A 3 ans, elle a le QI d’Einstein et apprend les langues étrangères


Des enfants surdoués nous épatent par leur savoir, malgré que leur vie d’enfant se trouve bien différente des autres. Les parents de cette petite fille semblent préférer justement qu’elle puisse vivre sa vie de petite fille même si elle continue à apprendre par elle-même
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A 3 ans, elle a le QI d’Einstein et apprend les langues étrangères

 

 

A trois ans, Alexis Martin est dotée d’un QI de 160.Photo : Capture d’écran ABC News

 

SURDOUEE – Une Américaine âgée de tout juste trois ans a un QI estimé à 160 et parle couramment l’espagnol.

Haute comme trois pommes, elle rivalise déjà avec Albert Einstein. Cette petite fille originaire du Texas n’est âgée que de trois ans, mais a obtenu un résultat de 160 aux tests de QI. Elle est ainsi rentrée, bien malgré elle, dans le club très fermé de la Mensa, une organisation internationale dont le seul critère d’admissibilité est d’obtenir des résultats supérieurs à ceux de 98 % de la population aux tests d’intelligence.

Elle parle couramment l’espagnol

Entre autres talents, la toute jeune Alexis Martin, interviewée par la chaîne américaine ABC News, est capable de situer toutes les capitales du monde sur un planisphère et de citer les capitales de tous les Etats de son pays. Et comme si cela ne suffisait pas, elle s’est mis à apprendre l’espagnol, qu’elle parle déjà couramment, grâce à l’iPad de ses parents.

C’est dès 18 mois que la jeune surdouée a révélé l’étendue de ses talents : chaque soir, coupant l’herbe sous le pied de ses parents, elle récitait elle-même ses propres histoires. A deux ans, elle savait lire. Si son père admet avoir pensé à la scolariser, il préfère encore attendre afin qu’elle ne manque pas « l’aspect social » de l’école. Et qu’elle profite, encore un peu, de son innocence.

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Royaume-Uni Jeune, blonde, mais plus brillante qu’Einstein


De quoi a clouer le bec a ceux qui pensent que les blondes ne sont pas intelligentes … et de faire taire les stéréotype ..,. De plus, elle viens d’un milieu modeste, elle montre aussi que l’intelligence n’est pas juste pour les gens des milieux aisés. Elle a l’embarras du choix pour faire une belle carrière
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Royaume-Uni : Jeune, blonde, mais plus brillante qu’Einstein

 

Jeune, blonde, mais plus brillante qu'Einstein

Crédit photo : Agence QMI

Agence QMI

Une jolie adolescente blonde britannique a un QI plus élevé que Stephen Hawking, Bill Gates et Albert Einstein.

Lauren Marbe, 16 ans, a décidé de prendre le test de QI Mensa, pour rigoler avec ses amies, avant de récolter un score fulgurant de 161, soit un point de plus que les trois génies mentionnés plus haut, selon ce que rapporte le journal britannique The Daily Mail.

Ce résultat place la jeune fille parmi le 1% de gens les plus intelligents de la planète.

«Je suis blonde, je porte du maquillage et je fais des sorties, a dit Lauren Marbe à The Daily Mail. En plus, j’adore mon bronzage de salon et mes faux ongles!» a-t-elle ajouté.

L’adolescente, qui vient de Essex, au nord-est de Londres, affirme avoir l’habitude d’être sous-estimée.

«Mes enseignants savaient que j’étais assez brillante grâce à mes notes, mais ils ont toujours pensé que j’étais une blonde écervelée, a dit la jeune fille. Maintenant, ils n’arrêtent pas de me dire « Je ne réalisais pas que tu étais si intelligente ».»

Lauren Marbe est bien heureuse de défaire les perceptions préconçues qu’avaient les gens d’elle, mais aussi de sa ville.

Lorsqu’elle graduera, la jeune génie, fille d’un chauffeur de taxi, prévoit étudier à l’Université Cambridge pour devenir architecte, ou encore devenir comédienne dans le populaire quartier londonien du West End.

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Fumer du cannabis endommage le cerveau


Quand je pense qu’a chaque année on veut légaliser le cannabis alors que ce n’est pas la première étude qui démontre ces effets néfastes .. Alors nos jeunes veulent t’il vraiment perdre leur capacités intellectuelles pour  de la fumée qui fait rêver
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Fumer du cannabis endommage le cerveau

 

Photo: Fotolia

Fumer du cannabis régulièrement à l’adolescence peut provoquer une baisse des capacités intellectuelles à l’âge adulte, montre une étude publiée lundi par une revue scientifique américaine.

La recherche effectuée sur 1000 Néo-zélandais, prenant en compte une période de 25 ans, a permis de comparer leur quotient intellectuel (QI) à 13 ans puis à 38 ans, les uns étant des consommateurs réguliers de cannabis, y compris durant après 20 ans ou 30 ans, les autres pas.

Au bout de la période, un écart de huit points s’est creusé entre les fumeurs et les autres, affirme Madeleine Meier, psychologue à l’université Duke, en Caroline du Nord, et auteur principale de cette étude publiée dans les Actes de l’Académie américaine des sciences.

Or «le QI est censé être stable» à mesure que l’on vieillit, dit-elle.

Pour les personnes n’ayant jamais fumé de cannabis, leur QI a même légèrement progressé de quelques dixièmes de points.

«On sait que le QI est un élément fort déterminant pour l’accès à l’université, pour le revenu gagné tout au long de la vie, pour l’accès à l’emploi, et la performance au travail», poursuit la chercheuse.

«Quelqu’un qui perd huit points de QI durant son adolescence et à la vingtaine peut se retrouver désavantagé par rapport à ses pairs du même âge pour de nombreux aspects majeurs de la vie», et ce pendant de longues années, conclut-elle, soulignant que cette importante différence ne serait pas due à d’autres facteurs (éducation, alcool, autres drogues, etc.).

L’adolescence, période cruciale

Les consommateurs de marijuana ont aussi montré de plus faibles capacités de mémoire, de concentration et de vivacité d’esprit, selon l’étude.

Ceux qui avait ralentit leur consommation l’année d’avant leurs 38 ans, moment du second test, n’ont pas pour autant obtenu de meilleurs résultats.

En revanche, les fumeurs qui ont commencé seulement à l’âge adulte ne souffraient pas d’un tel écart intellectuel avec les non fumeurs.

«L’adolescence est une période très sensible du développement du cerveau», indique Mme Meier. En utilisant des substances agissant directement sur le mental, les jeunes «peuvent perturber le processus cérébral normal», explique-t-elle.

L’étude n’évalue pas, par contre, les effets d’un arrêt ou d’un ralentissement de consommation plus tôt dans la vie, et ne précise pas non plus les quantités consommées.

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L’abus de cocaïne entraîne le vieillissement du cerveau


Es-ce surprenant que la cocaïne a des effets négatifs sur le cerveau?  Mais maintenant on peut comprendre ce que cette drogue peut faire et provoquer un vieillissement du cerveau plus rapidement
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L’abus de cocaïne entraîne le vieillissement du cerveau

 

© Shutterstock

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Une équipe de scientifiques de l’Université Cambridge a constaté que la perte de matière grise dans le cerveau est plus importante chez les personnes qui sont dépendantes à la cocaïne, comparativement à celles qui n’en consomment pas.

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont examiné l’activité cérébrale de 120 participants, du même sexe, du même âge et au QI identique. La moitié d’entre eux étaient dépendants à la cocaïne alors que l’autre moitié n’en consommait pas.

Les consommateurs de cocaïne affichaient une perte de volume de leur cerveau de 3,08 ml par an, soit près du double que celle constatée chez les participants qui ne prennent pas de drogue (1,69 ml). Ce déclin accéléré relié au vieillissement prématuré du cerveau est plus important dans le lobe temporal et le lobe frontal, deux zones cruciales en matière d’attention, de prise de décision et de mémorisation.

«Le vieillissement engendre une perte de matière grise dans le cerveau. Toutefois, cette perte est accélérée chez les consommateurs de cocaïne, ce qui peut causer un vieillissement prématuré», explique la chercheuse Karen Ersche.

Elle ajoute que cette découverte permet de comprendre pourquoi les individus dépendants à la drogue présentent des difficultés cognitives identiques à celles que l’on remarque chez les personnes âgées.

Les résultats de ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique Molecular Psychiatry.

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