Le parasite le plus ancien trouvé dans des excréments de puma fossilisés


Le Toxascaris leonina est un ver rond qui parasite les chiens et les chats. Les chercheurs croyaient que ce parasite était apparu avec les animaux domestiques, mais voilà cette hypothèse s’avère fausse. L’excrément d’un puma vieux de 17 milles ans en Argentine, démontre en effet que ce parasite était présent bien avant l’apparition de l’homme
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Le parasite le plus ancien trouvé dans des excréments de puma fossilisés

À gauche, le coprolithe de puma (échelle 20 mm) et à droite, un œuf de Toxascaris leonina grossi 400 fois (échelle 20 µm). © CONICET

À gauche, le coprolithe de puma (échelle 20 mm) et à droite, un œuf de Toxascaris leonina grossi 400 fois (échelle 20 µm). © CONICET


Nathalie Mayer
Journaliste

Toxascaris leonina est un ver rond, un parasite courant chez le chien et le chat.

Et des scientifiques du Conseil national de la recherche scientifique et technique d’Argentine (CONICET) viennent d’en isoler l’ADN dans un coprolithe — comprenez un excrément minéralisé ou plus populairement, du caca fossilisé — de puma trouvé dans un abri rocheux dans les montagnes du Nord-Ouest de l’Argentine, à plus de 3.500 mètres d’altitude. Un coprolithe particulièrement bien conservé dans son environnement froid et sec et vieux de quelque 17.000 ans, ce qui en fait la plus ancienne preuve au monde de l’existence de ces vers. Ces vers auraient donc infecté la faune d’Amérique du Sud avant même l’arrivée sur place des premiers humains. Une arrivée qui remonte, selon les estimations, à 11.000 ans seulement.

Les chercheurs pensaient pourtant que Toxascaris leonina — qui vit attaché à la muqueuse intestinale de son hôte — avait infecté les carnivores sauvages locaux par contact avec nos mammifères domestiqués. Ils comptent maintenant comparer les nouvelles séquences ADN à celles d’autres, trouvées sur différents sites archéologiques, dans l’espoir de mieux comprendre l’histoire évolutive des parasites et de leurs hôtes.

https://www.futura-sciences.com

Une chasseuse pose fièrement à côté d’un puma en sang


Je déteste la chasse pour le plaisir ! Si la chasse est pour se nourrir, c’est autre chose. Cette femme qui a tuer un puma prétend l’avoir mangé, mais j’ai un peu de misère à croire cela. Quoiqu’il soit, le puma n’est généralement pas dans l’alimentation humaine
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Une chasseuse pose fièrement à côté d’un puma en sang

© Facebook.

« Je suis au septième ciel », a déclaré l’Américaine.

Franchesca Esplin, originaire du Colorado, aux États-Unis a publié sur sa page Facebook une photo d’elle et du puma qu’elle avait abattu. Elle a posé ensuite avec ses mains en sang et un grand sourire. 

Bucket list

La jeune femme annonce qu’elle a toujours rêvé d’abattre un animal. Elle qualifie l’expérience « d’exceptionnelle ». Le puma a été tué sur un arbre et c’est le mari de la chasseuse qui est venu le déloger. Elle a ensuite invité ses enfants à venir contempler son trophée.

Une « pratique sadique »

Prairie Protection Colorado, une association de protection des animaux, est en colère et souhaite mettre un terme à cette pratique, « qui consiste à tuer des prédateurs pour le plaisir ». L’association critique également l’usage des chiens de chasse. Le puma est un animal particulier.

« Même si elle prétend l’avoir mangé, cela reste une pratique sadique », déclare Deanna Meyer, qui est à la tête de l’organisation. « Je mange aussi des animaux, poursuit-elle, mais je ne fais pas de selfie avec des animaux que j’aurais tués ».

Une pratique légale

La chasse du puma et le port d’armes sont deux choses parfaitement légales aux États-Unis. Franchesca Esplin ne sera donc pas poursuivie. L’association a partagé la publication de la jeune femme pour faire évoluer les mentalités.

https://www.7sur7.be

États-Unis : un puma fait la sieste dans son canapé, elle attend six heures dehors


Un invité très inusité, c’est installer sur le sofa dans le salon d’une maison. Un puma ! La dame l’a laissé tranquille et s’est mit en retrait. Lors d’un de ses moments de demi-réveil de l’animal, elle est restée près du chat sauvage en clignant des yeux, pour le calmer. À mon avis, elle a pris des risques .. Enfin tout s’est quand même bien passé. Le puma a bien dormi et les gens ont pu reprendre possession de la maison.
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États-Unis : un puma fait la sieste dans son canapé, elle attend six heures dehors

Un puma s’était confortablement installé dans son canapé pour y faire une longue sieste (illustration)./

Un puma s’était confortablement installé dans son canapé pour y faire une longue sieste (illustration)./

Une habitante de l’Oregon, aux États-Unis, a reçu une drôle de visite, dimanche 15 juillet. Un puma s’était confortablement installé dans son canapé pour y faire une longue sieste. L’Américaine, qui ne voulait pas le déranger, a dû attendre pas moins de six heures dans son jardin, le temps que l’animal se réveille.

Dimanche 15 juillet, Lauren Taylor, une habitante de l’Oregon (États-Unis) a découvert sur son canapé un drôle de visiteur. Alors qu’elle entrait dans son salon, l’Américaine a remarqué deux yeux qui brillaient derrière son canapé. Lauren Taylor s’est alors rendue compte qu’il s’agissait d’un puma.

L’animal s’était immiscé par la porte arrière de sa maison, laissée ouverte. Le puma, trouvant sans doute le canapé confortable, en a profité pour faire une longue sieste, rapporte Mashable.

Elle est restée très calme et en retrait

Sur Facebook, la jeune femme se présente comme une connaisseuse des « énergies » et se dit être une habituée des animaux sauvages. Elle explique être restée très calme tout en se contentant de rester en retrait dans son salon, sans que l’animal n’en sorte.

« Mais après qu’une personne présente également dans la maison a claqué une porte, la lionne a commencé à s’agiter et a tenté de sortir par une fenêtre fermée. Au bout de quelques minutes, elle s’est à nouveau calmée », raconte-t-elle.

Lauren Taylor explique qu’elle est ensuite sortie dans son jardin pour observer l’animal endormi depuis une fenêtre.

 « Je voulais voir ce qu’elle faisait et elle était en train de dormir ! Quand j’ai fait un peu de bruit, elle s’est réveillée et avait l’air surprise, alors je l’ai regardée chaleureusement dans les yeux, et j’ai utilisé le système des clignements d’yeux des félins pour l’apaiser. C’était incroyable de réaliser que ça avait marché. Et puis elle s’est rendormie », détaille l’Américaine.

Une sieste de six heures

La jeune femme a alors patienté six longues heures. Lauren pense que ce sont les récents feux de forêt dans la région qui ont poussé l’animal sauvage à se rapprocher des habitations.

« Nous avons compris qu’il ne restait que quelques heures avant que le soleil ne se lève. Nous devions l’inviter à partir sans trop l’inquiéter au point qu’elle panique », explique l’Américaine.

Tout doucement, ses colocataires et elle-même ont alors ouvert des portes de la maison et ont commencé à frapper sur des objets pour faire fuir le puma. Sa sieste terminée, l’animal s’est paisiblement dirigé vers l’extérieur puis a disparu dans un champ proche de la maison.

ladepeche.fr

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Brésil: un puma évacué d’un bureau en pleine ville


Cela doit drôlement commencer une journée tombée face à face avec un puma dans un bureau. Comment à t’il pu rentrer dans cette entreprise ! Mystère !!. Heureusement, il a pu sortir sans blessures ni pour lui, ni pour les personnes présentes.
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Brésil: un puma évacué d’un bureau en pleine ville

 

GETTY IMAGES/FLICKR RF

Les employés se sont retrouvés lundi nez à nez avec un puma sauvage recroquevillé sous un bureau.

Les employés d’une entreprise brésilienne se sont retrouvés lundi nez à nez avec un puma sauvage recroquevillé sous un bureau, ont indiqué les pompiers locaux, qui incriminent les feux de forêt pour expliquer sa présence en ville.

Le félin avait élu domicile dans la réception d’une entreprise de montage de conteneurs à Itaperica da Serra, petite ville située à 50 km de Sao Paulo, la capitale économique du Brésil.

« Nous avons reçu plusieurs appels vers 7h00 du matin. Les employés, qui avaient l’air effrayés, ont fermé la salle à clé en attendant notre arrivée », a expliqué à l’AFP l’officier Alessandro, porte-parole des pompiers locaux.

Les pompiers sont intervenus en compagnie d’un vétérinaire, qui a administré un sédatif à l’animal pour qu’il puisse être évacué et remis au siège d’une ONG de préservation de la biodiversité, a-t-il ajouté.

« Nous pensons que le puma est sorti de son habitat naturel à cause des feux de forêts fréquents dans la région », a expliqué le corps de pompiers de Sao Paulo sur Facebook.

http://quebec.huffingtonpost.ca

Le Saviez-Vous ► Les plus longs cils du règne animal


Avoir des longs cils donne un regard plus profond et c’est très joli. Che le règne animal qui a les plus cils ?
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Les plus longs cils du règne animal

 

Avec de près de 0,7 cm de longueur de cil, le Puma, ou Cougar (Puma concolor), possède l'un des plus beau regard du règne animal. ©Warden/SUPERSTOCK/SIPA

Avec de près de 0,7 cm de longueur de cil, le Puma, ou Cougar (Puma concolor), possède l’un des plus beau regard du règne animal. ©Warden/SUPERSTOCK/SIPA

Par Morgane Kergoat

À quoi servent les cils ? Qui sont les animaux qui ont les plus longs ? Une étude américaine a établi le classement des 10 animaux qui ont les regards les plus intenses.

ANATOMIE. Non, la longueur des cils ne sert pas uniquement à rendre le regard séduisant. Selon une étude américaine, menée sur 22 espèces de mammifères, la longueur de cils optimale est d’environ un tiers de la largeur de l’œil. Des tests en soufflerie ont révélé l’avantage aérodynamique d’une telle proportion : les cils détournent ainsi les flux d’air, et réduisent jusqu’à 50% l’évaporation lacrymale. De fait, les cils protègent l’œil du dessèchement, mais aussi des poussières contenues dans l’air. Découvrez, en images, qui sont les animaux qui ont les plus longs cils du règne animal.

Les plus longs cils du monde animal

 

Le plus grand des marsupiaux, le Kangourou roux (Macropus rufus) est 10e du classement avec une longueur de cils de 0,5 – 0,6 cm, soit 1/3 de la longueur du cil de l’animal en tête de ce classement.

©Theo Allofs / Minden Pictures / Biosphoto

À la 9e place : les chimpanzés. Ils sont les seuls primates dans ce top 10 : leurs cils atteignent les 0,6 cm de longueur.

©Mint Images / Rex Featu/REX/SIPA

Le lycaon, le chameau et le sanglier sont dans un mouchoir de poche avec une longueur de cils de 0,6 – 0,7 cm.

©Andy Rouse / Rex Featur/REX/SIPA

Les chameaux et les dromadaires (tous deux du genre Camelus) sont juste devant le lycaon avec une longueur de cils de 0,7 cm.

©CAROLINE SEIDEL / DPA / dpa Picture-Alliance

La sanglier est 6e du classement avec de cils de près de 0,7 cm.

©ARDEA/MARY EVANS/SIPA

Le Puma, ou Cougar (Puma concolor), vit dans les montagnes du continent américain. Avec une longueur de cils de près de 0,7 cm, il talonne de près un autre grand félin, mais reste à la 5e place.

©Warden/SUPERSTOCK/SIPA

Malgré ses beaux yeux, l’once, ou léopard des neiges (Panthera uncia), est seulement 4e du classement. Ses cils sont longs d’environ 0,8-0,9 cm.

©Jarno Mela / LEHTIKUVA / AFP

L’argali (Ovis ammon) est sur la plus petite marche du podium avec un peu moins d’1 cm de longueur de cils. Ce mouflon est une espèce de mouton sauvage qui vit dans les montagnes de l’Altaï (Asie).

©Berndt Fischer / Biosphoto / AFP

Le tapir de Baird (Tapirus bairdii) est l’une des cinq espèces de tapir qui existe. Discrets, ses cils sont pourtant longs de plus d’1 cm. Ce qui le hisse à la 2e place du classement.

©Gerard Lacz / Rex Featu/REX/SIPA

Avec plus de 1,5 cm de longueur de cil, la girafe (Giraffa camelopardalis) remporte la médaille d’or. Non contente d’avoir les plus longs cils, elle a aussi les plus épais du règne animal !

©JENS BUTTNER / DPA / AFP

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi les Incas avaient-ils peur des éclipses ?


Le 3 novembre 2013 l’Est américain, seules des phases partielles de cette éclipse seront visibles dans le sud de l’Europe (Espagne, sud de l’Italie et Grèce) et sur quasiment l’ensemble du continent africain. La science sait maintenant ce qu’est une éclipse, mais il fut un temps que ces phénomènes provoquer de grandes peurs chez les peuples
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Pourquoi les Incas avaient-ils peur des éclipses ?

 

Le dimanche 3 novembre, une éclipse solaire hybride est attendue par les astronomes. Un événement banal de nos jours, terrifiant pour nos ancêtres. Saviez-vous que les Incas pensaient que le Soleil allait se faire dévorer par un monstre céleste ?

Qu’elle soit totale ou partielle, l’éclipse n’effraie plus personne (ou presque) en 2013. Le dimanche 3 novembre, une éclipse solaire hybride est annoncée par les astronomes. Le fait d’être capable de prévoir et de comprendre un tel événement est une révolution. Il y a cinq siècles, les Incas – ignorant tout du fonctionnement de l’Univers – pensaient qu’un puma était en train de dévorer le Soleil lorsque la Lune le cachait. Et ils n’étaient pas les seuls à s’imaginer toutes sortes de scénario rocambolesques. Retour sur les croyances passées autour de l’éclipse.

L’éclipse vue par les Incas : un puma dévorant le Soleil

Si aujourd’hui les scientifiques sont capables de fournir une explication rationnelle à la formation d’une éclipse, à une certaine époque, l’être humain redoutait de voir le Soleil disparaître à jamais.

La civilisation inca (XIIIe—XVIe siècle) voue un véritable culte au Soleil. Pour elle, une éclipse du Soleil est synonyme d’apocalypse. Selon la croyance populaire, elle est la conséquence de la mort d’Int, le dieu du Soleil, dévoré par un puma. Dans la civilisation inca, le félin est le symbole des êtres surnaturels. Certains pensent qu’il est aussi à l’origine des orages : son rugissement est le tonnerre, les éclairs le reflet de ses yeux. Une éclipse solaire serait ainsi un combat entre le Ciel et la Terre. Pour effrayer l’animal, les Incas sortent dehors, prient, crient, et font un maximum de brouhaha.

Si le Soleil tient une place centrale dans la civilisation inca, la Lune aussi est vénérée.Alors quand l’astre disparait, la panique s’empare du peuple. D’après la légende, les éclipses de Lune surviennent lorsque l’astre se laisse emporter par un sommeil trop profond et dévie de son chemin habituel. Conséquence : il risque de se perdre, pire, de tomber sur la Terre et d’écraser ses habitants ou d’être dévoré par un monstre. Pour réveiller la Lune, les Incas se mettent à faire le plus de bruit possible en jouant de toutes sortes d’instruments, en fouettant les chiens et en battant les enfants. Autre hypothèse : ces cris de chiens et d’enfants sont provoqués par les Incas pour toucher en plein cœur la Lune et ainsi la tirer de son sommeil.

À la fin de l’éclipse, le peuple loue le dieu Pachacamac, soutien de l’univers, pour avoir participé à la survie de l’espèce humaine.

VIDÉO – Dans Le Temple du Soleil, Tintin se sert d’une éclipse pour effrayer les Incas :

© DR – YouTube

Les Incas n’étaient pas les seuls à redouter les éclipses

Chez les Mayas : l’interprétation est à peu près la même que celles des Incas. Seule différence : le mangeur de soleil est un jaguar. Quant aux éclipses de Lune, ce serait le Soleil le glouton.

Dans l’Égypte antique : derrière l’éclipse solaire se cache le serpent Apophis, qui tente d’attaquer Râ, le dieu du Soleil. De par sa puissance, Apophis essaie de faire chavirer la barque solaire qui traverse le ciel et ainsi créer le chaos : la fin de l’univers.

Dans la Grèce antique : certains racontent à l’époque qu’une éclipse se produit lorsqu’Artémis, déesse associée à la Lune, rend visite à Endymion. D’autres pensent que ce sont des magiciennes malveillantes qui tentent d’attirer la Lune sur la Terre.

Dans la Chine antique : c’est la faute de l’Empereur. Considéré comme le fils des cieux, il doit s’assurer que Terre et Ciel s’entendent bien. Pour le peuple, une éclipse est le résultat d’un mauvais gouvernement.

En Inde : selon la légende, il s’agit d’une vengeance du démon Rahû. Le dieu Soleil et la déesse Lune l’ont empêché de boire un élixir d’immortalité. La tête de Rahû a été tranchée puis jetée dans l’espace mais comme l’anti-dieux a réussi à boire quelques gouttes de la potion, il rôderait encore au-dessus de nos têtes. Avec un seul objectif : dévorer le Soleil et la Lune en guise de vengeance. Une éclipse serait le signe que Rahû est parvenu à ses fins mais, sa tête étant séparée de son corps, il ne pourrait digérer les astres et les recracherait au bout de quelques minutes.

En Afrique : d’après la tradition populaire, les Mandingues (peuple d’Afrique de l’Ouest) pensent qu’un chat interpose sa patte entre la Lune et la Terre. Pendant toute la durée de l’éclipse, ils chantent et dansent sans s’arrêter.

MAIS, AU FAIT, C’EST QUOI UNE ÉCLIPSE ?

Il existe deux types d’éclipse :

l’éclipse solaire, qui a lieu lorsque la Lune se retrouve entre le Soleil et la Terre. Elle ne peut se produire qu’au cours d’une nouvelle Lune. Une partie de la Terre est alors plongée dans la pénombre.

– l’éclipse lunaire, qui se produit lorsque la Terre se retrouve entre le Soleil et la Lune, ce qui ne peut arriver que pendant une pleine Lune. L’astre se trouve alors dans l’ombre de la Terre.

> De la Terre, une éclipse correspond à l’alignement des trois astres (Terre, Soleil et Lune).

Lorsque la lumière de l’astre est complètement cachée, les astronomes parlent d’éclipse totale. Sinon, il s’agit d’une éclipse partielle.

Deux autres sortes d’éclipses ont été identifiées par les astronomes :

– l’éclipse annulaire a lieu quand la Lune et le Soleil sont parfaitement alignés avec la Terre, mais que la taille visible de la Lune est inférieure à celle du Soleil. De la Terre, la Lune semble entourée d’un halo de lumière.

– l’éclipse hybride se situe entre l’éclipse totale et l’éclipse annulaire. Il s’agit d’une transition entre les deux phénomènes. Ce type d’éclipse est très rare. La dernière a eu lieu en avril 2005.

Grâce au progrès de la science, l’être humain a pu éloigner au fil des siècles quelques-unes de ses peurs irrationnelles… comme la crainte que le ciel ne lui tombe sur la tête.

Par Cécile David