La voiture autonome pourrait faire le tri des personnes à sauver en cas d’accident !


Utiliser l’intelligence artificielle pour faire le profil des victimes en cas d’accident, me dérange et encore plus si les accidents sont avec des voitures autonomes. On enlève le côté humain pour décider qui peut mourir et qui peut vivre …
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La voiture autonome pourrait faire le tri des personnes à sauver en cas d’accident !

 

accident voiture

Crédits : PxHere

par Yohan Demeure

Une enquête menée par des scientifiques américains a permis d’affirmer que de nombreuses personnes étaient favorables au fait que l’intelligence artificielle puisse choisir qui devrait mourir et survivre en cas d’accident, et ce en fonction du profil des victimes !

L’enquête réalisée par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) – publiée dans la revue Nature le 24 octobre 2018 – a été menée auprès de deux millions de personnes à travers le monde (dans plus de 200 pays). Il s’agissait de connaître leur sentiment vis à vis des accidents impliquant des voitures autonomes.

Selon les résultats de cette enquête, la majorité des personnes sondées se sont montrées favorables à ce qu’une sorte d’échelle de priorité soit mise en place et respectée par l’IA dans le cas d’accidents. Il est ici question du type de profil des victimes. Par exemple, les sondés ont indiqué préférer que l’IA choisisse – s’il est impossible de faire autrement bien sûr – de sauver un·e jeune en bonne santé plutôt qu’une personne âgée ou malade. Citons un autre cas de figure : un groupe de 7 personnes devrait être sauvé au détriment d’un groupe plus restreint.

Il s’agit d’une vision plutôt déroutante, mais il faut savoir que les personnes interrogées ont été soumises à des dilemmes comme le dilemme du tramway, décrit pour la première fois en 1985 (voir schéma ci-après). Ce dernier consiste à se poser la question de savoir s’il est moral qu’une personne puisse effectuer un geste bénéficiant à un groupe de personnes, mais nuisant en conséquence à une personne hors de ce groupe.

dilemme du tramway

Crédits : Wikipedia

L’enquête du MIT montre une certaine tendance, ponctuée de quelques différences suivant les régions du globe. Par exemple, le sacrifice des anciens est bien moins plébiscité dans les pays asiatiques. De manière générale, ce genre d’enquête pourrait influencer les choix des fabricants de voitures autonomes, ainsi que la législation qui sera élaborée pour réguler ce domaine.

Sources : MIT Technology ReviewVentureBeatSiècle Digital

https://sciencepost.fr

Sur les réseaux sociaux, combien valent vraiment vos données personnelles ?


Je trouve cela un peu compliqué, mais nos données personnelles sur Facebook pour des revenus publicitaires, c’est payant pour eux. Même si on ne clique par sur ces publicités, Facebook rapporte quand même un certain revenu
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Sur les réseaux sociaux, combien valent vraiment vos données personnelles ?

 

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Données personnelles

Sur Internet, comme le dit l’adage : si c’est gratuit, c’est vous le produit.

SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

Par Sarah Sermondadaz

Une extension pour navigateur développée par des chercheurs de l’université de Madrid vous permet de connaître en temps réel les revenus publicitaires générés par votre profil Facebook.

MONÉTISATION. Dans le monde des big data, combien valent vraiment vos données personnelles sur Facebook ? Les recettes publicitaires du réseau social ne cessent de croître de façon exponentielle : 17 milliards de dollars pour 2015, contre 764 millions en 2009. Et combien d’euros gagnés grâce à votre propre activité ? Pour l’usager, il est souvent délicat de répondre à cette question, tant l’opacité sur les algorithmes utilisés par les plate-formes (dont réseaux sociaux) est grande. Mais une extension gratuite pour le navigateur Chrome (bientôt disponible aussi pour Opera et Firefox) développée par des chercheurs de l’Université de Madrid permet d’estimer en temps réel la valeur économique dégagée par votre profil au fur et à mesure du temps passé sur le site de Mark Zuckerberg… un travail de recherche qui interroge d’ailleurs la valeur commerciale globale de nos données et les modes de régulation possibles.

Même sans cliquer sur les pubs, un internaute rapporte

L’outil madrilène, baptisé FDVT (pour Facebook Data Valuation Tools), permet de quantifier l’évolution de la valeur publicitaire d’un profil en fonction du temps passé sur le réseau social. Il s’appuie sur le projet TYPES, financé par l’Europe dans le cadre de l’initiative Horizon 2020, qui se préoccupe de la transparence de la publicité en ligne dans l’économie numérique.

« Chacun a une valeur différente sur le marché selon son profil, de sorte que l’outil ne fournit qu’une estimation des profits », expliquent Ángel et Rubén Cuevas, professeurs à l’Université Charles III de Madrid et créateurs de l’extension.

« Lorsque vous vous connectez à Facebook et recevez une publicité, nous déterminons la valeur qui lui est associée, le prix que ces annonceurs paient pour afficher ces publicités et chacun de vos clics sur une de ces publicités. »

Les deux chercheurs ont notamment constaté que le coût d’un utilisateur américain est à peu près deux fois supérieur à celui d’un utilisateur espagnol. Et ce n’est pas tout : ils ont également mis en évidence que même sans jamais cliquer sur un lien sponsorisé, Facebook générait néanmoins de la valeur à partir de votre profil.

Capture d’écran de l’extension : après quelques minutes seulement d’activité et sans cliquer sur aucune pub, l’auteur de ces lignes a déjà cédé près d’un dollar de revenu publicitaire à Facebook.

Une commodité marchande comme les autres ?

À l’heure où les données personnelles s’échangent pour une poignée de dollars (et notamment en Chine, on l’on peut acquérir les données personnelles de citoyens américains pour à peine 100 dollars), se pose la question de leur valorisation. Un rapport écrit fin 2016 par le Oxford Internet Institute s’interrogeait ainsi sur la chaîne de valeur des données personnelles (c’est à dire, l’évolution de leur valeur de leur création à leur utilisation dans l’économie numérique), et sur les types de régulation possibles, par exemple via une possible taxation de l’usage des données personnelles. Une démarche qui n’aurait rien d’évident, au vu de la nature internationale et dématérialisée des échanges de données

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Facebook : 8 profils qui veulent dire beaucoup


Parmi ces profils, on se retrouve tous probablement sur ces 8 exemples. Ce sont des comportements qui sont ensuite analysés par une psy
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Facebook : 8 profils qui veulent dire beaucoup

 

 

Par Julie Toury

 

Du pote dépressif à la jeune maman gaga, en passant par l’ado désinhibée, la psychologue Vanessa Lalo nous aide à décrypter 8 profils types d’utilisateurs de Facebook. Découvrez qui se cachent derrière vos amis.

Sur Facebook, il y a ceux qui racontent leur vie en détails et ceux qui préfèrent commenter l’actualité. Ceux qui inondent leur mur de photos et ceux qui se planquent derrière un pseudo. Ceux qui s’exposent sous leur meilleur jour et ceux qui se plaignent constamment… Mais qui se cachent vraiment derrière ces profils ? Pour le savoir, nous avons demandé à Vanessa Lalo, psychologue des médias numériques, de nous aider à décrypter la personnalité de huit utilisateurs types de Facebook. Toute ressemblance avec certains de vos amis ne serait que fortuite…

Profil Facebook n°1 : l’incognito

Il ne montre jamais son visage. Il utilise un avatar ou une photo de paysage comme image de profil. Il déteste être tagué dans les clichés de ses amis. Parfois même, il n’utilise pas son vrai nom, mais un pseudonyme. Mais s’il aime se faire discret sur Facebook, il ne l’est pas forcément dans la vie.

L’avis de la psy

« À travers ses applications, Facebook nous force à révéler un maximum d’informations personnelles. Cet utilisateur ne veut pas être un pigeon et souhaite simplement garder le contrôle sur son identité. Il ne cherche pas à se cacher, mais à se protéger ! Tout dépend aussi de l’utilisation que l’on fait de Facebook. Il est tout à fait compréhensible que certaines personnes n’aient pas envie d’être reconnues par leurs collègues dans des albums de soirées. Le risque ? À l’heure où il suffit de taper le nom d’un individu dans Google pour connaître sa vie, celui qui limite l’accès à ses infos perso devient suspect. Un éventuel recruteur penserait qu’il a quelque chose à cacher… »

PROFIL FACEBOOK N°2 : LE « 3615 MYLIFE »

Il/elle détaille son emploi du temps sur Facebook, en l’illustrant souvent de photos : « Bonjour les amis ! », « Allez, un petit café avant de partir au boulot », « le facteur vient de m’apporter un beau cadeau », « En direct de la cabine d’essayage : je prends le rose ou le vert ? ».

L’avis de la psy

« Ce comportement peut révéler plusieurs traits de caractère. Il y a les personnes qui utilisent leur page Facebook comme un outil de communication. Raconter sa journée, c’est un peu faire son personal branding, autrement dit gérer son image, rappeler à l’humanité qu’on existe et qu’on peut nous contacter… Parmi ces profils, on remarque aussi beaucoup de femmes, qui restent isolées chez elles et, peut-être, s’ennuient. En détaillant leur quotidien sur Facebook, elles peuvent se dire, à la fin de la journée : « En fait, j’ai fait plein de choses, aujourd’hui ! ». Dans tous les cas, il s’agit de personnes qui ont besoin d’attirer l’attention sur elles. »

PROFIL FACEBOOK N°3 LA JEUNE MAMAN

Tous les trentenaires en ont parmi leurs amies Facebook… Cette copine, qui vient d’accoucher, et dont les statuts ne tournent qu’autour de son bébé : « Ça y est, la première dent est sortie », « Mais quand est-ce qu’il fera ses nuits !!? ». Parfois, elle fait parler Bébé à la première personne : « Regardez comme je suis beau en père Noël ! ».

L’avis de la psy

« Certaines utilisatrices de Facebook ne postent jamais rien jusqu’au jour où elles tombent enceintes. La maternité donne à de nombreuses femmes le sentiment de devenir enfin quelqu’un : « avant je n’étais rien, maintenant je suis maman… ». Elles ont l’impression que leur vie est devenue, d’un coup, plus intéressante et la partagent donc, plus facilement. Par le biais de Facebook, elles cherchent aussi à se rassurer et recevoir le soutien d’autres mères. Elles aiment l’idée d’appartenir à un nouveau clan. »

PROFIL FACEBOOK N°4 : LE POPULAIRE

Il a 4 000 amis. Dès qu’il rencontre quelqu’un dans la vraie vie, il lui demande d’être ami sur Facebook. Il accepte toutes les propositions d’amitié, même de profils inconnus, suspects et inintéressants.

L’avis de la psy

« On peut clairement parler de personnalités narcissiques, qui veulent se prouver à elles-mêmes et aux autres, qu’elles ont de l’importance. Plus elles ont d’amis Facebook, plus elles se sentent exister. Or, ce sont peut-être ces mêmes individus qui comptent le moins de vraies amitiés en dehors de l’écran… Après, cela dépend aussi de l’usage que l’on fait de Facebook. Dans certaines branches professionnelles, il est utile de se constituer un réseau sur internet. On accepte alors n’importe quel contact pouvant s’avérer utile. »

PROFIL FACEBOOK N°5 : LE DÉPRESSIF

Il inquiète régulièrement ses amis avec des statuts dépressifs à tendance suicidaire : « Ras-le-bol de tout, je me demande ce que je fous encore sur cette terre ! », « Et voilà une nouvelle année qui commence comme la précédente : seul et bourré… »

L’avis de la psy

« Cette personne est réellement dans une mauvaise phase et cherche du soutien. Malheureusement, poster ce genre de statuts va l’écarter encore plus de ses amis. Car le principe de Facebook, c’est de véhiculer du positif ! On s’y retrouve pour partager des bonnes nouvelles, des blagues, etc. Le pote déprimé va passer pour le lourd de service, celui qui plombe l’ambiance. Petit à petit, on ne va plus s’intéresser à lui et il risque de s’isoler encore plus. Je conseille aux personnes qui ont ce genre d’amis, de les contacter en privé quand ils ne vont pas bien, et de leur expliquer qu’un message de détresse posté sur Facebook ne les aidera pas à aller mieux, au contraire. »

PROFIL FACEBOOK N°6 : LE FLAMBEUR

Il poste sans cesse des photos de lui sur des plages paradisiaques, au volant de belles voitures, entourées de jolies femmes…

L’avis de la psy

« On se sert généralement de Facebook pour donner une image positive de soi. Mis à part l’ami dépressif (voir précédemment), on ne parle pas de nos problèmes, mais plutôt de ce qui nous arrive de génial ! Quand cet étalage de bonheur devient excessif, on se demande si ce n’est pas pour combler une vie, au final, pas si intéressante que ça. Un tel comportement peut susciter des jalousies et devenir pénible pour ses amis. »

À ce sujet, une étude réalisée à l’université de l’Utah (États-Unis) et relayée en janvier 2012 par ABC News, avait démontré que passer du temps sur Facebook pouvait rendre triste, voire dépressif. La raison avancée par la sociologue Hui-Tzu Grace Chou ? Les images de bonheur factice balancées par nos amis sur le réseau social donnent à certains le sentiment de rater leur vie…

PROFIL FACEBOOK N°7 : LA DÉSINHIBÉE

Elle s’exclame avec plein de !!!, multiplie les voyeeelles, appelle ses copines par un tas de surnoms (« ma bibiiiiche », « ma chewiiie »), fait des ❤ et des <3<3<3, etc. Alors que dans la vraie vie, elle est plutôt introvertie.

L’avis de la psy

« On retrouve surtout ce comportement chez les adolescentes. Les réseaux sociaux permettent de jouer avec son identité, de créer un personnage virtuel… et voir ensuite comment les gens s’en saisissent. Ces personnes-là sont sans cesse en train de faire des allers-retours entre ce qu’elles sont vraiment et ce qu’elles aimeraient être. Attention au fossé entre ces images, pouvant rapidement devenir compliqué à gérer.  »

PROFIL FACEBOOK N°8 : L’INTELLO

Il/elle utilise Facebook uniquement pour partager des articles de presse, commenter des faits de société, etc. En revanche, il/elle ne partage rien de sa vie intime.

L’avis de la psy

« Il s’agit de personnalités élitistes qui ont pour intention de « relever le niveau » des réseaux sociaux et d’Internet en général. En remplissant leur mur Facebook de culture, elles tentent d’aiguiller leurs contacts vers des lectures plus intellectuelles comme si, grâce à eux, ils allaient se coucher moins bêtes… »

 

http://www.reponseatout.com/

Les prédateurs sexuels devront annoncer leur statut criminel sur Facebook


Facebook veut faciliter l’admission des enfants sur son réseau alors que des pédophiles polluent autant Facebook que des réseaux destinées aux enfants .. Cette nouvelle loi américaine sera t’elle assez forte pour dissuader les pédophiles et prédateurs sexuels . ??? Vont t’il vraiment mettre tout les renseignement obligatoire sur le profil .. ?? J’en doute
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En Louisiane

Les prédateurs sexuels devront annoncer leur statut criminel sur Facebook

 

En Louisiane - Les prédateurs sexuels devront annoncer leur statut criminel sur Facebook

Agence QMI

 

L’État de la Louisiane, aux États-Unis, a adopté une nouvelle loi qui force les prédateurs sexuels et les pédophiles à divulguer leur statut criminel sur Facebook et sur tout autre réseau social.



Il s’agit d’une des premières lois du genre à être adoptée aux États-Unis, a rapporté CNN. Selon cette nouvelle loi, les prédateurs sexuels devront, entre autres, mentionner le crime pour lequel ils ont été condamnés et sous quelle juridiction. Ils devront également fournir une description de leur physique et leur adresse domiciliaire sur leur profil personnel.

Lorsque l’on examine la «Déclaration des droits et responsabilités» de Facebook, on remarque que le réseau social ne donne déjà pas la possibilité aux prédateurs sexuels de se créer un profil. Toutefois, selon Jeff Thompson, un représentant républicain de l’État de Louisiane, en entrevue à CNN :

«cette loi a été mise sur pied pour intercepter tous les prédateurs qui pourraient s’être glissés à travers les mailles du filet».

Selon CNN, ceux qui violeront cette nouvelle loi feront face à une peine d’emprisonnement de deux à dix ans, avec travaux forcés, sans possibilité de libération conditionnelle. Cette peine sera aussi assortie d’une amende pouvant aller jusqu’à 1000 dollars. Une seconde offense mènera à une peine d’emprisonnement pour une période de cinq à vingt ans, toujours avec des travaux forcés, sans possibilité de libération conditionnelle, et d’une amende pouvant aller jusqu’à 3000 dollars.

La loi entrera en vigueur le 1er août prochain. Quasiment au même moment où Facebook pense à modifier ses règlements pour permettre la création d’un profil aux enfants de 13 et moins sous la supervision de leurs parents.

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Facebook offrira le profil Timeline à tous ses utilisateurs


Beaucoup des utilisateurs de Facebook ont fait le saut de Timeline si on veut le journal de bord, certains n’ont pas aimé et aimerais revenir en arrière, mais il sera impossible car des les jours avenir les changements se feront pour tout le monde .. et 7 jours pour faire certains changements de votre journal quand il sera en ligne
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Facebook offrira le profil Timeline à tous ses utilisateurs

Fonctionnalité - Facebook offrira le profil Timeline à tous ses utilisateurs

© Shutterstock

MONTRÉAL – Les utilisateurs du média social Facebook vont avoir accès à une nouvelle fonctionnalité au cours des prochaines semaines, a annoncé mardi dans un blogue l’ingénieur de Facebook Paul McDonald.

«L’année dernière, nous avons introduit Timeline, un nouveau type de profil qui vous permet de mettre en évidence les photos, les messages et les événements de la vie qui vous aident à raconter votre histoire, écrit-il. Au cours des prochaines semaines, tout le monde recevra ce profil.»

La fonction ajoute une chronologie littérale aux profils de Facebook, qui montre l’activité d’une personne sur le site de réseautage social au fil du temps, à partir du jour de son adhésion.

Une fois qu’un utilisateur obtient le profil Timeline, il a sept jours pour prévisualiser ce qu’il montre ce qui, selon Facebook, donne aux gens «une chance d’ajouter ou de cacher ce que vous voulez, avant que tout le monde le voie.»

La semaine dernière, Facebook a annoncé une série de nouvelles applications disponibles pour le profil Timeline, notamment pour TripAdvisor, Ticketmaster, Pinterest, Kobo et Rotten Tomatoes. Les gens peuvent s’attendre au lancement de plus d’applications à l’avenir, a fait savoir Facebook.

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Un «livre blanc» dresse la liste des arnaques sur Facebook


Plus Facebook s’améliore plus il ouvre la porte aux arnaques, plus nous cliquons sur n’importe quoi, plus nous risquons de rencontrer un spam … Il est donc essentiel de rester prudent, de ne pas tout dévoilée sur internet que ce soit sur Facebook ou autre
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Un «livre blanc» dresse la liste des arnaques sur Facebook

 

© LAURENT GUIRAUD | Les piratages de profils se multiplient sur Facebook, selon Bitdefender.

 

Luca Sabbatini

RÉSEAUX | Réseaux sociaux Les escroqueries sur le site de socialisation sont essentiellement virales, conclut l’étude de Bitdefender.

 

Parmi le milliard de connexions enregistrées tous les jours sur Facebook, 600 000 seraient le fait d’escrocs qui pourrissent notre vie sociale en ligne. Dans un «livre blanc», l’éditeur d’antivirus Bitdefender détaille les arnaques les plus courantes et s’inquiète de leur caractère puissamment viral. Morceaux choisis.

1. Applications bidon
Sur votre «mur» Facebook, un ami vous suggère une application à l’intitulé alléchant: «Découvre qui a consulté ton profil». Celle-ci demande l’autorisation d’accéder à vos données. L’accepter signifie polluer les profils de tous vos amis, qui recevront la même invitation, et s’exposer à des conséquences à la hauteur des informations partagées: spam massif sur votre adresse de courriel ou escroquerie au SMS sur votre mobile. Bien sûr, la victime de ce piège viral ne découvre jamais «qui a consulté son profil». D’après Bitdefender, cela n’a pas empêché l’application de recevoir plus de 1,4 million de clics depuis janvier 2011. Il en existe des dizaines de variantes tout aussi bidon.

2. «Likejacking»/«Tagjacking»
Vous recevez une vidéo qui promet d’être salace. Vous cliquez pour voir. En réalité, le bouton «play» de la vidéo est trafiqué et contient également un bouton «like». Sur votre «mur» apparaît alors l’indication que vous avez aimé cette vidéo, incitant vos amis à la visionner à leur tour. Une nuisance virale qu’on appelle du «détournement de like» ou «likejacking». Le «tagjacking», lui, ajoute à votre profil une photo, forcément scabreuse, sur laquelle est tagué le nom de vos amis.

3. Faux profils et vrai piratage
Un de vos amis sur Facebook se dit en difficulté dans un pays exotique et vous quémande de l’argent. En réalité, son compte a été piraté. Avant de lui envoyer des sous, posez-lui des questions personnelles ou demandez de ses nouvelles à des amis communs. Autre variante: une jolie fille inconnue souhaite devenir votre amie. Vous acceptez et aussitôt vos vrais amis se retrouvent inondés de spam. Ça vous apprendra à ouvrir la porte de votre profil Facebook à n’importe qui…

4. Nouveaux pièges
Enfin, Bitdefender souligne à quel point les nouveautés introduites par Facebook en septembre se révèlent pernicieuses. En particulier, les «listes automatiques d’amis», qui poussent les utilisateurs «à partager plus d’informations», donnent aussi de «nouvelles munitions pour des attaques ciblées» et redoutablement virales.

Quant à la «Timeline», qui rassemble sur une seule page tout l’historique d’un utilisateur, elle facilite d’autant le travail des cyberescrocs. Bitdefender suggère d’adopter des précautions simples, dont celle-ci, pleine de bon sens: «Sélectionnez avec discernement quelles informations vous publiez.» Et surtout réfléchissez avant de cliquer sur un lien.
«Les amis, les ennemis et Facebook: la nouvelle lutte contre les escrocs» A consulter en pdf sur
www.bitdefender.fr

http://www.tdg.ch