Donald Trump : pétition de 60 000 signatures de « professionnels de la santé » le considérant inapte


Donner un diagnostique psychiatrique à Donald Trump sans avoir été évalué personnellement par les signataires est peut-être interdit, sauf que même en temps profane en psychiatrie, il semble car, que ce président à un sérieux problème de santé mentale
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Donald Trump : pétition de 60 000 signatures de « professionnels de la santé » le considérant inapte

 

Un groupe fondé par John Gartner, professeur de psychiatrie à l’Université Johns Hopkins, appelé « Duty to Warn » Devoir d’avertir »), a recueilli plus de 60 000 signatures dans une pétition sur Change.orgdemandant que le président américain Donald Trump soit démis de sa fonction en raison de « maladie mentale grave » le rendant psychologiquement inapte.

Selon Gartner, rapporte The Washington Diplomat, Trump souffrirait de narcissisme qui, selon sa définition, serait caractérisé par le trouble de personnalité narcissique, la paranoïa, le trouble de personnalité antisociale et le sadisme.

En février 2017, dans une lettre au New York Times, le psychiatre Allen Frances, qui a dirigé la 4e édition du DSM, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux de l’American Psychiatric Association (APA), expliquait que la plupart des « diagnosticiens amateurs » identifient à tort un trouble de la personnalité narcissique chez le président. Le narcissisme, dont il « ne manque pas de faire preuve », est à distinguer du trouble de la personnalité narcissique.

En août 2016, en réponse, à la prolifération d’avis diagnostiques circulant dans les médias, la présidente de l’APA, Maria A. Oquendo, a rappelé à ses membres la « règle Goldwater » qui leur interdit d’émettre des opinions diagnostiques sur des personnalités publiques qu’ils n’ont pas évaluées personnellement.

http://www.psychomedia.qc.ca

Le «New York Times» a recensé tous les mensonges de Trump (et ils sont nombreux)


Quand on clique sur le lien du New York Times, c’est effrayant de voir comme Donald Trump semble mentir comme il respire. On sait bien que tous les politiciens ont plusieurs mensonges dans leur placard, mais sûrement pas autant que ce Président en tout cas, pas aussi ouvertement
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Le «New York Times» a recensé tous les mensonges de Trump (et ils sont nombreux)

 

DONALD TRUMP

Cette compilation fait froid dans le dos. Deux journalistes américains du New York Times ont recensé tous les mensonges de Donald Trump depuis son investiture le 21 janvier. Et ils sont nombreux.

Une centaine au total, regroupés dans un article très graphique publié ce vendredi 23 juin sur le site du quotidien et intitulé « Trump’s Lies » (« Les mensonges de Trump »).

Ces mensonges présidentiels ont commencé dès le lendemain de l’investiture, avant de s’égrener à un rythme presque quotidien jusqu’au 21 juin (pour l’instant…) et parfois plusieurs fois par jour.

Parmi les mensonges, on note le tout premier: « Je ne voulais pas aller en Irak » (alors qu’il était pour une invasion avant de se prononcer contre); ou celui du 18 février quand il avait inventé un attentat en Suède.

the new york times

http://quebec.huffingtonpost.ca

Trump destitué? Les preneurs de paris y croient plus que jamais


Ça serait trop beau pour être vrai, mais je doute que la destitution de Donald Trump soit possible, il ne reste qu’à espérer que les Américains ne lui donneront pas un deuxième mandat dans 4 ans
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Trump destitué? Les preneurs de paris y croient plus que jamais

 

Donald Trump dans la roseraie de la Maison-Blanche.... (PHOTO AP)

Donald Trump dans la roseraie de la Maison-Blanche.

Agence France-Presse
Washington

L’éviction surprise du patron du FBI James Comey n’a pas simplement soulevé une onde de choc à Washington: elle a également provoqué une flambée des paris sur une éventuelle destitution de Donald Trump, ont indiqué des preneurs de paris.

La probabilité de voir le président américain visé par une procédure parlementaire d’«impeachment» avait quasiment doublé mercredi, passant de 33% à 60%, a affirmé Lewis Davey, porte-parole de la société irlandaise de paris en ligne Paddy Power.

«On n’avait jamais atteint une telle probabilité d’un «impeachment» de Trump dans son premier mandat», a-t-il commenté.

Donald Trump faisait face à une pluie de critiques après avoir limogé James Comey, qui supervisait notamment l’enquête sur une possible collusion entre son équipe de campagne et les autorités russes.

Cette éviction a réveillé le souvenir de la décision prise en 1973 par le président Richard Nixon de révoquer le procureur spécial en charge de l’enquête sur le scandale du Watergate. Un an plus tard, M. Nixon avait démissionné face à la certitude d’être destitué par le Congrès.

Le parallèle n’a pas échappé à certains parieurs. L’un d’eux était ainsi prêt à miser 129 000 dollars sur une démission forcée de M. Trump cette année même si son pari n’a pas trouvé preneur, a indiqué Naomi Totten, du site britannique Betfair.

Dans les heures ayant suivi le limogeage de M. Comey, la probabilité d’un départ du président américain dans l’année est par ailleurs passée de 10% à 25%, a-t-elle ajouté.

Rien ne dit toutefois que l’emballement des parieurs ait des bases solides.

Les paris en ligne étant très rarement autorisés aux États-Unis, ces probabilités ne reflètent que très vaguement les opinions américaines.

Le fait que les républicains soient aux manettes des deux chambres du Congrès rend par ailleurs peu probable une procédure de destitution du président qui appartient à ce parti.

http://www.lapresse.ca

En 33 jours, Trump a menti ou prononcé des affirmations trompeuses à 132 reprises


Donald Trump n’a pas changé sa façon de mentir depuis qu’il est Président des États-Unis On sait tous que les politiciens mentent mais aussi ouvertement, une vraie bouffonnerie . Comment les Américains peuvent tolérer autant de mensonges aussi grotesques. Et il accuse les autres de mentir
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En 33 jours, Trump a menti ou prononcé des affirmations trompeuses à 132 reprises

Donald Trump à Washington, le 21 février 2017. SAUL LOEB / AFP

Donald Trump à Washington, le 21 février 2017. SAUL LOEB / AFP

 

Repéré par Grégor Brandy

Repéré sur The Washington Post

Le président américain continue de prendre quelques largesses avec la vérité depuis le début de son mandat.

Donald Trump avait déjà pris ses aises avec la vérité pendant la campagne électorale. Et au vu de son premier mois du côté de la Maison-Blanche, le 45e président américain semble ne pas avoir pris de résolutions pour changer quoi que ce soit.

Le Washington Post a donc décidé de suivre les déclarations du président pendant ses cent premiers jours. Après 33 jours, le site internet vient de publier une infographie, sorte de premier bilan, et compte 132 mensonges ou affirmations trompeuses, soit une jolie moyenne de quatre par jour. Le président américain a menti au moins une fois, tous les jours depuis son investiture, le 20 janvier dernier.

Le tout est répertorié dans plusieurs graphiques qui «rassemblent dans un seul endroit ses déclarations suspectes pendant ses cent premiers jours en tant que président».

On trouve également la liste complète de ces mensonges, et leur correction par ordre antéchronologique. Ceci ne prend cependant pas en compte les différents mensonges propagés par le porte-parole de la Maison-Blanche Sean Spicer, ou les conseillers du président, comme Kellyanne Conway.

Donald Trump avait commencé fort dès le 20 janvier, relate le quotidien américain. Le jour son investiture, le nouveau président avait menti à neuf reprises sur des sujets aussi variés que l’élection, l’emploi ou encore la politique étrangère.

Plus largement, souligne le Washington Post, «le thème le plus fréquent dans ces déclarations mensongères est l’immigration, qui est revenue à 24 reprises», devant son propre passé (à 17 reprises), –quand il annonce qu’il était contre la guerre en Irak dès le début, ou quand il s’invente des taux de popularité, par exemple–, et l’emploi (17 reprises également).

Le Washington Post souligne qu’un tiers de ces remarques (34) proviennent de ses comptes Twitter, juste devant des remarques prononcés en marge de ses discours (31).

L’article sera mis à jour chaque vendredi jusqu’au 30 avril prochain. Et il y a de fortes chances que ce soit nécessaire.

http://www.slate.fr/

La tendresse unique de l’amitié entre Joe Biden et Barack Obama


Je ne crois pas qu’on verra de sitôt un Président des États-Unis être aussi proche des gens. Barak Obama a su montrer plusieurs facettes de sa personnalité. Beaucoup d’exemples sont donnés dans les médias, comme lui et Michelle ont servi le repas à leurs employés, et comme sur ce billet, il a démontré que l’amitié profonde entre deux hommes est possible même s’ils ont des postes de haute important pour leur pays
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La tendresse unique de l’amitié entre Joe Biden et Barack Obama

 

Avant de présenter Joe Biden avec la médaille présidentielle de la Liberté le 12 janvier, le président Obama n'a pas uniquement évoqué la carrière politique de son vice-président, il a aussi parlé de leur amitié de façon lyrique. «Connaître Joe Biden, c'est connaître l'amour sans faux-semblant, le dévouement sans vanité et quelqu'un qui vit sa vie pleinement.» 

T F

Avant de présenter Joe Biden avec la médaille présidentielle de la Liberté le 12 janvier, le président Obama n’a pas uniquement évoqué la carrière politique de son vice-président, il a aussi parlé de leur amitié de façon lyrique.

«Connaître Joe Biden, c’est connaître l’amour sans faux-semblant, le dévouement sans vanité et quelqu’un qui vit sa vie pleinement.»

Crédit: Nicholas Kamm/AFP

Claire Levenson

«Si tu veux un ami à Washington, achète un chien».

Ce dicton souvent cité par les politiques de la capitale américaine est radicalement contredit par le lien intense qui existe entre Barack Obama et son vice-président Joe Biden. Alors qu’ils ont près de vingt ans d’écart et des personnalités différentes – Obama est calme et cérébral, Biden plus spontané et passionnel – ils ont passé les huit dernières années à afficher leur affection l’un pour l’autre de façon étonnamment directe et physique. On ne compte plus les photos des deux hommes se serrant dans les bras, se tenant la main et se souriant avec complicité. Ce genre de démonstration d’affection est rare pour deux hommes, et la tendresse qu’ils se vouent l’un pour l’autre fait passer un message fort: on peut être un homme de pouvoir et ne pas avoir peur de montrer ses émotions et sa sensibilité, on peut être au sommet de l’Etat et prendre le temps de célébrer l’importance de l’amour et de l’amitié.

Surpris de recevoir une telle récompense, Biden a tourné le dos au public pendant quelques secondes pour masquer ses larmes, avant de se retourner, toujours en pleurs, pour accepter la médaille et dire qu'il ne la méritait pas.

T F

Surpris de recevoir une telle récompense, Biden a tourné le dos au public pendant quelques secondes pour masquer ses larmes, avant de se retourner, toujours en pleurs, pour accepter la médaille et dire qu’il ne la méritait pas.

Crédit: Nicholas Kamm/AFP

Lors de son discours d'adieu à Chicago le 10 janvier 2017, le président Obama a qualifié Joe Biden de véritable «frère.» En le regardant dans les yeux, il a déclaré: «A Joe Biden, le gosse fougueux de Scranton devenu sénateur du Delaware, tu es le premier choix que j'ai fait en tant que nominé, et c'était le meilleur. Pas juste parce que tu as été un excellent vice-président, mais parce que par la même occasion, j'ai gagné un frère. Nous vous aimons, Jill et toi, comme si vous étiez notre famille, et votre amitié est une des grandes joies de notre vie.»

 

T F

Lors de son discours d’adieu à Chicago le 10 janvier 2017, le président Obama a qualifié Joe Biden de véritable «frère.» En le regardant dans les yeux, il a déclaré:

 «A Joe Biden, le gosse fougueux de Scranton devenu sénateur du Delaware, tu es le premier choix que j’ai fait en tant que nominé, et c’était le meilleur. Pas juste parce que tu as été un excellent vice-président, mais parce que par la même occasion, j’ai gagné un frère. Nous vous aimons, Jill et toi, comme si vous étiez notre famille, et votre amitié est une des grandes joies de notre vie.»

Crédit: Scott Olson/AFP.

Ces derniers hommages viennent couronner ce que les médias ont appelé la «bromance» entre Biden et Obama, cette «romance» entre «bros» (mecs) partout célébrée sur les réseaux sociaux. Le jour de la remise de la médaille présidentielle de la Liberté, Obama avait déclaré: «Cela donne à Internet une dernière occasion de parler de notre bromance.» Contrairement au cliché de l'amitié virile un peu «bourrain», la bromance, particulièrement celle entre Obama et Biden, est une amitié entre hommes qui accepte la tendresse et l'expressivité.

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Ces derniers hommages viennent couronner ce que les médias ont appelé la «bromance» entre Biden et Obama, cette «romance» entre «bros» (mecs) partout célébrée sur les réseaux sociaux. Le jour de la remise de la médaille présidentielle de la Liberté, Obama avait déclaré:

«Cela donne à Internet une dernière occasion de parler de notre bromance.» 

Contrairement au cliché de l’amitié virile un peu «bourrain», la bromance, particulièrement celle entre Obama et Biden, est une amitié entre hommes qui accepte la tendresse et l’expressivité.

Crédit: Brendan Smialowski/AFP.

Pour le 55e anniversaire du président en août 2016, Biden avait tweeté une photo de deux bracelets d'amitié avec les noms Barack et Joe et le message: «Tu es un frère pour moi. Mon meilleur ami pour toujours.»

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Pour le 55e anniversaire du président en août 2016, Biden avait tweeté une photo de deux bracelets d’amitié avec les noms Barack et Joe et le message:

«Tu es un frère pour moi. Mon meilleur ami pour toujours.»

Crédit: Jewel Samad/AFP.

En mai 2015, un des fils de Joe Biden, Beau, est décédé d'une tumeur au cerveau, et c'est Barack Obama qui a prononcé son éloge funèbre. «Nous sommes ici pour pleurer avec vous, mais surtout, nous sommes ici parce que nous vous aimons», avait dit le président. 

 

T F

En mai 2015, un des fils de Joe Biden, Beau, est décédé d’une tumeur au cerveau, et c’est Barack Obama qui a prononcé son éloge funèbre.

«Nous sommes ici pour pleurer avec vous, mais surtout, nous sommes ici parce que nous vous aimons», avait dit le président. 

Crédit: Yuri Gripas/AFP.

Leur lien est unique dans l'histoire des Etats-Unis: «Nous n'avons jamais eu, entre un président et un vice-président, ces dernières années, de relation avec une amitié et une familiarité aussi grande» a expliqué au Washington Post Douglas Brinkley, professeur d'histoire à la Rice University. 

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Leur lien est unique dans l’histoire des Etats-Unis:

«Nous n’avons jamais eu, entre un président et un vice-président, ces dernières années, de relation avec une amitié et une familiarité aussi grande» a expliqué au Washington Post Douglas Brinkley, professeur d’histoire à la Rice University.

Crédit: Saul Loeb/AFP.

Au-delà de la politique, ce qui restera de la présidence Obama, c'est aussi cette capacité inhabituelle du président à publiquement exprimer son amour pour ses proches de façon si poignante, que ce soit pour Joe Biden, ou sa femme Michelle, et ses filles Sasha et Malia.

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Au-delà de la politique, ce qui restera de la présidence Obama, c’est aussi cette capacité inhabituelle du président à publiquement exprimer son amour pour ses proches de façon si poignante, que ce soit pour Joe Biden, ou sa femme Michelle, et ses filles Sasha et Malia.

Crédit: Saul Loeb/AFP.

http://www.slate.fr/

Un chat candidat aux élections présidentielles américaines !


En 2016, les Américains vont choisir un autre président pour les représenter. Les électeurs auront un choix difficile surtout avec le nouveau candidat sur le côté des démocrates Une de ses promesses est la légalisation de l’herbe à chat !!!!
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Un chat candidat aux élections présidentielles américaines !

 

Limberbutt McCubbins, c’est le nom d’un chat presque comme les autres, à une exception près… Ce matou, surnommé Demo-Cat, fait de la politique. Et il ne se contentera pas d’un petit poste. Non, Limberbutt souhaite devenir président des Etats-Unis. Rien que ça !

« Together, we cat »

Son slogan de campagne ? Il est simple et efficace : « Together, we cat ». Bien sûr, Limberbutt ne milite pas seul. Il s’est entouré de deux directeurs de campagne. L’un d’eux, Issac Weiss, tient d’ailleurs à préciser qu’ils ne recherchent pas de financement et que s’ils devaient un jour accepter des donations, celles-ci seraient « reversées à la Humane Society ou une autre association de protection animale.

Comme l’explique Issac Weiss au Huffington Post, la campagne du félin était à l’origine une simple plaisanterie. Mais les choses sont devenues plus sérieuses lorsque le formulaire de candidature de Limberbutt a été soumis à la commission électorale fédérale qui administrer et faire appliquer la loi sur le financement des élections fédérales aux Etats-Unis.

Pour la légalisation de l’herbe !

« Mes amis et moi avons réalisé à quel point il était simple de se lancer dans la course » souligne-t-il.

Changer cela fait partie des promesses de campagne de Demo-Cat, qui se présente comme son surnom l’indique comme un partisan du camp démocrate. Mais la protection de l’environnement et la légalisation de l’herbe à chat font aussi partie de ses idées fortes.

Le matou, dont les activités préférées consistent à « dormir, jouer avec son arbre à chat » et déchirer du papier, précise en outre qu’il ne serait jamais allé en Irak, « le climat n’y étant pas favorable pour un chat domestique ».

Il appartient à une jeune femme âgée de 18 ans, Emilee McCubbins.


Limberbutt dans les bras de son humaine (© Emilee McCubbins)

Pour en savoir plus sur Limberbutt et suivre sa campagne, n’hésitez pas à visiter sa page Facebook !

http://wamiz.com/

Le Saviez-Vous ► Des coïncidences étranges


    Dans cette liste événements étranges (surtout vers la fin) il est difficile de donner une explication logique. Ne croyants pas au hasard, il faut avouer que les coïncidences sont assez troublantes
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    Des coïncidences étranges

    Vous connaissez le dicton : « Le hasard fait bien les choses ». Parfois, le hasard en fait un peu plus qu’on lui en demande. Il se produit alors des coïncidences qui laissent bouche bée. En voici quelques exemples.

    1. Les bras de Joseph

    Bébé dans les airs

    Dans les années 30, Joseph Figlock, un Américain de Détroit, entend une femme crier au cours d’une manifestation. Il lève les yeux au ciel et d’un geste vif, attrape le bébé qui tombait du 4e étage d’un immeuble, lui sauvant la vie. Un an plus tard, il passe par hasard dans la même rue.

    Et la scène se répète… Il attrape une deuxième fois le bambin, échappé par la même maman négligente.

    2. Des jumeaux pas comme les autres

    Jumeaux

    Dans les années 40, en Ohio, des jumeaux identiques abandonnés par leur mère sont adoptés par deux familles différentes. Ils portent le même prénom (James), occupent le même emploi (shérif à mi-temps), marient chacun une femme nommée Linda, ont chacun deux enfants (James Jr. et Alan), adoptent un chien (Toy), divorcent la même année et épousent des femmes nommées Betty… Tout cela sans se connaître.

    On découvrira plus tard leur histoire et ils finiront par se rencontrer quelques semaines plus tard. Puis ils décèderont de la même façon, happés par un camion alors qu’ils circulaient à vélo, sur la même route, quelques jours plus tard.

    Au moment de son décès, le deuxième jumeau ignorait le destin tragique de son frère dont la dépouille n’avait pas été identifiée.

    3. Louis et le 21

    Louis Capet

    Des astrologues avaient prédit à Louis Capet de se méfier du 21… Chaque mois, à cette date, il évitait toute activité. Pourtant, devenu roi, Louis XVI fut arrêté le 21 juin 1791. La France, en pleine révolution, fut proclamée République le 21 septembre de la même année et le monarque fut guillotiné le 21 janvier 1793.

    4. Une étoile doublement filante

    Mark Twain

    Mark Twain est un nom connu. Parmi les titres qu’il a écrits, on lui doit entre autres les aventures de Tom Sawyer (1876) et celles de Huckleberry Finn (1885). L’écrivain est né le 30 novembre 1835 pour finalement « passer l’arme en gauche » le 21 avril 1910. Ces deux dates marquent également l’apparition, dans le ciel, de la Comète de Halley.

    Il avait même prédit sa mort en 1909 en écrivant la phrase suivante :

    « Je suis venu avec la Comète de Halley en 1835. Elle revient cette année, et je m’attends à repartir avec. »

    5. Ces 13 février…

    Guillotine

    Jean-Marie Dubarry, ce nom vous dit quelque chose? Peu de gens s’en souviennent, et pour cause. Le 13 février 1746, ce Français fut exécuté après avoir été reconnu coupable du meurtre de son père. Cent ans plus tard, le 13 février 1846, les bourreaux furent appelés à procéder à une exécution. Le condamné sera exécuté pour le meurtre de son père. Son nom : Jean-Marie Dubarry… 

    6. À tour de rôle…

    Anthony Hopkins

    Quelques jours après avoir été retenu pour jouer dans le film La Fille de la rue Petrovka, l’acteur Anthony Hopkins se rend à Londres pour y acheter le livre de George Feifer qui servit d’inspiration au film. Il en trouve un exemplaire, annoté, sur un banc. Surpris par ce hasard, il rapporte le livre à sa résidence et l’amène avec lui sur le site de tournage. Il y rencontre l’auteur qui lui raconte qu’il n’a pas de copie de sa propre œuvre parce qu’il avait prêté son exemplaire annoté à un ami qui l’a perdu quelque part à Londres. C’était le même bouquin!

    7. Méchant coup de foudre

    Orage

    Un officier de l’armée britannique, le Major Summerford n’aimait pas les orages. En février 1918, il est frappé par la foudre alors qu’il combattait sur le champ de bataille. Le choc le laissa paralysé de la taille aux pieds.

    Déménagé à Vancouver, il pêchait lorsque la foudre frappa un arbre à proximité, lui paralysant tout le côté droit. C’était en 1924. À force de courage et de volonté, il réussit à améliorer sa condition pour pouvoir marcher dans un parc où il fut à nouveau foudroyé, en 1930. Paralysé de façon permanente, il mourut en 1932.

    Sa tombe fut détruite en 1936 lorsqu’un éclair toucha le cimetière où il était enterré.

    8. Une cour qui porte malheur

    Arbre frappé par la foudre

    En 1899, un homme se tient debout dans son jardin dans la localité de Taranto, en Italie. L’orage gronde et l’homme est foudroyé par un éclair. Il y laisse la vie.

    Trente ans plus tard, son fils est tué exactement de la même façon, dans le même coin du jardin.

    Et, le 8 octobre 1949, le petit-fils de la première victime, et fils de la seconde, fut également frappé par un éclair, toujours dans le même jardin. Il fut enterré quelques jours plus tard.

    9. Écrivain ou voyant?

    Morgan Robertson

    Écrivain américain, Morgan Robertson a laissé sa marque pour ses romans disons… prémonitoires. En 1898, il publie Le naufrage du Titan dans lequel un navire ultramoderne sombre après avoir heurté un iceberg. Malheureusement, dans le livre, le paquebot ne compte pas assez de canots de sauvetage pour embarquer tous les passagers et membres d’équipage. Ça vous rappelle quelque chose?

    Puis, en 1914, il publie un autre bouquin : Au-delà du spectre, dans lequel il décrit une guerre au cours de laquelle des avions portent des bombes assez puissantes pour détruire une ville entière et qui rendent aveugles tous ceux qui regardent l’explosion. C’était bien avant le largage des bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki.

    10. Chanceux…

    Oregon

    Le 28 juin 2000, le journal Oregon (Université de Columbia) a publié, par erreur, les résultats de la loterie d’État, soit le 6, le 8, le 5 et le 5. Or, il s’agissait de la combinaison gagnante de la loterie de l’État de la Virginie. Un peu gênés, les éditeurs ont eu la surprise de voir les mêmes chiffres tirés par la loterie de l’État d’Oregon, quelques jours après la publication du journal.

    ____________________________________________

    En passant, saviez-vous que sept présidents américains, élus lors d’une année se terminant par le chiffre 0 et intronisés en janvier de l’année suivante, sont morts en cours de mandat. Ce sont :

    • William Henri Harrison (élu en 1840/pneumonie)

    • Abraham Lincoln (élu en 1860/assassiné)

    • James A. Garfield (élu en 1880/assassiné)

    • William McKinley (élu en 1900/assassiné)

    • Warren Harding (élu en 1920/infarctus)

    • Franklin D. Roosevelt (élu en 1940/hémorragie cérébrale)

    • John F. Kennedy (élu en 1960/assassiné)

      Seuls Ronald Reagan (1980) et George W. Bush (2000) ont échappé à cette malédiction. Le premier a toutefois survécu à un attentat, le 30 mars 1981.

      Aussi, rappelez-vous que Félix Leclerc est mort le 8e jour du 8e mois, en 1988, à 8 h. Sa mort aurait été constatée 8 minutes plus tard.

      http://www.canald.com/

      Le Saviez-Vous ► L’assassinat d’Abraham Lincoln élaboré à Montréal?


      Est-ce que Montréal a été témoin d’un complot du président des États-Unis Abraham Lincoln en avril 1865 ? Que des suppositions, cependant, il semble quand même que cela soit possible, étant donner que John Wilkes Booth aurait été entendu dans un lieu public avec des propos plutôt menaçant devant sa future victime. Bien sûr d’autres indices sont présents, mais cela n’aurait pas été assez pour établir hors de tout doute ce lien avec Montréal
      Nuage

       

      L’assassinat d’Abraham Lincoln élaboré à Montréal?

       

      Abraham Lincoln... (PHOTOTÈQUE LA PRESSE)

      Abraham Lincoln

      PHOTOTÈQUE LA PRESSE

      Andy Blatchford
      La Presse Canadienne
      MONTRÉAL

      L’anniversaire d’un lien peu connu entre le Canada et l’assassin du président américain Abraham Lincoln sera souligné sans cérémonie cette semaine: il y a 150 ans, John Wilkes Booth rencontrait des leaders confédérés à Montréal. Six mois après sa visite dans la métropole, Booth ouvrait le feu sur le président Lincoln, l’atteignant à la nuque.

       

      John Wilkes Booth a assassiné le président américain Abraham Lincoln en avril 1865.

      PHOTO AP/PC

      Certains indices laissent croire que le mystérieux voyage de Booth à Montréal, en octobre 1864, a été l’élément précurseur de l’assassinat de Lincoln dans un théâtre de Washington, en avril 1865. À l’époque, la cause des Confédérés bénéficiait d’une sympathie considérable à Montréal, une ville considérée comme un lieu de prédilection pour les agents des États confédérés d’Amérique.

      Mais les autorités n’ont jamais trouvé de preuves permettant d’établir un lien avéré entre l’assassinat du président et le séjour de Booth à Montréal.

      «Il est clair que Booth est venu Montréal, et il pourrait bien avoir discuté de son plan, mais nous n’avons jamais été en mesure de le déterminer», explique Adam Mayers, auteur de Dixie & The Dominion: Canada, the Confederacy and the War for the Union.

      «Ce qui fait toujours l’objet d’un débat, c’est de savoir si ses sympathisants au Canada ont été impliqués de façon concrète dans le complot pour assassiner Lincoln, et bien entendu, cela n’a jamais été prouvé.»

      Même sans lien canadien confirmé, des preuves laissent penser que le séjour de Booth à Montréal, six mois avant l’assassinat, pourrait avoir établi les bases du complot.

      Les livres d’histoire montrent que le célèbre acteur de théâtre s’est enregistré le 18 octobre 1864 au prestigieux St-Lawrence Hall, un hôtel du Vieux-Montréal réputé être le quartier général des Confédérés au Canada.

      Des témoins auraient vu Booth discuter avec des responsables des États confédérés et l’auraient entendu exprimer ouvertement son mépris envers Lincoln.

      Les remarques faites par Booth lors d’une partie de billard dans le salon de l’hôtel ont pris tout leur sens six mois plus tard, a écrit Clayton Gray dans son livre Conspiracy in Canada, publié en 1950.

      «De face ou de dos, cela ne fait pas de différence», aurait dit un Booth éméché à son interlocuteur, avec qui il parlait de la prochaine élection présidentielle américaine, en novembre 1864.

      «Le contrat d’Abe est presque terminé, et qu’il soit réélu ou non, il sera fini…»

      «J’aime votre style canadien. Je devrais afficher un air canadien, parce que certains d’entre nous […] pourraient devoir s’installer ici bientôt.»

      John Wilkes Booth a aussi laissé derrière lui de l’argent canadien entouré de son propre mystère.

      Quand les autorités ont coincé puis tué Booth en Virginie quelques semaines après l’assassinat de Lincoln, il avait sur lui une lettre de change de l’Ontario Bank à Montréal, datée du 27 octobre 1864.

      Un livret bancaire de la même institution, estampillé de la même date, a aussi été découvert dans ses effets personnels.

      «Il a encaissé toutes sortes de monnaies et il avait une traite bancaire quand ils l’ont capturé, rappelle M. Mayers. Il l’avait dans sa poche, et c’est pour cela que tout le monde dit qu’il y a un «lien canadien» avec l’assassinat.»

      À travers son compte bancaire, le lien entre Booth et Montréal s’est poursuivi après sa mort.

      Son compte à l’Ontario Bank, une institution acquise par la Banque de Montréal en 1906, est resté ouvert avec un solde de 455 $ pendant une période indéterminée après sa mort.

      «La famille a refusé [l’argent] ou ne voulait rien savoir de ce compte», a indiqué une porte-parole de la Banque de Montréal, Jessica Leroux, dans un courriel, en attribuant l’information à un livre écrit en 1967 par l’historien de l’institution, Merrill Denison.

      Selon Mme Leroux, les avoirs bancaires de Booth ont été décrits au fil des ans comme de «l’argent taché de sang».

      Le chef des services secrets confédérés au Canada, Jacob Thompson, avait lui aussi un compte à l’Ontario Bank. Lors du procès des conspirateurs ayant participé à l’assassinat de Lincoln, des témoins ont déclaré que Thompson avait été vu avec Booth au St-Lawrence Hall.

      «Les espions et les badauds pouvaient difficilement ignorer le fait que John Wilkes Booth, une célébrité bien connue, parlait à de hauts responsables des États confédérés», a écrit l’auteur Michael W. Kauffman dans son livre, American Brutus: John Wilkes Booth and the Lincoln Conspiracies.

      «Ce qu’il a fait [à Montréal] fait toujours l’objet d’un débat. Des témoins ont déclaré en 1865 avoir vu Booth avec différents responsables, parlant ouvertement de leur complot contre Lincoln. Mais la valeur de ce témoignage n’a pas été comprise de tous; après tout, il décrivait un niveau d’imprudence qui défiait le bon sens.»

      Durant la guerre de Sécession, les Confédérés ont utilisé Montréal comme base, en grande partie pour sa sophistication et le bon réseau de communications dont bénéficiait la ville, affirme M. Mayers.

      Il ajoute que plusieurs d’entre eux, pour échapper aux grandes chaleurs de l’été dans le sud des États-Unis, allaient passer leurs vacances dans les Cantons-de-l’Est.

      Au Canada, les sudistes bénéficiaient de la sympathie des habitants.

      «Ils détestaient les Yankees», rappelle M. Mayers au sujet des Canadiens de l’époque, qui considéraient les gens de la Nouvelle-Angleterre comme des expansionnistes agressifs.

      Dans son livre, M. Mayers rappelle à quel point John Wilkes Booth était populaire à Montréal et comment il avait «électrisé» le public en octobre 1864 avec ses représentations du Marchand de Venise de William Shakespeare et de The Charge of the Light Brigade d’Alfred Tennyson.

      Mais malgré tout le soutien dont bénéficiaient les sudistes à Montréal, la ville et le Canada ont été la source d’une immense vague de compassion après l’assassinat du président Lincoln.

      Certains vestiges liés à Abraham Lincoln sont encore présents dans la métropole, près de 150 ans après sa mort.

      L’Université McGill abrite la plus importante collection d’objets liés à Lincoln hors des États-Unis. On y trouve notamment des images, des prospectus et des sculptures. Parmi les objets exposés figure aussi un bout de tissu que le médecin a enroulé autour de la tête de Lincoln après que celui-ci a été atteint par le tir de Booth. Il est encore taché du sang du président.

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