Le Saviez-Vous ► Voici 8 façons d’éviter la grossesse au temps de la Chine ancienne


Bien, avant les contraceptions actuelles, les femmes utilisaient des méthodes pas vraiment efficaces, même dangereux pour leur vie. Dans l’antiquité en Chine, les concubines n’avaient pas le choix d’éviter les grossesses, car cela pouvait être une condamnation à mort. Une méthode est rester jusqu’à nos jours, mais elle n’est pas a 100 % efficace, mais au moins, elle n’est pas dommageable pour le corps.
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Voici 8 façons d’éviter la grossesse au temps de la Chine ancienne

 

8 façons de ne pas tomber enceinte dans la Chine ancienne

Avant l’apparition des médicaments et les moyens de contraception modernes, les femmes de la Chine ancienne avaient des recettes surprenantes pour éviter les grossesses non désirées.

Les concubines du palais royal ou les prostituées de la rue disposaient déjà dans l’antiquité de moyens pour éviter une grossesse, au risque de devenir stériles ou même de mourir. Cependant, elles n’avaient pas le choix, puisqu’un enfant non désiré pouvait conduire à une condamnation à mort.

Voici ci-dessous huit pratiques de contrôle des naissances durant l’antiquité en Chine.

1. Soupe aux plantes médicinales

On retrouve cette préparation dans un film avec Gong Li : avant d’aller travailler une prostituée boit une soupe à base de plantes (Liangyao) pour tenter de provoquer la stérilité. Le musc était un composant de cette décoction mais il est difficile de retracer les autres ingrédients.

2. Musc

On croyait dans la Chine ancienne que frotter du musc dans le nombril pouvait prévenir la grossesse. Selon les documents historiques, Zhao Feiyan et Zhao Hede, deux belles concubines de la cour de l’empereur Chendi (51 BC -7 BC) de la dynastie des Han de l’Ouest, contrôlaient leur fécondité par cette technique.

3. Safran

Selon des archives culturelles traditionnelles, les médecins impériaux utilisait en Chine du safran pour prévenir les grossesses. Après avoir eu des relations sexuelles avec des concubines ou des dames de la cour avec laquelle il n’avait aucun désir de procréer, l’empereur pouvait ordonner à un eunuque de nettoyer leur vagin avec une solution à base de safran et de plantes.

4. Péservatifs d’intestin et de poumons de poissons

Les préservatifs faits d’intestins de mouton et de poumons de poissons sont mentionnés dans le Classique des montagnes et des mers (Shan hai jing). D’autres ont également été confectionnés en soie et en coton.

5. Mercure

Dans la Chine ancienne, on conseillait aux femmes de boire du mercure chaud pour prévenir la grossesse. C’était assez efficace pour faire en sorte que les femmes n’aient pas d’enfant, mais, le mercure étant extrêmement toxique, provoquait des dysfonctionnements corporels, des amnésies, des douleurs chroniques et parfois la mort.

6. Pédicule de kaki

Un remède traditionnel pour la contraception consistait à broyer sept pédicules de kakis séchés, et de tremper la solution dans de l’eau bouillante. Ce breuvage devait être bu sept jours durant.

7. Médicaments toxiques

Strychnine, et autres médicaments toxiques du même genre ont également été utilisés pour prévenir les grossesses non désirées. De fortes doses de ces médicaments pouvaient causer des décès, mais l’utilisation à faibles doses tuait le foetus. Cette méthode conduisait cependant à une stérilité irréversible.

8. Méthode des cycles

Connue aujourd’hui comme « métythode Ogino », elle consiste à éviter les rapports sexuels durant la période de fécondabilité du cycle menstruel féminin.

 

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Le Saviez-Vous ► L’Histoire du préservatif en 10 points


Le préservatif masculin a fait du chemin depuis l’Antiquité. Mais je doute, que pendant longtemps qu’il ai été efficace
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L’Histoire du préservatif en 10 points

 

 

1- Le crocodile est lié à l’histoire de la contraception:

(Source)

En effet, pour se protéger des grossesses, les femmes de l’Égypte ancienne utilisaient un pessaire, soit une boule de déjections de crocodile et de miel insérée de façon à bloquer le col de l’utérus!

2- Les Romains utilisaient l’ancêtre du condom:

(Source)

Les Romains de l’Antiquité ne voulaient pas nécessairement des familles nombreuses et plusieurs moyens étaient utilisés afin d’éviter les grossesses, dont un simple capuchon fait d’intestins ou de vessies animales. Fait à noter, il ne recouvrait toutefois que le gland!

3- Hippocrate avait quant à lui une étrange méthode:

(Source)

Le célèbre médecin de la Grèce antique recommandait aux femmes de sauter sur ses talons ou d’être secouées pour éviter une grossesse… Ouf!

4- Le condom, une invention du 16e siècle:

(Source)

C’est au médecin italien Gabriel Fallope que nous devons selon toute vraisemblance le premier condom complet. Ce dernier avait fait faire des préservatifs en lin recouvrant entièrement l’organe masculin et ajustés avec un ruban rose pour plaire aux dames!

5- D’où vient le mot condom?

L’origine du mot est source de débats, notamment parce qu’un médecin français du 17e siècle portait le nom de condom et qu’un bourg gascon s’appelle également condom. Le mot serait toutefois attribuable au mot latin « condere », qui veut dire « protéger ».

6- Le préservatif, outil essentiel de Casanova!

(Source)

Le célèbre coureur de jupons italien utilisait des préservatifs au 18e siècle, qu’il appelait des capotes anglaises ou des calottes d’assurance! Dans ses mémoires, il disait d’ailleurs

« Je dois m’enfermer dans un bout de peau morte pour prouver que je suis bel et bien vivant! »

7- Un objet réutilisable!

(Source)

En Angleterre, la vente (souvent clandestine) de condoms a connu un essor dès le 18e siècle. Ils portaient parfois le nom de « redingote d’Angleterre », étaient réutilisables et pour cette raison, étaient souvent agrémentés de dessins!

8- Une histoire liée à une compagnie de pneus:

(Source)

La véritable révolution dans l’histoire du condom est venue avec la commercialisation du caoutchouc et un procédé le rendant plus élastique et résistant appelé la vulcanisation. C’est la compagnie Goodyear qui en a commencé la vente en 1843-44.

9- Couleurs, textures, saveurs!

Le caoutchouc a donc permis le développement de toutes sortes de préservatifs. En 1901, une condomerie d’Amsterdam commence à rendre l’objet plus ludique en l’offrant avec différentes couleurs, des nervures et… très osé pour l’époque, des saveurs!

10- Un usage militaire:

Pendant la 2e guerre mondiale, les condoms ont été utilisés pour protéger les fusils du sable et de l’eau, notamment en Normandie! 

Spécialisée en histoire ancienne, Evelyne Ferron enseigne l’histoire de l’Antiquité à l’Université de Sherbrooke et à l’Université du Québec à Chicoutimi, ainsi que l’histoire générale au Collège Mérici, à Québec. Chroniqueuse-historienne à la radio et  intervenante à la télévision sur des sujets historiques très  variés, elle a le nez constamment plongé dans l’actualité  afin de faire des liens entre le passé et aujourd’hui.

http://www.historiatv.com/

Le Saviez-Vous ► Top 10 des moyens de contraception insolites voire un peu flippant


Il fut un temps, que les moyens contraceptifs pour ne pas avoir d’enfant étaient plus un coup de chance qu’une méthode plus ou moins efficace. Certaines de ces méthodes étaient très dangereuses voir même mortelles
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Top 10 des moyens de contraception insolites voire un peu flippant

Crédits photo (creative commons) : Daniel Lobo

Par Emma

  • Vous trouvez les préservatifs désagréables, la pilule contraignante et le stérilet dégueu ? Et bah estimez vous heureux parce qu’avant les moyens de contraception c’était pas ça

  • Du mercure

  • Autrefois (avant que l’on ne se rende compte que c’était quand même très très dangereux), les gens étaient convaincus que le mercure avait tout plein de vertus médicinales. En Chine par exemple, on conseillait donc aux femmes qui ne voulaient pas d’enfants de boire du mercure chaud. Ça marchait plutôt bien, bon par contre après elles ne faisaient pas forcément très long feu.

  • De la merde de croco

    De nombreux documents datant du deuxième millénaire avant J.C témoignent du fait que les Égyptiennes utilisaient comme moyen de contraception un mélange de merde de crocodile, de miel et de carbonate de sodium qu’elles s’inséraient dans le vagin. Une idée pas si conne que ça puisqu’il a par la suite été prouvé que les excréments de crocodiles étaient légèrement alcalins, à l’instar des spermicides modernes.

  • Du Coca-Cola

    Dans les années 50, la rumeur selon laquelle l’acide carbonique présent dans le Coca tuait les spermatozoïdes était très à la mode. Du coup, de nombreuses femmes avaient pris l’habitude de s’offrir une petite douche vaginale au Coca après chaque relation Oui, tout ça devait coller joyeusement.

  • De l’urine de mouton

    Au Moyen-Âge, on recommandait en effet aux femmes qui ne voulaient pas tomber enceintes de boire de l’urine de mouton et/ou du sang de lapin. Une méthode qui, on préfère vous prévenir, nécessite quand même d’avoir le cœur bien accroché.

  • Des testicules de castor

    Au XVIe siècle, les Canadiennes étaient certaines que le meilleur moyen de ne pas tomber enceinte était de boire un grand verre d’alcool dans lequel avaient délicatement infusé des testicules de castor. Une méthode a priori aussi peu ragoutante qu’efficace.

  • Des intestins de porc

    D’après de nombreux historiens, les préservatifs existaient déjà dans l’Égypte Ancienne et la Grèce Antique. Faute d’avoir découvert les bienfaits du latex, les hommes utilisaient à l’époque des intestins de porc ou de tout autre animal pour protéger leur sexe. Bon, niveau sensations ça ne devait pas être top, mais n’empêche que ça marchait bien.

  • De l’eau dans laquelle du métal a été refroidi

    D’après le gynécologue grec Soranos, qui a vécu au IIe siècle après J.C, le meilleur moyen de contraception était de boire de l’eau dans laquelle un forgeron avait refroidi du métal. Et effectivement, en plus de vous refiler tout un tas de maladies du genre insuffisance rénale, déficience neurologique ou mort, cette eau avait le mérite de rendre stérile en deux temps trois mouvements.

  • Des saignées

    Durant des siècles, les médecins étaient convaincus que le sperme n’était que du sang devenu blanc sous l’influence de l’humeur., (…) le Français Jacques Ferrand recommandait donc une bonne grosse saignée. Complètement amoindri, l’homme renonçait alors de bon cœur au sexe. C’est vrai que l’abstinence, ça fonctionne plutôt pas mal comme moyen de contraception.

  • Du jus de citron

    Remontant au Talmud, cette méthode consistait à s’insérer dans le vagin une éponge imbibée de jus de citron. L’acide citrique était alors censé tuer tous les petits spermatozoïdes qui essayaient de taper l’incruste dans votre utérus.

  • Des graines de papaye

    En Asie du Sud et du Sud Est, les graines de papaye ont longtemps été utilisées par les hommes qui souhaitaient copuler sans se soucier de sans faire des enfants.  Pour cela, il leur suffisait d’ingérer quotidiennement quelques graines de papaye. Ces dernières réduisaient de façon substantielle le nombre de spermatozoïdes présents dans leur sperme, parfois jusqu’à arriver à une stérilité totale. Une stérilité qui avait en plus le mérite d’être totalement réversible.

 

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