Trop gros, ce rat alle­mand est resté coincé dans une bouche d’égout


L’obésité n’est pas juste un problème humain. Les rats trop gourmands peuvent aussi avoir un surplus de poids. En Allemagne, un rat a vécu un moment vraiment stressant. Il est resté pris dans un trou d’un couvercle d’égout. En Allemagne, des pompiers sont venus le délivrer. Et malgré que c’est un animal qui est détesté par la plupart des gens … Les pompiers l’ont remis en liberté.
Nuage

 

Trop gros, ce rat alle­mand est resté coincé dans une bouche d’égout

 

Californie: les pompiers peinent à circonscrire les incendies


La Californie brûle. Avec des températures comment la Floride connait, la sécheresse, un rien peut déclencher un feu. Dans un des combats que les pompiers se battent, le feu avait commencé par une défaillance mécanique d’une automobile.
Nuage

 

Californie: les pompiers peinent à circonscrire les incendies

 

Selon un bilan jeudi matin du service des... (Photo Mark Ralston, Agence France-Presse)

Selon un bilan jeudi matin du service des pompiers CAL FIRE, le Carr Fire a détruit près de 51 000 hectares depuis son départ le 23 juillet à la suite de la «défaillance mécanique d’un véhicule».

PHOTO MARK RALSTON, AGENCE FRANCE-PRESSE

 

Agence France-Presse
LAKEPORT, Californie

Les milliers de pompiers luttant contre les nombreux incendies en Californie peinaient à circonscrire les deux plus importants brasiers, dont l’un brûle depuis presque trois semaines et l’autre est désormais l’un des plus destructeurs de l’État.

Selon un bilan jeudi matin du service des pompiers CAL FIRE, le Carr Fire a détruit près de 51 000 hectares depuis son départ le 23 juillet à la suite de la «défaillance mécanique d’un véhicule».

Il a aussi réduit en cendres 1465 structures, dont un millier de résidences, ce qui en fait le sixième plus destructeur à ce stade de cet État de la côte ouest américaine.

Les plus de 4200 pompiers déployés – deux ont été tués la semaine dernière – sont parvenus à le circonscrire à 35%. Quatre civils ont également péri à cause de ce feu.

«La nuit dernière, le vent, le terrain escarpé et la sécheresse ont compliqué la tâche des pompiers», a indiqué CAL FIRE, prévoyant «de légers vents de sud-est pour aujourd’hui avec des conditions climatiques chaudes et sèches».

Autre foyer important: le Ferguson Fire, qui a débuté le 13 juillet. Après presque trois semaines, il n’était circonscrit jeudi matin qu’à 39%. Il a brûlé 27 765 hectares, dont 2300 dans la seule nuit de mercredi à jeudi.

«Le système de haute pression au-dessus de l’incendie s’est affaibli au cours de la semaine, entraînant des conditions plus chaudes et plus sèches», a relevé Inciweb, service d’information sur les incendies.

Cet incendie sévit près du très touristique parc national de Yosemite, dont la fermeture partielle a été prolongée par le service des parcs nationaux jusqu’au 5 août si les conditions le permettent.

Quand au Mendocino Complex, composé de deux foyers, quelques progrès ont été enregistrés: le River Fire était contenu à 50% après avoir brûlé plus de 14 200 hectares et le Ranch Fire à 33%, avec plus de 30 300 hectares détruits.

Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont dû évacuer face à l’avancée des flammes. Depuis quelques jours, une partie d’entre elles a été autorisée à retourner sur place

http://www.lapresse.ca/

Incendies de forêt : 200 pompiers en renfort au Québec


Si la politique divise, le feu réunit les États-Unis et le Canada. Le Québec a malheureusement à son actif plusieurs feux de forêt causés par la foudre mais aussi par la sécheresse et la chaleur intense. Plusieurs pompiers à travers le Canada ainsi que des Américains sont venus prêter main-forte
Nuage

 

Incendies de forêt : 200 pompiers en renfort au Québec

 

On dénombre 357 incendies de forêt depuis le début... (PHOTO TIRÉE DU COMPTE TWITTER DE LA SOPFEU)

 

On dénombre 357 incendies de forêt depuis le début de la saison contre une moyenne de 276 dans les 10 dernières années.

PHOTO TIRÉE DU COMPTE TWITTER DE LA SOPFEU

PHILIPPE TEISCEIRA-LESSARD
La Presse

Le nombre d’incendies de forêt qui font rage au Québec a grimpé en flèche dans les derniers jours, étirant au maximum les ressources de la SOPFEU et obligeant l’organisation à faire appel à 200 pompiers de l’extérieur.

Ces renforts portent à 600 le nombre total de sapeurs envoyés à l’assaut des flammes dans la province.

«Notre activité a augmenté dans les derniers jours, notamment en raison de la foudre», a rapporté Isabelle Gariépy, porte-parole de la Société de protection des forêts contre le feu (SOPFEU).

«On a une soixantaine d’incendies en activité. La plupart d’entre eux sont contenus ou maîtrisés, mais ça demande quand même du travail pour en arriver à l’extinction.»

Ce n’est toutefois pas le cas pour un nouveau brasier qui s’est déclaré à 35 km à l’est de Lebel-sur-Quévillon, à la limite entre l’Abitibi et le Nord-du-Québec.

Il est toujours considéré comme «hors contrôle.» «Nous estimons sa superficie à 1000 hectares, a indiqué la SOPFEU. La ville n’est toutefois pas menacée. La fumée qui se dégage de cet incendie pourrait se faire ressentir dans d’autres régions du Québec.»

Environ la moitié des incendies détectés se trouvent au nord du 51e parallèle et sont simplement surveillés par la SOPFEU, à moins qu’ils ne menacent des communautés ou des infrastructures. Les autres sont activement combattus.

Renforts

On dénombre 357 incendies de forêt depuis le début de la saison (365 depuis le début de l’année) contre une moyenne de 276 dans les 10 dernières années. Mince consolation : le nombre d’hectares de territoire brûlé est plus petit que la moyenne.

Étant donné la situation, «on a demandé d’avoir de l’aide d’autres provinces et d’États américains», a continué Mme Gariépy.

Les plus gros contingents proviennent de l’Alberta (60 pompiers) et du Nouveau-Brunswick (41 pompiers). Le Maine, le New Hampshire et le Massachusetts en ont envoyé une vingtaine chacun, tout comme Parcs Canada et la Saskatchewan. Ces deux derniers groupes viennent tout juste d’arriver au Québec.

Terre-Neuve-et-Labrador et l’Alberta ont aussi fourni des avions spécialisés.

Ce n’est pas seulement le nombre d’incendies qui a poussé la SOPFEU à tirer la sonnette d’alarme pour obtenir des renforts :

 les conditions météo et le fait que «les feux allumés par la foudre peuvent couver plusieurs jours et être découverts tardivement» motivaient aussi la décision.

Plus de la moitié des hectares de forêt brûlés jusqu’à maintenant l’ont été dans l’incendie de Labrieville, sur la Côte-Nord.

«Sa périphérie fait 111 kilomètres, donc beaucoup d’effectifs doivent y travailler, a indiqué Mme Gariépy. On a huit sections, donc près de 150 personnes qui y travaillent.»

«Les pompiers forestiers poursuivent leur progression sur le terrain avec l’aide d’hélicoptères pour le survol du feu et également pour l’arrosage, a ajouté la SOPFEU sur les réseaux sociaux. Les équipes ont consolidé une bonne portion dans le secteur nord du feu ainsi qu’une autre dans la partie sud. Depuis le 5 juillet, de l’équipement mécanisé travaille au sud du feu pour bloquer toute progression.»

Conditions «extrêmes»

Même si la plupart des incendies des derniers jours ont été causés par la foudre, la SOPFEU demande la collaboration du public «pour éviter l’allumage de nouveaux brasiers».

«Les conditions météorologiques sont extrêmes dans les régions suivantes : le Nord-du-Québec, l’Abitibi-Témiscamingue, l’Outaouais, les Laurentides, la Mauricie, le Saguenay-Lac-Saint-Jean ainsi que le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie, a énuméré l’organisation. Certains secteurs enregistrent des vents de plus de 40 km/h, ce qui rend le travail des pompiers forestiers et des avions-citernes très difficile.»

Dans ces régions, la SOPFEU demande à tous de s’abstenir d’utiliser des feux d’artifice et de n’utiliser que les foyers extérieurs munis de pare-étincelles.

http://www.lapresse.ca

Une centaine de cas de cancer chez les pompiers


Être pompier est une des professions les plus importantes dans nos villes. Leur travail n’est plus comme autrefois, ou il n’y avait que la fumée dense et le feu à se méfier. Aujourd’hui les matériaux informatiques, les plastiques, bois traités bref tout ce qui rend la fumée encore plus nocive autant directement chez les pompiers et les contaminants qui se retrouvent sur leurs vêtements et outils qui peuvent engendrer entre autres le cancer du poumon, vessie et du rein.
Nuage

 

Une centaine de cas de cancer chez les pompiers

 

De 2002 à 2018, 109 pompiers montréalais ont présenté... (Edouard Plante-Fréchette, archives La Presse)

De 2002 à 2018, 109 pompiers montréalais ont présenté une réclamation à la CNESST pour faire reconnaître un cancer dû à leur travail.

EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

 

PIERRE-ANDRÉ NORMANDIN
La Presse

Une centaine de cas de cancer ont été recensés chez les pompiers montréalais depuis 2002 en raison de leur exposition à des fumées nocives en combattant des incendies. Estimant que ses sapeurs font face à des risques accrus devant la prolifération des substances nocives, le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) introduira de nouvelles mesures en 2018 pour réduire la contamination.

Les incendies que les pompiers doivent combattre sont de plus en plus dangereux en raison de la prolifération des matériaux informatiques, de plastiques, de bois traités et de retardateurs de flammes dégageant des fumées nocives en brûlant.

De 2002 à 2018, 109 pompiers montréalais ont présenté une réclamation à la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) pour faire reconnaître un cancer dû à leur travail.

Du lot, 87 demandes ont récemment été acceptées, tandis que 14 ont été refusées. Huit autres cas sont toujours en attente d’une décision. Les principaux cas reconnus touchent le cancer de la vessie (24), du rein (20) et du poumon (16). Ces informations ont été compilées par le SIM en vue du témoignage de son directeur, Bruno Lachance, devant la Commission de la sécurité publique, le 13 mars.

En 2010, une recherche de l’Institut atlantique de recherche sur le cancer confirmait le risque de cancer auquel s’exposent les pompiers dans leur travail.

En fait, les incendies qu’ils doivent combattre sont de plus en plus dangereux en raison de la prolifération des matériaux informatiques, de plastiques, de bois traités et de retardateurs de flammes. Ceux-ci dégagent en effet des fumées nocives en brûlant.

Les sapeurs se trouvent exposés de diverses façons, que ce soit en inhalant la fumée ou en entrant en contact avec des matériaux contaminés, comme leurs habits ou leurs outils.

Reconnaissance tardive au Québec

Le Québec a été l’une des dernières provinces à reconnaître les risques de cancer auxquels les pompiers s’exposent.

C’est seulement depuis avril 2016 qu’une demi-douzaine de cancers a été ajoutée à la liste des lésions professionnelles associées à ce métier. Ce changement faisait suite à plusieurs jugements de tribunaux québécois qui avaient reconnu des cancers liés au travail de sapeurs.

« Le Québec affichait un retard important en la matière », reconnaît le SIM.

Dans sa présentation, le 13 mars, le directeur Bruno Lachance exposera les efforts déployés par le SIM depuis 2016 pour contrer les contaminants et ainsi prévenir les risques de cancer.

Le corps de sapeurs a notamment contribué aux travaux de la CNESST pour publier un guide des bonnes pratiques pour l’entretien des habits de pompiers. Le SIM a de plus instauré une « politique de tolérance zéro » rendant obligatoire le port de la tenue intégrale de combat, dont la partie faciale de l’appareil respiratoire.

« Aucun pompier ne peut oeuvrer sans être muni de sa partie faciale sous air lors d’une intervention », précisera le directeur du service.

Les pompiers doivent prendre une douche et changer de vêtements après chaque intervention au feu.

Nouvelle procédure

Le SIM compte aller plus loin en 2018 en matière de prévention en mettant en place une nouvelle procédure de décontamination sur les lieux des incendies.

Après toute intervention au feu, les pompiers devront ainsi désormais faire un « nettoyage de routine » de leurs habits sur place ou dès le retour à la caserne. Tout résidu devra être enlevé avec l’aide d’une brosse, en rinçant à l’eau ou en utilisant du détergent si nécessaire.

Le SIM procédera également à un « nettoyage avancé » une fois par an. Les habits seront alors confiés à des firmes professionnelles pour effectuer cette tâche en profondeur.

« Les temps ont bien changé quant à la fierté d’être enfumé, d’être enduit de suie, ainsi qu’à l’image du pompier au feu en héros noirci », exposera le SIM.

En plus de leurs habits, les pompiers devront désormais se méfier de leurs véhicules. Sur les lieux d’un incendie, les sapeurs devront ainsi veiller à ne plus ouvrir les fenêtres de leurs camions. Ils devront de plus nettoyer l’intérieur de la cabine après toute intervention au feu. Et ce, en utilisant des gants et un masque filtrant les particules. Les outils utilisés lors des interventions devront aussi être nettoyés après utilisation.

http://www.lapresse.ca/

Les pompiers en ont assez après l’accident mortel: ils arrosent ceux qui filment irrespectueusement


Prendre des photos et des vidéos sur des événements est souvent un acte automatique, quoique parfois, c’est vraiment un manque de jugement. Les pompiers en Allemagne ont décidé que cela était assez ! Lors d’un accident mortel, ils ont arroser tout véhicule qui essayaient de prendre des photos ou des vidéos. Je trouve que c’est une bonne chose, un moment donné, il faut arrêter notre curiosité malsaine
Nuage

 

Les pompiers en ont assez après l’accident mortel: ils arrosent ceux qui filment irrespectueusement

 

Youtube / N24

Dans la société ultra-connectée d’aujourd’hui, il est devenu habituel pour nous de nousd’être de plus en plus les yeux rivés sur le téléphone portable. Mais il y a des moments où il est bien mieux de savoir le mettre de côté.

Utiliser son téléphone mobile face à un accident de la circulation peut non seulement être considéré comme contraire à l’éthique, mais aussi dangereux pour les automobilistes et les secouristes. De nombreux services de secours sont fatigués de voir des gens filmer ou prendre des photos lors des accidents et des pompiers allemands ont décidé d’agir. Le site Teknikens Värld s’en est notamment fait écho.

Alors qu’ils étaient en train d’intervenir sur un accident mortel sur l’autoroute A3, les sapeurs-pompiers ont décidé d’agir de manière inhabituelle pour compliquer la prise de photos et de videos. Ils ont en effet commencé à pulvériser de l’eau sur les fenêtres de ceux qui essayaient de prendre des clichés ou autres de la scène, masquant ainsi la vue aux spectateurs curieux.

L’événement a été relaté par les médias nationaux, et a été à la fois salué et critiqué. Ci-dessous vous pouvez voir sur la chaîne allemande N24 les pompiers montrer leur méthode unique pour compliquer la vue aux curieux.

http://incroyable.co/

Cette version du cultissime Fahrenheit 451 de Ray Bradbury ne se lit que lorsqu’elle brûle


Ils ont bien choisi le sujet du livre qui ne peut se lire que par une source de chaleur comme le feu. Si ce livre vient sur le marché, il sera probablement un best-seller. Mieux vaut par contre, ne pas le lire devant les enfants, sinon ils pourraient devenir les pompiers du livre qui incendient tous les bouquins sous un gouvernement totalitaire
Nuage

 

Cette version du cultissime Fahrenheit 451 de Ray Bradbury ne se lit que lorsqu’elle brûle

Crédits : My Modern Net

Un laboratoire hollandais et un collectif de designers ont créé une édition expérimentale unique de Fahrenheit 451 : le chef d’oeuvre de Ray Bradbury ne peut se lire qu’avec le feu ! 

UN LIVRE QUI NE VIT QUE PAR LE FEU

Le laboratoire hollandais Charles Nypels, rattaché à l’Académie Jan van Eyck – un institut spécialisé dans l’art créatif et le design – a créé une édition de Fahrenheit 451 sensible à la chaleur. Développées en collaboration avec Super Terrain, un collectif de designers graphiques, les pages sont recouvertes d’une épaisse suie noire, une couche sérigraphiée. Les mots ne se détachent du fond noir que lorsqu’une source de haute température est appliquée à même les pages !

UN CLASSIQUE DE LA DYSTOPIE

Publié en 1953, le chef-d’œuvre dystopique de Ray Bradbury se déroule dans une Amérique totalitaire où les livres représentent une telle menace que le gouvernement les a tout bonnement interdit. Une Amérique où les pompiers ne sont plus des fire-fighters, des combattants du feu, mais des fire-raisers, des incendiaires. C’est à eux que les autorités ont confié la lourde tâche d’exterminer par le feu les derniers ouvrages qu’ils trouveraient.

LA SCIENCE AU SERVICE DE L’ART

Au-delà du lien évident qui lie cette démarche artistique à l’intrigue, l’inspiration derrière cette nouvelle édition expérimentale peut être explicitée dans l’accroche du livre : 

« Fahrenheit 451 – la température à laquelle le papier prend feu, et brûle. » 

Les créateurs ont partagé une vidéo sur Instagram qui montre comment fonctionne cet ouvrage à l’épreuve du feu. Les designers ont par ailleurs ajouté qu’ils espéraient démarrer prochainement la production à grande échelle : best-seller en approche !

http://www.ulyces.co/

Feux de forêt : du vol d’équipement entrave le travail des pompiers


Ça prend-tu « des sans dessins »(pour rester polis) de voler de l’équipement des pompiers qui luttent depuis des semaines aux feux de forêts en Colombie-Britannique. En plus, la météo n’aide pas du tout, qu’est ce qu’ils ont dans la tête pour voler des objets qui pourraient sauver des bâtiments, des villages, des forêts,
Nuage

 

Feux de forêt : du vol d’équipement entrave le travail des pompiers

 

Un pompier à l'oeuvre dans une forêt de la Colombie-Britannique

Un pompier à l’oeuvre dans une forêt de la Colombie-Britannique Photo : Radio-Canada/Chris Corday

En plus de la chaleur et la fumée, les pompiers qui luttent contre les feux de forêt en Colombie-Britannique doivent maintenant aussi surveiller leur équipement, puisque du matériel a été volé.

Radio-Canada avec La Presse canadienne

Plus de 840 incendies ont ravagé quelque 4260 kilomètres carrés depuis le 1er avril. Kevin Skrepnek, porte-parole du service de lutte contre les incendies de la province, estime que le temps chaud et sec devrait aggraver la situation dans les prochains jours.

Les autorités ont annoncé mercredi qu’une pompe à eau et dix tuyaux d’incendie ont été volés à Harrop Creek, au nord-est de Nelson, aux prises avec un incendie de forêt.

« Les actes criminels de la sorte ont un impact sur l’efficacité des efforts contre les incendies et posent des risques de sécurité aux membres du public et aussi aux premiers intervenants », a écrit le service de lutte contre les incendies dans un communiqué.

La fumée des incendies se répand dans plusieurs communautés, nuisant à la visibilité des appareils qui survolent la région pour combattre les flammes et détecter les brasiers. Environnement Canada a étendu un avis sur la qualité de l’air et un avertissement de chaleur extrême pour la plupart de la côte sud.

Robert Turner, sous-ministre adjoint chargé de la gestion des services d’urgence, a indiqué que parmi les 300 bâtiments ravagés par les flammes jusqu’à maintenant, 71 étaient des maisons, 116 des remises, 3 des édifices commerciaux, tandis que les 115 restants n’ont pas encore été identifiés.

Le district régional de Cariboo, celui de Thompson-Nicolas, ainsi que la réserve autochtone d’Ashcroft ont été les endroits les plus durement touchés, mais aucun bâtiment important n’a été détruit.

Environ 3700 personnes luttent contre les flammes et 108 employés des services d’incendie du Mexique se joindront à eux plus tard cette semaine.

http://ici.radio-canada.ca/

Pas de mégots de cigarettes dans les pots de fleurs et les plates-bandes, rappelle les pompiers


L’été, une attention particulière pour les fumeurs de porter attention ou ils éteignent leur mégot de cigarette. Les pots de fleurs et plate bande ne sont pas des cendriers et peuvent causer des incendies
Nuage

 

 

Pas de mégots de cigarettes dans les pots de fleurs et les plates-bandes, rappelle les pompiers

 

 

Le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) lance samedi sa campagne «Pas... (PHOTO JACQUES DEMARTHON, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE)

PHOTO JACQUES DEMARTHON, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

 

La Presse Canadienne

Le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) lance samedi sa campagne «Pas de mégots dans les pots» qui vise à sensibiliser les citoyens aux dangers d’éteindre des articles de fumeur dans les pots de fleurs et les plates-bandes.

Selon le SIM, cette mauvaise habitude est à l’origine d’incendies ayant fait plus de 8,4 millions de dommages en 2016.

Le terreau utilisé pour le jardinage contient des matières végétales et des engrais chimiques qui sont inflammables lorsqu’exposés à une source de chaleur. Un mégot de cigarette écrasé dans ce mélange peut continuer de se consumer pendant quatre à cinq heures avant de s’enflammer.

Le danger d’incendie est encore plus grand si les bacs et les jardinières sont exposés au soleil et aux vents par temps très chaud.

http://www.lapresse.ca/

Vous n’aimez pas votre travail ? Regardez ce que font les autres pour gagner leurs vies.


Ce n’est pas évident pour tout le monde d’aimer leur travail, et parfois difficile de trouver mieux. Cependant, il y a pire comme emploi à travers le monde. Certains aiment ce qu’ils font quand même, mais d’autres, c’est le seul moyen de survivre, malgré le maigre salaire, les mesures de sécurités inexistantes
Nuage

 

Vous n’aimez pas votre travail ? Regardez ce que font les autres pour gagner leurs vies.

Des travailleurs non qualifiés en Asie centrale.

© Masashi Mitsui

© Masashi Mitsui

Monter des câbles électriques haute tension en Chine.

© Rex

© Rex

Des marins au long cours.

© DragonPhister

© DragonPhister

Travailler dans les montagnes.

© IC

© IC

Travailler dans les mines.

© Colin

© Colin

Des marins sur un porte-avions pendant une tempête.

© LCDR Everitt

© LCDR Everitt

Nettoyer les égouts en Inde.

© Sagar Kaul

© Sagar Kaul

Un mineur au travail.

© Jonjonnotaleprechaun

© Jonjonnotaleprechaun

Extraire du pétrole.

© sumkino

© sumkino

Conducteur de camion longue-distance.

© k60.kn3.net

© k60.kn3.net

Nettoyer les vitres d’un gratte-ciel.

© Steve Fernie

© Steve Fernie

Des pompiers.

© Dark

© Dark

Un énorme engin de terrassement a besoin de réparations.

© i.redditmedia.com

© i.redditmedia.com

Et d’un nouveau pneu…

© kalina2.ru

© kalina2.ru

Voici comment le sel est conditionné en Inde.

© 1.dainteresdit.ge

© 1.dainteresdit.ge

Chercher des diamants en Afrique.

© masternews.gr

© masternews.gr

La vie sur un bateau en hiver.

© i.imgur.com

© i.imgur.com

Un emploi subalterne à Haïti.

© cs633517.vk.me

© cs633517.vk.me

L’extraction de charbon au Pakistan.

© esquire.kz

http://bridoz.com/

Véhicules électriques: un nouveau défi pour les pompiers


Quand la technologie évolue, les interventions lors de danger doivent aussi s’adapter. C’est le cas des pompiers et des voitures électriques. Si un incendie se déclare, c’est la même chose que les voitures à essences, sauf qu’intervenir demande une approche différente
Nuage

 

Véhicules électriques: un nouveau défi pour les pompiers

 

Les pompiers savent qu'il est « extrêmement difficile » de... (Photo Mathieu Alexandre, archives Agence France-Presse)

Les pompiers savent qu’il est « extrêmement difficile » de maîtriser un incendie impliquant un véhicule vert, qu’il soit hybride ou 100 % électrique. Sur notre photo : des pompiers combattent l’incendie d’un véhicule électrique Autolib’ lors d’une manifestation contre la loi Travail, le 14 juin dernier.

PHOTO MATHIEU ALEXANDRE, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

Alors que le Québec souhaite faire rouler 120 000 véhicules électriques en 2020, les pompiers qui jouent le rôle de premiers répondants lors d’accidents de la route sont soumis à des formations obligatoires afin d’améliorer leurs procédures d’intervention sur ce type de véhicules.

Mais déjà, les pompiers savent qu’il est « extrêmement difficile » de maîtriser un incendie impliquant un véhicule vert, qu’il soit hybride ou 100 % électrique, que ce soit la Tesla, la Chevrolet Volt ou encore la Nissan Leaf.

« Le plus gros problème, explique Sébastien Guay, pompier au Service de sécurité incendie de Montréal et enseignant à l’Institut de protection contre les incendies du Québec, c’est la batterie, qui est scellée et difficilement accessible. Si la batterie s’enflamme, ou si le véhicule prend feu, on ne peut rien faire. »

« Très souvent, ajoute-t-il, les pompiers vont devoir laisser brûler le véhicule sans pouvoir faire quoi que ce soit. »

Selon lui, ça s’est produit au moins à deux reprises, aux États-Unis, avec la Tesla.

« Des objets métalliques ont perforé la batterie, qui se trouve sous le véhicule, ce qui a provoqué un court-circuit électrique, puis un incendie. »

Il assure toutefois qu’il n’y a « pas plus de risques » avec un véhicule électrique qu’avec un véhicule ordinaire propulsé par un moteur à essence, quand survient un accident et que les pompiers sont appelés sur les lieux pour dégager les blessés.

« La procédure est la même, précise-t-il. Bien sûr, il y a des risques, comme pour tout type de véhicule. Les pompiers ont toutefois accès à un logiciel qui leur donne toutes les informations pertinentes sur le véhicule où ils sont appelés à intervenir. »

REVOIR LES MÉTHODES

Sébastien Guay ne cache pas que la popularité des véhicules électriques oblige les services de lutte contre les incendies, à la fois au Québec et ailleurs sur la planète, à revoir leurs méthodes d’intervention lors de collisions ou lorsque des véhicules prennent feu après coup.

Il y a deux semaines, l’Institut de protection contre les incendies a tenu un colloque auquel ont participé trois pompiers de la ville de Paris.

« Il y a de l’intérêt. On se pose des questions, et les fabricants, comme Renault, collaborent. Le sujet est d’actualité, plus que jamais, avec la vague de véhicules électriques qui commence à déferler chez nous et ailleurs », dit Sébastien Guay.

Au Service de sécurité incendie de Montréal, la chargée de communication Josée Gosselin confirme qu’un programme de formation continue pour les pompiers de casernes a été mis en place pour faciliter la tâche des intervenants. Le programme couvre les véhicules hybrides, électriques et à essence.

« Étant donné l’évolution des technologies, a-t-elle précisé dans un courriel, le Service est en constante mise à jour du contenu de ses formations. Nous sommes également en lien avec les différentes maisons d’enseignement du Québec afin d’approfondir nos techniques d’intervention et nos connaissances. »

Même son de cloche à Québec, où le Service de protection contre l’incendie affirme avoir pris les devants dès 2011 en envoyant son formateur Dominic Côté à l’Académie des pompiers, en Caroline du Sud, pour parfaire ses connaissances en ce qui concerne les véhicules électriques.

« Il s’agit d’une nouvelle technologie et il est important de ne pas improviser si on veut intervenir de façon sécuritaire », souligne la porte-parole du Service, Sandra Dion.

« Nous avons commencé des formations en 2012 et nous venons de revoir nos procédures, ajoute-t-elle. Nous suivons l’évolution des véhicules de près. »

http://www.lapresse.ca/