Le problème


 

C’est fou de voir comment de milliards qu’on veut dépenser pour un mur, des tonnes de gaspillage d’aliments, de pollution de l’eau et du sol alors qu’on pourrait très facilement donner l’espoir a des millions de sans-abris et des personnes souffrant de la famine.
Nuage

 

Le problème

 

 

 

Le problème n’est pas qu’il y ait un manque d’argent, de nourriture, d’eau ou de terre.
Le problème est que vous avez confié le contrôle de ces ressources à des psychopathes qui se soucient d’avantage de maintenir leur propre pouvoir que d’aider l’humanité.

Inconnu

Le sort de l’homme


C’est un fait que nous ne devions jamais oublier en temps que personne, communauté et gouvernement. Tout ce que nous faisons, que nous changeons dans la nature, nous affecteras
Nuage

 

Le sort de l’homme

 

Le sort de l’homme et celui de la nature sont intimement liés. Il faut une consommation modérée des biens et des ressources, sans excès.

Jean-Marie Pelt

Ressources de la planète: l’humanité vivra à crédit à partir de jeudi


Nous vivons maintenant à crédit sur ce que la terre peut renouveler en 1 an. Et ce sont toujours les mêmes qui en profitent et gaspillent sans diminuer pour autant leur empreinte écologique
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Ressources de la planète: l’humanité vivra à crédit à partir de jeudi

 

La totalité des ressources que la planète est en mesure de renouveler en un an... (PHOTO D'ARCHIVES)

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PHOTO D’ARCHIVES

Agence France-Presse
Paris

 

La totalité des ressources que la planète est en mesure de renouveler en un an aura été consommée jeudi, plaçant l’humanité dans une dette écologique d’ici au 31 décembre, un phénomène qui s’accélère, selon l’ONG Global Footprint Network.

Le «jour du dépassement», ou «overshoot day» en anglais, tombe cette année le 13 août, estime l’organisation qui a constaté qu’il survient de plus en plus tôt, signe d’une consommation de plus en plus décalée par rapport aux ressources disponibles.

L’année dernière, il était intervenu le 17 août, rappelle dans un communiqué l’ONG basée en Californie qui dresse ce bilan tous les ans, rectifiant parfois légèrement, rétrospectivement, les dates annoncées les années précédentes en raison de progrès dans sa méthodologie et de mises à jour des données.

En 1970, le «jour du dépassement» n’était survenu que le 23 décembre. Mais depuis, sa date n’a cessé de régresser: 3 novembre en 1980, 13 octobre en 1990, 4 octobre en 2000, 3 septembre en 2005, 28 août en 2010.

Cette année, «il aura fallu moins de huit mois à l’humanité pour consommer toutes les ressources naturelles renouvelables que la Terre peut produire en un an», déplore Global Footprint Network, «une indication claire que le processus d’épuisement des ressources naturelles s’accélère».

«Cela illustre le rythme incroyable et non durable du développement mondial», souligne Pierre Cannet, responsable énergie/climat au WWF France.

«Nous sommes sur une mauvaise pente. D’ici à 2030, on risque d’arriver à une surconsommation en juin», a-t-il déclaré à l’AFP, exprimant cependant l’espoir que «des objectifs ambitieux de réduction des émissions de CO2» permettront de repousser la date de l’«overshoot day».

Selon Global Footprint Network, il faudrait 1,6 planète pour subvenir aux besoins actuels de l’humanité.

L’ONG prend notamment en compte pour ses calculs l’empreinte carbone, les ressources consommées pour la pêche, l’élevage, les cultures, la construction ainsi que l’eau.

En 2030, si les émissions mondiales de gaz carbonique (CO2) ne diminuent pas, la population mondiale aura englouti son «budget écologique» dès le 28 juin. En revanche, «si nous réduisons nos émissions de CO2 de 30%» par rapport à leur niveau actuel, le «jour du dépassement» sera reculé au 16 septembre, selon l’ONG.

«Réduire les émissions de carbone permettrait non seulement de ralentir le réchauffement du climat», objectif de la conférence mondiale qui se réunira à Paris en décembre prochain, mais aussi de «réduire l’empreinte écologique à l’échelle mondiale», souligne Global Footprint Network.

La «réduction de la demande humaine de ressources naturelles (…) représenterait la première chance sérieuse de réduire le déficit écologique qui croît irrémédiablement depuis les années 1970», ajoute-t-elle.

http://www.lapresse.ca/

Le saviez-Vous ► Statistiques de la planète


Des statistiques qui démontre entre les causes naturelles et l’homme, c’est ce dernier qui fait le plus de dégât
Nuage

 

Statistiques de la planète

 

 

  • 20% des hommes consomment 80% des ressources de la planète.
  • Les dépenses militaires mondiales sont 12 fois plus élevées que l’aide au développement.
  • 5000 personnes meurent chaque jour à cause de l’eau insalubre.
  • 1 milliard d’hommes n’ont pas accès à l’eau potable.
  • 1 milliard de personnes ont faim.
  • Plus de 50% des céréales commercialisées dans le monde sont destinées à l’élevage et aux agrocarburants.
  • 40% des terres cultivables sont dégradées.
  • 13 millions d’hectares de forêt disparaissent chaque année.
  • Un mammifère sur 4, un oiseau sur 8, un amphibien sur 3 sont menacés d’extinction.
  • Les espèces s’éteignent à un rythme 1000 fois supérieur au rythme naturel.
  • Les trois quarts des ressources de pêche sont épuisées, en déclin ou à la limite de l’être.
  • La température moyenne des 15 dernières années a été la plus élevée jamais enregistrée.
  • La banquise a perdu 40% de son épaisseur en 40 ans.
  • Il pourrait y avoir 200 millions de réfugiés climatique avant 2050.

L’Afrique ne manque pas d’eau


De l’eau en Afrique et même beaucoup d’eau, mais elle est difficile d’y accéder, et pour réussir cela couterait vraiment cher .. Ce qui me choque la dedans c’est de voir les extravagances dans divers pays .. que ce soit de créer un parc Jurassique avec l’espoir de voir un jour des animaux de la préhistoire revivre .. Dubaï avec ses expositions de richesses extrême .. faire une réplique exacte et navigable du Titanic .. Et même les Jeux Olympique qui serait louable si on s’attardait qu’aux rencontre sportive, mais tout l’argent pour avoir le plus beaux stades et tout le trala la .. cela m’apparait grotesque quand il suffirait un peu plus d’eau pour permettre aux pays en voie de développement d’être plus productif et autonome
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L’Afrique ne manque pas d’eau

 

L’Afrique ne manquerait pas d’eau potable pour sa population, selon ce que rapporte le Courrier international.

PHOTO ARCHIVES REUTERS

Le continent dispose d’importantes ressources en eau. Il manque en revanche les infrastructures de distribution et d’assainissement qui permettraient aux populations d’accéder à l’eau potable.

Décryptage de ce paradoxe, en cartes.

Sans son sous-sol, le continent africain recèle 660 000 kilomètres cubes de réserves d’eau. Cette ressource est cent fois supérieure à la quantité d’eau en surface. Et pourtant, 330 millions d’Africains, soit 40 % de la population, n’ont pas accès à l’eau potable, rappelle le quotidien espagnol El País

Selon des chiffres de la Banque africaine de développement, il faudrait que l’Afrique consacre l’équivalent de 11,5 milliards d’euros par an pour créer ou renforcer des infrastructures de distribution et d’assainissement. Et si l’eau existe, certaines nappes sont enfouies en profondeur, rendant délicat et coûteux tout projet de creusement.

Le graphique ci-dessous montre ainsi que d’énormes nappes dans les zones sahariennes se situent à une profondeur de plus de 50 mètres. Il s’agit notamment d’eaux « fossiles » très anciennes (des millions d’années), mais qui ne se renouvellent pas.

L’accès à l’eau potable devient d’autant plus aigu que les populations urbaines augmentent rapidement. Le pourcentage de citadins devrait passer de 44 à 57 % entre 2010 et 2040, selon l’Association africaine de l’eau. Mais de fortes inégalités subsistent entre les principales métropoles dans l’approvisionnement en eau des habitants [voir graphique]. Alors que Le Caire (17,6 millions d’habitants) a un taux d’approvisionnement de 95 %, une ville comme Lagos (capitale économique du Nigeria) dont la population se situe entre 15 et 17 millions d’habitants fournit l’eau à moins de 65 % de ses citoyens.

L’ONU a inscrit dans son programme, intitulé Objectifs pour le millénaire, l’accès à l’eau potable à 80 % de la population mondiale.


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http://www.courrierinternational.com

Nulle part où aller Un père dort dans sa voiture avec sa fille


Les papas prennent de plus en plus a coeur leur rôle et veulent partager des moments privilégiés avec leur enfants, mais quand les difficultés financières s’en mêlent être père monoparentale devient vraiment difficile et l’aide est plutôt rare car c’est aux mères que l’on a surtout axé l’aide dans divers domaine. Il y a beaucoup a faire pour redonner la fierté au père
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Nulle part où aller

Un père dort dans sa voiture avec sa fille

Un père dort dans sa voiture avec sa fille

Crédit photo : Agence QMI

Par Jean-Nicolas Blanchet | Journal de Montréal

Si les mères monoparentales en situation de grande pauvreté disposent de plusieurs ressources pour sortir de leur détresse, en revanche, les pères dans le besoin sont généralement laissés à eux-mêmes.

Sébastien (nom fictif) représente, selon plusieurs intervenants en milieu social consultés, un cas parmi tant d’autres de jeunes pères de famille en grande situation de pauvreté qui peine à trouver un centre d’aide pour l’accueillir avec son enfant.

La semaine dernière, il a même dû se résoudre à passer la nuit dans sa voiture avec sa fille.

À la suite d’un divorce s’étant soldé par des frais importants, le jeune travailleur s’est retrouvé à la rue, avec son sac à dos, il y a un mois, avec sa jeune fille dont il a la garde partagée.

Il s’est alors déniché un logement, qu’il n’était plus en mesure de payer quelques semaines plus tard, lorsque son employeur l’a congédié après plusieurs absences.

Incapable d’acquitter les frais de garderie et n’ayant pas de famille dans la région de Québec, il devait s’occuper de sa fille et ne pouvait plus se présenter au travail.

Dans la rue

Se retrouvant dans la rue, il a ensuite cherché désespérément des centres d’aide de Québec prêts à l’accueillir pour quelques jours, avec sa fille, le temps qu’il se replace.

«J’ai fait le tour des ressources. Pour les mères, il y a environ huit organismes, mais pour les pères, il n’y a rien. Ils m’ont dit qu’ils s’occupaient juste des femmes. Je suis allé à des places comme à Lauberivière, mais ils m’ont dit qu’il n’accueillait pas d’enfants», raconte-t-il.

L’organisme l’Archipel d’entraide a pu le dépanner quelques jours plus tard, en lui offrant une chambre dans une maison hébergeant des individus avec des problèmes de santé mentale.

L’organisme lui a ensuite trouvé un logement qui sera payé pour le premier mois, le temps qu’il s’inscrive aux programmes sociaux et qu’il tente de retourner sur le marché du travail.

Directrice générale au centre de Service 211, Mme Claude Vanasse scande, depuis 2008, que l’hébergement temporaire aux pères de famille en difficulté est un véritable trou de service qui doit être signalé aux bâilleurs de fonds.

Changement de société

Chapeauté par Centraide, le 211 est un service permettant de rediriger toutes demandes de ressources vers les organismes adéquats dans la région.

«On a reçu plusieurs appels d’hommes qui avaient leurs enfants avec eux et avaient besoin d’un endroit temporaire de crise, ça n’existe pas!», explique celle qui déplore qu’un homme en situation de détresse parvienne aussi difficilement à rester dans l’univers familial.

«C’est tout nouveau. On vit un changement de société et on n’a pas suivi la nouvelle réalité de la responsabilité des hommes face à leurs enfants. Les pères s’occupent beaucoup plus de leurs enfants et s’il y a une crise dans la famille, ça se peut que ce soit le père qui parte avec les enfants», souligne-t-elle.

Vers un réseau de maisons d’entraide?

«Ce n’est pas parce que les hommes ne demandent pas d’aide que le besoin n’existe pas»

C’est l’avis de Manuel Prats, coordonnateur de la Maison Oxygène de Montréal. Ce centre d’aide fondé en 1989 offre un logement et une garderie pour venir en renfort à une vingtaine d’hommes en situation de pauvreté qui souhaitent se sortir de la misère, chaque année.

Étant un des seuls centres d’aide spécialisés en hébergement temporaire pour les pères en difficulté, la Maison Oxygène souhaite implanter un réseau à travers la province.

Un centre a déjà été implanté à Drummondville et à Baie-Comeau. Un autre ouvrira durant l’année à Sherbrooke et celui de Montréal devrait doubler sa capacité d’accueil. Un centre pourrait même ouvrir à Québec.

Quart des demandes

Des discussions ont été entreprises avec le centre AutonHommie, qui voudrait lancer le projet si des ressources sont disponibles, explique M. Prats, rappelant qu’il effectue une cinquantaine de sorties médiatiques par année pour sensibiliser les bâilleurs de fonds.

Constatant la hausse du nombre de pères en difficulté, M. Prats dit répondre au quart des demandes de pères qui tentent de trouver refuge avec leur enfant, à Montréal. Selon lui, 80% des cas découlent d’une rupture conjugale.

Ignorés des politiques

Le réseau public n’a tout simplement pas encore pris le virage paternité. C’est le constat de Raymond Villeneuve, directeur du Regroupement de la valorisation de la paternité.

(Crédit photo: Agence QMI) Raymond Villeneuve

Loin d’être surpris de la situation de Sébastien, M. Villeneuve estime que le phénomène des pères en difficulté est en hausse constante.

«Le phénomène a toujours été sous-estimé. Quand on parle d’une famille monoparentale, on pense toujours à une femme seule avec son enfant. Il y a peu d’études sur les pères au Québec et c’est normal, on n’adresse jamais les questions aux pères dans les statistiques. La monoparentalité féminine est considérée, mais pas la monoparentalité masculine», indique-t-il, précisant que les pères deviennent de véritables fantômes au plan statistique.

Le mot «père»

«Mon meilleur exemple, c’est au niveau des politiques dans le programme national de santé publique. On y retrouve le mot «mère» 56 fois, et le mot «père» n’apparaît pas une seule fois. Ce n’est pas rien, ça veut dire que la pensée de la santé publique au Québec, quand on examine la santé de l’enfant, les conditions de la mère sont des facteurs déterminants, mais pas celles du père».

Ainsi, le père n’existe tout simplement pas lorsque le gouvernement lance des programmes de soutien aux familles, peste-t-il.

«On est creux! Il n’y a pas de politique véritable pour soutenir les pères en difficulté, ce sont des initiatives de petits groupes qui font des miracles en travaillant à remonte-courant. Il faut reconnaître que le gouvernement est de plus en plus sensible à la question, mais il reste beaucoup de travail à faire», conclut le directeur, qui souligne que 13% des actions visant à aider les pères en difficulté proviennent du réseau public.

http://tvanouvelles.ca

Cellulaires usagés: ne les jetez pas à la poubelle!


Je suis d’avis que tout magasin qui vendent des appareils technologiques doivent être en mesure d’offrir a la clientèle de ramassage des produits désuets. Ceci serait un grand atout pour l’environnement …
Nuage

Cellulaires usagés: ne les jetez pas à la poubelle!

L’appel de l’iPhone ou du BlackBerry est trop fort: vous voulez changer de cellulaire. Pensez à recycler l’ancien.

Photo: Shutterstock

Par Lorraine Fournier

«Chaque année, au Canada, environ 10 millions de cellulaires sont mis au rancart», estime Dominique Potelle, agente de développement industriel à Recyc-Québec.

Une bien mauvaise nouvelle pour l’environnement, puisque «certains appareils contiennent des substances dangereuses, comme du plomb, de l’arsenic ou encore du béryllium. D’autres contiennent de l’or, de l’argent, du platine, ou encore des minerais rares.»

«L’extraction de ces métaux coûte cher et provoque des dégâts écologiques énormes. S’ils sont récupérés, non seulement on récupère de précieuses ressources, mais en plus, on réduit l’impact environnemental», ajoute Dominique Potelle.

Que faire?
Selon Bernard Lord, président et chef de la direction de l’Association canadienne des télécommunications sans fil (ACTS), de 90 à 95 % des matériaux d’un téléphone peuvent être recyclés. Le bac de récupération n’est toutefois pas une bonne solution pour vous débarrasser de votre petit dinosaure.
Voici quelques pistes

Le programme «Recycle mon cell»: L’ACTS invite les consommateurs à déposer leur vieux cellulaire dans un des quelque 1 000 centres de recyclage participants, au Québec, tout au long de l’année. Les téléphones sont ensuite remis par l’ACTS à Greentec, une entreprise de recyclage, établie en Ontario. Cette initiative a un bon impact.

                • «Plus de 111 000 cellulaires sont recyclés chaque année au Québec par ce programme, précise Bernard Lord, mais ce n’est qu’une petite fraction du nombre de téléphones vendus».

Le lundi 17 octobre, à l’occasion de la Semaine canadienne de réduction des déchets, les étudiants de tout le pays ont commencé à participer au «Défi étudiant Recycle mon cell», qui permet aux plus jeunes d’inscrire leur école et de courir la chance de gagner peut-être 500 $. Un défi qui dure jusqu’au 17 novembre.

Le retour au fournisseur: La majorité des fabricants et fournisseurs récupèrent les appareils désuets. Bell et Vidéotron (programme «Allô la Terre»), notamment, les reprennent. Les magasins Bureau en gros et le Mouvement Desjardins ont aussi un programme de collecte.

«Le gouvernement du Québec a adopté en juillet 2011 un règlement pour favoriser la récupération et la valorisation de produits par les entreprises, et cela concerne entre autres les téléphones cellulaires», dit Dominique Potelle, à défaut de quoi elles risquent de recevoir une amende.

Les entreprises qui mettent sur le marché québécois un produit neuf sont donc obligées d’instaurer un programme de récupération selon la hiérarchie des trois RV: «Réduction, Réemploi, Recyclage, Valorisation énergétique». Le programme commence en juillet 2012.

http://www.protegez-vous.ca