Parole d’enfant ► Mannequin


Mlle pense déjà à son avenir … Elle n’a pas gagnée, mais ils l’ont rappeler car ils veulent la revoir. Même si elle aime les princesses, je suis certaine qu’elle choisira une belle profession surtout avec l’exemple de sa mère. A noter que ce n’est pas des mannequins du genre hypersexualité 
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Mannequin

 

Maman raconte :

Ana, viens de se faire demander de participer à un concours de mannequin
– Maman, je savais bien que c’était une journée chanceuse
Elle réfléchit
– Je dois voir si je veut être une princesse

Ana-Jézabelle, 5 ans / 28 Janvier 2017

Parole d’enfant : Mode de communication


À cet âge, les flatulences sont plus drôles que gênantes !!! Et Mlle imagine une explication très féérique
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Mode de communication

 

Maman raconte:

Jézabelle a pété et elle  dit :

– Maman, c’est génial la princesse Sophia communique avec les animaux grâce à son amulette. Et moi, je communique grâce à mes pètes

Ana-Jézabelle, 4 ans/ 26 Février 2016

Ce que les dialogues Disney nous disent sur l’image des femmes


Ceux qui connaissent les contes de Disney d’hier et d’aujourd’hui voient la différence avec les nouvelles princesses telle qu’Elsa et Ana qui ont de fortes personnalités et sont indépendantes et que dire de la princesse Mérida qui vient tout chambouler de l’image de la princesse conventionnelle. Bref, ce n’est pas la beauté, mais  l’action et leurs prouesses qui semblent être mis plus en avant et le sois belle et tais-toi
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Ce que les dialogues Disney nous disent sur l’image des femmes

 

Les princesses de Disney classiques étaient surtout mises en valeur pour leur beauté | Jenny park via Flickr CC License by Creative Commons

Les princesses de Disney classiques étaient surtout mises en valeur pour leur beauté | Jenny park via Flickr CC License by Creative Commons

Repéré par Fatma-Pia Hotait

Les nouveaux dessins animés Disney laissent peu la parole aux héroïnes mais ils sont quand même plus centrés sur leurs accomplissements.

Enfants, les princesses Disney nous ont fait rêver. Mais avez-vous déjà examiné ces dessins animés sous un angle sociologique? Deux linguistes l’ont fait, rapporte The Washington Post.

Carmen Fought et Karen Eisenhauer ont comparé entre eux les films Disney qui mettent en scène des princesses. Elles ont distingué trois périodes-clés de l’histoire du géant d’animation américain. La période classique (1937-1959), la période qu’elles appellent la Renaissance (1989-1998) et la période actuelle (2009-2013). Elles remarquent que le temps de parole des hommes dans les films est largement supérieur à celui des femmes, sauf dans la période classique, où la parité était respectée. Dans Blanche Neige (1937), la prise de parole entre les genres est de 50% pour chaque. En 1995, en revanche, les hommes dans Pocahontas monopolisaient 73% de la parole. La tendance se manifeste même dans les dessins animés les plus récents, comme La Reine des neiges (2013): malgré le fait que les deux héroïnes soient des femmes, elles ne détiennent que 46% des répliques.

Néanmoins, juger un film seulement sur la base du nombre de mots prononcés par les femmes aurait été incomplet. C’est pourquoi les linguistes ont examiné ce que disent les personnages et se sont focalisées sur les compliments qui leur sont faits. Et là, l’évolution n’est pas aussi négative. Au contraire.

Valoriser les filles pour leur intelligence

L’apparence était très importante dans les dessins animés de la période classique. La beauté des femmes faisait l’objet de 55% des compliments. Quant à leurs talents et leurs réussites, ils ne constituaient que 11% des éloges qui leur étaient faits. Lors de la Renaissance, les chercheuses observent une amélioration: 38% des compliments visent la beauté et 25% se concentrent sur les capacités et les actes des princesses.

Le vrai changement se fait à la période actuelle. Les héroïnes des nouveaux films d’animation inversent la tendance.

«Pour la première fois, les femmes sont plus propices à être mises en valeur pour leurs qualités et leurs accomplissements plutôt que pour leur apparence», écrit le journaliste du Washington Post Jeff Guo. 

Dans ces films, 40% des compliments faits aux femmes parlent de leurs talents et de leurs capacités contre 22% pour la beauté.

Les classiques mettaient en scène «la princesse isolée qui cherche quelqu’un pour l’épouser», dit Carmen Fought au Washington Post.

Les nouvelles princesses ont une personnalité forte et indépendante. La Reine des neiges et Rebelle ont été conçus, écrits et produits «par des femmes ou une équipe qui incluait des femmes», explique le Washington Post

. Dans un entretien avec le site destiné aux parents A mighty girl, Brenda Chapman, qui a écrit et coproduit Rebelle, explique les objectifs qu’elle s’était donnés lorsqu’elle a créé le personnage de la princesse Mérida:

«Mérida était conçue spécifiquement pour sortir du moule. Elle a été créée pour bouleverser l’image de la princesse Disney habituelle, pour montrer qu’elle est proche d’une vraie princesse […]. Les princesses étaient des femmes actives, tout comme leurs mères et c’est pourquoi j’ai décidé de donner une touche de modernité.»

Se concentrer sur les compétences des princesses plutôt que sur leur beauté est essentiel pour les enfants. Les psychologues conseillent aux parents de ne pas les complimenter sur leur apparence, comme le souligne le site Famili.fr. Dans une interview au Daily Telegraph, la ministre des Femmes britannique affirmait que

«complimenter [les enfants] pour leur capacité à faire un puzzle […] ou pour leur curiosité à poser des questions»était plus bénéfique que de les complimenter sur leur apparence. 

http://www.slate.fr/

Disney sur Glace : Une baguette en plastique à 40 $ vraiment ?


On remarque facilement lors d’évènements sportifs, de spectacles et autres que les prix sont exagérément élevés autant la nourriture que les objets et vêtements souvenirs. Mais dans un spectacle d’enfant, c’est inadmissible qu’un truc que tu peux trouver à 2 dollars coût 40 dollars. Ils se fient probablement que les parents ne veulent pas faire de la peine et jouent sur les émotions, alors ils vont payer n’importe quel prix. C’est du vol purement et simplement sur le dos des parents
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Disney sur Glace : Une baguette en plastique à 40 $ vraiment ?

 

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Par Claudine St-Germain

C’était beau à voir aux alentours du centre Bell, le weekend dernier. Une véritable marée de fillettes (les trois quarts déguisées en princesses) a envahi les lieux pour assister à l’événement «royal» de l’année: le spectacle Disney sur glace La reine des neiges.

C’était la première fois que ma fille de 5 ans assistait à un événement de cette envergure. Arrivées de bonne heure, on contemplait les lieux, la patinoire, les éclairages, quand son attention a été attirée par des machins lumineux qui brillaient partout dans les gradins. C’était multicolore, ça clignotait sur tous les rythmes, c’était… Des baguettes magiques en forme de flocons!

«Maman, maman, j’en veux une moi aussi! Et regarde, il y a des monsieurs qui en vendent en bas!»

J’ai fait une brève estimation dans ma tête. Ce genre de truc se vendrait autour de 2,50$ chez Dollarama, donc au centre Bell, quoi, 15$? Trop cher, on s’entend, mais c’est tellement le genre de truc qui rend ma fille folle de joie… Mais je suis restée prudente:

«On va aller voir combien ça coûte.»

On est remontées jusqu’au comptoir de marchandises le plus proche… Où j’ai manqué faire une crise cardiaque devant l’étalage. La super baguette magique en plastique coûtait… 40$. Le prix d’un billet au spectacle! Le double de notre dîner pour deux au restaurant!

J’ai annoncé à ma fille que j’étais vraiment désolée, mais que la baguette était beaucoup trop chère. Amère déception dans son visage. Peut-être y avait-il un autre bidule lumineux plus modeste qui pourrait faire l’affaire? Non. Parmi la panoplie de produits pour célébrer la Reine des neiges, rien en bas de 35$.

Le début du spectacle a consolé ma fille. On s’est exclamées à l’arrivée de Anna et Elsa, on a chanté en choeur, on a applaudit les (maigres) effets spéciaux. Puis est arrivée l’entracte. Derrière nous, des enfants mangeaient de la barbe à papa.

«Et ça maman, est-ce que je pourrais en avoir?»

On est remontées en haut. Combien coûtait le sac de barbe à papa (essentiellement, du sucre avec du colorant alimentaire)? 20$. Un cône de glace avec un brin de sirop dessus? 15$.

Là, j’ai pogné les nerfs intérieurement. J’ai expliqué à ma fille que ce n’était pas correct de la part de ceux qui produisaient le spectacle de vendre des choses à des prix aussi exagérés. Que ça faisait en sorte que des enfants comme elle ne pourraient pas en avoir et auraient de la peine ou seraient fâchés (une fillette faisait justement une crise du bacon à côté de nous…). Que ça me faisait plaisir de lui acheter des trucs de temps en temps, mais pas dans des endroits comme ça.

À ma grande fierté, elle a compris ce que je lui disais. Elle avait un peu le coeur gros (faut connaître son amour des bidules lumineux pour comprendre à quel point…), mais elle n’a pas protesté en retournant à son siège les mains vides. On s’est concentrées sur la fin du spectacle et somme toute, on s’est bien amusées.

Ce qui me chicote depuis, c’est que les fameuses baguettes magiques à 40$, il a bien dû s’en vendre des centaines, voire des milliers au cours des 15 représentations montréalaises du spectacle, parce que ça flashait dans tous les coins du centre Bell.

Pourquoi tant de parents ont-ils accepté de payer ce prix clairement exagéré? Peut-être ont-ils senti cette pression de rendre le moment absolument parfait pour leur fille (je l’avoue, ça m’a moi aussi traversé l’esprit une fraction de seconde). Peut-être ont-ils baissé les bras devant des cris de «C’est pas juste!». Ce qui serait compréhensible aussi: expliquer à une enfant de 4 ans que toutes les autres ont cette baguette extraordinaire sauf elle, ce n’est pas facile.

J’ai plus de mal à m’expliquer pourquoi certains parents sont ressortis du spectacle avec des sacs pleins de figurines, couronnes et autres machins à l’effigie d’Elsa (un bon 200$ de dépenses, à vue de nez). Assister à ce spectacle n’était-il pas une super gâterie en soi?

Reste quand même qu’exploiter l’adoration des fillettes envers La Reine des neiges pour soutirer autant d’argent à leurs parents m’apparaît toujours indécent. Non?

http://www.coupdepouce.com/

Un Américain revendique un territoire d’Afrique et fait de sa fille une princesse


On appelle souvent nos petites filles, sa princesse, mais en faire de vraies princesses … C’est un peu extrême. Si le papa réussit de faire reconnaitre ce royaume, sa fille sera une princesse légalement. Ce n’est pas un peu trop ?
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Un Américain revendique un territoire d’Afrique et fait de sa fille une princesse

 

Un Américain revendique un territoire d'Afrique et fait de sa fille une princesse Comme de nombreuses petites filles, Emily rêve depuis toujours d’être une princesse. C’est désormais chose faite puisque son papa lui offre le Bir Tawil, un territoire non-revendiqué situé au sud de l’Egypte.

Jeremiah Heaton, un papa américain a traversé l’Atlantique pour honorer sa promesse : faire de sa fille Emily une vraie princesse.

« Aujourd’hui, avec le soutien du gouvernement égyptien, j’ai voyagé 14 heures dans le désert pour atteindre Bir Tawil. Une fois arrivé, j’y ai planté un drapeau confectionné par mes enfants. » explique Jeremiah sur sa page Facebook.

 Il n’en faut pas plus à l’État du Nord-Soudan pour voir le jour, le 16 juin dernier. Le Bir Tawil, ce petit territoire de 2060 km² situé entre l’Égypte et le Soudan, était le dernier morceau de terre n’ayant jamais été revendiqué par la moindre nation. Aujourd’hui, il a peut-être trouvé preneur !

Jeremiah Heaton s’est autoproclamé chef d’état du territoire, faisant de sa fille de 7 ans la Princesse Emily. Ce papa qui tient ses promesses a encore besoin du soutien de l’Union Africaine pour que son royaume soit reconnu officiellement. Par la suite, la famille projetterai de créer un complexe agricole sur ce nouveau Royaume du Nord-Soudan.

Jeremiah et Princesse Emily devant le drapeau de leur Royaume.

http://www.linternaute.com