Le Saviez-Vous ► Le syndrome de Lima


Lors d’une prise d’otages, ce genre de trouble psychologique est la bienvenue pour les otages qui auront plus de chance de sortir vivant de cette mauvaise position
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Le syndrome de Lima

Le syndrome de Lima constitue le processus psychologique par lequel des ravisseurs éprouvent de l’empathie pour leurs otages et développent des relations d’ordre amical avec l’un ou plusieurs d’entre eux.

Ce syndrome s’oppose au syndrome de Stockholm qui, lui, se caractérise par un phénomène inverse, c’est-à-dire une empathie de l’otage envers son ravisseur.

Le syndrome de Lima tient son origine d’un fait divers qui s’est déroulé en 1996 dans la ville de Lima au Pérou. Lors de la prise d’otages de l’ambassade du Japon, les ravisseurs ont noué des liens avec leurs prisonniers et les ont relâchés un à un, renonçant à les exécuter.

http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/

Le Saviez-Vous ► 10 désordres psychologiques fascinants


Il y a des troubles mentaux qui sont assez rares et étranges. Certains ont même été des sujets de roman, film ou même dans une épisode de série télé
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10 désordres psychologiques fascinants

 

Crédit photo: Helmut Januschka (MRT scan of human head) – wikipédia

Les troubles de santé mentale ne sont pas rares – près d’une personne sur cinq souffrira d’une maladie mentale au cours de sa vie – pourtant, plusieurs restent méconnus ou encore difficiles à classifier. Voici 10 désordres psychologiques, dont certains répandus et d’autres rares, qui n’ont pas fini de nous surprendre.

1. Le syndrome d’Alice au pays des merveilles

Le syndrome d’Alice au pays des merveilles, nommé après le roman de Lewis Carroll, est un trouble neurologique qui altère la perception de l’espace, du temps et de soi-même. Également appelé syndrome de Todd, en référence au psychiatre britannique John Todd,celui-ci supposa que Lewis Carroll fut victime de ce trouble et en fut inspiré pour son roman.

2. Le syndrome de Dorian Gray

Dans le roman The Picture of Dorian Gray, Oscar Wilde dépeint, à travers un dandy du nom de Dorian Gray – un être superficiel, égocentrique, hypocrite et manipulateur – les dérives modernes du narcissisme. Le syndrome de Dorian Gray est caractérisé par un orgueil extrême et une obsession pour la beauté et la jeunesse, mais peut aussi se traduire avec une combinaison de différents signes: dysmorphophobie, amour de soi excessif, immaturité… Un problème qui selon les experts, peut également être celui d’une société ou d’une génération au complet.

3. Le syndrome de Peter Pan

Le syndrome de Peter Pan ou complexe de Peter Pan, désigne l’angoisse liée à l’idée de devenir adulte et le désir de rester enfant. Si l’expression peut être employée pour caractériser un adulte immature, elle désigne réellement des gens qui se complaisent ou s’enferment dans un univers enfantin.

Popularisé par le psychanalyste Dan Kiley, le syndrome se prête donc à un adulte qui se comporte comme un enfant. Un état qui peut être bien vécu, mais peut aussi mener à la dépression ou entraîner de sérieux problèmes au niveau relationnel. Michael Jackson demeure un exemple connu.

4. Le syndrome de Münchhausen

Le syndrome de Münchhausen est une pathologie caractérisée par un besoin de simuler une maladie dans le but d’attirer l’attention ou la compassion. Si la plupart sont familiers avec les troubles factices – un trouble mental désignant le besoin morbide de simuler une maladie en s’imposant des signes ou des symptômes -, le diagnostic de « syndrome de Münchhausen » est réservé aux cas sévères.

Les sujets qui en sont atteints peuvent en effet provoquer des convulsions, des saignements (en prenant des anticoagulants), des vomissements et d’autres symptômes graves,volontairement. Aussi, le syndrome de Münchhausen par procuration, peut mener un individu à en blesser un autre volontairement, notamment un enfant, toujours dans le but d’obtenir de l’attention…

5. L’apotemnophilie

Plus étonnant encore, l’apotemnophilie, un trouble neurologique qui pousse ceux qui en souffrent à vouloir se faire amputer un ou plusieurs membres, sans raison médicale. Les sujets peuvent même s’infliger des blessures graves ou réclamer qu’un chirurgien les opère. Ce trouble identitaire relatif à l’intégrité corporelle serait provoqué par de graves lésions au niveau du lobe pariétal. Si ce trouble peut sembler tout droit inspiré d’un livre de Stephen King, il est bien réel et les apotemnophiles sont souvent exposés à une très forte dépression entraînée par l’isolement et la confusion.

6. Le syndrome d’Othello

Si les drames humains de Shakespeare sont aussi touchants, c’est sans doute puisqu’ils mettent en scène des personnages incarnant des maux humains universels. L’un de ces célèbres protagonistes, Othello, a d’ailleurs marqué les esprits et inspiré un concept psychiatrique : le syndrome d’Othello. Aussi appelé délire de jalousie ou jalousie pathologique, les personnes qui en souffrent, le plus souvent des hommes, sont habités par une conviction profonde quoique non-fondée, d’être trompés. Recherchant constamment des « preuves » justifiant cette inquiétude obsédante, le sujet harcèle, et peut même aller jusqu’à tuer, son partenaire ou le présumé rival, tout comme dans la pièce de Shakespeare.

7. Le syndrome de Stendhal

 

Si vous voyez un voyageur délirer devant un tableau ou un touriste se prendre pour le messie, il y a de bonnes chances qu’il soit victime du syndrome de Stendhal ou « syndrome de Florence« . Celui-ci se traduit à travers un sentiment de confusion, des crises de panique ou d’hystérie, voire même des hallucinations suite à une “surexposition” à… des oeuvres d’art. Assez rare, il ferait partie des syndromes du voyageur, un trouble psychique que peuvent expérimenter certains touristes ou expatriés.

8. Le syndrome de l’accent étranger

Un choc au cerveau peut parfois entraîner certains effets non-désirables, parmi ceux-ci, le syndrome de l’accent étranger, un désordre rare et plutôt surprenant. Ce trouble du langage vient en effet altérer l’accent de la victime. Autrement dit, un australien peut se réveiller soudainement avec un accent français, comme ce fut le cas de Leanne Rowe. 50 cas auraient été rapportés dans le monde entre 1941 à 2006.

9. Le syndrome de Cotard

Aussi étrange que rare, le syndrome de Cotard est un syndrome délirant observé chez des personnes gravement dépressives. Il est également appelé « syndrome du cadavre ambulant ». Le malade est en fait persuadé d’être mort ou de ne pas exister. Le syndrome peut également survenir chez certains schizophrènes, mais le plus souvent, le patient consultera rarement un professionnel puisqu’ il se croit déjà mort Ce trouble serait lié à un dysfonctionnement dans deux aires du cerveau; une partie impliquée dans la reconnaissance faciale et une autre reliée aux émotions. Certains iraient même jusqu’à se laisser mourir.

10.Le syndrome de la main étrangère

Tout comme son nom l’indique, ce syndrôme amène le patient à ne pas reconnaître une de ses mains. Autrement dit, la main, qui agit de manière indépendante, fait ce qui lui chante. Ce trouble également connu sous le nom du syndrome du Docteur Folamour, peut être causé par un accident vasculaire ou des lésions au cerveau. Si le syndrome peut paraître grotesque, il n’a rien de drôle pour ceux qui en souffrent, comme Karen Byrne, une Américaine dont une main et une jambe sont devenues incontrôlables après une intervention chirurgicale. .

http://www.sympatico.ca/

Le saviez-vous ► Origine du placébo


L’origine du placébo date de longtemps, mais ce n’est qu’à notre époque que l’on se pose des questions sur l’étique d’un médicament inactif quand il n’est pas utilisé dans des expériences médicales .. comme groupe témoin.
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Origine du placébo

 

Étymologie

Du latin placebo (« je plairai »). Le verbe latin « je plairai » sous-entend « au médecin-prescripteur », le phénomène psychique de confiance ou de croyance dans la toute-puissance de la médecine étant ici primordial dans la guérison. Une des premières mentions du terme se situe dans un dictionnaire médical anglais datant de 1811. 
 

1.(Médecine) Imitation de médicament sans principe actif, utilisée pour les tests en double aveugle ou pour son effet sur le psychisme de certains patients.

histoire de l’apparition du terme et de la notion de Placebo…     

Les premières traces de remèdes dépourvus de tout principe actif remontent à l’Egypte Antique. Le papyrus d’Ebers datant de 1500ans av. JC dresse une liste de 800 prescriptions courantes en Egypte, dont 700 sont reconnues comme médicaments véritables, les autres étant ce qu’on appellera plus tard  des « Placébos »

 


   Papyrus d’Ebers
   -1500 av. JC env.
   source : Wikipedia.com

 

La période allant du Moyen-Âge à la Renaissance voit l’utilisation de ce terme pour désigner toute action flatteuse et opportuniste. On se rapproche alors de sa définition actuelle mais dans un autre domaine que celui de la médecine.

A la fin du XVIème siècle, Michel de Montaigne relate dans ses Essais la découverte d’un placebo de Clystère et analyse ainsi le poids de l’imagination et de la confiance dans le phénomène de guérison.

En 1628, c’est R. Burton qui donne la première définition de l’effet Placébo en constatant l’action positive de la confiance du malade en la personne qui le soigne.

C’est en 1785 qu’est faite la première citation du mot « Placebo » dans un dictionnaire médical anglais.

L’origine de l’acceptation actuelle du placébo se situe donc à la fin du XVIIIème siècle.

Et c’est au XIXème que le terme entre dans le vocabulaire médical.
Le Hooper’s Medical Dictionary (1811) le définit

« comme un qualificatif donné à toute médication prescrite plus pour plaire au malade que pour lui être utile. « 

En France, c’est le docteur Armand Trousseau qui sera le premier a administrer à ses patients des substances inertes en leur faisait croire qu’il s’agit de médicaments. Il est également le premier à comparer leur efficacité à celle de vrais médicaments.

Ceci l’amène à faire un constat thérapeutique fondamental : l’efficacité d’un traitement fluctue selon la confiance que lui accorde le malade et le médecin.

L’acceptation du concept d’effet Placebo par la communauté médicale au cours du XXème siècle est lente et difficile. En effet, son mode d’action psychologique et l’origine mythique du phénomène rappelle trop l’obscurantisme de jadis.

Spécifié dans sa définition actuelle en 1958 dans le Dictionnaire des Termes Techniques de Médecine, le médicament Placebo est aujourd’hui, en plus de l’intérêt qu’il suscite par son mystérieux fonctionnement, un outil de référence pour les recherches médicamenteuses.

Effet Placebo : Ecart positif entre le résultat thérapeutique observé et l’effet thérapeutique prévisible en fonction des données strictes de la pharmacologie.

(Dr Patrick Lemoine, cours destiné aux étudiants de la Faculté de Médecine de Rennes – 1998)

L’effet Placebo est donc l’effet psychophysiologique produit par le médicament Placebo qui se traduit par une amélioration de l’état du malade. 

En fait on peut dire par extension que l’effet Placebo est une action que tous les médicaments ont en commun, impliquant alors que tout médicament possède avant tout un effet Placebo.

Il faut donc bien faire attention à ne pas confondre les deux notions, car si un Placebo ne peut pas être efficace sans contribution de l’effet Placebo, un médicament actif peut tout à fait engendrer un effet Placebo !

Par exemple si à la suite d’une prise d’aspirine une personne se sent mieux au bout de quelques minutes à peine, alors que le temps
nécessaire est d’environ une heure, on peut parler d’effet Placébo.

Ça marche!

Dans certains cas, les médecins peuvent recourir à un placébo lorsqu’ils pensent ne rien avoir à offrir à ses patient pour les aider. Il faut savoir que pour certaines personnes aujourd’hui, il est devenu inacceptable de ne rien faire et d’attendre tout simplement que le mal passe. Pour ce genre de patients, le placébo peut s’avérer fort utile.

Dans les faits, les pharmaciens n’ont plus de véritable pilule de sucre comme autrefois. Si un médecin prescrit un placébo, il va plutôt prescrire un médicament à très petite dose, pour éviter tout effet secondaire, ou encore un médicament qui a très peu d’effets secondaires, en espérant que cela soulagera son patient.

Des problèmes éthiques?

Il est clair que l’utilisation du placébo soulève certaines questions éthiques, puisque le médecin qui y a recours se voit forcé de mentir à son patient. Un chercheur a proposé une solution pour contourner ce problème. Il recommande aux médecins d’utiliser la formulation suivante :

«Pour le problème dont vous vous plaignez, je vais vous prescrire une pilule de sucre. Or, il a été démontré que ce genre d’intervention peut avoir un effet bénéfique.»

Croyez-le ou non, les gens qui savaient qu’ils prenaient une pilule de sucre se sentaient mieux que les autres.

 

http://fr.wiktionary.org

http://leffet.placebo.free.fr/

http://pilule.telequebec.tv

Pas besoin d’un vendredi 13


Non ce n’est pas un billet sur les superstitions car on a pas besoin de ces croyances bidons pour s’intéressé aux violence fait aux animaux .. Plusieurs ont eu connaissance du Pitbull qui a attaquer la conjointe de son maitre lors d’une chicane de couple .. il faut noter que le pitbull a été entrainer comme chien de combat… sa récompense l’euthanasie … ou du chien laisser vivant dans la benne a ordure etc ..  Est-ce tous des personnes qui ont des personnes avec des problèmes mentales ? Bien sur que non !!!
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Pas besoin d’un vendredi 13

Pas besoin d'un vendredi 13

© Courtoisie

Je trouve parfois que l’homme est un mauvais compagnon pour les animaux de compagnie.

Par Annie Ross, docteure en médecine vétérinaire – Collaboration spéciale

Vendredi 13. Superstitions. Attention! Ne passe pas sous une échelle ou ne regarde pas ce chat noir. Ça pourrait être dangereux. Tiens donc! Parlons plutôt de tous les dangers que pourraient subir nos animaux de compagnie juste en vivant avec nous, que l’on soit un vendredi 13 ou non…

Ben oui, tiens donc! Parlons juste un peu de Max, ce pauvre vieux chien plutôt magané par la vie et sûrement encore plus par la négligence de son propriétaire, qui s’est retrouvé dans les vidanges, quelque part dans le coin de Napierville, en fin de semaine dernière.

Oui, oui. Dans une benne à ordures! Enterré vivant par son propriétaire sous les déchets. Je dis vivant parce qu’il était effectivement encore vivant quand une bonne âme l’a retrouvé, puis mis entre de bonnes mains, dans un refuge pour animaux.

Mais qui donc fait souffrir ses animaux?

Comment une personne saine d’esprit peut-elle faire une chose pareille pour se débarrasser d’un animal alors qu’il existe d’autres façons plus humaines? J’aimerais croire personnellement que les mots«sain d’esprit» sont importants ici…

En effet, selon ma bonne conscience, personne d’autre qu’une personne souffrant d’un grave problème mental ne peut faire subir une telle cruauté à un être vivant, chien, chat, hamster ou humain. Mais que sais-je finalement?

Est-ce que je suis en train d’excuser tous ceux qui maltraitent leurs animaux sous prétexte qu’ils ont des problèmes d’origine psychologique ou mentale?

Voici quelques exemples pour lesquels je ne suis pas convaincue que la souffrance animale est nécessairement liée à la maladie mentale.

Le pitbull «matamore» maltraité par les humains


Que dire à propos de ce pitbull qui a gravement blessé son propriétaire et sa conjointe qui était en pleine chicane de couple du côté de Québec, au début de la semaine? Quand on sait que ce chien a d’abord été élevé par un premier maître pour devenir et être un chien de combat (même si cela est totalement illégal chez nous et, de toute façon, totalement non éthique partout dans le monde), un chien qui doit se battre s’il veut survivre, alors on peut se dire que les humains l’ont simplement modelé à devenir un monstre et à faire ce qu’il a fait avec son deuxième propriétaire et sa conjointe.

Le chien à lunettes regardant la vallée de la mort


Récemment, je suis allée faire un petit tour dans la Vallée de la mort (Death Valley), en Californie. Me voilà à Dante’s View, d’où le point de vue panoramique sur la vallée est totalement hallucinant. Et que vois-je arriver au loin? Un homme et son chien qui me paraît vraiment étrange. Quand ils approchent, je vois que le chien porte avec difficulté et inconfort de petites bottines aux quatre pattes. Bien sûr, c’est pour qu’il ne se fasse pas mal sur les roches. Jusque-là, ça va. Mais je vois aussi que le chien porte des lunettes fumées. Quoi? D’aucune utilité pour un chien, sauf pour lui nuire et le rendre ridicule, à mon avis… Je m’approche pour flatter le Pitou, qui se comporte de façon tellement rigide, la tête raide, rentrée dans les épaules… Et voilà que je le remarque: le maudit collier électrique autour de son cou. Monsieur est en train d’entraîner son chien à faire le pitre sous la menace de décharges électriques. Wow! Ce que l’homme peut être con avec ses animaux, même si on dit de lui qu’il est sain d’esprit!

Le saviez-vous?

Les agresseurs de femmes et d’enfants sont aussi des batteurs d’animaux

Juste pour enfoncer le clou encore plus… Saviez-vous que selon plusieurs sondages effectués auprès de femmes canadiennes victimes de violence familiale (et il y en a beaucoup, malheureusement), environ la moitié d’entre elles ont mentionné que leur animal de compagnie avait été menacé, maltraité, blessé ou même tué par leur agresseur. Or, quand on sait qu’au moins 60 % des foyers concernés par la violence conjugale ou familiale possèdent un ou plusieurs animaux, on comprend facilement que beaucoup d’animaux de compagnie soient abusés physiquement, surtout dans le but de manipuler émotionnellement la petite famille victime de violence

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Manger moins pour boire plus?


Si cela se fait au États-Unis, il ne faut pas être surpris que ce soit la même chose dans d’autres pays. La mentalité a vraiment changée sur la perception du corps des femmes et qui occasionnent des grands problèmes de santé
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Manger moins pour boire plus?

Manger moins pour boire plus?

© Shutterstock

Il semblerait que des jeunes, surtout des filles, sautent des repas pour couper les calories afin de pouvoir boire de l’alcool en soirée.

L’étude américaine dévoilée par le Daily Mail est des plus inquiétante. 16 % des jeunes interrogés, en majorité des filles, disaient s’adonner à cette pratique. Cette mode est de plus en plus courante chez les étudiants universitaires qui souhaitent rester minces tout en faisant la fête.

Ainsi, ce phénomène appelé drunkorexia consiste à couper les calories de la journée en sautant un repas afin de pouvoir boire durant la soirée tout en ne consommant pas de calories supplémentaires.

Ceci prouve encore une fois à quel point la pression est grande auprès des jeunes filles au sujet de leur poids et de leur image corporelle. En fait, trois fois plus de filles sont touchées par la drunkorexia.

Cette pratique expose à l’alcoolisme, mais aussi à des troubles alimentaires et d’autres problèmes de santé physique et mentale.

Le cerveau se trouvant privé d’une alimentation adéquate, les jeunes auront notamment plus de problèmes de concentration dans leurs études. Cela pourrait même causer de graves troubles cognitifs à court et long terme.

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Méchantes et menteuses Les ravages de la téléréalité sur les filles


Je vois pourquoi que je n’écoute aucune émission de téléréalité, et je crois que la génération et celle qui suivront auront encore plus de mal de vivre avec eux-même a cause de la mentalité qui semble s’installer dans leur quotidien ..
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Méchantes et menteuses  Les ravages de la téléréalité sur les filles

Méchantes et menteuses - Les ravages de la téléréalité sur les filles

©Shutterstock

Agence France-Presse

WASHINGTON – Les adolescentes fans de téléréalité sont plus enclines que leurs camarades moins passionnées par ces émissions à juger la méchanceté et le mensonge comme de bons moyens pour parvenir à leurs fins et accordent plus d’importance à leur apparence, révèle une étude américaine.

Dans cette étude réalisée par la division recherche des scouts féminines américaines auprès de 1 141 filles âgées de 11 à 17 ans, 47% d’entre elles ont déclaré regarder «régulièrement» des émissions de téléréalité.

Et ces fans de téléréalité sont 68% (contre 50% des autres) à considérer qu’il est «dans la nature des filles» d’être méchantes et en compétition les unes avec les autres.

Elles sont également 78% (contre 54%) à considérer que la commérage est normal dans une relation entre filles, et déclarent à 63% (contre 50%) avoir du mal à avoir confiance dans les autres adolescentes.

Enfin, 72% d’entre elles disent passer beaucoup de temps à soigner leur apparence, contre 42% de celles qui ne regardent pas fréquemment des émissions de téléréalité.

De manière générale, selon l’étude, les adolescentes fans de téléréalité ont plus souvent tendance à «mettre l’accent sur la méchanceté et le mensonge pour parvenir à (leurs) fins», souligne un communiqué.

En effet, 37% d’entre elles (contre 24%) considèrent qu’il faut mentir pour obtenir ce que l’on veut, 37% (contre 25%) estiment qu’être méchant permet d’être plus respecté qu’être gentil et 28% (contre 18%) qu’il faut être méchant pour arriver à ses fins.

Pour autant, ces jeunes filles, selon l’étude, se considèrent matures, intelligentes, amusantes et ouvertes.

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