Les oies sauvages seront gazées


Avec toute notre belle technologique, pour éviter les collisions et retards des avions la seule solution est de gazer des oies Je peux comprendre cette nécessité mais pas la méthodes … Ils ne semblent pas avoir trouver un moyen pour les éloignés ..
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Les oies sauvages seront gazées

 

Pays-Bas - Les oies sauvages seront gazées

 

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Les oies sauvages vont être gazées à partir de mai autour de l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol pour lutter contre leur prolifération, dangereuse pour le trafic aérien, a-t-on appris lundi auprès du ministère néerlandais de l’Infrastructure et de l’Environnement.

 

«Pour réduire la population d’oies autour de l’aéroport, une des nouvelles mesures qui sera mise en place sera le gazage des oies à l’aide d’un certain type de CO2», a déclaré à l’AFP Karin van Rooijen, une porte-parole du ministère.

Un «pacte» a été signé par le gouvernement, les autorités provinciales, des agriculteurs et des organisations de défense de l’environnement prévoyant une série de mesures pour lutter contre la prolifération de ces oiseaux.

50 000 oies

 

Quelque 50 000 oies vivent à proximité de l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol, soit 14 fois plus qu’en 2005, a précisé la porte-parole, selon laquelle les Pays-Bas sont un «endroit particulièrement attrayant pour les oies, avec beaucoup d’eau partout».

Le nombre de collisions avec des avions ne cesse d’augmenter, a assuré Mme Van Rooijen, ces derniers devant alors atterrir d’urgence ou interrompre leur décollage.

Aucun objectif chiffré n’est prévu par l’accord qui prévoit la poursuite de la chasse des oies et la destruction d’oeufs dans un rayon de 10 kilomètres autour de l’aéroport.

Les agriculteurs se sont par ailleurs engagés à labourer leurs champs aussitôt après la récolte pour enfouir dans le sol les graines pouvant servir de nourriture aux oies.

Des radars seront également utilisés pour détecter la présence d’oiseaux «présentant un risque» au moment du décollage et de l’atterrissage, a précisé Mme Van Rooijen.

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Chauve-souris en voie de disparition au Canada


Les chauves-souris sont en danger, ils sont de plus en plus rare et leur perte sera d’autant plus grande car ces bestioles nous rendent de grands services a notre insu .. Car ils se nourrissent d’insectes en énormes quantités. Leur disparitions aura un impacts directe sur l’agriculture et les forêts
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Chauve-souris en voie de disparition au Canada

 

Chauve-souris en voie de disparition au Canada

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Trois espèces de chauve-souris sont «en voie de disparition», selon une étude menée en février par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada.

 

Un dénombrement dans un gîte d’hibernation au Québec a démontré que la population de pipistrelles de l’Est, une espèce de chauve-souris relativement rare, a connu une diminution de 94% en deux ans.

Des données recueillies dans des gîtes d’hibernation au Canada ont également indiqué que les populations de chauves-souris brunes, la plus commune au Québec, et de chauves-souris nordiques ont enregistré une baisse de plus de 90% en deux ans.

Le syndrome du museau blanc, causé par un champignon pathogène, serait à l’origine de ce déclin.

Ce champignon a été découvert pour la première fois dans l’État de New York, en février 2006. Il se propage à une vitesse de 200 à 400 km par année. Sa présence est maintenant confirmée en Ontario, au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse.

Le syndrome du museau blanc, qui tire son nom de la prolifération de champignons blancs autour du museau et sur les ailes des chauves-souris infectées, interrompt l’hibernation des chauves-souris. Elles sortent avant la fin de l’hiver, épuisent rapidement leurs réserves de graisse et finissent par mourir de déshydratation ou de faim.

Un lien a déjà été établi entre ce syndrome et la mort de plus de 5,7 millions de chauves-souris en Amérique du Nord.

Des chercheurs américains estiment que la mortalité massive de chauves-souris coûtera 3,7 milliards $ chaque année au secteur de l’agriculture de l’Amérique du Nord, puisque celles-ci agissent en tant qu’agents antiparasitaires pour l’agriculture et les forêts.

Le syndrome du museau blanc n’a aucun impact connu sur la santé humaine

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Des espèces étrangères envahissent le Canada


Avec tout ces changements, des plantes, animaux, insectes, poissons … s’installent ailleurs de leur environnement habituel. Certains parmi eux peuvent sembler inoffensif mais leur habitudes, leur prolifération pourrait éliminer les espèces indigènes comme cela s’est déjà vue ailleurs
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Des espèces étrangères envahissent le Canada

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Le dendroctone du pin ponderosa est un coléoptère indigène des forêts de l’Ouest de l’Amérique du Nord

Une nouvelle étude affirme que des plantes et des animaux étrangers ont déjà commencé à envahir le Canada en raison des changements climatiques, alors que les recherches et les politiques sont à la traîne.

Un rapport publié jeudi dans le journal Environmental Reviews allègue que ni Ottawa ni les provinces ne s’attardent aux interactions entre le réchauffement de la planète et les espèces invasives dans l’optique de prévenir des dommages à l’économie.

Selon la biologiste de l’Université York, Andrea Smith, il est important de «se pencher sur les espèces qui pourraient représenter une menace en raison des changements climatiques, et de dédier plus de recherches pour découvrir où elles risquent de se retrouver».

Mme Smith a étudié et résumé ce qui est déjà connu de l’interaction entre les changements climatiques et l’arrivée d’espèces animales et végétales étrangères au Canada.

Elle a découvert que peu a été écrit sur la question, même si plusieurs études ont conclu que le réchauffement de la planète et d’autres facteurs, dont les échanges mondiaux grandissants, augmenteront le risque «d’invasion biologique».

Certaines invasions causées par les changements climatiques causent déjà des problèmes, dont la prolifération du dendroctone du pin ponderosa qui ravagent des hectares de forêt en Colombie-Britannique et de la tique qui transporte la maladie de Lyme. L’achigan à petite bouche, la spongieuse et le kudzu menacent également les forêts et les lacs.

Une étude estimait qu’au moins 1500 espèces étrangères sont déjà au Canada, même si plusieurs ne se sont pas proliférées en raison des changements climatiques. Le même document indiquait que les coûts impliqués par l’arrivée de seulement 16 de ses espèces oscillaient annuellement entre 13,3 et 34 milliards $ au pays.

«Parce que la menace est nouvelle et significative et que les changements climatiques doivent s’accélérer, j’ai trouvé ça d’autant plus surprenant, a indiqué Mme Smith. Même les espèces qui sont étudiées plus que les autres ne le sont pas tellement.»

L’Agence canadienne d’inspection des aliments, le ministère des Ressources naturelles et le ministère des Pêches et des Océans se divisent les réglementations fédérales à ce sujet.

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