La réalité de la peur


Souvent les peurs, cache un mal-être plus profond de nous qui empêche de s’épanouir
Nuage

 

La réalité de la peur

 

Nous n’avons pas peur du noir,
Nous avons peur de ce que nous pouvons trouver dedans.
Nous n’avons pas peur de la hauteur,
Nous avons peur de tomber.
Nous n’avons pas peur des gens autour de nous,
Nous avons peur d’être rejeté(e).
Nous n’avons pas peur de l’Amour,
Nous avons peur de ne pas être aimé(e).
Nous n’avons pas peur du lâcher prise,
Nous avons peur de voir les choses telles qu’elles sont.
Nous n’avons pas peur de recommencer,
Nous avons peur de nous blesser à nouveau.
(Anonyme)

Comment reconnaître une relation toxique ?


Vivre a deux, permet semble-t-il, de vivre plus longtemps, cependant, certains couples n’ont pas  une belle relation. Quand on vit une relation néfaste, on ne le voit pas vraiment, mais vue de l’extérieur, c’est évident
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Comment reconnaître une relation toxique ?

 

Comment reconnaître une relation toxique ?

© Digital vision

On a beau connaître cette personne et la fréquenter depuis une dizaine d’années, on ressent comme un malaise auprès d’elle. Il arrive que l’on s’entoure sans le savoir de relations négatives qui nous empoisonnent la vie à petit feu. Peur de l’échec, d’être rejeté, jugé. Les raisons sous-jacentes à cette « mauvaise fréquentation » sont multiples et souvent inconscientes. Apprendre à identifier cette relation toxique peut nous épargner du stress inutile. On fait le test !

Cette personne est-elle bienveillante envers moi ? Me fait-elle du bien ou au contraire nuit-elle à mon équilibre ? Pour le savoir, faites le bilan de toxicité relationnelle en répondant aux questions qui suivent. Si vous répondez oui à au moins un tiers d’entre elles, c’est que vous êtes probablement prisonnière d’une relation toxique. Vous savez alors ce qu’il vous reste à faire : fuir gentiment !

1. Est-ce que la personne vous critique et vous dévalorise en permanence ?

2. Est-ce que la personne vous agresse régulièrement physiquement et verbalement ?

3. Est-ce que cette personne est alcoolique ou droguée et vous met dans des situations où vous vous sentez mal à l’aise, où vous avez peur ou honte ?

4. Est-ce que cette personne est très déprimée et vous met systématiquement à contribution ? Vous sentez-vous responsable ? Vous vous sentez obligé de prendre soin d’elle ?

5. Avez-vous peur que cette personne vous rejette si vous ne faites pas comme elle veut ? Si vous exprimez vos sentiments ?

6. Trouvez-vous que cette relation est abusive et destructive ?

7. Avez-vous peur de blesser cette personne si vous affirmez votre choix de vie ?

8. Avez-vous peur que si cette personne vous connaissait vraiment elle arrêterait de vous aimer ?

9. Avez-vous honte de réussir vis-à-vis de cette personne ?

10. Etes-vous perfectionniste à outrance ?

11. Est-il difficile pour vous de vous détendre ou de passer un bon moment avec cette personne ?

12. Avez-vous des réactions émotionnelles ou physiques intense après avoir passé ou anticipé de passer du temps avec cette personne ?

13. Avez-vous peur d’être en désaccord avec cette personne ?

14. Cette personne utilise-t-elle le chantage affectif et la culpabilité pour vous manipuler ?

15. Cette personne se sert-elle de l’argent pour vous manipuler ?

16. Vous sentez-vous responsable des états d’âme de cette personne ? Si elle ne va pas bien, pensez-vous que c’est de votre faute ?

17. Avez-vous l’impression que, quoi que vous fassiez, ce n’est jamais assez bien pour cette personne ?

18. Entretenez-vous l’espoir qu’un jour cette personne change ?

Retrouvez plus de tests et d’exercices dans « Je dis enfin stop à la pression », d’Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, aux éditions Eyrolles.

http://www.topsante.com

Nous sommes très souvent bloqués par nos peurs…


Les peurs, celles qui sont infondées, irrationnelles, qui nous bloquent et qui nous empêchent d’avancer, de connaître des gens, d’expérimenter de nouveaux horizons Ce sont des peurs que nous devons faire face si nous ne voulons pas rester dans notre coin ..
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Nous sommes très souvent bloqués par nos peurs…

 

Le manque de confiance en soi nous bloque aussi régulièrement devant certaines situations.

Ces comportements sont normaux. Certaines de nos peurs sont fondées. Celles qui viennent de quelque chose menacent notre survie, ou notre intégrité. Avoir peur de tomber du 10ème étage c’est normal, tout comme de se faire agresser, sont des peurs rationnelles, fondées.
Mais il existe des peurs infondées, non rationnelles que vous devriez outrepasser.Ce sont des croyances limitantes, qui vous bloquent dans votre façon d’agir.

C’est souvent par peur que l’on ne passe pas à l’action, ou par procrastination.

1. La peur du rejet

Cas très classique. On a peur de demander quelque chose et de se faire rejeter. Vous comprenez bien que ce type de peur est complètement irrationnel. Vous avez certainement déjà eu peur de demander une augmentation de salaire ? Ou encore un service ? Ou un numéro de téléphone ?

Et bien voilà, cette peur, c’est la peur du rejet. On est terrifié à l’idée de se faire rejeter, et de recevoir une réponse négative en pleine figure.

Petite Question : est-ce que ça peut nous blesser ? Non. Mettons notre égo de côté, tant pis si c’est non. Au moins on aura essayé. On passe à autre chose et voilà tout.

Comment votre patron peut savoir que vous aimeriez une augmentation de salaire si vous ne lui dites pas ? OSEZ. Faites-le une bonne fois pour toute. Ca ira mieux après.

Si vous ne le faites pas, vous avez 100% de chances d’échouer. Mais si vous essayez, au pire des cas vous n’aurez rien de plus, et au mieux vous aurez ce que vous demandez. N’hésitez donc plus à demander.

2. Peur du succès

Oui parfois, on a peur de réussir. Etrange non ?

On sait que le succès va nous changer, changer quelque chose dans notre vie, et nous sommes bien actuellement. Nous n’avons pas envie d’en faire pâtir notre entourage, c’est pourquoi on se saborde. On peut aussi avoir peur des responsabilités que cela va impliquer. Ou bien peur de ne pas être à la hauteur, une fois que l’on a réussi (ce qui est une preuve évidente de manque de confiance en soi).

Pourtant, qu’est-ce que l’on risque à réussir ? On est pas à la hauteur, ok qu’est-ce que ça coûte d’avoir essayé ? Peur du changement que cela va impliquer pour les autres, est-ce que c’est VOTRE succès ou le LEUR ? Réfléchissez-y bien.


3. Peur de l’échec.

Probablement la peur la plus connue. Elle est similaire à la peur du rejet, puisque la peur du rejet c’est la peur de l’échec avec quelqu’un. Ici c’est plus général. A l’instar de la peur de la réussite, ici ce qui nous effraie c’est de tomber.

Mais, pourquoi avoir peur de l’échec ? Qu’est-ce que cela fait d’échouer ? Risque-t-on la mort ?

Si vous devez sauter entre 2 immeubles, votre peur de l’échec est rationnelle. Si vous devez courir un marathon, elle ne l’est plus. Posez-vous toujours la question : si j’échoue, je risque quoi ? Vous vous apercevrez qu’en général, vous ne risquez absolument rien. Alors à partir de ce moment là, lancez-vous !

4. Peur de l’inconnu.

Presque tout le monde a peur de l’inconnu. Pourtant, l’inconnu est excitant. On ne sait pas exactement ce qui nous attend au bout. C’est pour briser cette peur que j’ai décidé de partir à l’étranger.

Effectivement, je ne savais pas ce qu’il m’attendait ici à Londres.
On a souvent peur d’aller dans des endroits que l’on ne connait pas. Vous m’expliquez pourquoi ? On pourrait y découvrir des trésors : de superbes opportunités, notre âme soeur, une super relation, des expériences inoubliables.

Ici encore, il faut se demander : qu’est-ce que je risque à y aller? De manière générale, vous vous rendrez compte qu’au final on ne risque pas grand chose. Quand je me suis décidé pour partir à l’étranger, je me suis dit : « bon, aucun risque, si jamais ça va mal, je peux revenir« . Et puis de toute façon pourquoi ça irait mal ?

Il faut prendre confiance en soi. A partir du moment où l’on est confiant dans ses capacités, alors on peut faire beaucoup plus de choses

Si vous savez que vous pouvez rebondir sur n’importe quelle situation, alors votre peur de l’inconnu s’estompe

Je sais que je peux gérer n’importe quelle situation. Mais on le peut tous, il faut juste en prendre conscience. Il faut savoir comment traiter les problèmes : soyez orienté solution, plutôt que plainte.
A partir de ce moment-là, tout se passera bien.

5. Peur de parler en public

Ou même la peur d’apparaître en public. Simplement parce que l’on assume pas son image. Je ne parle pas de la peur de s’exprimer devant 10 000 personnes, mais même simplement parler en groupe, oser prendre la parole, faire une blague…etc.

Bien évidemment, chaque personne qui doit parler devant un grand auditoire a le trac. « Vais-je bien faire? Vais-je oublier mon texte?« ..etc. Pourtant c’est la même chose : c’est infondé. On oublie son texte ? Tant pis, si vous maitrisez votre sujet vous pourrez improviser. Et les oublis ça peut arriver, montrez que vous savez improviser.

Si vous êtes en petit groupe, qu’est-ce que vous risquez à prendre la parole ? Le ridicule ? C’est dommage de se fermer des portes.
Dans le pire des cas vous serez ridicule, et cela sera passé au bout de 5 minutes.


A l’école cela arrive souvent, on n’ose pas poser une question de peur de paraître ridicule. Pourtant, on est rarement ridicule. Les fois où on l’est, cela passe assez vite, et après on sait, on a la réponse à notre question. Faites donc cet exercice, si vous n’osez pas prendre la parole en public, essayez la prochaine fois que vous êtes en groupe.

Lana Monnier

Étude : Deux nouveaux groupes sanguins découverts


Tout le monde sait qu’il existe des groupes sanguins A, B, AB et O, tout le monde sait aussi que ces groupes peuvent être soit positif ou négatif .. et c’est important de savoir son groupe sanguin .. mais saviez vous qu’il en existe d’autres plus rare et qui peut-être il y aurait une relation entre les rejets d’organe …
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Étude : Deux nouveaux groupes sanguins découverts

 

Deux nouveaux groupes sanguins découverts

Crédit photo : Reuters

Agence QMI

La plupart des gens savent que leur groupe sanguin est A, B, AB ou O, et savent peut-être s’il est positif ou négatif, mais une nouvelle recherche américaine a permis de découvrir deux nouveaux types de sang.

Les groupes sanguins Langereis et Junior sont rares, mais ils existent dans plusieurs populations ethniques.

«Plus de 50 000 Japonais sont considérés comme ayant le groupe sanguin Junior négatif et ils peuvent rencontrer des problèmes lors d’une transfusion sanguine ou une incompatibilité materno-fœtale», a écrit le biologiste de l’Université du Vermont, Bryan Ballif, dans une étude qui paraît dans le numéro de ce mois-ci de la revueNature Genetics.

M. Ballif et ses collègues chercheurs ont découvert deux protéines sur les globules rouges responsables de ces types de sang moins connus.

Le biologiste a identifié les deux molécules comme étant les protéines de transport spécialisées nommées ABCB6 et ABCG2.

Cela peut-être particulièrement important pour les patients de greffes d’organes, a-t-il dit.

«Au fur et à mesure que nous sommes meilleurs dans les transplantations, nous faisons tout notre possible pour avoir une bonne compatibilité», a déclaré M. Ballif dans un communiqué au sujet de son étude, ajoutant que le corps rejette parfois l’organe, même si tout semble bien se passer.

«Nous ne savons pas toujours pourquoi il y a un rejet, a déclaré M. Ballif. Il peut y avoir un lien avec ces protéines.»

http://tvanouvelles.ca