Crise irano-américaine : la situation décortiquée


Dans les médias, c’est surtout l’Australie et l’Iran avec les États-Unis qui occupent une grande place. J’ai vu des commentaires que certains parlent de la 3 guerre mondiale, même s’il y a des tensions, on ne devrait pas sauter aussi vite vers cette conclusion. De plus Donald Trump fait des menaces comme attaquer des sites culturels est illégal autant pour les civils que pour les militaires. Une chose que je trouve inacceptable est justement que Donald Trump fait des menaces, et même des menaces illégales. Il prend ses décisions sans le Congrès et il passe son temps a radoter ses ordres sur Twitter. Les États-Unis, perd beaucoup en crédibilité et réputation.
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Crise irano-américaine : la situation décortiquée

PHOTO JIM WATSON, AGENCE FRANCE-PRESSE

Le président américain Donald Trump

Donald Trump bombardera-t-il des sites culturels iraniens ? Est-ce la fin de l’accord international sur le nucléaire ? Les soldats américains quitteront-ils l’Irak ? La situation entre les États-Unis et l’Iran est difficile à suivre tant les derniers jours ont été mouvementés. Thomas Juneau, professeur en affaires publiques et internationales à l’Université d’Ottawa et ancien analyste stratégique sur le Moyen-Orient au ministère de la Défense nationale, nous aide à comprendre.

AUDREY RUEL-MANSEAU
LA PRESSE

Q. Dimanche, l’Iran a déclaré qu’il ne se sentait plus tenu de respecter une limite sur le nombre de ses centrifugeuses. Si l’Iran n’a plus de limite de production d’uranium, est-ce que ça signifie la mort de l’accord international sur le nucléaire ?

R. L’accord sur le nucléaire est sur le respirateur artificiel, mais il n’est pas mort. L’Iran ne s’en est pas retiré. Il a simplement annoncé une cinquième série de mesures limitant ses engagements par rapport à cet accord. Il y a eu quatre séries précédentes en réaction au retrait des États-Unis de l’accord de Vienne, en 2018. La cinquième série de mesures qu’on a vue dimanche, on savait depuis plusieurs semaines qu’elle aurait lieu, et elle n’est pas le résultat de l’assassinat du général Soleimani. La nuance est extrêmement importante. Maintenant, est-ce que l’Iran a réduit encore plus ses engagements par rapport à ce qu’il aurait fait s’il n’y avait pas eu l’assassinat de Soleimani ? On ne le sait pas.

Q. Le gouvernement iranien dit qu’il est prêt à faire marche arrière si les sanctions réimposées et durcies par les États-Unis en 2018 sont levées. Pensez-vous qu’il y a réellement place à la négociation ?

R. En théorie, oui. En pratique, c’est difficile. Pour que l’Iran puisse négocier sérieusement avec les États-Unis, ça prend une mobilisation de ressources phénoménale. Quand l’accord sur le nucléaire a été complété en 2015, ç’a été extrêmement controversé en Iran. Alors, avec le climat actuel tellement tendu, le ressentiment à l’endroit des États-Unis tellement important, ça serait très difficile pour le gouvernement iranien de mobiliser les ressources nécessaires pour négocier sérieusement avec les États-Unis. Mais le contre-argument à ça, c’est que l’Iran est sous pression [économique], surtout à cause des sanctions, et la menace américaine en Iran fait très peur. Alors autant c’est difficile de négocier, autant l’incitatif est là.

Q. Samedi, Donald Trump a annoncé que si l’Iran attaquait du personnel ou des sites américains, il riposterait par l’attaque de sites culturels iraniens. Dimanche matin, le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, faisait la tournée des médias pour dire que Washington respecterait le cadre de la loi. À quel point doit-on prendre au sérieux la menace du président Trump ?

R. Il faut bien comprendre que d’attaquer des sites culturels, c’est complètement illégal, c’est un crime de guerre en vertu du droit international. Au Pentagone, au sein de l’institution civile et militaire, c’est extrêmement clair qu’on ne laisserait pas faire ça. Alors, je pense que quand le président Trump dit qu’il va faire quelque chose comme ça, c’est monstrueux à toutes sortes d’égards, mais il ne faut pas considérer que ça reflète la réalité. Cela étant dit, quand le président Trump dit des choses semblables, c’est très dommageable pour la réputation et pour la crédibilité des États-Unis.

Q. En réaction à l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani sur son territoire, le Parlement irakien a voté pour l’expulsion des troupes américaines de son pays. Est-ce que les soldats risquent réellement de plier bagage ?

R. Cette résolution-là était non contraignante, et avant qu’on en arrive à une décision et ensuite à un retrait formel des États-Unis en Irak, il y a plusieurs étapes à passer et il y a beaucoup d’obstacles. Il faut bien comprendre que la présence américaine en Irak est très controversée, c’est une patate chaude politique. Il y a beaucoup de gens au sein de l’élite irakienne qui comprennent que la présence américaine est nécessaire – pour la lutte contre le groupe État islamique, mais aussi pour équilibrer la présence de l’Iran –, mais peu de politiciens veulent la défendre publiquement. Alors, ils profitent peut-être du flou actuel pour jouer la carte nationaliste.

Q. Vous parlez de la situation au gouvernement ?

R. Une des ambiguïtés, c’est que le premier ministre irakien a démissionné [le 29 novembre] et qu’il occupe son poste en attendant que le Parlement choisisse quelqu’un pour le remplacer. On ne sait pas, en ce moment, si cet individu-là a même l’autorité de signer une loi comme celle-là, qui résilierait l’entente sécuritaire avec les États-Unis. Ça va être un jeu très délicat dans les prochaines semaines.

Q. Et dans les prochains jours, à quoi peut-on s’attendre, selon vous ?

R. L’Iran va répondre aux États-Unis, mais à moyen terme, pas à court terme. Les prochains jours sont extrêmement difficiles à prédire, on nage dans l’incertitude. Je pense que la tension va rester très élevée, mais sans escalade réelle, sans confrontation directe entre les États-Unis et l’Iran. Donald Trump ne veut pas une guerre contre l’Iran, et les Iraniens n’en veulent pas non plus. Dans une guerre ouverte contre les États-Unis, les Iraniens ne feraient pas le poids. Mais en même temps, ils ne veulent pas reculer pour ne pas perdre la face. Alors, on est dans une espèce de statu quo extrêmement tendu et inconfortable, où les deux ne veulent ni reculer ni avancer.

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Ta réputation


Les gens parlent que l’on fasse n’importe quoi. On ne peut satisfaire tout le monde. Mieux vaut alors, d’aller par ses propres valeurs
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Ta réputation



Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation.  Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi


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Les Vietnamiens priés de ne plus manger de viande de chien ou de chat


Il est certain que pour nous occidentaux, nous n’aurions pas l’idée de manger du chien ou du chat. Alors que certains pays, cela fait parti de leur menu comme au Viêtnam dans la ville d’Hanoi. Cependant, les autorités soucieuses de leur réputation face aux étrangers, exhortent les habitants à délaisser la viande de chat et de chien qui de toute manière pourrait transmettre des maladies comme la rage.
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Les Vietnamiens priés de ne plus manger de viande de chien ou de chat

 

Viande de chien grillée proposée dans une rue de Hanoï (archives, septembre 2012) © epa.

Les autorités vietnamiennes ont demandé mardi aux habitants de Hanoï de cesser de consommer de la viande de chien, soulignant que ce plat populaire ternissait l’image du pays auprès des étrangers et comportait des risques de propagation de la rage.

Rôtie, bouillie ou cuite à la vapeur, la viande de chien est vendue dans les marchés et les commerces alimentaires de Hanoï, connue pour les préparations appétissantes que l’on peut acheter dans la rue. Ce plat est traditionnellement consommé avec du vin de riz ou de la bière..

Risque de contamination

Le Comité populaire de Hanoï a enjoint les habitants à délaisser la viande de chien afin d’empêcher la diffusion de la rage et d’autres maladies transmises par l’animal. Il les a également appelés à cesser de manger de la viande de chat, moins populaire que la viande de chien, mais que l’on peut toujours se procurer dans les zones rurales.

Réputation en jeu

Le Comité a souligné qu’il s’agissait de préserver la réputation de Hanoï en tant que « capitale civilisée et moderne » auprès des étrangers.

« Le commerce, le meurtre et la consommation de viande de chien et de chat ont suscité des réactions négatives chez les touristes et expatriés vivant à Hanoï », selon le Comité.

Image du pays à l’étranger

En outre, soucieux d’améliorer l’image du pays, le Comité a souligné que le meurtre de ces animaux était un acte cruel et émis l’espoir qu’on y mettra fin. Il y a environ 493.000 chiens et chats à Hanoï, dont la très grande majorité sont des animaux domestiques. Un millier de commerces vendent de la viande de chien.

Trois décès à Hanoï

Trois personnes sont mortes de la rage à Hanoï depuis début 2018, tandis que deux autres ont été contaminées, selon des chiffres officiels. Connue pour ses plats vendus dans la rue, la capitale offre également des aventures culinaires comme les grenouilles sautées, des embryons de canard fertilisés ou la viande de tortue en ragoût.

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8 chiens sont de véritables héros. Et pourtant, ce sont aussi des pit bulls..


Il serait temps de comprendre qu’un chien agressif dépend de la façon dont il est éduqué. Malheureusement, les pitbulls ont fait trop souvent mauvaise presse Pourquoi ?? Est-ce que cela attire mieux les lecteurs ? Pourtant, ces chiens peuvent faire preuve de courage pour sauver leur maître et leur entourage. Ce qui est remarquable dans cette petite liste c’est que des chiens pour protéger leur maître d’agression n’ont fait aucun mal à l’assaillant.
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8 chiens sont de véritables héros. Et pourtant, ce sont aussi des pit bulls..

 

 

A la base, tous les chiens aspirent à ce qu’on les aime et à ce qu’on les gratouille derrière l’oreille. Mais les pit bulls (ou même les autres chiens identifiés comme tels) ont très mauvaise réputation et reçoivent pour le coup beaucoup moins d’amour. Pour de nombreuses oreilles humaines, le mot« pit bull » va de pair avec un animal mauvais, agressif, qui aurait le désir inné d’attaquer tout ce qui bouge.

Ce préjugé pourrait être en partie fondé sur de vieilles études scientifiques (qui ont été depuis largement démenties) « prouvant » que les pit bulls seraient beaucoup plus facilement amenés à mordre que d’autres races de chiens. C’est faux.

Dans l’espoir de changer un peu ce cliché tenace, voici 8 exemples de pit bulls tant incroyables qu’exemplaires, qui ont mis leur nature loyale, intelligente et douce au service d’autrui :

Lefty, a pris une balle dans l’épaule pour protéger son propriétaire

Certains chiens prennent la balle au vol quand on la leur lance, mais la nature de la « balle » de cette histoire était un tantinet différente.

Quand un agresseur a fait feu au fusil à pompe sur le propriétaire de Lefty, le courageux pit bull a sauté devant lui pour s’interposer, faisant bouclier avec son corps. Le chien a souffert de graves blessures au niveau de l’épaule et de la patte, et a dû être amputé. Cet acte héroïque lui a valu de faire le tour des réseaux sociaux, et une grande communauté s’est formée sur internet pour aider la famille de Lefty  à payer 100% des coûts de la chirurgie.

À présent, il « trotte allègrement, comme s’il avait été un chien a trois pattes toute sa vie ».

Baby, a sauvé une famille et les autres chiens de la maison d’un incendie

« Il y avait des flammes dans le couloir » Rhonda Westenberger est l’une des rescapées d’un incendie terrible à son domicile, en 2013. « Si Baby n’avait pas tiré Evelyn de son sommeil, je pense que personne ne s’en serait tiré vivant. »

Baby s’est mis à aboyer et à donner des coups de patte pour alerter Rhonda et sa sœur Evelyn de la fumée qui commençait à envahir leur maison. Après que les humains aient été sauvés par les pompiers, Baby est retourné dans la maison en flammes pour venir en aide aux 5 autres chiens piégés à l’intérieur. Selon l’un des membres de la famille, l’un des chiens, terrifié, s’était caché sous le lit. Baby l’a saisi par le cou avec sa gueule, et l’a traîné pour le mettre en sécurité dehors.

Creature, a sauvé une femme de 89 ans souffrant d’Alzheimer.

Creature et sa propriétaire, Cara Jones, étaient en train de faire leur promenade du soir quotidienne lorsque la chienne a fait quelque chose de totalement inhabituel : Elle a bondi des côtés de sa maîtresse pour courir vers Carmen Mitchell, une femme âgée souffrant d’Alzheimer. La femme en question s’était séparée de la personne qui prenait soin d’elle, et cela faisait plus de huit heures qu’elle tournait en rond, totalement perdue.

Elle s’était beaucoup éloignée de sa maison, et n’avait pas de manteau ni de chaussures.

La chienne a du ressentir sa détresse de loin, ou bien elle a été animée par une sorte de sixième sens. En tout cas, sans cette réaction incroyable, Carmen Mitchell aurait pu être perdue pendant très longtemps !

TaterTot, a sauvé un petit garçon de 4 ans d’une crise d’hypoglycémie aigüe.

Alors que cela ne faisait que 4 jours qu’il avait été adopté, le chiot a sauvé la vie du petit Peyton Smith. Il s’est mis à aboyer, à grogner et à geindre au beau milieu de la nuit tout en faisant des allers-retours entre la chambre des parents et celle de l’enfant. Quand le papa de l’enfant se lève pour aller voir ce qui se passe, il le trouve inconscient et respirant à peine. Amené immédiatement aux urgences, les docteurs ont trouvé que la quantité de sucre dans son sang avait chuté dangereusement d’un seul coup. La vétérinaire Isis Sanchez leur a alors expliqué que l’odorat hors normes du chien lui avait permis de ressentir un changement anormal dans la composition chimique du corps de Peyton.

Jack a risqué sa vie pour sauver un chat attaqué par une bande de coyotes.

Cette histoire brise à la fois le mythe que les pit bulls sont méchants, et celui que les chats et les chiens se détestent forcément. Même avant cet incident  les deux animaux étaient tout le temps fourrés ensemble, selon la propriétaire !

Le chat de Sheree Lewis, prénommé Kitty, s’était fait attraper par deux coyotes qui le secouaient par le cou et par la queue.

« Je ne savais pas que Jack pouvait courir si vite. En une fraction de seconde, il était sur eux ! »

Le plus fort, c’est que l’imposant animal n’a pas causé une seule égratignure aux coyotes. Il aurait pu les déchiqueter en morceaux en un clin d’œil, mais il s’est contenté de les faire déguerpir…la queue entre les jambes !

Chako a sauvé sa propriétaire des violences de son mari.

En 2013, Chaco a été blessé de 12 coups de couteau lorsqu’il s’est interposé pour protéger sa propriétaire, qui se faisait agresser par son mari violent, en état d’ivresse. Encore un coup dur pour les préjugés : le « terrible molosse » s’est contenté de faire rempart avec son corps, et l’humain n’a souffert, lui, d’aucune blessure…

Les 3,000$ nécessaires pour sauver la vie du chien héroïque, grièvement blessé, ont été versés par de généreux donateurs émus par son histoire.

Elle, aide les gens à surmonter leurs peurs

En 2013, ce pit bull de 5 ans, au regard empreint de douceur, prénommée Elle, travaille  en tant que chien de thérapie en Caroline du Nord. Elle aide les enfants à apprendre des choses sur la sécurité en présence de chiens, et elle aide les gens à transcender leur peur des chiens.

Major, a composé le numéro de la police quand son propriétaire a eu une attaque cardiaque.

Oui, cela paraît un peu difficile à croire, mais attendez la suite de l’histoire pour comprendre : Terry McGlade est un vétérinaire travaillant dans l’armée américaine, qui souffre de problèmes cardiaques fréquents après avoir été touché par l’explosion d’une mine antipersonnel en Afghanistan. Il a dressé son chien, Major, spécialement pour reconnaître les symptômes de ses problèmes et pour agir en conséquence. Et on peut dire que bien lui en a pris, car l’entraînement du chien lui a été fort utile. A peine était-il tombé au sol que le pit bull tirait le téléphone de sa poche et appuyait sur le bouton « urgence » avec sa patte. A l’autre bout du fil, les policiers n’ont rien entendu mais ils ont tout de même envoyé de l’aide en utilisant la géolocalisation du téléphone, au cas où.

A l’arrivée des agents, Major les attendait devant la grille et les a amenés jusqu’à l’endroit où son maître gisait à terre, inconscient.

Source : Huffington Post

http://www.demotivateur.fr/

Le Sage et le Scorpion


Une belle leçon je trouve, car nous ne pouvons changer la nature des gens, par contre, nous pouvons leur donner une occasion de s’améliorer tout en gardant notre propre identité, nos propres valeurs
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Le Sage et le Scorpion

 

Un Sage voyant un scorpion se noyer, décida de le tirer de l’eau mais lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua.

Par l’effet de la douleur, le Sage lâcha l’animal et celui-ci tomba à l’eau une seconde fois.

Il tenta de le tirer à nouveau et l’animal le piqua encore. Quelqu’un qui était en train d’observer se rapprocha et lui dit :

« Excusez-moi, mais vous êtes têtu ! Ne comprenez vous pas qu’à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l’eau il vous piquera ? »


Le Sage répliqua : « La nature du scorpion est de piquer, et cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider. »


Alors, à l’aide d’une feuille, il tira le scorpion de l’eau et le sauva de la noyade.

Puis il dit: « Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal, prends juste des précautions. Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent. Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c’est ce que les autres pensent de toi… Et ce que les autres pensent de toi…c’est leur problème. »

 

Auteur inconnu

Le pitbull, un chien comme les autres


Une mauvaise réputation a terni les chiens pitbull qui pourtant ces compagnons ont eu leur années de gloire …Cette mauvaise presse est possiblement fait a cause des gangs qui élevait leur chien pour les rendre agressifs (juste a penser aux combats de chiens) Et pourtant pour avoir vue un pitbull provenant d’une usine a chien être calme a coté de ma petite fille montre que ce chien peut se montrer patient et doux .. Pour ce qui est des pitbulls que s’occupe Pit shop, il semble qu’ils prennent des responsabilité pour donner a ces chiens une famille qui seront apte a s’occuper d’un pitbull
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Le pitbull, un chien comme les autres

 

Il n'existe aucune preuve scientifique que le pitbull... (Photo fournie par Pit Stop Montréal)

Il n’existe aucune preuve scientifique que le pitbull est plus agressif qu’un autre type de chien. Son tempérament très déterminé et sa fidélité inconditionnelle en font un chien formidable, mais aussi capable de comportement contre nature.

PHOTO FOURNIE PAR PIT STOP MONTRÉAL

STÉPHANIE VALLET
La Presse

Le pitbull a mauvaise presse, et sa réputation de chien dangereux ne l’aide pas à trouver un nouveau foyer quand il est abandonné dans un refuge. Pourtant, il n’existe aucune preuve scientifique qu’il est plus agressif qu’un autre type de chien, bien au contraire.

En mai 2011, observant que près de la moitié des chiens en adoption étaient des pitbulls, trois bénévoles de la SPCA ont décidé de créer Pit Stop Montréal, un organisme à but non lucratif. En moins de deux ans, Pit Stop a réussi à placer plus de 130 chiens.

«Les pitbulls n’ont pas les mêmes chances que les autres en raison de leur réputation. Pourtant, s’ils sont en adoption à la SPCA, cela signifie qu’ils ont passé leur évaluation comportementale haut la main, tout comme les autres chiens», explique Adrien Cogan, vice-président de Pit Stop Montréal qui consacre tout son temps libre à l’organisme tout comme cinq autres bénévoles.

«On essaye de sensibiliser les gens en organisant des journées d’adoption dans les boutiques pour animaux. Le pitbull n’a rien de spécifique, il n’a pas plus de pouvoir que les autres chiens!», dit-il.

Légende urbaine

Contrairement à la légende urbaine, plusieurs études démontrent que la mâchoire du pitbull n’est pas munie d’un mécanisme de verrouillage. Il n’est également pas doté d’un cerveau trop gros pour sa boîte crânienne qui le rendrait fou! Au début des années 90, le pitbull était en effet considéré comme un bon chien de famille, s’illustrant dans les campagnes publicitaires en Angleterre et aux États-Unis, mais aussi à la télévision dans la série The Little Rascals. C’est aussi la mascotte des chaussures pour enfants Buster Brown. Dès les années 60 et 70, avec la progression des gangs de rues et la recrudescence des combats de chiens, il va rapidement devenir la nouvelle bête noire du monde canin.

Son tempérament très déterminé et sa fidélité inconditionnelle en font un chien formidable, mais aussi capable de comportement contre nature pour satisfaire les désirs de son maître.

«Les éleveurs de «cours arrière» ne savent pas ce qu’ils font et le nombre de chiots devient rapidement hors de contrôle. Ils placent ces chiens avec n’importe qui: plus un chien a mauvaise réputation, plus il se retrouve entre les mains de mauvaises personnes», précise le vice-président de Pit Stop.

Devenir famille d’accueil

Si vous n’êtes pas encore certain de vouloir adopter un pitbull ou si vous désirez donner un coup de main à Pit Stop, vous pouvez devenir famille d’accueil pour une période de deux semaines à six mois. L’organisme n’ayant pas encore de lieu physique, il est essentiel qu’il trouve un toit à ses nouveaux pensionnaires en attente d’adoption.

Pour cela, vous devez remplir dans un premier temps un formulaire qui se trouve sur le site de l’organisme.

«Il s’agit de 50 questions qui nous permettront de savoir quel genre de chien vous conviendra. On demande aussi des références de vétérinaire, et le numéro de téléphone du propriétaire de l’appartement où vous habitez. Une fois l’adoption acceptée, on commence par laisser le chien 3-4 jours chez vous pour voir si tout va bien. Une fois l’adoption finalisée, on continue à faire un suivi jusqu’à la fin des jours du chien», précise Adrien Cogan.

Pit Stop offre un soutien complet aux familles d’adoption ou d’accueil. Seule la nourriture devra être achetée.

«On a à peu près 10-12 chiens en famille d’accueil. On n’accepte pas n’importe quel chien, il doit d’abord passer un test comportemental avant d’être placé. Comme nous n’avons pas de local, nous ne pouvons travailler à long terme sur les problèmes de comportement. Alors, on en refuse beaucoup. On connaît nos limites et c’est pour ça qu’on a autant d’adoptions», explique Adrien Cogan.

Chance Mahtani est famille d’accueil pour Pit Stop depuis juillet 2012. Elle a accueilli la semaine dernière Lily, son 13e chien en provenance de Pit Stop.

«Je suis étudiante et je n’ai pas les moyens d’être propriétaire d’un chien. Alors, être famille d’accueil est idéal pour moi puisque tout est payé. C’est toujours difficile de les voir partir. Mais je suis contente, car je sais qu’ils ont trouvé un foyer», explique la jeune femme, qui garde toujours contact avec les familles d’adoption et sert parfois de gardienne pour ses anciens pensionnaires.

Aujourd’hui, Pit Stop tente d’amasser assez de fonds pour ouvrir un sanctuaire qui pourra accueillir une cinquantaine de pitbulls et leur offrir plusieurs services comme la réhabilitation, la pension à court et long terme et un sanctuaire où les chiens non adoptables pourraient passer le reste de leurs jours dans un endroit sécuritaire et enrichissant.

***

Le mythe de la mâchoire verrouillée

Le docteur Brady Barr, de National Geographic, a étudié les morsures d’animaux, testant ainsi autant les humains, les chiens domestiques que des animaux sauvages. Voici les chiffres qui sont ressortis de cette expérience analysant la pression en livre de la morsure.

Humains : 120 lb

Requins blancs : 600 lb

Hyènes : 1000 lb

Crocodiles : 2 500 lb

Chiens domestiques : 320 lb en moyenne

Un berger allemand, un pitbull terrier américain et un rottweiler ont été testés grâce à une manche de morsures équipée d’un ordinateur spécialisé. Il en ressort que la morsure du pitbull terrier américain a moins de pression que celle des trois autres chiens.

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Réputation


C’est clair qu’avoir une bonne réputation cela a une valeur inestimable, alors les calomnies tombent, quand de fausses accusations sont porter et que malgré tout il est prouvé qu’on est pas coupable … ou que personne ne sait vraiment, le mal est fait
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Réputation

« Il est plus facile de garder intacte sa réputation que de la blanchir quand elle est ternie.  »

Thomas Paine

Protéger sa vie privée dans Internet et les réseaux sociaux


Je crois que tout le monde le sais, qu’être sur des réseaux sociaux, des blogs, des forums peut nous entrainer dans des histoires bien malheureuses. Pour que nos activités sur Internet demeurent agréable, il est important de prendre certaines précautions
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Protéger sa vie privée dans Internet et les réseaux sociaux

Mark Zuckerberg, créateur de Facebook, a beau affirmer sans rire que la vie priv

Photo: iStock

Mark Zuckerberg, créateur de Facebook, a beau affirmer sans rire que la vie privée est un concept dépassé, vous vous inquiétez quand même des traces que vous laissez dans Internet ?

Voici quelques conseils pour vous aider à garder la main haute sur votre vie privée, sans avoir à renoncer à toute activité sur le Web.

Seulement Facebook ?

On ne peut plus parler de vie privée dans Internet sans évoquer constamment Facebook. Ce n’est évidemment pas le seul site à surveiller, mais c’est celui où les internautes s’épanchent le plus, où ils font part de leur vie privée le plus naïvement. Les conseils suivant reflètent cette situation, mais ils peuvent être appliqués à toutes les sphères de votre vie numérique.

1- Il n’y a pas de renseignements banals

Le nom de votre mère, votre date d’anniversaire, votre lieu de naissance… Ces renseignements que vous publiez ou que vous ajoutez à votre profil d’utilisateur semblent bien innocentes, mais en les croisant, on peut faire beaucoup.

Pour vous permettre de récupérer un mot de passe perdu, par exemple, plusieurs sites utilisent une question personnelle comme « Quel est le nom de votre mère ? » ou« Dans quelle ville êtes-vous né ? ». Pour quelqu’un qui s’adonne au vol d’identité, nous dit Caroline Vallet, du Centre international de criminologie comparée de l’Université de Montréal, les petits renseignements qu’on sème un peu partout sont donc une mine d’or.

2- Ne vous surestimez pas.

Lors d’une étude conduite par Caroline Vallet, tous les jeunes de moins de 18 ans interrogés ont affirmé qu’ils trouvaient les paramètres de confidentialité de Facebook faciles à utiliser.

« Savent-ils vraiment si bien les utiliser, ou sont-ils plutôt inconscients ? » se demande la chercheuse.

Après tout, ces réglages changent souvent et sont parfois difficiles à trouver et à déchiffrer. Le risque est donc grand de partager bien plus qu’on ne le croit.

3- Les amis de vos amis sont-ils vraiment vos amis ?

Selon Caroline Vallet, pour pouvoir être considéré comme « privé », un compte Facebook devrait compter moins de 200 amis. Mais il doit surtout être limité à ces seuls amis.

Car il y a trois niveaux de partage sur Facebook :

– avec ses amis
– avec ses amis et leurs amis
– publiquement

Si vos réglages rendent vos renseignements visibles à vos amis et à leurs amis, considérez que votre profil est public. À tout le moins, prenez en compte qu’il est accessible à beaucoup de gens que vous ne connaissez pas.

4- Faites des listes.

Utilisez la fonction de Facebook qui permet de mettre vos amis dans des listes. En classant chacun de vos contacts dans des listes claires, vous pourrez décider si ce que vous publiez s’adresse à tous ou à un groupe donné.

5- Ne répondez pas à toutes les questions.

Il est à l’avantage de Facebook ou de Google d’en savoir le plus possible sur vous. C’est ce qui leur permettra de personnaliser les publicités que vous verrez. Mais ce n’est pas parce qu’on vous pose une question que vous êtes obligés d’y répondre.

Votre lieu de résidence, votre numéro de téléphone, votre statut marital, votre employeur, l’établissement où vous avez étudié… autant de renseignements alléchants pour un éventuel fraudeur.

6- Évitez d’annoncer à tous que vous n’êtes pas à la maison.

Grâce aux téléphones intelligents, il est plus facile que jamais de faire savoir aux autres que nous sommes au restaurant, chez un ami ou à l’épicerie. Le site Foursquare est même totalement consacré à ce genre d’infos. Sauf que le corolaire de « je suis au restaurant »,c’est « je ne suis pas à la maison ».

Il y a quelques temps, trois étudiants néerlandais ont mis sur pied, assez facilement, le site Please rob me (Volez-moi, s’il vous plaît). On y recensait tous les messages envoyés de Foursquare, en rappelant que ces gens n’étaient pas chez eux.

7- Si les enjeux de vie privée ne vous interpellent pas, pensez à votre réputation.

Comment déterminer ce qu’on peut ou non dire ou écrire dans Internet ? Caroline Vallet a un truc très simple : se demander si on voudrait que notre mère le sache. Notre mère… ou notre futur employeur, pourrait-on ajouter.

8- Rappelez-vous qu’il est plus facile de mettre des photos, des vidéos ou des renseignements en ligne que de les faire disparaître.

Vous en doutez ? En 2002, avant même Facebook et Youtube, un jeune de Trois-Rivières a vu une vidéo de lui imitant combat de Star Wars faire le tour du Web. Dix ans plus tard, elle circule toujours. Au grand dam du Star Wars Kid.

9- Trop communiquer rend vulnérable

Au fil des différents messages, des photos et des commentaires diffusés dans les médias sociaux, on peut saisir l’état d’esprit de quelqu’un, fût-il heureux ou malheureux. Une personne malintentionnée pourrait tenter d’exploiter une période de détresse que vous traversez.

Pour un prédateur sexuel, les réseaux sociaux, pris d’assaut par les jeunes, sont un bon endroit pour en apprendre plus sur les goûts et les préférences d’une victime potentielle et de personnaliser son approche.

Bref, ne vous laissez pas prendre par l’anonymat relatif que vous pouvez ressentir, lorsque vous êtes au clavier.

« La distance et la virtualité de l’échange peuvent donner envie de s’exposer plus qu’on ne le ferait normalement, rappelle Caroline Vallet. Il faut faire attention. »

10- N’oubliez jamais que vous n’avez pas toujours l’entière maîtrise sur ce que vous mettez en ligne.

Les conditions d’utilisation d’un site peuvent changer n’importe quand, réservant parfois des surprises.

Mais aussi, le niveau de diffusion d’un envoi que vous commentez peut changer sans préavis. Ainsi, si vous commentez quelque chose qui n’est visible qu’à un petit groupe de personne sur Facebook ou Google+, l’auteur de ce que vous commentez peut à tout moment changer le rendre visible à tous. Vos commentaires, aussi déplacés ou personnels puissent-ils être, vont suivre la même voie.

http://www.lactualite.com