Avec l’urbanisation, certains animaux ayant perdu leur territoire ont quand même réussit à s’adapter au milieu urbain. Leur physionomie a changé pour s’accommoder à la pollution, aux espaces sans arbres … Et cela a permis de transmettre ces nouveaux gènes à leurs descendants
Nuage
4 espèces qui se sont adaptées en milieu urbain
Par Daniel Casillas
Metro World News
L’urbanisation, qui avance à vitesse grand V partout sur la planète, affecte l’environnement et force les animaux à s’adapter ou à disparaître à jamais.
Voici qui quatre exemples d’espèces qui résistent.
L’anolis
À Porto Rico, l’anolis, un lézard, a désormais des membres plus longs et de nouvelles écailles qui lui permettent de se déplacer plus facilement sur les murs. Avant l’urbanisation, il vivait principalement dans les arbres et dans les buissons.
Le poisson killi
Le petit poisson killi, qui vit dans plusieurs cours d’eau du nord-est des États-Unis, a développé une résistance génétique aux PCB, des polluants chimiques.
Le roselin familier
À Tucson, en Arizona, le roselin a développé un bec plus long, plus profond et plus fort que son cousin du désert de Saguaro, une région rurale.
La phalène du bouleau
Les ailes noir et blanc de cet insecte l’aidaient à se camoufler dans certains arbres. Mais la révolution industrielle a couvert ces arbres de suie et certains représentants de l’espèce se sont transformés : ils ont maintenant des ailes toutes noires, ce qui les aide à survivre. Ils transmettent ce gène à la génération suivante.