Le Saviez-Vous ► 15 aliments qui pourraient vous tuer


Beaucoup d’aliments sont sans danger, mais certains le sont moins, même les plus connus. Souvent, c’est manger en grosses quantités ou mal apprêtés qui peuvent devenir un vrai poison. Il y a aussi des aliments que certaines parties doivent être évitées.
Nuage

 

15 aliments qui pourraient vous tuer

 

Aliments dangereux : le fugu est un poisson mortel.

Par Sophie Tremblay

Regardez bien votre assiette : contient-elle des aliments qui peuvent nuire à votre santé et même… vous tuer? Sans être alarmiste, soyez vigilant à face à ces aliments.

 

Aliments dangereux : attention au durian.

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Durian

Le durian est un fruit exotique à l’allure étrange que l’on retrouve en Asie. Il faut savoir que ce fruit dégage une horrible odeur de fromage fermenté ou de poubelle qui devrait vous décourager de le manger. Mais si ce n’est pas le cas, il ne faut surtout pas le mélanger avec de l’alcool. Ce mélange pourrait être fatal, car la teneur en soufre du durian bloque une enzyme qui protège votre foie contre les substances toxiques de l’alcool.

Aliments dangereux : consommez la muscade en quantité raisonnable.

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Muscade

Eh oui, la muscade dont l’odeur nous rappelle le temps des Fêtes et le pain d’épice pourrait être sérieusement dangereuse si vous la consommez en grande quantité. Elle est notamment reconnue pour ses vertus euphorisantes, et même aphrodisiaques. Les effets secondaires d’un surdosage, répertoriés par Radio-Canada, comprennent de violents maux de tête, des vomissements et même des convulsions. D’autres sources évoquent un état narcotique, une augmentation du rythme cardiaque, une déshydratation, des vertiges, etc.

Aliments dangereux : ne mangez pas de noyau de cerise.

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Noyau de cerise

Quand vous mangez des cerises, vous ne vous doutez pas que le noyau de ce fruit si savoureux pourrait être mortel… si vous l’avalez! En effet, le site FranceSoir rapporte que les noyaux de cerise contiennent une substance qui, une fois ingérée, génère du cyanure, un poison mortel. Même si une dose mortelle demandait la consommation de 25 grammes de noyaux de cerise, il y a tout de même des risques d’effets secondaires peu agréables comme une élévation de la température corporelle, des maux de tête, des nausées, des vomissements, etc. Les noyaux d’abricots, de pêches et de prunes sont aussi à proscrire.

Aliments dangereux : le fugu est un poisson mortel.

Kankitti Chupayoong / Shutterstock

Fugu

Ce ne sont pas des histoires inventées : il existe bel et bien un poisson aussi adoré que mortel au Japon. Le fugu – ou poisson-globe – est un mets recherché au Japon, mais il reste qu’il est très dangereux. C’est que, mal apprêté il pourrait causer la mort. Comme le rapporte le National Geographic, il cache dans son foie et dans ses ovaires de la tétradoxine pouvant paralyser les muscles de celui qui le consomme et provoquer un arrêt respiratoire.

Toutefois, L’Express rapporte que certains chefs japonais disent que les effets de sa consommation sont largement exagérés et s’apparenteraient plutôt à ceux du gaz hilarant, mais en 7000 fois plus fort. Quoi qu’il en soit, Madame Figaro l’a surnommé la « roulette russe des mers » et cette appellation lui va assez bien!

Aliments dangereux : assurez-vous de bien faire cuire les racines de manioc.

AN NGUYEN / Shutterstock

Racine de manioc

Ce légume racine s’appelle aussi yucca, mais, peu importe son nom, il faut le manger cuit. En fait, sa cuisson est essentielle et non négociable. Autrement, vous ingèreriez la toxine du glycoside cyanogène qu’il contient comme le rappelle l’Agence canadienne d’inspection des aliments. C’est la même chose avec les pousses de bambou qui doivent être cuites pour être mangées.

Aliments dangereux : mangez de la carambole en petite quantité seulement.

P-fotography 7 / Shutterstock

Carambole

Le goût légèrement acidulé de la carambole ajoute une touche spéciale à vos salades de fruits. Sa forme d’étoile charme. Mais saviez-vous que ce fruit ne doit pas être surconsommé? Elle peut être très toxique à haute dose, comme le rapporte le magazine Marie Claire. L’acide oxalique qu’elle contient peut causer des dommages aux reins et au cerveau et même causer une encéphalopathie ou un arrêt cardio-respiratoire.

Aliments dangereux : les hot dogs constituent la première source d'étouffement chez les enfants de moins de dix ans.

PosiNote / Shutterstock

Saucisse

Les hot dogs seraient les aliments qui causeraient le plus de décès par étouffement chez les enfants de moins de dix ans selon une étude publiée dans la revue Pediatrics et rapportée par La Presse. En effet, 17 % des morts par étouffement seraient causées par des hot dogs. Faites attention en les mangeant… surtout avec de jeunes enfants. Parmi les autres aliments appréciés des enfants qui sont à surveiller, on trouve les bonbons durs, le pop corn, les raisins et les guimauves.

Aliments dangereux : ne mangez pas les pépins des pommes.

PosiNote / Shutterstock

Pomme

Un pépin de pomme semble si inoffensif. Pourtant, il contient du cyanure, une substance qui empêche le sang de recevoir de l’oxygène ce qui peut conduire à l’asphyxie. Donc, il y a un risque potentiel réel. Toutefois, pour qu’un humain soit incommodé, il faudrait qu’il mange environ 20 pommes entières de suite et mastiquer ou hacher chaque pépin pour que le cyanure soit complètement libéré.

Aliments dangereux : les feuilles de rhubarbe, consommée en grande quantité, peuvent être toxique.

atalia bulatova / Shutterstock

Rhubarbe

Si les tartes à la rhubarbe sont vos préférées, vous pouvez continuer à en manger sans problème. Ce ne sont pas les tiges avec lesquelles on prépare les purées et les tartes qui sont dangereuses, mais bien les feuilles. Qu’elles soient cuites ou crues, les feuilles de rhubarbe consommées en grandes quantités peuvent vous intoxiquer comme le rapporte le Système canadien d’information sur la biodiversité. Les symptômes d’une intoxication à l’oxalate, la toxine responsable retrouvée dans la rhubarbe, sont des douleurs abdominales, des sensations de brûlure dans la bouche et la gorge, des nausées, des vomissements, etc.

https://www.selection.ca/

Le changement climatique crée des poissons mortels cousins du fugu


Le poisson globe qu’on appelle le fugu est un mets rechercher au Japon. Pour l’apprêter, il faut un grand savoir faire pour ne pas empoisonner personne. Il existerait 53 espèces de fugu, mais seulement 22 espèces sont autorisées à être consommées. À cause des changement climatiques, des espèces se migrent et se mêlent entre eux. Cela augmente la difficulté pour bien choisir le poisson sans danger.
Nuage

 

Le changement climatique crée des poissons mortels cousins du fugu

 

Céline Deluzarche
Journaliste

Le fameux poisson japonais fugu, dont la consommation peut être mortelle, a un nouveau cousin hybride qui semble proliférer en raison du réchauffement climatique. Un phénomène qui inquiète les pêcheurs et les autorités japonaises.

Le fugu est un poisson-globe dont certains organes contiennent de la tétrodotoxine, un poison violent contre lequel il n’existe aucun antidote. Ce poison paralyse le système nerveux et peut mener à un arrêt respiratoire pouvant entraîner la mort. Le fugu est pourtant un mets très populaireau Japon. Sa chair sucrée est servie dans les plus grands restaurants et les prix dépassent les 700 euros le kilogramme en pleine saison.

Des règles ultra strictes de préparation

Pour prévenir les intoxications, le gouvernement japonais a mis en place une législation très stricte : il est ainsi interdit de vendre un poisson entier dont les parties dangereuses n’ont pas été retirées. Un exercice très difficile : l’examen à la préparation du fugu nécessite cinq ans de formation et le taux de réussite ne dépasse pas les 50 %. De plus, toutes les espèces de fugu ne sont pas éligibles à la consommation, seules 22 sur 53 sont autorisées, car la neurotoxine est localisée dans des organes bien précis pour chacune. Chez certains poissons, elle se trouve dans le foie, chez d’autres dans la peau ou la chair.

 

Les fugus hybrides se multiplient au nord-est du Japon. © tokyofoodcast.com, Flickr

Les fugus hybrides se multiplient au nord-est du Japon. © tokyofoodcast.com, Flickr

    La migration des espèces crée des poissons mutants

    Le travail des chefs préparateurs risque fort de se compliquer dans les années à venir. Car les pêcheurs japonais rapportent depuis quelques mois dans leurs filets un nombre croissant de fugus hybrides, croisement entre le Takifugu stictonotus et le Takifugu snyderi, rapporte l’agence Reuters. Le premier vit habituellement dans la mer du Japon alors que le second évolue dans les eaux du Pacifique. Mais avec le réchauffement de l’océan, les fugus stictonotus ont commencé à migrer vers le nord pour trouver des eaux plus froides. Il s’est alors mélangé au fugu snyderi, créant une nouvelle espèce impossible à discerner de ses homologues. Et cet hybride semble se développer de plus en plus : fin juin 2018, il représentait plus de 20 % de tous les fugus pêchés en une journée le long de la côte Pacifique de la préfecture de Miyagi, à 460 kilomètres au nord-est de la capitale Tokyo, selon Hiroshi Takahashi, professeur à la National fisheries university.

    Un risque élevé de confusion

    Les fugus mutants étant très difficiles à différencier, il est impossible de savoir dans quel organe va être localisé la neurotoxine. Lorsqu’elle est confinée dans le foie ou les ovaires, il est relativement facile de les retirer. Mais si elle est répartie dans la peau ou la chair, il est très dangereux de manger le poisson. Pour prévenir tout risque d’intoxication, le gouvernement a donc décidé d’interdire la vente des hybrides non identifiés, au grand dam des pêcheurs qui doivent jeter une quantité croissante de leurs prises à la poubelle. Le ministère de la Santé affirme mener des études complémentaires pour fixer de nouveaux standards de préparation. De quoi compliquer encore l’examen de « chef fugu ».

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Le fugu est un poisson japonais dont certains organes contiennent un violent poison.

  • Seules 22 espèces sont autorisées à la consommation.

  • Avec le réchauffement des eaux, certaines se sont mélangées, aboutissant à des hybrides impossibles à différencier.

https://www.futura-sciences.com/p

Le Saviez-Vous ► Top 10 des aliments les plus dangereux du monde


Il y a des aliments que nous devrions éviter, car ils comportent de trop risques pour la santé, voir même pour la vie. Une chose que je déplore, un aliment que nous avons en épicerie comme par exemple manioc, devrait avoir un avertissement très visible qu’il est dangereux de consommer cru. Car si comme moi, nous improviser, il risque d’avoir des conséquences malheureuses. Je voulais râper le manioc pour ajouter a ma salade, mais en fin du compte, j’ai laissé tomber et j’ai vu après sur le net que j’aurais fait une belle gaffe
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Top 10 des aliments les plus dangereux du monde

Marie-Céline Jacquier

Journaliste

Du fugu au poulpe vivant en passant par un fromage italien très spécial, ces spécialités culinaires ne sont pas sans danger… Voici dix des aliments les plus dangereux au monde. À consommer à vos risques et périls.

Si vous voyagez, personne ne vous oblige à goûter à certaines spécialités locales qui peuvent s’avérer fatales.

Le fugu ou poisson-globe (Japon)

Le fugu (photo ci-dessus) est un poisson très consommé au Japon mais qui contient un poison violent : la tétrodotoxine, une molécule neurotoxique produite par le foie, qui entraîne une paralysie pouvant aller jusqu’au décès. Le poisson-globe est connu pour se gonfler d’eau quand il se sent menacé. Sa commercialisation est réglementée pour éviter les accidents. D’après The Independant, cinq personnes sont décédées en 2015 en mangeant du foie de fugu.

Un poulpe vivant : le sannakji (Corée du Sud)

Le sannakji est une spécialité de Corée du Sud qui consiste à manger un poulpe encore vivant. Le problème est que les tentacules peuvent continuer à s’agripper, même après la mort de l’animal. Des cas d’étouffements sont possibles : il y aurait ainsi six décès par an.

Un fromage : le casu marzu (Italie)

Le casu marzu (ou « fromage pourri ») est un fromage traditionnel italien, provenant de Sardaigne, dans lequel des larves vivantes servent au processus de maturation du fromage. Le risque est que ces larves ne soient pas détruites par les sucs gastriques et restent dans l’intestin, provoquant douleurs abdominales, nausées et diarrhées.

Les racines de manioc doivent être correctement préparées pour éviter l’intoxication. © An NGuyen, Shutterstock

Les racines de manioc doivent être correctement préparées pour éviter l’intoxication. © An NGuyen, Shutterstock

Le manioc (Amérique du Sud)

La racine de manioc contient de la linamarine, qui, mangée crue, peut libérer du cyanure dans l’intestin. La racine doit donc être correctement cuite pour ne pas présenter de danger. En 2005, 27 enfants sont décédés aux Philippines en mangeant du manioc servi à leur école.

La grenouille taureau ou ouaouaron (Namibie)

La grenouille taureau est une grenouille africaine, plat traditionnel en Namibie, qui contient des molécules toxiques, les jeunes grenouilles étant les plus dangereuses. La toxine conduit à une déficience rénale.

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee (Jamaïque)

Le ackee est un fruit emblématique de la Jamaïque qui contient des graines noires toxiques. La molécule toxique est l’hypoglycine, qui provoque des vomissements. En 2011, il y aurait 35 cas d’empoisonnement. Les fruits peuvent être mortels s’ils sont consommés crus et pas suffisamment mûrs.

Un coquillage : les palourdes de sang (Chine)

La palourde Tegillarca granosa vit dans des milieux pauvres en oxygène, ce qui fait qu’elle renferme souvent des virus et des bactéries. Ce coquillage peut ainsi transmettre les agents des hépatites A et E, de la dysenterie et de la typhoïde.

Un poisson fermenté : le fesikh (Égypte)

Le fesikh est un poisson qui a séché au soleil et qui a fermenté longtemps dans le sel. Il est traditionnellement consommé en Égypte lors de la fête de Cham el-Nessim, le jour du printemps. Chaque année, des Égyptiens sont hospitalisés après une intoxication alimentaire. Il existe un risque de botulisme à cause de la mauvaise conservation de ce poisson.

Ne mangez pas les feuilles de rhubarbe ! © photogal, Shutterstock

Ne mangez pas les feuilles de rhubarbe ! © photogal, Shutterstock

Les feuilles de rhubarbe (monde entier)

Les feuilles de rhubarbe contiennent de l’acide oxalique qui est toxique pour les reins où il forme des cristaux. Les symptômes de l’empoisonnement sont des nausées, des diarrhées, des problèmes pour respirer, des douleurs à l’œil, une urine rouge, des brûlures de la bouche et de la gorge.

Le pangium edule (Asie du Sud-Est)

Ce fruit est toxique à cause du cyanure d’hydrogène (HCN) qu’il contient. Il doit être correctement cuit et préparé avant consommation.

http://www.futura-sciences.com

Certains paysages ou phénomènes météorologiques semblent irréels


La nature est maître en art et il est difficile d’être à la hauteur devant toute cette beauté offerte à nos yeux. La nature nous réserve souvent des spectacles fabuleux si on prend le temps de la regarder. Certains paysages ou phénomènes météorologiques semblent irréels et grâce à la technologie, nous pouvons voir la beauté de la Terre partout dans le monde
Nuage

 

Certains paysages ou phénomènes météorologiques semblent irréels

1-UN SPECTACLE MAGIQUE SUR L’ÎLE VAADHOO GRÂCE AU PLANCTON BIOLUMINESCENT

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IMGUR / XENOF

2-DES COLONNES DE BASALTE DE LA CHAUSSÉE DES GÉANTS EN IRLANDE DU NORD

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HOTEL CLUB

3-UN MAGNIFIQUE NUAGE EN FORME D’OURSON

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TWITTER / @CEREALSOCHIN

4-CES ÉTRANGES FORMATIONS SOUS-MARINES SONT L’ŒUVRE D’UN POISSON-GLOBE CHERCHANT AINSI À ATTIRER UN PARTENAIRE

9

CONSCIOUS LIFE NEWS

5-SUR L’ÎLE CHRISTMAS, PRÈS DE LA CÔTE AUSTRALIENNE, LES CRABES ROUGES SE REJOIGNENT À L’ÉPOQUE DES MIGRATIONS

10

THOUSAND WONDERS

6-LA FOUDRE DE CATATUMBO EST UN PHÉNOMÈNE MÉTÉOROLOGIQUE IMPRESSIONNANT LOCALISÉ AU VENEZUELA

11

NEAT NATURE

7-AU TURKMÉNISTAN, LA PORTE DE L’ENFER C’EST CE CHAMP DE GAZ QUI S’EST EFFONDRÉ ET BRÛLE DEPUIS PRÈS DE 50 ANS

12

WIKIPEDIA / FLYDIME

8-DES BULLES DE GAZ NATUREL PRISONNIÈRES DES GLACES

13

REDDIT / MIND_VIRUS

9-CE LAC SE TROUVE EN TANZANIE ET ON Y A RECENSÉ PRÈS DE 2.5 MILLIONS DE FLAMANDS ROSES

5

BRITISH BIRD LOVERS

10-EN ANGLAIS, LORSQUE PLUS DE 50.000 OISEAUX VOLENT ENSEMBLE, ON APPELLE ÇA «MURMURATION»

7

TAUBERT CONTEMPORARY / ALAIN DELORME

11-ON PENSE QUE CE GIGANTESQUE TROU BLEU PRÈS DE LA CÔTE DU BELIZE S’EST FORMÉ À CAUSE D’UN GLACIER PRÉHISTORIQUE

6

TWISTED SIFTER

12-UN LAC QUI SEMBLE TROUÉ AU CANADA

4

AMUSING PLANET

13-D’ÉTRANGES CERCLES APPARAISSENT DANS PLUSIEURS PAYS AFRICAINS LAISSANT LES SCIENTIFIQUES STUPÉFAITS

8

INHABITAT

14-UN ORAGE VOLCANIQUE DANS TOUTE SA SPLENDEUR

TWITTER / @JUVENALSV

15-CES COLONNES DE LUMIÈRES SONT EN FAIT COMPOSÉES DE CRISTAUX SUSPENDUS DANS L’AIR ET REFLÉTANT LA LUMIÈRE

2

MNN

16-CES FLEURS DE GLACE SONT TELLEMENT POÉTIQUES

3

DEEP SEA NEWS

http://incroyable.co

Le Saviez-Vous ► Top 10 des aliments les plus dangereux du monde


Tout dans la nature n’est pas consommable, alors que d’autres denrées, il faut une attention particulière pour les consommer. Faut-il vraiment risquer de se rendre malade ou pire, en mourir ?
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Top 10 des aliments les plus dangereux du monde

 

Si vous voyagez, personne ne vous oblige à goûter à certaines spécialités locales qui peuvent s’avérer fatales.

Le fugu ou poisson-globe (Japon)

Le fugu  est un poisson très consommé au Japon mais qui contient un poison violent : la tétrodotoxine, une moléculeneurotoxique produite par le foie, qui entraîne une paralysie pouvant aller jusqu’au décès. Le poisson-globe est connu pour se gonfler d’eau quand il se sent menacé. Sa commercialisation est réglementée pour éviter les accidents. D’après The Independant, cinq personnes sont décédées en 2015 en mangeant du foie de fugu.

Un poulpe vivant : le sannakji (Corée du Sud)

Le sannakji est une spécialité de Corée du Sud qui consiste à manger un poulpe encore vivant. Le problème est que les tentacules peuvent continuer à s’agripper, même après la mort de l’animal. Des cas d’étouffements sont possibles : il y aurait ainsi six décès par an.

Un fromage : le casu marzu (Italie)

Le casu marzu (ou « fromage pourri ») est un fromage traditionnel italien, provenant de Sardaigne, dans lequel des larves vivantes servent au processus de maturation du fromage. Le risque est que ces larves ne soient pas détruites par les sucs gastriques et restent dans l’intestin, provoquant douleurs abdominales, nausées et diarrhées.

Le manioc (Amérique du Sud)

Les racines de manioc doivent être correctement préparées pour éviter l’intoxication. © An NGuyen, Shutterstock

La racine de manioc contient de la linamarine, qui, mangée crue, peut libérer du cyanure dans l’intestin. La racine doit donc être correctement cuite pour ne pas présenter de danger. En 2005, 27 enfants sont décédés aux Philippines en mangeant du manioc servi à leur école.

La grenouille taureau ou ouaouaron (Namibie)

La grenouille taureau est une grenouille africaine, plat traditionnel en Namibie, qui contient des molécules toxiques, les jeunes grenouilles étant les plus dangereuses. La toxine conduit à une déficience rénale.

Le ackee (Jamaïque)

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est un fruit emblématique de la Jamaïque qui contient des graines noires toxiques. La molécule toxique est l’hypoglycine, qui provoque des vomissements. En 2011, il y aurait 35 cas d’empoisonnement. Les fruits peuvent être mortels s’ils sont consommés crus et pas suffisamment mûrs.

Un coquillage : les palourdes de sang (Chine)

La palourde Tegillarca granosa vit dans des milieux pauvres en oxygène, ce qui fait qu’elle renferme souvent des virus et des bactéries. Ce coquillage peut ainsi transmettre les agents des hépatites A et E, de la dysenterie et de la typhoïde.

Un poisson fermenté : le fesikh (Égypte)

Le fesikh est un poisson qui a séché au soleil et qui a fermenté longtemps dans le sel. Il est traditionnellement consommé en Égypte lors de la fête de Cham el-Nessim, le jour du printemps. Chaque année, des Égyptiens sont hospitalisés après une intoxication alimentaire. Il existe un risque de botulisme à cause de la mauvaise conservation de ce poisson.

Les feuilles de rhubarbe (monde entier)

Ne mangez pas les feuilles de rhubarbe ! © photogal, Shutterstock

Les feuilles de rhubarbe contiennent de l’acide oxalique qui est toxique pour les reins où il forme des cristaux. Les symptômes de l’empoisonnement sont des nausées, des diarrhées, des problèmes pour respirer, des douleurs à l’œil, une urine rouge, des brûlures de la bouche et de la gorge.

Le pangium edule (Asie du Sud-Est)

Ce fruit est toxique à cause du cyanure d’hydrogène (HCN) qu’il contient. Il doit être correctement cuit et préparé avant consommation.

http://www.futura-sciences.com/

Le Saviez-Vous ► Les 7 plats les plus dangereux du monde


Il y a un seul aliment que je connais qui est vendu dans les épiceries, le manioc ! C’est important de s’informer des aliments nouveaux que nous consommons et encore plus lors de voyage en milieux exotiques
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Les 7 plats les plus dangereux du monde

 

En vacances à l’étranger ? Si de nombreuses spécialités culinaires font le bonheur des fins gourmets du monde entier, d’autres pourraient vous faire regretter d’avoir fini votre assiette.

 

En cette période de vacances d’été, nombreux sont ceux qui, partant dans des destinations exotiques, pourraient se laisser tenter par de nouvelles expériences culinaires. Mais pour certains plats, mieux vaut s’abstenir car le jeu n’en vaut pas la chandelle. Si l’on sait notamment qu’il faut vérifier systématiquement les champignons ramassés dans nos contrées avant de les consommer, difficile de se renseigner à l’étranger sur les plats qui peuvent nous être servis dans un restaurant – ou ailleurs.

Or, malheureusement, une seule bouchée de certains plats peut suffire à provoquer malaises, nausées et diarrhées. D’autres aliments peuvent même être plus dangereux et entraîner une paralysie progressive, voire la mort de l’individu dans les heures suivant le repas. Au point d’être responsables de quelques dizaines de décès chaque année. Afin de ne prendre aucun risque, découvrez les plats les plus dangereux

Le fugu, appelé poisson-globe, est truffé de tétrodotoxine, un poison qui s’attaque au système nerveux et cause une paralysie progressive jusqu’à la mort dans un délai de 4 à 6 heures. Pour lutter contre les accidents, l’État japonais délivre une licence autorisant à préparer ce plat et à le servir dans un restaurant.

Un poulpe vivant, c’est peu ragoûtant ? Et pourtant, le sannakji est une tradition culinaire en Corée du Sud ! Les poulpes les plus coriaces ne se laissent malheureusement pas ingérer sans résistance et restent parfois accrochés dans la gorge. Ainsi, le sannakji serait responsable en moyenne de 6 décès par étouffement chaque année.

Le Coprin noir d’encre (Coprinopsis atramentaria) est un champignon commun inoffensif. Cependant, s’il est consommé avec de l’alcool, il peut provoquer malaises, vomissements, ou encore tachycardie !

Le casu marzu, fromage italien de Sardaigne, est infesté de larves introduites durant la maturation du fromage. Elles permettent une fermentation différente du fromage qui devient alors beaucoup plus mou, et un liquide s’en écoule. Mais certains biologistes estiment que cette spécialité culinaire est dangereuse pour la santé : certaines larves pourraient résister aux sucs gastriques et s’installer dans l’intestin, causant notamment maux de ventre, vomissements et diarrhées sanglantes.

La chair de requin contient une forte concentration d’acide urique : un vrai poison pour l’homme. Pour pallier ce problème, les Islandais ont mis au point une méthode infaillible et créé un plat hors du commun, le Hákarl. Vidé et découpé, le requin est enfoui dans le sol pour environ 6 mois, puis séché à l’air libre durant 2 à 4 mois. Ainsi, la chair pourrit, ce qui permet d’éliminer l’acide urique. Le requin est ensuite découpé en petit dés et servis à table.

Le manioc est une plante-racine tropicale cultivée en Amérique du Sud, en Afrique et en Asie. Très utilisé, cet aliment n’en est pas moins très dangereux s’il n’est pas cuisiné correctement : il contient du glycoside cyanogène. Heureusement, cuire le manioc à ébullition réduit la teneur en glycoside cyanogène jusqu’à des niveaux non toxiques. Un conseil à retenir en cas de séjour prolongé dans la jungle.

Plat traditionnel en Namibie, la grenouille-taureau est mangée entièrement. Malheureusement, certaines parties de l’animal peuvent s’avérer très dangereuses et causer des insuffisances rénales.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Le poisson globe ou fugu, un plaisir mortel pour les gourmets japonais


Pourquoi ce qui est interdit et dangereux est encore plus tentant a se procurer par des voies illégales ou par internet qui ce dernier assure encore moins la qualité du produit ,. Quoiqu’il en soit .. le fugu ne devrait jamais rencontrer une fourchette pour égayer un repas
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Le poisson globe ou fugu, un plaisir mortel pour les gourmets japonais

 

Le marché au poisson de Tokyo, le 18 mars 2011

AFP/Archives

Mets de prix pour les Japonais qui raffolent de sa chair sucrée, le poisson globe, également appelé fugu, recèle un poison violent contre lequel il n’existe aucun antidote. Malgré les accidents, les conditions de sa commercialisation vont être assouplies pour satisfaire la demande.

Le foie et les ovaires de cette hideuse créature qui se gonfle d’eau lorsqu’elle se sent menacée contiennent de la tétrodotoxine, une puissante neurotoxine qui paralyse les muscles et entraîne la mort par arrêt respiratoire.

Les puristes affirment que l’engourdissement des lèvres au contact d’une goutte infinitésimale du poison, premier symptôme de l’intoxication, ajoute au plaisir de sa consommation.

Encore faut-il maîtriser le dosage: 17 personnes ont été empoisonnées l’an dernier au Japon, dont une est passée de vie à trépas, selon le ministère de la Santé. Et les autorités ont retiré, en décembre, sa licence à un restaurant deux étoiles au Michelin du quartier chic de Ginza qui avait servi un foie de fugu à un client qui en réclamait.

« Certains veulent vraiment goûter les parties dangereuses en pensant que ce sont les plus savoureuses », explique Mahiro Shin, 33 ans, client régulier d’un établissement de la chaîne Torafugu-tei qui bénéficie de l’agrément pour servir du fugu. « Mais la plupart d’entre nous ne prennent pas de risque ».

Shigekazu Suzuki fait partie du cercle très fermé des chefs tokyoïtes spécialement formés au dépeçage du fugu.

« Il n’est pas facile pour les chefs non-agréés de nettoyer le fugu », explique-t-il en extrayant les organes toxiques d’un spécimen tout juste prélevé de son aquarium et tué au couteau d’un geste précis.

« Je n’ai jamais goûté ces abats parce qu’ils me font peur », dit-il en jetant un ovaire dans une boîte métallique fermée.

Il faut environ cinq ans à un cuisinier pour obtenir son examen d’agrément à la préparation du fugu, avec épreuves théoriques et pratiques obligatoires.

La réglementation stricte encadrant la commercialisation du fugu explique le nombre relativement faible d’accidents mortels, plaident ses défenseurs. Jusqu’à présent, seuls les restaurants employant un chef spécialement formé peuvent servir le poisson.

Mais à partir d’octobre, tous les établissements de bouche de la métropole tokyoïte (13 millions d’habitants) seront autorisés à s’approvisionner en fugu, à condition qu’il soit préparé — empaqueté ou surgelé — et qu’il ait été nettoyé par un chef agréé.

La santé des consommateurs n’est aucunement en péril, assurent les autorités.

« Nous pensons que la révision de la loi ne va absolument pas favoriser les empoisonnements au fugu », assure un responsable du gouvernement de Tokyo.

Cet assouplissement, à première vue cosmétique, vise avant tout à aligner la loi à Tokyo sur celle qui prévaut déjà dans le reste du pays et à adapter l’offre aux comportements des consommateurs, nombreux à se procurer du fugu chez des fournisseurs non-agréés, essentiellement de la région méridionale de Kyushu, en passant commande sur internet.

Accessoirement, il représente une alléchante source de revenus pour les restaurants qui l’inscriront à leur menu. Un plat de fugu coûte 5.000 yens (50 euros) dans les établissements de la chaîne Torafugu-tei, mais la note peut atteindre des dizaines de milliers de yens (centaines d’euros) pour les meilleures adresses de la capitale nippone.

Un sacrifice justifié, selon Yohei Watanabe, amateur invétéré de fugu.

« C’est un peu plus cher que les autres poissons, mais ça vaut vraiment le coup ».

© 2012 AFP

http://actualites.ca.msn.com