La peur


Il y a des peurs qui sont justifié pour nous mettre en garde et nous préserver ou du moins porter au danger potentiel. Mais il y a d’autres peurs qui n’ont peut-être pas leur raison d’être … Y faire face, explorer ses peurs permettra d’aller de l’avant
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La peur

Vous avez souvent peur ? Peur de tout, d’échouer, de la réaction des autres, de l’avenir,…

Avoir peur est humain, ce n’est pas synonyme de faiblesse ou d’impuissance, c’est un sentiment. La peur est un signal, une mise en garde, néanmoins elle ne devrait pas vous bloquer ni freiner votre épanouissement.

Si c’est le cas, analysez si cette peur est réellement justifiée.

Michel Poulaert

Suicide de Marjorie Raymond Émoi sur les médias sociaux


Depuis l’annonce du suicide de Marjorie Raymond, des réactions ont suivi pour exprimer l’indignation,  dans certains cas par contre, ca été a l’extrême comme proposer un suicide collectif en hommage de Marjorie
La personne qui a causé l’intimidation a été pour quelques heures affiché et intimidé a son tour .. Sans vouloir qu’elle connaissent le même sort, j’espère qu’elle a pu ressentir ce que Marjorie a pu vivre ainsi que tous ceux qui ceux qui intimide les autres .. Est-ce que ce malheureux événement va être assez fort pour qu’enfin il y ai des gestes concret pour que soit appliqué la tolérance zéro a l’intimidation ?
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Suicide de Marjorie Raymond

Émoi sur les médias sociaux

Émoi sur les médias sociaux

Crédit photo : Gracieuseté

Par Roch Courcy | Agence QMI

L’annonce du suicide de la jeune Marjorie Raymond a causé tout un émoi sur les médias sociaux. Des centaines de tweets à ce sujet ont été lancés mercredi, et le nombre n’a cessé d’augmenter au fur et à mesure de la journée.

Il suffisait de faire une simple recherche sur Twitter avec les termes «Marjorie» et «Raymond» pour s’en rendre compte. La plupart des tweets passent de l’indignation à l’incrédulité face à ce sujet délicat.

Selon le site internet Trendsmap, le terme «Raymond» a été recensé comme une tendance dès minuit durant la nuit du 29 au 30 novembre 2011. Une page Facebook en hommage à Marjorie revendique plus de 5000 adeptes. Un événement créé sur Facebook rassemble aussi près de 18 000 personnes.

Photo d’une adolescente intimidatrice

Mercredi matin, peu avant 9h, un utilisateur de Twitter a trouvé le statut Facebook d’une jeune fille qui avait intimidé Marjorie Raymond. Il a pris une capture d’écran du statut et l’a ensuite envoyé sur Twitter.

Avant d’être supprimée peu avant mercredi midi, la photo a été visionnée plus de 12 000 fois. Un peu plus tard, le nom de l’utilisateur (qui a mis la photo du statut en ligne), ainsi que les termes «bullying» (intimidation en anglais), «intimidation» et «bouleversé» sont aussi devenus des tendances Twitter à Montréal.

Dans la capture d’écran, on pouvait facilement voir le nom de la jeune intimidatrice. Puisque le statut de la jeune fille est public, il a été facile, pour les utilisateurs Facebook, d’aller commenter et de le partager.

Publié le 1er novembre dernier, il est encore en ligne et fait l’objet de commentaires virulents depuis mercredi matin. Environ 120 commentaires ont été écrits et il a été partagé près de 730 fois sur Facebook. La jeune intimidatrice devient, en quelque sorte, elle aussi une victime d’intimidation.

Toujours en lien avec le suicide de Marjorie Raymond, une page Facebook cause aussi une vive réaction sur les médias sociaux. La page nommée «Organiser un suicide collectif géant en l’hommage de Marjorie Raymond» est l’objet de critiques. Chaque statut publié entraîne environ une cinquantaine de commentaires, et ce, même si la page compte environ 40 adeptes.

Mercredi matin, le journaliste techno, Dominic Arpin, comptant des milliers d’abonnés sur Facebook et Twitter, a publié sur son site Internet, la vidéo «Losers» qui vise à sensibiliser la population et les jeunes face à l’intimidation. La vidéo, amplement partagée, est souvent accompagnée par un commentaire qui invite tout le monde à dénoncer l’intimidation.

Toutes ces réactions prouvent que le suicide de Marjorie Raymond ne laisse personne indifférent et, à l’ère des médias sociaux, on se rend compte que les responsables d’un acte répréhensible comme l’intimidation peuvent rapidement être pointés du doigt.

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