Les contraires


Pour apprécier les choses, les personnes, les sentiments positives, il faut aussi connaitre leur contraire.
Nuage

 

Les contraires

 

 

La tristesse est nécessaire pour connaître le bonheur, le bruit pour apprécier le silence et l’absence pour valoriser la présence.
Quelle ironie, non ?

Inconnu

Les souffrances


Quand nous savons qu’une personne souffre, même si, nous n’avons pas la solution ou de paroles qui pourraient atténuer la douleur, juste faire savoir que nous sommes présent pour eux, cela est peut-être un premier pas vers la guérison
Nuage

 

Les souffrances

 

La souffrance d’autrui même lorsqu’on connaît la cause est une porte verrouillée de l’intérieur contre laquelle on ne peut que frapper discrètement pour que l’autre sache qu’il n’est pas seul …

Yvon Rivard

La vie


Pour connaitre le positif d’un sentiment, de quelque chose, d’un évènement, d’une personne, il faut aussi connaitre son contraire
Nuage

La vie

 

 

La vie est tellement ironique :
Il faut avoir connu la tristesse afin de savourer le bonheur
Le bruit afin d’apprécier le silence
et l’absence afin de profiter de la présence

Auteur  inconnu

Écouter


On offre souvent notre oreille quand un ami semble vouloir se confier, mais malheureusement très peu savent écouter, car nous sommes souvent centré sur nous même, au lieu de s’oublier .. Nous n’avons pas toutes les réponses et souvent c’est l’autre qui trouve ses propres solutions
Nuage

 

Écouter

 

Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un… C’est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps : tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là… Pas étonnant si la meilleure façon pour une personne de se révéler à elle-même, c’est d’être écoutée par une autre !

Écouter, c’est commencer par se taire… Avez-vous remarqué comment les « dialogues » sont remplis d’expressions de ce genre : « c’est comme moi quand… » ou bien « çà me rappelle ce qui m’est arrivé… » Bien souvent, ce que l’autre dit n’est qu’une occasion de parler de soi.

Écouter, c’est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser transformer par l’autre. C’est accepter que l’autre entre en nous-mêmes comme il entrerait dans notre maison et s’y installerait un instant, s’asseyant dans notre fauteuil et prenant ses aises.

Écouter, c’est vraiment laisser tomber ce qui nous occupe pour donner tout son temps à l’autre. C’est comme pour une promenade avec un ami : marcher à son pas, proche mais sans gêner, se laisser conduire par lui, s’arrêter avec lui, repartir, pour rien, pour lui…

Écouter, c’est ne pas chercher à répondre à l’autre, sachant qu’il a en lui-même les réponses à ses propres questions. C’est refuser de penser à la place de l’autre, de lui donner des conseils et même de vouloir le comprendre.

Écouter, c’est accueillir l’autre avec reconnaissance tel qu’il se définit lui-même sans se substituer à lui pour lui dire ce qu’il doit être. C’est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à l’autre le temps et l’espace de trouver la voie qui est la sienne.

Écouter, ce n’est pas vouloir que quelqu’un soit comme ceci ou comme cela, c’est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques. Être attentif à quelqu’un qui souffre, ce n’est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c’est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour s’en libérer.

Écouter, c’est donner à l’autre ce que l’on ne nous a peut-être encore jamais donné : de l’attention, du temps, une présence affectueuse.

Apprendre à écouter quelqu’un, c’est l’exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos propres détresses… C’est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, notre corps et toutes nos émotions, c’est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie, c’est devenir poète, c’est-à-dire sentir le coeur et voir l’âme des choses.

A celui qui sait écouter, est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure de tout vivant.

André Gromolard

La qualité d’amitié pure de l’amour


Cet amour a l’état pur on la vit peut-être l’espace de quelque temps, mais la routine semble diminuer cette effet de plénitude. Peut-on vivre en tout temps ce genre d’amour même en amitié ?
Nuage

La qualité d’amitié pure de l’amour

L’amour signifie une qualité d’amitié pure, où vous ne voulez rien de l’autre, où vous êtes simplement heureux, parce que l’autre existe, la simple présence de l’autre vous donne de la joie. Ce n’est pas qu’il vous fasse quelque chose ou qu’il vous soutienne -financièrement, physiquement – où qu’il soit d’une façon ou d’une autre un support à la joie, non ; sa seule présence suffit.

Quand vous commencez à vous réjouir de la présence d’une, alors l’amour est là. Vous ne voulez pas utiliser la personne. Au moment où vous commencez à utiliser la personne, l’amour a disparu. Alors, il ne s’agit plus que de ruses politiques. C’est simplement de l’exploitation : vous continuez de parler d’amour et derrière cette façade, vous continuez d’exploiter la personne.

Si vous avez connu l’amour avec une personne, vous avez connu l’amour pour tous. Alors cette personne devient la porte de tous. alors il n’est plus nécessaire de chercher, il n’est plus nécessaire de changer d’amoureux, alors un est suffisant, plus que suffisant. Alors, le coeur est rempli et vous pouvez bénir l’existence toute entière.

C’est la qualité la plus basse de l’amour qui ne cesse de rechercher, de changer, d’aspirer. Plus l’amour est élevé, plus il est centré

Osho