n’est courant aux États-Unis qu’en Floride, le long de la côte du Golfe et à Hawaii, bien qu’il ait aussi été vu aussi au nord qu’à Washington lors de température chaude, rapporte le New York Times.
Le moustique tigre asiatique, Aedes albopictus, est également connu pour transmettre le virus. En été, ce moustique se rend aussi loin au nord qu’à New York et Chicago.
Se protéger contre le virus
La prévention individuelle repose sur la protection contre les piqûres. Il est recommandé, selon l’Inpes :
de porter dans la journée (et en particulier en début et fin de journée, périodes d’intense activité du moustique vecteur) des vêtements amples et longs couvrant également les bras et les jambes jusqu’aux chevilles,
d’utiliser de préférence des vêtements imprégnés avec un produit insecticide spécial pour tissu, dans les zones de prolifération intense des moustiques ou en cas de contre-indication aux répulsifs (nouveau-nés, nourrisson jusqu’à trois mois),
d’utiliser des répulsifs sur les zones découvertes de la peau. Des précautions sont à respecter chez la femme enceinte et l’enfant (prendre avis auprès de son médecin ou d’un pharmacien),
d’utiliser des moustiquaires, des diffuseurs électriques à l’intérieur des maisons et des « bandeaux collants » imprégnés d’insecticide fixés au plafond des pièces de l’habitat.
Recommandations pour les femmes enceintes
Il est recommandé aux femmes enceintes se rendant dans les pays touchés de se protéger par tous les moyens disponibles contre les piqûres de moustiques et tout particulièrement au cours des deux premiers trimestres de la grossesse. Il leur est fortement recommandé d’utiliser un produit répulsif adapté en respectant les précautions. Une liste des produits adaptés est disponible sur le site du ministère français de la Santé.
Illustrations : Moustique tigre ; carte de la distribution géographique du virus Zika en janvier 2016. Source : US Centers for Disease Control and Prevention.
Psychomédia avec sources : Inpes, CDC, New York Times, Le Monde.
Il arrive souvent que nous voyions des choses, mais nous ne connaissons pas le fin fond de l’histoire. Et ce petit garçon en cage peut laisser perplexe si nous ne savons pas le pourquoi un tel geste. S’il était dans un pays avec l’aide adéquate ou plus riche, la situation serait tout autre
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Crédit photo : Capture d’écran Daily Mail
TVA Nouvelles
En Chine, une photo montrant un père qui transporte son fils dans une cage à l’arrière d’un vélo a fait polémique. Plusieurs y ont vu un cas de maltraitance.
Mais les apparences sont trompeuses.
Le jeune Xiaohao, âgé de 10 ans accuse un retard mental et souffre de violentes crises d’épilepsie.
Son père, Li Wenming, a dépensé beaucoup d’argent pour tenter de soigner son fils.
Malheureusement, les nombreux spécialistes qu’il a consultés n’ont pas réussi à le soigner, rapporte le Daily Mail.
Li Wenming, n’a plus un sou et doit abandonner les recherches.
Comme Xiaohao doit être sous surveillance 24 heures sur 24, Li Wenming a décidé de construire une cage pour le transporter sans le mettre en danger. En cas de crise d’épilepsie, Xiaohao ne peut pas se blesser.
«Xiaohao adore découvrir de nouvelles choses. Il est très curieux. Il aime particulièrement les voitures et observer de nouvelles personnes, a expliqué Li Wenming au People’s Daily online. C’est pour cette raison que j’ai créé la cage.»
(Crédit photo: Capture d’écran Daily Mail)
Li Wenming ne s’offusque pas des réactions que suscite la cage parce qu’il est convaincu d’avoir fait les bons choix pour aider son fils.